Le petit livre de Claude Allègre, L’imposture climatique
*, © Plon, 2010, a fait sensation. Il évoque « une conspiration, mêlant (fausse) science et politique, qui s’est imposée aux médias« . De notre point de vue, c’est au contraire la propagande de la ploutocratie médiatique qui manipule les esprits pour influencer l’opinion.
*, © Plon, 2010, a fait sensation. Il évoque « une conspiration, mêlant (fausse) science et politique, qui s’est imposée aux médias« . De notre point de vue, c’est au contraire la propagande de la ploutocratie médiatique qui manipule les esprits pour influencer l’opinion. La 4 ème de couverture indique que Claude Allègre nous révèle « comment des ambitions (faussement) scientifiques et politiques se sont appuyées sur des intérêts financiers et sur une (république et des médias composés de médiocres) en manque de légitimation pour alimenter (un climat de) peur et de culpabilité… »
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Et si la propagande politico-scientifique habituelle de la ploutocratie médiatique n’était qu’un mythe ?
Lu sur dreuz.info :
« Tempête Harvey : les activistes du climat poussent leur idéologie. » @AnnCoulter : « Je ne pense pas que la tempête Harvey soit une punition de Dieu car la maire de Houston est lesbienne ». Mais c’est plus crédible que le « changement climatique ». Et les activistes, indifférents à la tragédie, avancent les théories les plus fumeuses pour connecter la tempête Harvey au réchauffement climatique et espérer faire avancer leur cause sur les cadavres. Sauf que les ouragans de cette violence ne sont pas nouveaux, et ils datent de bien avant que le CO2 soit relâché dans l’atmosphère… Ils comptent sur la crédulité de ceux qui n’iront pas vérifier pour affirmer que « c’est un ouragan d’une intensité que les États-Unis n’ont jamais vu », causé par « que vous l’acceptiez ou pas, le réchauffement global. La planète se réchauffe, la température des océans monte, la calotte glaciaire fond et toutes les données de la (pseudo-)science du changement climatique indiquent que des situations extrêmes sont les conséquences inévitables ». Et pour dissuader ceux qui voudraient redonner à la science sa place, à savoir que seul le doute permet de valider une théorie scientifique, ils martèlent cet argument scientifiquement indestructible (sic) : « Il n’existe aucun autre moyen de comprendre ce qui se passe à Houston. » Les écolos-dictateurs affirment que les mers du golfe du Mexique étaient « peut-être » plus chaudes que d’habitude. » © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Les inventeurs des mystifications médiatiques sont pour la plupart des journaleux pseudo-intellectuels médiocres. Ils sont ceux, dont on peut dire sans prendre le risque de se tromper, qu’ils sont encouragés par la paresse, une paresse mentale indécrottable, et une propension naturelle au parasitisme.
N’importe quel journaliste au service des mystifications médiatiques écrit des articles mensongers. Il écrit sur ce qu’il ne comprend pas, généralement dans un langage pseudo-scientifique obscur. Il se livre à une tâche de propagande facile. Ensuite, une quantité de bavards insignifiants vont commenter en boucle à la télé ce que le journaliste aurait voulu écrire. C’est l’occasion pour ces pseudo-intellectuels médiocres de gagner leur vie en vendant du vide. Tous ces gens insignifiants n’ont aucune chance d’approcher jamais la vérité.
On comprend que bien des années vont s’écouler avant qu’un journaliste obscur pense à regarder la réalité telle qu’elle est, avec un souci de vérité et d’objectivité. Il est donc plus facile de refuser de décrire la réalité, en répétant toutes sortes d’idées préconçues, véhiculées par la propagande réchauffiste. La plupart des mensonges relatifs aux problèmes de climat visent à influencer le comportement des gens.
Pour influencer le comportement des gens, on peut recourir à la propagande directe, comme avec la publicité. Pour atteindre cet objectif, la publicité doit susciter des sentiments conformes au but recherché. Elle doit inculquer des croyances relatives aux « qualités supposées des produits » qui sont mis à la disposition des consommateurs. La promotion des ventes, par la publicité, incitera les gens à satisfaire des désirs inventés. [NDR mais si le produit ne délivre pas ses promesses, aucune campagne ne le fera racheter]
L’imposture médiatique avec la propagande Obama-réchauffiste doit inciter les gens à se comporter « en conformité » avec la propagande. Le but est de pouvoir manipuler le comportement humain, sans passion et dans un but utilitaire immédiat. Aussi, ces journalistes pseudo-intellectuels, les idiots utiles de la propagande réchauffiste, n’ont pas pour objectif d’observer, d’analyser et de comprendre la réalité. Pour les journalistes, la publicité offre un bon exemple des techniques d’influence très efficaces sur les comportements humains. La propagande réchauffiste doit agir autrement que la vieille méthode, plus directe, de la carotte et du bâton.
Il s’agit d’abord d’une misérable ambition commerciale : il faut vendre et faire vendre les technologies fumeuses anti-réchauffistes à grands frais et faire renouveler des machines saines et performantes !
Aujourd’hui, c’est « l’information des médias » qui introduit subrepticement les opinions imposées par la propagande. C’est pourquoi on parle de techniques d’intoxication et de désinformation. L’information officielle frelatée de type CNN pro-Clinton-Obama anti-Trump a fait long feu, livrée par tous les JT, sur toutes les télés, se résume à faire la propagande. Les méthodes de désinformation utilisent subrepticement des techniques de manipulation mentale des consciences, déguisées en information soi-disant officielle.
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J’ai bien compris le processus utilisé par les réchauffistes pour leur propagande. Il est de la même veine que celui des nazis ou des bolcheviks. Il n’y a donc rien de nouveau sous le soleil.
J’aurais aimé, en revanche, une explication sur la cause de l’existence de tels ouragans à un rythme aussi soutenu que ce que nous voyons aujourd’hui (Harvey, Irma, José, Katia… en attendant les suivants).
Toujours est-il que les chinois, les indiens et les allemands, pour ne citer qu’eux, continuent à brûler du charbon….. et ça ne gêne personne chez les écolos !!!!
Oliange: ne tombez pas de le panneau. Les ouragans ont toujours fait parti de la vie dans les Caraïbes et l’ouest atlantique. https://coast.noaa.gov/hurricanes/ C’est l’inverse qui est vrai ; à savoir, comment se fait il qu’on ait eu une telle période d’accalmie? depuis ouragan Wilma en 2006… presque rien ne nous a inquiété en Floride.
Vous devriez visiter le lien ci dessus. Depuis 1851, il n’y a pas un centimetre du literal sud est américain qui na pas été dévasté plusieurs fois par de multiples ouragans. Vous pouvez aussi faire des recherches plus localisées sur ce lien : par exemple « search » State of Florida.
Ceci dit, je vous laisse afin de finir les préparatifs avant l’arrivée d’ouragan Irma.
Wish us good luck, we’ll need it!
@Annika, je vous souhaite bonne chance et courage face à l’epreuve qui se prépare .God bless America.
Merci Michel, de tout coeur.
À Oliange
Les tempêtes et les ouragans, les sécheresses et les innondations, les périodes glaciales et les canicules, tout ceci a toujours existé au rythme où le système solaire le décide, à côté duquel l’Homme n’est pas le centième d’une demi fourmi.
La seule chose totalement nouvelle, ce sont les journaux et les chaînes d’infos qui nous rabâchent en boucle ces tempêtes – dont la récurrence n’est pas exceptionnelle – en mode bourrage de cerveaux.
Que tous les journalistes se mettent au chômage, comme ça il y aura moins d’activité humaine coupable des ardeurs du soleil.
A propos de tempêtes, j’aimerais connaitre la position de DREUZ et de ses lecteurs sur la battage merdiatique autour de la désolation de Saint Barth
Cette ile d’une dizaine de milliers d’habitants a demandé à sortir du giron de ces « sans dents » de Guadeloupéens pour obtenir le statut privilégié de « collectivité d’outre mer », dispensant ainsi ses riches résidents de l’impot (sur la fortune et sur le revenu et d’autres peut etre, dont la CSG.. ?)
Les peoples comme le sobre Johnny, les très écologiques Cousteau, le pacifique Abramovitch, la peformante Alessandra Sublet, la « superbe » Beyoncé et puis Laurence Parisot, Bille Gates, Warren Buffet, Spliberg, Murdock, Rothschild… le liste est longue de ces « pauvre gens » qui « ont tout perdu dans le cyclone…
Moi, je me marre !!! (suis-je cruel de n’avoir aucune compassion, Monsieur l’Abbé ?)
Quand je pense que l’état met tout en œuvre pour aller aider ces « pauvre gens » de Saint Bath, eux qui sont des évadés fiscaux, et qui sont très loin d’avoir tout perdu, je me demande de qui on se moque.
Commençons par leur faire payer l’impot et ensuite, on verra si l’état doit les aider…. ou pas.
(mon propos ne concerne pas Saint Martin, que je connais également et dont la population est bien plus composite)
Pauvres gens riches !
Le premier milliardaire qui a acheté une propriété à Saint Barthélemy : David Rockefeller , en 1957 ; ensuite , beaucoup d’autres l’ont imité (Wikipedia) .
http://www.cabinet-roche.com/fr/saint-barthelemy-une-ile-a-la-fiscalite-de-reve/
https://www.monde-diplomatique.fr/2006/01/CHAUVIN/13141
ce qui m’exaspère dans ces circonstances catastrophiques des îles bienheureuses à milliardaires, c’est qu’on en entend parler exclusivement pendant ces catastrophes mais, jamais pendant que ça ronronne de partout, lorsque les touristes sont là, que le business fonctionne, que les pauvres déjà nourris aux allocations de métropole, bricolent ici et là dans les hôtels, résidences luxueuses et finalement ne vivent pas si mal dans leurs maisons aux toits de tôle ondulée ; aujourd’hui, j’entends que l’on sollicite la solidarité nationale pour ces populations qui n’ont plus de maisons, lesquelles n’étaient pas assurées pour la plupart, faute d’argent……. il semble aussi que, faute d’argent ces maisons ne correspondaient à aucun critère de protection contre les séismes, ouragans et autres calamités historiquement présentes dans ces contrées, que les autorités n’en ont fait respecter aucun de ces critères et que c’est le foutoir total aggravé naturellement par les citoyens charognards pillards, ça commence à bien faire : on asservit en métropole et on laisse faire dans les paradis exotiques et fiscaux ?
Des « îles bienheureuses à milliardaires » ???????
Il n’y a pas que Saint Barth qui va être touché par l’ouragan Irma, Haiti, entre autre, est également sur la trajectoire… (et dans ce cas, tout comme pour la majorité des îles touchées, pour les « milliardaires » et les « pauvres nourris aux allocations de métropole »…)
Ne vous en faites pas pour les palaces des nababs du show-biz. Les assurances sont là pour ça. Et avant la signature, elles prennent en compte ces aléas climatiques, bien connus localement.
Remarquez: Les confrères des médias main stream nous parlent peu de Saint Barth…;
Forcément c’est là qu’ils passent leurs vacances tous frais payés par leur « amis » du showbiz;
Ils ne vont tout de même pas les plaindre quand ils savent ce qu’ils dépensent en une seule journée.
Les « sans dents », tout incultes qu’ils sont, trouveraient cela un peu gros.
Je note un ton acerbe et dépourvu de compassion pour les malheureux résidents de ces régions tropicales sinistrées par un ouragan d’une force maximale – force 5. Une force catastrophique contre laquelle aucun building ne sort indemne – aucun. https://weather.com/news/news/remember-what-hurricane-andrew-did-to-soflo Même dans les régions ‘riches’.
Avec un peu de chance, un building en bêton armé peut résister à un vent de 257 km/h (160 mph), si le toit tient. Ceci suivant les codes de construction floridiens – les codes les plus strictes aux E.U. Au-delà de 257 km/h, rien ne tient.
Ouragan Irma s’est abattu sur nombre de ces îles des caraïbes avec une force de vent a 282 km/h, sans compter les bourrasques de mini-tornades (+ de 300 km/h) qui accompagnent toujours les ouragans. La plupart des îles étant peuplées de gens qui survivent de fiche de paie en fiche de paie, dans des régions sans opportunités, où l’accès aux transports aériens est limité, et où leur survie en cas d’ouragan n’est pas assurée. Il faut plutôt avoir le cœur sec pour s’en moquer.
(Le prix des assurances contre les ouragans étant prohibitif, nombreux sont ceux qui ne sont pas assurés.)
Hier, une émission traitant de l’avancée des traits de côte a fait a rediffusé un reportage concernant l’ immeuble Signal à Soulac .
Ce que les politiques et autres climatologues oublient, c’est que la terre médocaine a été volée à la mer et non le contraire . La mer ne fait que reprendre ses droits . Une grande partie de la pointe de grave a été asséchée par les Hollandais, comme l’île de Noirmoutier .
L’église de Soulac, Notre Dame de la fin des terres a été désensablée . La ville de Soulac n’ occupait pas la superficie actuelle .
Dans l’histoire, la mer a toujours repris sa place .
http://www.sudouest.fr/2013/07/22/sous-les-sables-il-y-a-un-prieure-et-une-eglise-1120932-4626.php
La priorité : protéger les biens matériels, enfin, ce qui en reste …. des riches propriétaires .
Les pillages sont le résultat de quoi ?
Un feu qui couvait depuis longtemps ? La non anticipation des autorités françaises, alors que la force et la dangerosité de cet ouragan étaient connues ? ( pourquoi l’état Néerlandais avait déployé l’armée dans leur partie de l’ île ? )
C dans l’air à l’instant : l’état a anticipé le manque d’eau … :)) ( quel culot ! )
Quant à Haïti … une journaliste commentant un reportage au JT de 20 h sur TF1 , à qualifié le quartier des habitations de fortune de » camp » . Heureusement qu’elle n’a pas dit camping . Pourquoi ne pas dire » bidonville » ?
Encore un mot banni de la novlangue sans doute !
Au fait ! où sont passés les millions d’euros donnés après le tremblement de terre ?
Déjà des demandes d’argent !
Je donnerai à un organisme qui a fait la preuve d’honnêteté . Ni croix rouge, ni fondation de France .
Histoire de Soulac le jeune qui remplace le village ancien, abandonné aux sables . https://fr.wikipedia.org/wiki/Basilique_Notre-Dame-de-la-fin-des-Terres
Bien sûre, je compatis à la souffrance de ces plus pauvres qui ont perdu le peu qu’ils avaient . Les riches, eux, ont perdu le peu de tout ce qu’ils amassent . J’ironise sur les imbécilités des médias tellement pressés de commenter pourvu qu’ils parlent et occupent l’écran et le cerveau de ceux qui les écoutent .