À l’occasion du 16ème anniversaire du 11 septembre, une prise de position visionnaire de Hunter S. Thompson a été partagée sur de nombreux médias sociaux. Voici ce que Thompson avait écrit sur ESPN le 12 septembre 2001:
Maintenant, les tours sont parties, réduites à des décombres sanglants, avec tous les espoirs pour la paix pour notre temps, aux États-Unis et dans tous les pays. Ne vous y trompez pas: nous sommes maintenant en guerre – avec quelqu’un – et nous allons rester en guerre avec cet ennemi mystérieux pour le reste de notre vie.
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Thompson n’aurait pas pu être plus juste.
Plus d’une décennie et demie depuis les attentats, de nombreux dirigeants ne sont toujours pas mentalement instruits et équipés pour comprendre contre qui nous sommes en guerre. Pour eux, c’est “quelqu’un”. Les États-Unis ont entraîné des changements de régime en Irak et en Libye et sont encore enlisés dans la guerre la plus longue de l’histoire américaine en Afghanistan. Pendant ce temps, Al-Qaïda a été fortement diminuée mais existe toujours. Un groupe encore plus extrême qu’Al-Qaeda, l’État islamique (également connu sous le nom d’ISIS), s’est levé avec des aspirations de puissance.
- Après le 11 septembre, nous sommes allés en Afghanistan pour évincer les talibans qui abritaient Oussama ben Laden. C’était un objectif clair qui avait un soutien populaire aux États-Unis et dans le monde entier.
- En 2003, nous sommes allés en Irak, qui n’avait rien à voir avec le 11 septembre, bien que l’administration Bush l’ait vendu de cette façon. Aujourd’hui, cette guerre est évoquée comme l’une des pires décisions de politique étrangère dans l’histoire des États-Unis, en particulier parce qu’elle n’avait rien à voir avec le 11 septembre. Mais la décision encore plus grave a été celle d’Obama de se retirer d’Irak : il a fabriqué un vide qui a permis la création de l’Etat islamique. Les deux plus grands bénéficiaires du retrait de cette guerre en Irak sont l’Iran et ISIS.
- Le renversement de Moammar Gaddafi en Libye soutenu par Obama-Clinton a donné aux extrémistes un ancrage encore meilleur dans ce pays, initié la vague d’invasion de migrants en Europe, et exporté l’armement laissé sur place vers l’Afrique, pour Boko Haram et le conflit au Mali.
Avant que Donald Trump l’ait récemment changée, la politique des États-Unis en Syrie a permis d’acheminer “par inadvertance” des armes et de l’aide à Al-Qaeda et à ISIS – un rappel accidentel mais réel de combien la politique étrangère américaine s’est écartée des priorités de défense du pays, dans les jours et les semaines après que le World Trade Center et le Pentagone ont été attaqués.
C’est énervant.
Vous devez vous demander: 16 ans après le 11 septembre, contre qui les États-Unis se battent encore, à ce stade, et ces interventions ont-elles quelque chose à voir avec le 11 septembre ? Non. Elles ont à voir avec l’islam, qui a à voir avec le 11 septembre.
Et à quel prix ?
Thompson avait prédit au lendemain du 11 septembre : « Il s’agira d’une guerre de guérilla à l’échelle mondiale, sans premières lignes ni ennemis identifiables … Cela va être une guerre très coûteuse et la victoire n’est pas garantie ».
La guerre en Irak et celle sans fin en Afghanistan ont coûté, à ce jour, un quart de la dette nationale américaine.
Lorsque Donald Trump était candidat à la présidence, il a promis de mettre fin à une intervention aveugle, en particulier dans un pays comme l’Afghanistan. Il allait être le leader qui changerait l’imprudence de la politique étrangère de l’Amérique. Maintenant, face à la menace de l’islam, Trump a complètement été contraint de faire volte-face, annonçant que les États-Unis ne quitteront pas l’Afghanistan à court terme – la définition même de la politique nationale que le président déplorait en tant que citoyen et en tant que candidat.
Washington fera toujours sa guerre contre le terrorisme ; les nouveaux présidents devront tout simplement s’ajuster. Barack Obama s’était présenté contre le changement de régime voulu par George W. Bush en Irak, seulement pour le répéter en Libye. Donald Trump s’est présenté contre la politique nationale de Bush et Obama et a déclaré qu’il va maintenant faire sa propre version en Afghanistan, suivant les recommandations de ses généraux.
Peut-être que les terroristes ont gagné. Le danger constant et immédiat perpétue la Guerre pour toujours, dans laquelle l’Amérique est engagée depuis le 11 septembre. Les objectifs d’Oussama ben Laden ont été atteints.
L’Amérique voulait légitimement mener la bataille contre les terroristes après avoir été attaqué en 2001. Nous l’avons fait, ou du moins nous avons pensé que nous l’avons fait.
Mais que faisons-nous maintenant ? Parce que beaucoup de la politique étrangère des États-Unis – dont une grande partie est effectuée à ce jour, 16 ans plus tard, au nom du 11 septembre – n’a vraiment rien à voir avec cette horrible journée, mais avec l’horrible monstre qui se cache derrière l’horrible journée et que les dirigeants européens désignent par “quelqu’un” : l’islam politique et conquérant depuis 14 siècles.
« Ne vous y trompez pas : nous sommes maintenant en guerre – avec quelqu’un – et nous allons rester en guerre avec cet ennemi mystérieux pour le reste de notre vie », a averti Thompson.
Est-ce que nous aurons les mêmes discussions et observations sur le 20ème anniversaire du 11 septembre ? Le 50e ? 100e ? 14 siècles d’histoire de l’islam nous disent que nous pourrions bien.
Combien de générations d’Américains vont le tolérer sans demander son éradication ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : traduction © Marina Linardi pour Dreuz.info.
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Je ne suis pas sur place pour vérifier si les USA sont en guerre, mais, de l’autre côté de l’Atlantique, c’est notre cas:
L’ennemi nous abat à la kalachnikov ou en véhicules, et nous, nous faisons brûler des bougies, et hurlons “même pas peur”…. Par contre, au moindre pétard sorti d’un pot d’échappement, c’est l’envolée et les cris.
J’oubliais: nous relançons la culture des fleurs, donc la production d’insecticides.
Conclusion, nous sommes bien en guerre…
Je me souviens d’avoir écrit à Daniel Pipes à ce sujet en 20034 avant l’invasion de l’Irak que les USA feraient mieux de renvoyer les 2 à 5 millions de musulmans qui vient chez eux que de se lancer dans des chimères au pays de l’à-peu-près.
C’était aussi le sentiment d’Oriana Fallaci qui l’exprima dans un texte de soutien à G.W Bush lors du début de la guerre d’Irak. Elle soutenait (Comme moi) mais avec inquiétude.
Apple se permet de corriger mon texte à mon, insu, d’où des fautes. J’ai écrit à Pipes en 2003. Je voulais écrire “2 à 3 millions” de musulmans “qui vivent” chez eux
Pas du tout d’accord.
Ce qui se passe aujourd’hui sur la Planete nous le devons en grande partie au Laxisme de tous les Gouvernants de ce Monde. Et surtout aux Pétros Dollars qui ont contribue’s à la Soumission Générale.
Comment une Nation pour la plupart illettrée à pu mettre à genou toute une Civilisation ( pour du pétrole )
Totalement faux.
Le pétrole appartient à la Nation Arabe.
Le savoir appartient à tout l’occident.
Je te vends mon pétrole contre ton savoir…..pas de savoir pas de pétrole.
Et jamais au grand jamais le Monde ne se serait retrouvé à genoux.
Mais les Pétros Dollars ont tués toutes les consciences au Profit des plus grands Collabos de tous les
Temps….
Pour la première fois nous sommes dans une guerre mondiale qui ne dit pas son nom et dont l’ennemi est une sorte d’hydre de Lerne avec ses nombreuses têtes dont une nouvelle se met à pousser quand on en détruit une.
Nul doute que même si on détruit ISIS (Daech) une nouvelle organisation naîtra à sa place, et le problème restera le même en raison de toutes les autres têtes existantes (Al-Qaeda, les Talibans, Boko Haram, GIA, Jama’a al-Islamiyya, Hamas, Hezbollah, Fatah, Brigades Al-Qods, MIO (Ouzbekistan), et j’en passe car elles sont plus d’une centaine de par le monde…)
Voyez la carte faite en 2015 par Le Monde Diplomatique:
https://www.monde-diplomatique.fr/IMG/jpg/Galaxie-djihadiste.jpg
Or, tout est orchestré par les Frères Musulmans et financé par la BID (la Banque Islamique de Développement) créée par l’OCI (l’Organisation de la Coopération Islamique). La seule façon qui sera efficace de combattre ce monstre sera de détruire l’OCI (et sa BID) qui est la source logistique et financière du djihad ultra-violent depuis 1969. Il n’y a pas d’alternative, et tant qu’on ne se décidera pas à comprendre ce fait on continuera à mener vainement une guerre sans fin.
Le grand tort des états aujourd’hui est de croire qu’il existe des pays musulmans qui combattent le djihad terroriste (comme l’Arabie Saoudite par exemple, reine de l’hypocrisie, vue comme angélique par l’ONU et même par Donald Trump) alors que TOUS y contribuent financièrement, et l’Arabie Saoudite elle-même en tête! L’opposition apparente entre l’Arabie Saoudite et le Qatar, par exemple, (qui est le deuxième contributeur de la BID en devises) n’est que façade aux yeux du monde. Tout comme d’une manière générale l’opposition apparente entre le sunnisme et le chiisme qui en réalité ne sont que des courants internes, des oppositions de chapelles au sein de l’Islam… mais qui participent tous deux au même grand objectif qui est l’islamisation de la planète entière, que ce soit avec ou sans les armes.
Le pire djihad aujourd’hui, et le plus efficace, n’est pas le djihad par les armes et par le terrorisme… c’est celui par l’augmentation de la démographie musulmane dans les pays non-musulmans. Il faut bien sûr combattre le terrorisme (et non pas le laisser faire comme on le voit aujourd’hui de la part de nos dirigeants) mais il faut aussi que tous nos dirigeants arrivent à admettre que le plus grave danger à long terme (et même à terme de plus en plus proche maintenant) est dans l’augmentation de la démographie musulmane dans nos pays. Car le terrorisme tel qu’il se présente aujourd’hui dans cette actuelle décennie et depuis 1969 a clairement pour objet de nous faire croire qu’il existe deux islams, l’un violent et l’autre pacifiste, alors qu’il n’existe qu’un seul islam et que la première forme (violente) permet à la deuxième (prétendument pacifiste et même “victime”) de se voir ouvrir en grand les bras en signe d’accueil par nos états occidentaux. On le voit d’ailleurs avec les quatre pays du Groupe de Visegrad : ces quatre pays n’ont pas de communautés musulmanes… donc le terrorisme n’y est pas utile pour légitimer ces communautés musulmanes et ne s’y produit donc jamais. Les communautés musulmanes dans nos pays sont le Cheval de Troie de l’Islam. Et le terrorisme a pour but se servir leur cause (quel autre but pourrait-il avoir?), avec la finalité qui apparaît de façon flagrante quand on analyse le problème sous cet angle.
@ AlbertGam
“(…) “Car le terrorisme tel qu’il se présente aujourd’hui dans cette actuelle décennie et depuis 1969 a clairement pour objet de nous faire croire qu’il existe deux islams, l’un violent et l’autre pacifiste, alors qu’il n’existe qu’un seul islam et que la première forme (violente) permet à la deuxième (prétendument pacifiste et même ‘victime’) de se voir ouvrir en grand les bras en signe d’accueil par nos états occidentaux.”
Votre analyse est correcte en ce sens qu’il n’existe qu’un seul mamoûnisme (je répugne et donc renonce à utiliser le mot commençant par “i”), vu que le Dr. Ahmed Ibrahim Khadr, dans gatestoneinstitute.org/8101/radical-moderate-islam, est formel: “(…) the division of Islam into ‘moderate Islam’ and ‘radical Islam’ has no basis in Islam — neither in its doctrines and rulings, nor in its understandings or reality / la division de l’islam en ‘islam modéré’ et ‘islam radical’ n’a aucune base dans l’islam – ni dans ses doctrines et décisions juridiques, ni dans son (auto-)compréhension ni dans la réalité”.
Mais vous semblez toujours d’avis que le statement de l’auteur “(…) une ‘guerre’ contre le terrorisme qui ne finira jamais” est valable.
Il ne l’est pas. Même ce que vous appelez “le pire djihad aujourd’hui, et le plus efficace”, à savoir “l’augmentation de la démographie musulmane dans les pays non-musulmans” ne l’est pas.
Pourquoi? Parce que le ridicule tue, et pas seulement en France.
Mon commentaire dans
http://www.americanthinker.com/articles/2017/09/if_i_were_the_devil_id_enact_hate_speech_laws_comments.html#disqus_thread
commence par
“Flemming Rose notes that there is acceptable and unacceptable hate speech. It’s okay to mock Christians but not to ridicule Islam’ .-”
Whilst it is possible to mock Christians, it is impossible to ridicule Islam. Simply because Mamûnism (I name that creed after its historic founder) IS ridicule” (etcaetera)
Plus loin, et pour couper l’herbe sous les pieds de qui vous savez, j’insiste encore une fois: “PS Anyone capable of reading shall see that I’ve ONLY said that ‘Mamûnism (…) IS ridicule’. I did NOT use the word beginning by ‘I’ that is used by every ignorant politician on earth.”
Je suis d’accord avec vous, il n’y a pas que nos politiciens qui sont ignorants.
Merci Monsieur pour cette mise au point que bons nombres d’Autruches ne veulent pas voir d’ou une Soumission Totale par le biais des Pétros Dollars..
Bravo. Tout a fait d’accord avec vous.
La cible de la guerre ne devait pas être “le terrorisme” car lui ce n’est qu’une arme parmis d’autres de la guerre menée par l’islam contre les kouffar depuis 1400 ans. On peut s’acheter une paix temporelle en payant la jizya, et si les musulmans se trouvent dans une situation précaire ils veulent de nous une houdna pour renforcer leurs pouvoirs.