Depuis quelques années, L’État de Rakhine dans l’ouest du Myanmar a été le théâtre de violences répétées entre la majorité bouddhiste et sa minorité musulmane Rohingya. L’affirmation selon laquelle l’État du Myanmar effectue une guerre unilatérale contre le Rohingyas est une vision trop simpliste de la réalité dominante.
Dans l’état de Rakhine, les Rohingyas musulmans et les Rakhines bouddhistes se violent, se tuent et se pillent depuis les deux derniers mois. La communauté en ligne abonde en nouvelles sur la violence qui se déroule là-bas. Je suis toujours choqué par les horribles actes inhumains causés par l’intolérance religieuse, les différences et les préjugés.
J’écris cet article avec un cœur lourd mais je dois faire ressortir quelques faits importants dont la grande majorité des médias passent sous silence. Les rapports sur la crise des Rohingyas sont un mélange de vérité, de mensonges et surtout de lourde propagande.
Pourquoi l’armée de Myanmar, pays dirigée par la prix Nobel de la paix, Aung San Suu Kyi, a soudainement commencé à se pencher sur ces gens innocents appelés Rohingyas ? Un groupe islamiste violent appelé Arakan Rohingya Salvation Army (ARSA) oblige tous les hommes Rohingyas – même les très jeunes garçons – à attaquer les bouddhistes Rakhine et d’autres civils et à provoquer des actes de violence contre l’armée du Myanmar. Ce groupe reçoit son financement et ses armes de pays islamiques comme le Pakistan et la Malaisie et sa formation d’Al-Qaïda et des Talibans en Afghanistan.L’ARSA est classée organisation terroriste par le gouvernement de Myanmar
Plus de 100 000 personnes rohingyas ont fui leurs maisons depuis le 25 août. Ils essaient d’échapper à la violence, suite à une contre-offensive militaire contre les membres rohingyas de l’ARSA qui ont attaqué des postes de police.
Ces Rohingyas ne fuient pas uniquement la violence des forces de sécurité Birmane, ils fuient aussi leurs propres militants radicaux armés de l’ARSA. La communauté internationale devrait prendre en considération les faits avant de lancer des accusations.
Abu Ammar Junoni, qui prétend être le commandant de l’Armée du salut Rohingya d’Arakan (ARSA), s’adresse à “la diaspora rohingya, les leaders mondiaux, les Nations Unies et les militants des droits de l’homme”.
Qui sont les membres de l’Arsa?
L’Armée Arakan Rohingya Salvation (Arsa) opère dans l’État de Rakhine, dans le nord du Myanmar, où les Rohingyas, majoritairement musulmans, ont été victimes de persécutions. Le gouvernement du Myanmar leur a refusé la citoyenneté et les considère comme des immigrants clandestins venus du Bangladesh.
Les affrontements éclatent périodiquement entre les groupes ethniques, mais au cours de la dernière année, une insurrection rohingya armée a augmenté en puissance. L’Arsa, connue autrefois sous d’autres noms tel que Harakah al-Yaqin, a tué plus de 20 policiers et membres des forces de sécurité.
Selon le gouvernement du Myanmar, les dirigeants se sont entraînés à l’étranger. L’International Crisis Group (ICG) déclare également que les militants sont formés à l’étranger, ils ont publié un rapport en 2016 affirmant que le groupe était dirigé par des Rohingyas vivant en Arabie Saoudite. L’ICG affirme que le leader d’Arsa est Ata Ullah, né au Pakistan et élevé en Arabie Saoudite.
Les libéraux occidentaux, les médias traditionnels et les Nations Unies soutenues par les Arabes (ONU) n’ont comme d’habitude pas pris la peine de dénoncer les violations des droits de l’homme commises par ARSA contre les civils rakhines, ainsi que contre les Rohingyas qui étaient contraints de commettre des actes terroristes. Depuis octobre 2016, l’ARSA mène régulièrement des attaques contre les autorités du Myanmar.
Les journalistes semblent manquer d’une compréhension fondamentale sur la différence entre le combattant de la liberté et un terroriste. Le 17 octobre 2016, le groupe (sous le nom de Harakah al-Yaqin) a publié un communiqué de presse en ligne. Dans une vidéo d’environ cinq minutes, le chef du groupe, Ata Ullah escorté de combattants armés déclarait : “Nous [Harakah al-Yaqin], les fils d’Arakan sur ce sol sommes obligés par notre situation désastreuse de suivre notre propre destinée par le soulèvement, l’autodétermination et l’autodéfense, comme un corps indépendant et libre de tous des éléments de terreur de quelque nature que ce soit, recherchant des droits fondamentaux mais légitimes et d’autres [formes de] justice pour tous les Arakanais, y compris nos Rohingyas innocents et d’autres civils qui meurent des assauts militaires continus.”
De nombreux Rohingyas déplorent les actions de l’Arsa car ils sont les premières victimes des violences.
Bien sûr, les seuls témoignages qui seront diffusés sur les chaines de télévision seront ceux des Rohingyas vu que les médias se rangent toujours du côté de la victime sans chercher à comprendre la racine du bien et du mal.
France24 Eng le 6/9/2017 Interview de Priscilla Clapp,Priscilla Clapp Asia Society Senior Advisor pour le département d’état Americain. “les terroristes de l’ARSA ont incendié les villages”
Je pense qu’il est de mon devoir de séparer la vérité du mensonge.
Commençons par le début, Qui sont les Rohingyas?
L’origine du mot Rohingya est contestée. Certains historiens comme Khalilur Rahman soutiennent que le terme Rohingya est dérivé du mot arabe «Raham» signifiant «miséricorde». Arakan (ancien nom de l’état de Rakhine) était une terre fertile, état dont la famille régnante était bouddhiste mais utilisa dans le passé (jusqu’en 1635) un nom de règne musulman, annexée par les Birmans en 1785 durant le règne du roi Bodawpaya, puis conquise par les Britanniques lors de la première Guerre anglo-birmane en 1824. Les Rohingyas serviront de supplétifs dans l’armée britannique lors des guerres anglo-birmanes, de même qu’ils se positionneront coté britannique en 1948, générant ainsi des rancœurs tenaces de la part des autres ethnies birmanes aspirant à l’indépendance.
Cette région était au moment de son annexion par les Britanniques peu peuplée (la population de Mrauk U, sa capitale, était passée de 120 000 habitants au milieu du XVIe siècle au environ 20 000). Les Britanniques ont encouragé des habitants de l’État du Bengale à s’installer à Arakan. De très nombreux musulmans se sont installés à Arakan pendant cette période. Ils travaillaient dans des rizières et étaient une unité importante de la croissance de l’économie britannique. Le dialecte parlé par les Rohingyas est une langue indo-iranienne apparentée au bengali sans être tout à fait mutuellement intelligible.
La naissance de Myanamar (Birmanie): La Birmanie (sous le nom d’Union de Birmanie) est devenue un État indépendant en 1948 (un état Birman indépendant avait pré-existé entre 1943 et 1945, sous influence japonaise avant de se retourner coté allié à la fin de la deuxième guerre mondiale). La majorité des personnes vivant en Birmanie sont des Bouddhistes. Même si les Bouddhistes et de nombreux musulmans se sont battus ensemble pour l’indépendance du Myanmar, un groupe de musulmans (Rohingyas) a commencé à demander une nation distincte pour eux-mêmes juste après l’indépendance.Un parti Mujahid a été créé par les anciens Rohingya en 1947. Ils ont soutenu le Jihad pour la création d’un nouvel état à Arakan.Le parti Mujahid était très actif jusqu’en 1962, après le coup d’Etat lorsque le général Ne Win est arrivé au pouvoir.Le mouvement Rohingya pour l’autonomie a été supprimé avec un poing de fer. Des milliers de Rohingyas ont été persécutés durant deux prochaines décennies.
Le gouvernement colonial britannique a encouragé l’immigration au Myanmar depuis l’Inde moderne et le Bangladesh. C’est une source de ressentiment persistant au Myanmar, c’est pourquoi 1823 a été utilisé comme date limite pour la citoyenneté birmane. Le récit dominant dans le pays est que le terme «Rohingya» est une invention récente, et ceux qui prétendent appartenir au groupe sont en fait les descendants de ces immigrants de l’époque coloniale du Bangladesh. Un peu comme « les palestiniens » peuple inventé dans les années 60 par le terroriste Arafat dont la grande majorité sont des égyptiens, syriens, irakiens…
Questions de citoyenneté pour les Rohingyas
Les Rohingyas ne sont généralement pas considérés comme des citoyens du Myanmar par le gouvernement.Ils n’ont reçu aucun droit et il n’y a pas de loi pour les protéger en tant que citoyens du Myanmar.
Selon Amnesty international, les Rohingyas représentent la minorité la plus persécutée au monde (ils ne reçoivent pas les masses d’aides de l’ONU et de l’UE comme les arabes palestiniens “réfugiés de père en fils”)
La loi de 1982, promulguée par l’ancien commandant militaire Ne Win, reconnaît les 135 ethnies nationales en Birmanie mais exclut spécifiquement les Rohingyas. Il a remplacé la loi sur la citoyenneté de 1948, qui stipule que toute personne qui a résidé en Birmanie depuis plus de deux générations a droit à la citoyenneté et faisait donc des Rohingyas des citoyens birmans.
L’apatridie est un problème majeur pour la majorité des Rohingyas. De nombreux cas de torture et d’abus de droits de l’homme contre les Rohingyas ont été documentés par des organisations internationales. La loi sur la citoyenneté de 1982 leur a interdit tout droit politique (comme voter ou se présenter à une élection), économiques (comme tenir un magasin et commercer avec des bouddhistes) ou encore sociaux (comme avoir accès aux soins, …). Les dernières lois visant les Rohingyas sont celles de 2012 qui interdisent tous mariage inter-religieux entre musulmans rohingyas et bouddhistes birmans. Une autre loi vise aussi à ralentir leur croissance démographique.
La vérité de la violence
Le 28 mai, 3 musulmans dont 2 Rohingyas ont violé une femme Rakhine à Arakan au Myanmar.Le 4 juin, une foule a attaqué un autobus à Taungup, croyant par erreur que les responsables du meurtre étaient à bord. Dix musulmans ont été tués lors de l’attaque de représailles.
Des attaques/représailles ont commencé depuis lors entre les musulmans Rohingyas et les Bouddhistes Rakhines. Selon les chiffres du gouvernement, environ 80 personnes ont été tuées dans les émeutes. Environ 90 000 personnes ont du fuir sont devenues sans-abri.
Le mensonge de la violence
Beaucoup de musulmans à la télévision et sur Internet disent que des milliers de musulmans ont été tués au Myanmar. Nous n’avons aucune preuve pour prouver cette allégation. Non seulement le gouvernement du Myanmar, les ONG indépendantes, mais aussi les organisations internationales de défense des droits de l’homme ont déclaré qu’environ une centaine de personnes (y compris des bouddhistes) ont été tuées dans la violence.
L’autre aspect qui ronge de nombreux médias est la pénurie de preuves matérielles selon lesquelles l’armée du Myanmar persécute les musulmans Rohingya aussi monstrueusement selon les revendications de l’ONU.
En moins d’une semaine, la crise Rohingya a reçu 10 fois de couverture médiatique que l’a été les massacres de chrétiens et Yazidis en un an.
Maintenant, la question que chacun doit se poser est pourquoi les musulmans tuent les chrétiens? Pourquoi les musulmans tuent d’autres musulmans? et pourquoi les musulmans tuent des Juifs, à peu près partout dans le monde et presque chaque jour. Aucun Bouddhiste ne veut tuer des musulmans, du moins non à cause de raisons religieuses.
En juin 2015, on a découvert que de nombreuses vidéos et des images horribles du massacre de Rohingyas circulaient dans les médias sociaux mais concernaient en fait d’autres catastrophes –
Quelques exemples :
Le tremblement de terre dévastateur en Chine, l’activisme tibétain en Inde, le terrorisme des Tigres d’Eelam Tamil au Sri Lanka, et même un pétrolier en feu au Congo.
Cependant, donnons aux Rohingyas le bénéfice du doute et supposons qu’ils n’ont pas, en fait, incendié leurs propres maisons pour attirer l’attention internationale, comme le prétend le gouvernement du Myanmar.
Prenez Maungdaw, par exemple, où l’armée du Myanmar a brûlé la semaine dernière des dizaines maisons des Rohingyas. Précisément une semaine avant cet incident, ARSA avait attaqué des soldats et des civils Rakhine dans la région, qui devaient ensuite fuir leurs maisons et se cacher dans un monastère du Taung Bazaar.
Les victimes dans ce scénario sont clairement toutes les parties, les Rohingyas et les bouddhistes rakhines locaux qui eux ne s’engagent pas dans la violence djihadiste.
Qu’est-ce qui a provoqué l’exode ces dernières années ?
La violence a éclaté en 2012, lorsque des hommes Rohingyas ont été accusés de viol et d’avoir tué une une jeune femme bouddhiste. Les nationalistes bouddhistes ont répondu en brûlant des maisons rohingyas, tuant plus de 280 personnes et en déplaçant des dizaines de milliers.
Des groupes armés ont accusé l’armée birmane d’incendier les villages et de tirer sur des civils musulmans rohingyas dans le cadre d’une répression contre les insurgés dans l’État de Rakhine.
Selon l’armée Birmane, les membre de l’Arsa mènent leurs opérations se servant de la population civile comme bouclier humain, la méthode du Hamas s’exporte même là bas ! qui aurait pu le croire?
La propagande de la violence: Les réseaux sociaux et les blogs répandent des images des massacres de Rohingyas. La plupart de ces images sont des mensonges. Ces fausses images de violence horribles sur les musulmans se propagent pour induire une haine répandue dans l’esprit des musulmans dans différents pays.Ces images sont également utilisées comme outil par des groupes politiques terroristes et islamistes pour recruter à ces fins. Examinons quelques images célèbres ici.
LA VERITE
Cette image a été prise en 2010 après un tremblement de terre en Chine, elle montre les efforts déployés par les Tibétains pour aider à sauver les victimes. Maintenant, les groupes islamistes à travers le monde diffusent cette image en tant que meurtres de musulmans en Birmanie. Ils nous font la même chose avec des photos d’enfants syriens qu’ils prétendent palestiniens.
Il est difficile de lister toutes les informations fausses sur les Rohingyas circulant sur Internet, reprises en écho par des dizaines de milliers partisans comme l’islamiste Tariq Ramadan, qui avait relayé sur son compte twitter des fausses photographies sur les Rohingyas.
Aucune de ces photos ne concerne les Rohingyas de Birmanie.
Une autre rumeur court sur internet selon laquelle les musulmans brûleraient leurs propres maisons afin d’attirer la conscience du monde. “Des photos de Bengalis qui incendient leurs maisons eux-mêmes”, a déclaré le populaire groupe local Eleven Media sur son article Facebook mercredi. Ce rapport a été suivi d’un journal comprenant une interview avec le moine qui aurait été témoin de l’incendie criminel.
Un représentant de l’ONU Malala Yousafzai a appelé le leader le lauréat du prix Nobel de la paix, Aun Sang Suu Kyi à arrêter la violence. Mme Suu Kyi a précédemment déclaré qu’il y avait «beaucoup d’hostilité» dans la région, mais le nettoyage ethnique est un «terme trop fort» à utiliser.
Les Rohingyas ont plus en commun avec les Bangalais en termes d’identité religieuse et culturelle et, en outre, ils partagent la même origine ethnique. Qu’est-ce qui retient le Bangladesh de les accueillir ?
L’islamiste turque Erdogan ose accuser le Myanmar de «génocide» alors que des milliers de Rohingyas fuient vers le Bangladesh, lui qui n’a jamais reconnu le génocide du peuple arménien par les Ottomans et envoie régulièrement l’aviation turque pilonner des villages kurdes.
Les rapports de viols commis par l’armée du Myanmar contre les Rohingyas ont leurs sources au Bureau du Haut-Commissaire des Nations Unies des droits de l’homme. Certains rapports proviennent d’Al Jazeera ; cela ne requiert aucune autre explication.
Dans l’intervalle, l’Arabie Saoudite, champion des atteintes aux Droits humains, est trop occupée à bombarder le Yémen et à affamer des millions d’enfants yéménites. Et vous savez quoi ? L’Arabie Saoudite est à la tête du Conseil des Droits de l’Homme à l’ONU.
Les tragédies humanitaires sont insoutenables, mais je devais vous rapporter ces quelques éléments que les médias ont préféré ignorer.
Source
http://www.mizzima.com/news-domestic/arsa-declared-terrorist-group
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean Vercors pour Dreuz.info.
Pour ceux qui veulent savoir la vérité ou pour le moins écouter une version sensiblement différente de celle que les médias ont décidé de nous abreuver du matin au soir.
Qui mieux que nous sait à quel point les médias choisissent leur camp et brodent ensuite leur vérité pour la servir comme “prêt à penser” au peuple.
Excellent travail, Mr J.Vercors !!
PS, si je puis me permettre : Lorsque vous dites “Je suis toujours choqué par les horribles actes inhumains causés par l’intolérance religieuse, les différences et les préjugés”, j’espère que vous avez quand-même bien conscience qu’il ne s’agit quasiment jamais de conflits purement religieux, mais plutôt de luttes sanglantes sur fonds d’obtentions de pouvoirs, ou d’acquisitions de terres, de régions, de frontières, ou de richesses du sol.
Car la “religion” n’est que le prétexte affiché. Mais l’avidité en est le réel motif.
Merci beaucoup, Monsieur Vercors.
Je viens de lire avec intérêt votre article. Je me doutais que quelque chose nous était caché, soudainement ce peuple que la plupart d’entre nous ne connaissent pas, fait la une des journaux et cela me paraissait très orienté.
C’est un texte à relire car il faut bien admettre que ce n’est pas simple mais les mensonges perpétrés par les médias doivent absolument être démasqués.
Merci encore.
@Rico , je pense que votre affirmation est contraire à la réalité, ce ne sont pas les acquisitions de terres qui sont à l’origine des conflits mais les différences religieuses qui créent des tensions entre les peuples; c’est pourquoi les Arabo-musulmans de Palestine veulent chasser les Juifs d’Israël en prétendant que ces derniers occupent indument leur terre ; or, c’est inexact puisque ce sont les Arabes qui ont envahi la Palestine au 7ème siècle ; en réalité, les Arabes ne peuvent pas supporter la présence des Juifs et la preuve c’est que le Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud ABBAS et le Mufti de la mosquée de Jérusalem ont dit que les Juifs salissent avec leurs pieds la ville de Jérusalem; on ne peut pas être plus clair sur le fait qu’il s’agit d’un conflit religieux qui est déguisé en conflit territorial.
@ Dany83, j’entends bien vos arguments, mais qu’est-ce que cela prouve ?
Si Abbas et tous les gredins avant lui étaient vraiment motivés de convictions purement “religieuses”, la logique voudrait qu’ils aillent élire domicile au plus près de la Mecque, non ?
Les Arabes n’ont pas envahi la Palestine au 7° siècle. Il ne s’y trouvait que quelques petites tribus de bédouins, puis des arabes jordaniens, syriens, et égyptiens sont venus y chercher un peu de travail au 18° et au 19° siècle. Avant 1948 (et jusqu’à aujourd’hui) il n’y a jamais eu d’Etat ni de peuple “palestinien”. Avant 1967, personne ne revendiquait une telle aberration, même pas parmi les grands dirigeants du monde arabe. Après 1967, la Ligue Arabe a constitué de toutes pièces ces “camps de réfugiés”, connaissant son potentiel démographique à terme.
C’est donc bien l’exact contraire: un conflit raciste antisémite et territorial – lancé par des pseudo “palestiniens” – déguisé en conflit religieux, ou du moins présenté comme cela par les médias de tous bords. Car dans la pratique, il s’agit pour ces “palestiniens” de faire perdurer au maximum les avantages financiers de cette situation conflictuelle, et cette orgie durera aussi longtemps que l’ONU et l’UE leur font cadeau de ces masses d’aides “humanitaires” destinées à ces “réfugiés” imaginaires (mais qui terminent leur course dans un immonde circuit de corruption palestinien). Qui refuserait un tel magot ? Comment Arafat et sa femme Souha ont-ils pu engranger autant de centaines de millions ? Raison pour laquelle TOUS les accords et pourparlers sont systématiquement rejetés en bloc par cette “autorité palestinienne” (Camp David, les Accords d’Oslo, le PM israélien Ehud Barak qui accéda à 95% de leurs exigences…) car toute reculade signerait instantanément la fin de leur pactole.
Comme quoi… la religion, certains la servent. D’autre s’en servent.
Je m’en fous, de ces Rohin…machins. Imprononçable en plus. Qu’ils se dém..dent seuls, ça suffit les pleurnicheries de terroristes réels ou en puissance.
Ras le bol de ces médias qui essaient de culpabiliser notre monde libre.
Cela me rappelle la manip médiatique mondiale de la photo bien arrangée d’ailleurs du gamin échoué sur une plage. Ne pas compter sur moi pour adhérer à cela.
D’habitude ce sont les musulmans qui exterminent les populations indigènes Boudhistes, juives et chrétiennes ; pour une fois que c’est le contraire, ils en font toute une histoire ! ça servira de leçon aux musulmans qui saurons désormais que lorsqu’ on sème le vent, on récolte la tempête !
Il n’est pas question d’extermination dans l’affaire des rohingyas. Ces termes “extermination” et “génocide” sont savamment utilisés par les médias d’une manière extrêmement fallacieuse alors qu’ils n’y a pas la moindre extermination ni le moindre génocide dans cette affaire. Il y a seulement rejet hors des frontières !
Dany, Je ne peux pas vous suivre dans votre raisonnement! Ce n’est pas parce que l’islam est coupable de bien des crimes qu’il faut se comporter comme eux!
“Ce n’est pas parce que l’islam est coupable de bien des crimes qu’il faut se comporter comme eux!”
Ah, alors on leur offre des fleurs et des nounours alors qu’ils ont monté par eux même une organisation terroriste muzz pour prétendument se défendre !!! On devrait jouer les Daladier/Chamberlain ????
Foutaise que tout cela. Il faudrait plusieurs Guantanamo sur cette planète pour mettre ces terroristes hors d’état de nuire, où qu’ils soient. Notre liberté est en jeu.
Chinook, entre la barbarie et la bisounourserie, il y a de la marge!
Non, nous devons être impitoyables envers l’islam et la muzzerie terroriste. Plus trop le choix maintenant, hors de question de faire preuve d’humanisme envers ces gens là.
D accord avec Dany ,il a tout à fait raison.Les muzz ne comprennent que la manière forte ,fini de tendre la joue face à des criminelles.
Dany83270, je suis absolument de votre avis. Les Musulmans croient qu’ils sont les seuls à détenir le pouvoir de s’attaquer à tout ce qui ne leur correspond pas.
Tactique islamiste: mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose … pour nos médias vendus aux mensonges.
Un musulman est toujours une victime. Toujours une victime. Toujours C’est écrit dans le coran.
Les muzz Lagaffe sont toujours victimes et jamais coupables.
Merci Jean ! Un grand merci pour cet article qui remet les choses en place et permet aux lecteurs de Dreuz de comprendre que le bouddhisme n’a rien à voir avec l’image colportée par les médias occidentaux dans cette affaire des Rohingyas. Nous les bouddhistes avons, comme toute autre population, le droit de nous défendre contre un agresseur ou contre un envahisseur. Ce droit est dans la nature humaine depuis le paléolithique et restera toujours dans la nature humaine pour une raison qui est légitime. Ce qui nous est interdit à nous bouddhistes (disons plutôt ce que nous nous interdisons) c’est de créer nous-même le mal. Eviter de créer le mal, la souffrance, et de l’entretenir est le fondement même du bouddhisme, avec pour corollaire de chercher toute sa vie à éteindre le mal, la souffrance, en réfléchissant à ses racines. Depuis ses origines, les populations bouddhistes ont toujours accueilli à bras grands ouverts les entrées de groupes pacifistes sur les terres de leurs ancêtres mais n’ont jamais accepté l’entrée de groupes belliqueux. Parce qu’accepter l’entrée ou le maintien de groupes belliqueux serait porter nous-même une part de responsabilité dans la mise en péril de la paix civile présente mais aussi dans la mise en péril de la garantie de la paix civile future, celle de nos enfants et des générations suivantes. Ne pas lutter contre ces populations belliqueuses amènerait donc à nous rendre complice de leurs actes envers nos générations futures. Et c’est justement aussi le problème qui se présente aujourd’hui aux populations de l’Occident avec l’invasion musulmane, son intolérance envers le mode de vie des populations occidentales séculaires, et son but totalitaire planétaire qui ne laisse à l’individu ni le droit de penser librement ni d’évoluer, l’Islam prônant à la fois le déterminisme absolu (“tout est décidé par Allah”) et l’interdiction d’évoluer (“tout doit être vécu tel que le Coran incréé l’indique, le monde étant sensé être devenu parfait donc n’ayant plus à changer une fois entré dans la loi mahométane”).
Et votre article rejoint donc entièrement le long commentaire que j’avais fait il y a quelques jours sur les rohingyas mais de façon plus résumée que vous le faites ici.
Avec toute ma gratitude,
Albert
Bouddhiste franco-chinois et chrétien
@ AlbertGam :
Félicitation pour votre clarté de vue et pour votre statut de Bouddhiste chrétien ou de Chrétien bouddhiste, ces deux concepts n’étant pas incompatibles, mais bien complémentaires, le bouddhisme ayant précédé le christianisme dans la sagesse d’être en règle avec Dieu.
Le bouddhisme nous indique comment faire un beau bouquet de fleurs, le christianisme nous offre le plus beau bouquet qui soit. Tous deux cheminent dans la bonne direction. Courage!
P.S. : On n’a pas fait autant d’histoire avec les Azidies chrétiens pacifiques comme par hasard : il faut qu’on ait pitié des envahisseurs musulmans malintentionnés.
À quoi on joue-là?
Erratum : Azidies = Yezedis – (Merci à Jam Buty ci-dessous)
Pas de souci, Alain. Mentalement la correction était claire et spontanée dès la lecture. Ca me paraissait une évidence.
Amicalement !
Je me joins aux nombreuses félicitations que suscite votre article , néanmoins concernant les événements de 2012 , je rappelle comment Obama était intervenu via l’Onu pour exiger l’ouverture d’ un bureau de l’Organisation de Coopération Islamique qui sous couvert d’ observation aurait facilité la sécession de la province d’ Arakan ( Rakhine ) puis empoissonné tout le reste du pays en cherchant à l’islamisé par la propagande et la terreur .
Les moines se sont soulevés ont martelé les rues, Obamerde et ses Frère Musulmans ont dû alors reculer.
Il ne faut pas négliger non plus l’ appui de la Chine au gouvernement Birman devant ce nouvel assaut des sbires de l’Islam . La Chine fût longtemps bouddhiste et maintenant avec la venue d’un certain « libéralisme » nombreux sont en Chine qui pratiquent ouvertement le Bouddhisme , le Confucianisme et le Taoïsme .
Contrairement à l’Occident qui a laissé crucifier les chrétiens du Moyen Orient par les musulmans , faut s’attendre à une toute réponse de la part de la Chine et des bouddhistes de Birmanie . D’ ailleurs le bouddhisme traditionnel en Chine était proche de celui pratiqué aujourd’ hui par les Birmans
Quant à cet autre valet «Pontifical » des musulmans, le Dalai Lama le pote à Tariq Ramadan il n’ aucune autorité , surtout pas religieuse en Birmanie; malgré certaines ouvertures les pratiquants du Hīnayāna une forme plus ancienne et traditionnelle , sont fermés au bouddhisme tibétain surreprésenté en occident .
D’être soumis à l’islam n’est pas le seul écueil rencontré dans les infinies profondeurs de ce proclamé Océan de Sagesse , ce type est responsable de la mort de centaines de disciples de la doctrine de Dorjé Soughden qu’il a désigné à la vindicte des autres bouddhistes tibétains , alors il devrait se la fermer et garder pour lui ses protestations humanitaires .
Un jour , un jour , l’Islam maudit sera vaincu et détruit par tous les peuples qu’il veut asservir et ce jour là , ce jour là . On ira TOUS pisser Place Kaaba .
MErci pour cette mise au point. Mais quand vous dites que la presse se range toujours du côté des victimes, je rajouterais, qu’elle se range toujours du côté de l’islam… Autrement, on aurait entendu parler des Yezedis…
Autres remarques:
-L’Empire colonial britannique comme en Palestine a donc favorisé les populations musulmanes.
-Il y a eu, il y a qques jours, une manifestation monstre (1 million de personnes! 1 million de musulmans faudrait plutôt dire, car ils ne manifestent pas pour d’autres!) à Grozsny en faveur des Royngas.
-Il y a une pétition populaire qui demande de retirer le prix Nobel de la paix à la présidente Aung San Suu Kyi. Quelle honte! Comment peut-on contester qu’elle s’est opposée à la junte birmane.
@Jam
1-la presse se range toujours du côté des “victimes” celles qu’elle choisit bien sur
Les Yazidis d’Irak ont été abandonnés à leur sort tragique …par l’occident, l’onu.
2-“L’Empire colonial britannique comme en Palestine a donc favorisé les populations musulmanes”. OUI OUI ET OUI
70% de la palestine sous mandat britanique a été donnée aux arabes. Les juifs ont été volés
3-vous dites”Il y a une pétition populaire qui demande de retirer le prix Nobel de la paix à la présidente Aung San Suu Kyi. ” et alors?
Arafat responsable de centaines de meurtres de juifs a eu le prix nobel après ses crimes, lui a t on retiré le prix nobel ( du terrorisme)?
Jean Vercors, J’ai bien lu votre réponse. Merci.
Mise au point opportune et salutaire en ces temps médiatiques.
Voilà ce qu’on attend d’un journalisme d’information.
Merci Monsieur Vercors.
Encore un pays qui a des problèmes avec la religion d’amour.
Merci pour cette enquête , Jean Vercors.
On se doutait bien que l’information était tronquée et déformée par ceux qui la “couvrent”. Mais vous nous apportez des faits.
De toutes façons, ma conviction est faite: partout où ça chauffe sur la terre, il y a le projet de domination musulmane, dessous.
Très bon article ! Mais on revient toujours à cette même constatation : partout où les musulmans décident de planter leurs tentes, les problèmes communautaires commencent et le bien-être de la population autochtone diminue à mesure que leur démographie augmente !
J’avais visionné il y a quelques années une vidéo sur des expéditions punitives de ces RohinMachins sur des villages boudhistes!
j’accepte la critique mais je serai honnête …. les muzz ont menti si souvent que je ne veux rien savoir + j’ai des amis Boudhiste qui sont des amours donc lorsqu’ils décident d’être faché alors pour moi c’est justifié
Partout où la secte à momo se trouve ou s’installe, c’est le bordel.
Donc, Monsieur, l’on nous fait le coup des “réfugiés” mahométans ( Rohingyas)
jusqu’en Birmanie. Il ne manquait plus que ça aux Bouddhistes birmans qui
sortent d’une longue et sombre période de dictature.
J’entends toutes les pressions qui s’exercent sur Aung San Suu Kyi, pour
jouer sur sa compassion, et ouvrir son pays à une islamisation fatale.
J’espère qu’elle ne cèdera pas: la Birmanie disparaîtrait.
Son patrimoine culturel unique serait évidemment en danger: le dynamitage
des Bouddhas de Bamyan, sans que l’Unesco n’intervienne, ni les nations libres,
doit rester dans toutes les mémoires.
Les Rohingyas ont toute leur place au Pakistan, au Bangladesh, en Arabie
saoudite ( ce dernier pays , richissime et spacieux, a toutes les capacités d’accueil
de ces populations qu’elle semble soutenir).
@Blum, merci d’avoir rappeler ce point “le dynamitage
des Bouddhas de Bamyan, sans que l’Unesco n’intervienne, ni les nations libres,
doit rester dans toutes les mémoires.”
Au Bangladesh, la persécution des tribus indigènes des Chittagong Hill telles que les Chakma, Marma, Tripura et d’autres qui sont principalement des Bouddhistes, des Hindous, des Chrétiens et des Animistes, a été décrite comme génocide.
Combien de monastères boudhistes ont été détruits lors des conquêtes de l’Islam?
DES CENTAINES et combien de Boudhistes ont été tués pas la religion de la paix depuis? DES CENTAINES DE MILLIERS .
voici un échantillion des persécutions qu’ont subis les boudhistes (en anglais )
Qutaybah ibn Muslim, the Arab general of Khorasan conquered a number of territories in Central Asia including Samarkand where he broke a number of images.[48] Several instances of Buddhist shrines being destroyed by the advancing Muslims are recorded though the religion continued to survive in some places for considerable time. Bertolf Spuler cites writings of Narshakhi while stating that residents of Bukhara had reconverted from Islam to Buddhism from Islam to Buddhism four times until it was conquered by Qutayba in 712-13. A mosque in the city was built in place of a Buddhist monastery. Buddhists continued to live there until the tenth century. Similarly it continued to exist in other places like Old Bukhara, Simingan in southern Tukharistan, Bamiyan and Kabul with suburbs inhabited by “Indians” also home to Buddhists. The religion could no longer develop as a power, use propaganda and had to abandon the conversion of peoples in these regions.[49] Scholars like Richard Nelson Frye have doubted the story of Marshaki, pointing out that unlike its statement, Qutayba ibn Muslim didn’t live at the time of Umayyad Caliph Mu’awiya, as this story suggested, but rather much much later.[50] In addition to discrimination, emigration, conversion of the laity, Buddhism and its monastries also declined with the Muslims taking over the trade along the Silk Road and Sindh.[51][52][53]
During their conquest of Sindh, the Arabs brought the non-Muslims into the category of ahl al-kitab, being considered ahl al-dhimmah (protected subjects) and thus given certain amount of non-interference in their religion in return for fulfilling a number of obligations under the status. Since both Buddhism and Hinduism were literate religions with scriptures, the precedent of assimilation of Zoroastrians into category of ahl al-kitab were extended to them as well. The dhimmis were obligated to pay jizya for following their ancestral religion. The historian Al-Baladhuri notes a decision of Muhammad bin Qasim in relation to a Buddhist vihara and Aror that after conquering the city through a treaty (sulh) he agreed not to kill the people and enter their temple, in addition to imposing kharaj on them.[54] The Buddhists had petitioned the Arabs for restore one of their temples and this was granted by Al-Hajjaj ibn Yusuf. This decision was however in violation to the later Pact of Umar and subsequent Muslim law codes which prohibited restoring non-Muslim religious structures or building new ones. Buddhist inscriptions are recorded in eleventh century.[53] Some Buddhists also fled and emigrated from Muslim-ruled areas into other regions. Buddhism unlike Brahmanical worship rapidly declined after eighth century in Sindh and virtually disappeared by the eleventh century.[53][52]
The Arabs conquered Balkh which was a centre of Buddhism. Many people in Balkh were sympathetic to the religion after the conquest and were harshly denounced by the orthodoxy.[55] The Buddhist monastery of Nava Vihara which had become a symbol of national resistance was damaged under Muawiyah I in 663.[56] The Arabs allowed the non-Muslims to practice their religion as long as they paid the poll-tax called jizya.[57] In addition to the destruction of the Buddhist temple, part of the old city was destroyed as well during the Arab conquest.[58] Nava Vihara continued to remain open according to historical accounts.[57] Many other viharas along with it in Central Asia also evidently continued to function for at least a century after the Arab conquests.[59] Al-Biruni records the existence of the religion and its monastries in early eleventh century.[53] The eighth-century Korean traveller Hui’Chao records Hinayanists in Balkh under Arab rule.[60] The city was reduced to ruins by 705 as a result of frequent revolts.[61]
It is visible from some copper-plate inscriptions that some Buddhists had moved to other domains.[53] In Afghanistan, Buddhism existed until the twelfth century under Ghurid dynasty. The Caliph al-Ma’mun declared a jihad against the alliance of king of Kabul, Tibet and other anti-Abbasid rebels. Al-Ma’mun made the kings of Kabul and Tibet convert, with the latter being made to send a golden Buddha statue to Mecca as a token of submission. The Abbasids had forced the leaders of the lands to convert. The later Saffarid dynasty plundered Buddhist monastries in Kabul Valley and Bamiyan during their conquests.[57] The Saffarids had sent looted Buddhist and Hindu icons to Abbasids as gifts.[62] The succeeding dynasties tolerated Buddhism. Mahmud of Ghazni plundered Hindu temples and Buddhist monastries in his invasions, but left those in Bactria and Kabul alone. The Mongol Ilkhanate alternated in support for Tibetan Buddhism and Islam. Ghazan reinstated Islam as official religion in the Ilkhanate.[57] He called on Buddhists to convert or leave the Ilkhanate and ordered their temples destroyed, but later adopted a slightly less severe position.[63] Though he had earlier supported their persecution as well as that of other non-Muslims, his religious policies changed after the death of Nowruz with punishment for perpetrators of religious intolerance and attempts at restoring relations with non-Muslims.[64] Although the religion survived there,[65][66] it never recovered from the assault by Ghazan.[67]
Merci , Monsieur, pour votre réponse, et pour l’extrait que vous joignez, en anglais, sur
l’entreprise constante d’éradication des autres cultures, par l’islam qui, visiblement,
ne peut exister que sur les ruines des civilisations qu’il efface de la terre.
La civilisation du Gandhara, qui a couvert de vastes régions, de l’Afghanistan
au Pakistan actuel et à l’Inde du Nord, a été rayée dès l’arrivée de l’islam.
J’entendais, ce soir, le PDG de l’AFP, sur radio classique, de 18 à 19h, parler de l’info.
et entre autres, avec des trémolos dans la voix, de la couverture de l’histoire des
Rohyngyas.
La propagande, là encore, est bien orchestrée.
Du nouveau. Et cette fois… devant l’évidence (mais avec réticence et suspicion) le journal 20 Minutes sort momentanément de son conformisme pro-Rohingyas:
Birmanie: Découverte d’une fosse commune avec 28 hindous tués par des terroristes rohingyas
http://www.20minutes.fr/monde/2138563-20170924-birmanie-decouverte-fosse-commune-28-hindous-tues-terroristes-rohingyas
Cher Albert, et ça vous étonnes? Merci quand-même pour l’info!
Du nouveau sur ce charnier. 17 nouveaux corps trouvés au même endroit.
http://www.bfmtv.com/international/fosses-communes-en-birmanie-17-autres-corps-decouverts-1263855.html
Ce qui si je compte bien fait pour le moment 28+17=45 corps trouvés.
Par ailleurs le Bangladesh semble devenir désormais très conscient qu’il y a un vrai problème de sécurité avec les rohingyas :
http://www.dhnet.be/dernieres-depeches/afp/le-bangladesh-impose-un-blackout-telephonique-aux-refugies-rohingyas-59c77c37cd70129e4187bce5
Comme quoi… peu à peu la vérité apparaît.
Oui. Je suis étonné.
Je connais l’histoire des rohingyas et leur terrorisme, donc ce n’est pas ça qui me surprend. Ce qui me surprend c’est qu’un journal de la bien-pensance (du moins un de ses rédacteurs) commence enfin à ouvrir (du moins entrouvrir vu le ton suspicieux du texte) les yeux sur la vérité.
Ouf, je me sens mieux! En tout cas, cher Albert, vous méritez sur Dreuz, par vos recherches approfondies le titre de gloire de “fouille merde”. Avec toute notre reconnaissance.
Je suis très honoré de ce titre merveilleux, en toute humilité, gigobleu. Et je souhaite le partager avec quelques autres contributeurs et rédacteurs qui ont assurément le même mérite, voire un plus grand encore, et qui deviennent peu à peu des amis tant nous partageons à la fois les mêmes pensées, la même soif de connaissance… et le même goût pour un humour dont nous ne devrons jamais nous départir tant qu’il nous restera encore un souffle de vie.
“La gloire de Dieu ne repose pas sur un homme triste” écrivait Rabbi Eléazar, et bien que j’aie connu cette sentence que fort tard, je l’avais toujours fait mienne “depuis la nuit où j’ai vu le jour” il y a de cela 58 printemps (bien que je sois né en automne).
L’humour est une arme terrible. Une arme terrible de défense contre la dépression qui peut nous guetter dans la société de plus en plus sordide dans laquelle nous vivons, mais aussi une arme terrible de défense pour combattre les idéologies les plus déprimantes et les plus mortifères qu’est capable de produire l’humanité quand elle vit encore dans le mal et dans le refus ou l’ignorance du bien.
Mais le savoir et la connaissance sont aussi des armes terribles. Des armes terribles de stratégie, de tactique, et d’attaque. Le savoir est très important, notamment quand il s’appuie sur l’enseignement des leçons de l’expérience de ceux qui nous ont précédé dans le passé ou de ceux qui en savent plus que nous dans tel ou tel domaine d’aujourd’hui. Mais le savoir n’est rien sans la connaissance, c’est à dire sans la mise en expérience personnelle de ce savoir acquis et les leçons qu’on tire de cette expérience personnelle pour faire fi des dangers que pose l’ennemi, combattre l’ennemi (y compris le pire de tous, notre ennemi intérieur), et mener à bien le but de notre vie, notre évolution sur le chemin.
Notre pire ennemi, oui, c’est notre ennemi intérieur, celui qui se manifeste par des illusions, des mauvaises estimations des autres et de soi, et des actes négatifs… et qui sont les pires obstacles pour progresser sur notre chemin. Ce n’est pas pour rien que les sept péchés capitaux, les sept “vices” identifiés par Thomas d’Aquin, sont aussi appelés “péchés mortels” (dont nous avons un peu l’équivalent dans le bouddhisme sous la dénomination des “trois poisons” qui sont “l’ignorance par refus d’apprendre”, “le désir qui mène à l’attachement vain et à la frustration”, et “l’abandon aux émotions négatives que sont la colère, la méchanceté et la rancune”).
Alors apprenons, expérimentons, ne faisons jamais de mal aux autres (sauf pour nous défendre ou pour défendre nos semblables), combattons nos illusions mentales, utilisons l’arme la plus redoutable qui est l’intelligence, et n’oublions pas notre bouclier protecteur le plus efficace pour garder toute notre vie un esprit positif et ne s’écartant jamais du cap fixé dans cette vie faite d’obstacles qui peuvent parfois nous paraître insurmontables, cet extraordinaire bouclier protecteur de l’âme qu’est… l’humour.
… A propos de nos ennemis intérieurs il y a surtout notre égoïsme dont voici une belle définition: L’égoïste, c’est celui qui ne pense pas à moi.
Au plaisir de nouveaux échanges fructueux et, pourquoi pas, humoristiques.
@ AlbertGam. Poursuivant la réflexion que vous soulevez au sujet des sept péchés capitaux, j’ai relu à l’instant quelques versets de l’Épître de Paul aux Galates, chapitre 5, versets 16 à 26 dans lesquels nous retrouvons tous les péchés capitaux repris par Thomas d’Aquin mais également le remède préconisé par l’Apôtre Paul. Leur lecture fait du bien et apporte de la fraîcheur à l’âme du chrétien que je suis. Bonne journée,
@ Gérard
Précisément. Cette culture basée sur le droit de mentir, de voler et de tuer pour faire triompher Allah représente bien ces miasmes d’humanité rudimentaire et sous-développée à tous les points de vue et dont l’humanité devra se départir pour continuer à évoluer dans le bon sens : leur islam les condamne à la stagnation contraire à l’évolution présente dans toute la Création.
Mais il y a tant d’humains qui vivent gras comme de cochons en se nourrissant de mensonges… et dont la seule générosité consiste à partager leurs mensonges et à s’en repaître mutuellement qu’il faudrait que Dieu vienne en personne rétablir la vérité.
Que restera-t-il de notre monde s’il faut lui appliquer une “chimio” pour le sauver?
De toute ma vie je n’ai jamais vu de ” Feu sans Fumée ”
Les Birmans ont raison de refuser d’alimenter le ” FEU ” ……..en retirant le Bois qui sert de combustible……
Eux au moins savent combattre le FEU et surtout l’ÉTEINDRE…….
Dites moi , si l’Arabie Saoudite est bien toujours actuellement à la présidence de l’ONU ? L’Unesco a failli voir le Quatar se faire élire à la présidence, c’est Mme Azoulay qui l’a remporté . Peut on croire que le “la “ne soit pas donné avec une certaine orientation ?
Ce n’est pas à la Présidence de l’ONU que l’Arabie Saoudite était nommée.
Le 12 juin 2015, Faisal bin Hassan Trad, l’Ambassadeur d’Arabie Saoudite auprès de l’ONU, avait été nommé à la tête du groupe consultatif chargé de réaliser les auditions des candidats pour les postes de “rapporteur spécial” des différents rapports du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
http://www.ohchr.org/Documents/HRBodies/SP/CallApplications/HRC29/ReportCG_HRC29.pdf
Cela avait provoqué un tollé (justifié). Car voir un tel personnage prendre la tête du groupe qui choisit les rapporteurs en matière de droits de l’homme à l’ONU était franchement ignoble.
Mais ça n’est pas du tout la même chose que prendre la présidence du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU (déjà lourdement décrédibilisé plusieurs fois dans le passé) et encore moins la présidence de l’ONU lui-même.
L’ONU a d’ailleurs fait bien pire. Car cet ambassadeur saoudien avait un poste de tête d’un groupe, certes, et sur les droits de l’homme, certes… mais c’est oublier (et ça les médias se gardent bien de le mettre en lumière) que le Haut-Commissariat des Nations unies aux Droits de l’Homme lui-même est présidé depuis septembre 2014… par le jordanien Zeid Ra’ad Zeid Al-Hussein! Et sans même parler du choix bizarre de la Jordanie au Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme (une des cinq plus hautes instances de l’ONU) il n’est lui-même pas un enfant de choeur ! Il est d’ailleurs mis nommément en cause par deux autres hauts-fonctionnaires de l’ONU pour un comportement plus qu’étrange dans le blocage d’un rapport sur des sévices sexuels de la part de militaires de l’ONU sur des enfants en Centrafrique.
Depuis 2005 , malgré le refus des médias occidentaux d’évoquer l’idée , moi je constate que partout dans le monde à l’exception peut-être de L’Amérique latine, des conflits violents naissent là où une majorité musulmane existe, mais aussi là où une minorité réside ; Philippines , Birmanie , Ouigours de Chine, Bali , Canada, USA etc.. Je ne parlerais pas de l’ex-Yougoslavie , et des républiques d’Asie centrale ex URSS . Est-ce un hasard ? Ou cela s’appelle jouer aux cons en reprenant ce que les communistes savaient très bien faire . Il serait bon de nous rafraichir une mémoire historique “globale “. Après tout qui a dit que nous étions en guerre ?
L’Amérique Latine n’est pas épargnée. Voyez qui est le vice-résident du Venezuela et son activisme islamique. Je vous mets sa page Wikipedia qui est déjà explicite, mais vous trouverez encore bien d’autres informations sur lui ailleurs :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tareck_El_Aissami