Publié par Hélios d'Alexandrie le 2 octobre 2017

7.781,36 kms séparent Marseille d’Edmonton (Alberta, Canada). Deux villes ayant peu de points en commun, en dehors de leur appartenance à l’Occident infidèle et la présence de musulmans en nombre significatif.

Dans la première un musulman connu de la police a tué deux jeunes femmes à l’arme blanche sur la place publique, dans la seconde, quelques heures plus tôt, un musulman également connu de la police, a fait usage de deux véhicules béliers et d’une arme blanche pour blesser cinq personnes dont un policier. À Marseille le combattant de l’islam a été abattu par un soldat de la patrouille sentinelle, à Edmonton le combattant de l’islam a été arrêté et placé en garde à vue.

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Faits devenus divers, un peu comme les accidents de la route. Vous prenez votre auto pour vous rendre au travail, et sans le vouloir vous faites un grave accident, conséquence: vous êtes blessé grièvement ou vous perdez la vie. De la même façon, vous sortez de chez vous pour faire vos courses ou simplement pour flâner, et tout d’un coup un homme se précipite sur vous armé d’un couteau, il vous poignarde ou bien vous égorge, vous êtes grièvement blessé ou vous perdez la vie. Variante: l’homme au volant de son camion se précipite sur vous, vous renverse et vous écrase, vous êtes grièvement blessé ou vous perdez la vie.

Nous payons le prix de nos “choix de société”, mais alors que dans le premier cas le choix est clair: les gens achètent ou louent des autos dont ils se servent régulièrement, dans le second cas, le “choix de société” est loin d’être évident, il s’agit plutôt d’un choix politique. S’il est normal, qu’en ce qui concerne l’usage intensif des autos, la société assume les conséquences de son choix, il est profondément injuste qu’elle subisse les conséquences d’un choix politique où elle n’y est pour rien.

Il faut éviter à tout prix de parler de la maladie, et surtout il est tabou de parler de ses causes

Il n’y a donc pas lieu de s’étonner que deux villes aussi différentes et aussi distantes l’une de l’autre, subissent les conséquences découlant du même type de politique. De la même façon, il n’y a pas lieu de s’étonner que la réaction des politiciens français et canadiens soit la même: indignation, condamnation du crime, et accent mis sur l’importance de la “cohésion sociale” et sur le refus de l’amalgame. Pas un mot sur le choix politique ni sur l’idéologie religieuse, sans lesquels ses crimes islamiques n’auraient pas eu lieu. Mais le silence sur les vraies causes de ces crimes n’est pas le simple fait des politiciens, les médias, les bien-pensants, les tenants de l’islam politique, le pape actuel, font tout en leur pouvoir pour dévier l’attention des gens. Il faut éviter à tout prix de parler de la maladie, et surtout il est tabou de parler de ses causes. On évite d’accoler le qualificatif islamique au terrorisme, on se limite à parler simplement de terrorisme comme d’un phénomène spontané et gratuit, le symptôme est mis en évidence, mais pas la maladie, on prend acte de la présence de fumée, mais non du feu qui la produit. Et si l’on dénonce dans les termes les plus vifs le symptôme, ce n’est que pour le substituer à la maladie.

Bossuet a dit: “Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes”. Je propose une variante: le Bon Dieu se rit des politiciens et des élites qui déplorent les effets (le terrorisme) dont ils chérissent les causes (eux-mêmes et l’islam). Cela est tellement vrai qu’il y a lieu de penser que l’Occident au grand complet résonne du rire du Bon Dieu.

La conspiration du silence, naguère si utile, semble se métamorphoser en boulet que les responsables doivent désormais traîner

Et ce rire déchire le silence qui entoure la responsabilité des politiciens, des élites et de l’islam, dans la guerre que ce dernier à déclaré à l’Occident. La conspiration du silence, naguère si utile, semble se métamorphoser en boulet que les responsables doivent désormais traîner, et qui semble s’alourdir à chaque acte de guerre islamique.

La conspiration du silence se transforme lentement mais sûrement en preuve de culpabilité. À chaque attaque islamique le voile qui masque les coupables se déchire un peu, ces derniers alarmés tentent par tous les moyens de le raccommoder, mais peine perdue, l’attaque suivante accentue la déchirure; bientôt les coupables ne sauront plus où se cacher.

Apprendre la vérité et l’accepter aura un effet libérateur et énergisant sur les peuples d’Occident

Alors il ne restera aux peuples qu’à prendre acte de la triste réalité: leur système démocratique a été perverti, ceux qui avaient pour tâche de veiller à leur sécurité et préserver leur culture, les ont trahis. Apprendre la vérité et l’accepter aura un effet libérateur et énergisant sur les peuples d’Occident, à partir de cet instant rien ni personne ne les empêchera de prendre en main leur destin.

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