Publié par Rosaly le 16 septembre 2017

L’establishment suédois tire à boulets rouges sur Sylvi Listhaug, ministre norvégienne à l’Immigration et à l’intégration. Son tort : avoir écorné l’image édulcorée d’une Suède multiculturelle heureuse.

Récemment, Sylvi Listhaug visita Rinkeby, la banlieue de Stockholm, internationalement connue pour être devenue la zone de non-droit la plus dangereuse de Suède. Elle était là pour étudier le cauchemar des gangs, la plaie de l’assistanat, l’auto-ségrégation et l’islam. L’explication donnée à ce voyage était des plus sensées, vu que son travail consiste à empêcher que la Norvège ne se rapproche encore plus qu’elle ne l’est déjà de ces « conditions » cauchemardesques.

Dreuz a besoin de votre soutien financier. Cliquez sur : Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution.

« Parmi les migrants, il y a aussi de braves gens, mais voyez ce qui se développe en France, en Belgique, au Royaume-Uni. Je ne veux pas que cela arrive en Norvège.

Quand elle eut la folle audace de lever le voile épais qui couvre la triste réalité de la merveilleuse légende du “ vivre ensemble ” à la suédoise, toujours citée en exemple par nos divers experts islamophiles sur les différents plateaux de télévision, les “ élites ” suédoises outragées bondirent comme un seul homme et tirèrent à boulets rouges sur l’impudente ministre norvégienne.

La franchise de Sylvi Listjaug, une perle rare en politique, indigna l’élite politique suédoise, au point de créer une petite crise diplomatique entre les deux pays, selon Anders Lindberg, éditorialiste d’Aftonbladet, le plus grand quotidien suédois.

L’ancien Premier ministre suédois, Carl Bildt, l’un des artisans bienheureux de la situation dramatique de la Suède rejeta l’indécente affirmation de Sylvi Listhaug, selon laquelle l’immigration est le gros problème en Suède et déclara que la Société suédoise fonctionnait très bien. Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut rien voir.

 

Toute l’harmonie du vivre ensemble à Rinkeby

Pourquoi se révoltent-ils Sven? J’sais pas Bjorn! Je leur ai donné ma recette de boulettes de viande!

La sociale-démocrate Karin Winngård, chef du conseil communal de Stockholm, accusa Sylvi Listhaug d’avoir profité de leur hospitalité pour émettre des points de vue populistes et mensongers, en vue des élections norvégiennes.

Kahin Ahmed, un politicien de Rikeby, conseilla à Listhaug d’utiliser son énergie pour créer une société norvégienne plus “ inclusive ”. Ah, ce doux terme d’inclusif, si tendance dans les discours de nos politiciens, intellectuels et religieux, fervents adeptes de la politique si “humaniste” des “ portes ouvertes ” !

L’establishment suédois devint également fou furieux.

Heidi Avellan, rédacteur en chef politique des journaux Sydsvenskan et Helsingborgs Dagblad accusa la Norvégienne d’avoir présenté une image incorrecte de la Suède.

Il est vrai que Rinkeby est un modèle en matière du “ vivre ensemble ”, une zone sublimement enrichie par l’apport multiculturel, un quartier de rêve, où tous les Suédois de souche aspirent à y couler des jours heureux dans le calme et la sérénité.

Anders Lindberg, qui avait qualifié le parti de Listhaug “The Progress Party” de parti fasciste et le Danemark de “ nation raciste ” suite à la réforme de sa politique migratoire, la traita de “ Réponse norvégienne à Donald Trump ”, ce qui dans son esprit équivalait à la pire des insultes. Encore un cerveau gauchiste sclérosé par sa haine de Donald Trump.

Et l’auteur suédois, Lars Åberg, tout en reconnaissant l’existence de certaines zones à problèmes, où la police, les pompiers et les ambulances sont accueillis à coups de pierre et de menaces, s’arrangea pour nier qu’il s’agissait bien de zones de non-droit, un terme, qu’il attribua dédaigneusement aux blogueurs d’extrême-droite. Le déni de la réalité dans toute sa splendeur!

Mais les élites politiques et médiatiques suédoises ne furent pas les seules à devenir folles de rage à l’égard de notre blonde Sylvi. En Norvège, un bouquet nauséabond d’élites indignées se déchaîna également à son encontre.

Lors d’une interview accordée à la chaîne NRK, Mads Andenaes, professeur de droit à l’université d’Oslo, compara Sylvi aux nazis et la rendit même responsable d’un meurtre, avec lequel elle n’avait strictement rien à voir. Cela rappelle certains procédés staliniens et nazis : imputer un meurtre à un innocent ou à un dissident, afin de faire disparaître de la Société tout élément perturbateur en l’envoyant dans l’enfer d’un goulag ou celui d’un camp de concentration.

Après avoir été accusé de diffamation par d’autres experts en droit, Andenaes attaqua Sylvi pour discrimination envers un groupe, coupable de ne pas lui ressembler, elle si blanche aux cheveux si blonds. Bientôt, les cheveux blonds et le teint clair seront vus comme des caractéristiques de stigmatisation, de racisme et de xénophobie.

Au XXe siècle, des millions d’êtres humains furent atrocement massacrés, car ils ne correspondaient pas aux critères de la race aryenne, cette race pure et parfaite de blonds aux yeux bleus, qui devait dominer le monde selon Hitler et ses nazis.

Arrivée au point de non-retour dans leur délire anti-blanc, une telle aberration ne surprend guère de la part des adeptes du “ melting pot ” à tout prix.

L’interviewer écouta avec délice toutes ces accusations et elles furent publiées avec admiration par tous les médias norvégiens. Et comme si cela n’était pas suffisant, l’Aftenposten permit à Karin Winngård de diffamer Sylvi Listhaug dans les pages du journal. Elle traita Sylvi de menteuse et l’accusa de se mentir à elle-même sur l’harmonie sociale, qui règne à Stockholm et d’occulter la forte croissance économique suédoise.

Tout comme les insultes d’Andenaes, les mensonges de Karen Winngård furent repris avec enthousiasme par tous les médias.

Et l’éditeur William Nygaard, qui publia, il y a une décennie les mémoires du terroriste islamiste Mullah Krekar, qualifia Sylvi de dangereuse fasciste. Accusation qui devient de plus en plus banale de la part de ces givrés du multiculturalisme, n’ayant pas d’autres arguments à opposer à ceux qui dénoncent les conséquences désastreuses de cette politique gauchiste suicidaire.

C’est l’auteure suédoise Katerina Janouch, née en Tchécoslovaquie communiste, émigrée en Suède avec sa famille dans les années septante, qui riposta le plus énergiquement aux assauts des élites à l’encontre de Silvy Listhaug. K. Janouch écrit pour un site d’informations indépendant, le Nyeter Idag, site que Lars Åberg diffamerait sans l’ombre d’un doute en le qualifiant d’extrême-droite.

Katerina Janouch ouvrit sa tribune du 30 août en soulignant que le gouvernement suédois était plus inquiet de la rhétorique de Silvy Listhaug et de l’impact que cela pouvait avoir sur l’image de la Suède, que de l’effroyable vérité sur la Société suédoise.

Il devient de plus en plus clair ” écrivit K. Janouch, que nos politiciens n’ont aucun contact avec la réalité, que vivent leurs électeurs et ne sont apparemment pas intéressés à essayer de remédier aux problèmes.

Elle exprima le vœu de pouvoir emmener Karen Winngård et deux autres femmes politiques, membres du gouvernement, qui dénigraient Sylvi, à Rinkeby et les obliger à y vivre, à faire leurs courses dans les boutiques arabo-musulmanes, affichant des panneaux écrits uniquement en arabe, à faire l’expérience des regards réprobateurs des musulmans, si elles montrent trop de peau, et à comprendre ce que l’on ressent quand on devient la cible de jets de pierres et traitées de “ sales putes ” par des adolescents.

Certes, elle ne souhaite pas que Karen Winngård ou n’importe qui d’autre soit violée ou brûlée vive, comme cela s’est passé avec d’autres femmes dans les zones de non-droit suédoises, expliqua K. Janouch. Elle veut seulement les “ réveiller ”, afin qu’elles constatent de visu ce qui se passe réellement, qu’elles arrêtent de fermer leurs yeux sur le nombre croissant de quartiers dangereux en Suède, ou règnent la violence, le ressentiment, l’amertume, la haine envers les Suédois, qu’elles reconnaissent que la Suède est désormais un pays, où les gens vivent avec un marteau à côté de leur lit, cars ils craignent d’être volés et agressés et qu’elles admettent que le système social suédois est en faillite, que la police, les écoles, les hôpitaux et les services sociaux sont dans le chaos.

Le 31 août, Aftenposten publia un sondage montrant que suite à la controverse suscitée par Silvy Listhaug, le soutien à son parti le “Progress Party » avait fait un bond, tandis que le soutien au ” Labor Party » chuta.

Sylvi Listhaug, membre du Parti du Progrès, un parti de droite « populiste » anti-immigration, avait déjà suscité plusieurs polémiques suite à ses déclarations politiquement incorrectes, pourtant pleines de bon sens.

A une époque, où l’Europe est envahie par des hordes de migrants et dévastée par les attentats terroristes, Sylvi Listhaug a le courage de vouloir imposer l’Etat de droit dans son pays.

« Les valeurs norvégiennes et occidentales de liberté d’expression, de religion, d’égalité entre les hommes et les femmes sont primordiales. Hélas, nous voyons pointer des forces hostiles à de telles valeurs, utilisant la liberté pour imposer la burka ou le niqab à leurs femmes. Et cela, je crois, est incompatible avec les valeurs norvégiennes.

“ Il faut remettre en cause les Droits de l’homme, quand ça ne permet pas de protéger notre population ”.

‘ Je veux dire que nous devrions contester la Convention européenne des droits de l’homme si cela conteste la légitimité d’un pays à défendre ses citoyens. ’

Dans un pays normal, gouverné par des gens normaux, ayant à cœur la sécurité de leurs citoyens, cette suggestion serait des plus logiques. Mais, en Occident, vérolé par les Droits de l’Homme à sens unique, les droits des terroristes islamistes priment su ceux des citoyens.

Elle a aussi rappelé qu’il fallait expulser les demandeurs d’asile, s’ils ne quittaient pas volontairement la Norvège après le refus de leur demande.

‘ La sécurité nationale passe avant le bien-être des demandeurs d’asile ’.

». “Je crois que ceux qui viennent en Norvège doivent s’adapter à notre société. Ici on mange du porc, on boit de l’alcool et on montre notre visage. Quand vous venez en Norvège, vous devez respecter les valeurs, les lois et règles qui existent ici”, avait -elle écrit dans un post qui reçut plus de 20.000 like.

Ses prises de position scandalisèrent les éternels stigmatisés, qui jouèrent à fond à leur jeu favori, celui de la victimisation, eux, dont l’immense tolérance envers les non-musulmans ne cesse de nous émerveiller. La communauté musulmane outragée s’est dite insultée par les propos de Silvy. Ben voyons !

Ainsi, Zaineb Al-Samarai, une responsable du “ Parti du travail ‘ à Oslo accusa la ministre de chercher délibérément à diviser les communautés en écartant les migrants musulmans du reste de la société norvégienne. Les pauvres chéris !

‘ Si vous êtes ministre à l’intégration, vous devez commencer par intégrer. N’effrayez pas les gens, ne les séparez pas ’, écrivit-elle dans un article publié par le journal ‘ Dagbladet.

» Je ne crois pas que la culture norvégienne soit si faible qu’elle risque de disparaître si quelqu’un choisit de porter un vêtement traditionnel comme le hijab. La culture norvégienne n’est pas si faible ni en danger comme vous semblez le croire. Et la culture norvégienne ne se résume pas à manger du porc, à boire de l’alcool et à porter un couvre-chef. ’

La culture islamique est bien davantage que l’interdiction de manger du porc et l’obligation de porter le hijab, le soi-disant costume national de la pudeur et de la vertu et Sylvi Listhaug a toutes les raisons de s’inquiéter des migrants musulmans et de leur réticence à peine voilée d’accepter la culture norvégienne.

Qui refuse de s’intégrer à la Société occidentale, aux mœurs, traditions et valeurs totalement opposées à leur ‘ religion ’, par crainte d’être souillés et/ou détournés de la voie d’Allah ? Qui effraye les gens par leur haine de plus en plus marquée envers les mécréants ?

Comment intégrer des gens qui refusent de s’intégrer et ne songent qu’à prendre possession du pays d’accueil afin d’y imposer leur ‘ religion ’ et la loi d’Allah ?

‘L’immigration musulmane en Occident a été conçue afin d’apporter la lumière de l’islam, de le propager’ a affirmé en Suède le cheikh Said Rageah, ‘car vous êtes la meilleure nation qu’Allah ait jamais créée.

Cet imam a fondé une mosquée à Montréal et prêche non l’inclusion, mais l’apartheid musulman.

N’est-ce pas le devoir de tout responsable politique, soucieux du bien-être et de la sécurité des citoyens, d’expliquer aux migrants leurs devoirs, avant de décliner leurs droits ?

Sylvi Listhaug n’est pas la seule politicienne a avoir durci le ton envers les immigrés et les musulmans. Plusieurs membres du gouvernement de la coalition en Norvège ont demandé de manière parfois dure aux immigrés musulmans de s’intégrer et d’assimiler les ‘valeurs’ norvégiennes.

La Première ministre Erna Solberg, réélue ce lundi 11 septembre, avait elle-même déclaré qu’elle n’emploierait personne portant le voile islamique.

‘Non, vous n’aurez probablement pas de travail avec moi ou avec beaucoup d’autres si vous portez un niqab’, avait ainsi expliqué le chef du gouvernement norvégien lors d’une interview.

Le gouvernement au pouvoir en Norvège est issu d’une coalition entre le Parti Conservateur (centre-droit) et le Parti du Progrès opposé à l’immigration.

Grâce à Sylvi Listhaug et à Erna Solberg, la logique et le bon sens, longtemps disparus, semblent renaître au sein du gouvernement norvégien.

 

Logique et bon sens : deux qualités, qui font cruellement défaut à bon nombre de politiciens occidentaux, fervents adeptes de la soumission à l’islam et à ses adeptes, au point de s’étaler telles de vulgaires carpettes aux pieds des pires ennemis de l’Occident.

Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

. ‘ Shooting the Messenger in Sweden ’ (FrontPage Mag)

. ‘Sylvi, minister all’Integrazione, che dice “no” ai migranti e islam’ (Il gironale.it/la Repubblica)

 

 

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous

En savoir plus sur Dreuz.info

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading