Non, il ne faudra pas nécessairement «investir dans l’économie française» pour ne plus être soumis à l’ISF
INTOX. L’impôt sur la fortune (ISF) nouvelle mouture vise surtout à privilégier l’économie française. C’est du moins ce que le gouvernement affirme à longueur d’interviews, et Macron n’y a pas échappé dimanche soir. «La condition pour ne plus être à l’ISF, c’est d’investir dans l’économie française», a-t-il expliqué aux trois journalistes présents. C’est un peu rapide, et pour plusieurs raisons.
DÉSINTOX. L’impôt sur la fortune immobilière, adopté jeudi en commission des finances, prévoit comme son nom l’indique de ne taxer que les valeurs immobilières. Tous les placements en action et en assurance-vie (jusqu’à une certaine somme) en seront donc exonérés. Les signes extérieurs de richesse (yachts, voitures de luxe et objets précieux) qui sont des biens mobiliers, seront soumis à une nouvelle taxe afin de gommer les effets indésirables de ce nouvel ISF. Mais cela ne signifie pas pour autant que seuls les investissements dans l’économie française seront exonérés d’ISF. Une partie de capital «non-productif» sera, contrairement à ce que tente de faire croire la majorité, exonérée d’impôt sur la fortune.
C’est le cas des assurances-vies. Celles-ci ne sont plus prises en compte dans l’ISF. Or, un placement en assurance-vie ne garantit absolument pas que l’investissement se fasse dans l’économie française puisqu’elles ne reposent pas uniquement sur des portefeuilles d’action mais aussi sur des obligations françaises ou étrangères ou des valeurs immobilières. Pas forcément de l’économie française donc.
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Deuxième problème, les actions. En plaçant son argent dans des actions en Bourse, on ne privilégie pas forcément l’économie française, et encore moins les petites entreprises.
Premièrement, il est possible de détenir des actions étrangères non-cotées à Paris, dans des fonds de pensions américains par exemple (qui n’ont aucun lien avec l’économie française).
Deuxièmement, si les grandes entreprises sont cotées au CAC 40, ce ne sont pas des PME. Placer son argent en actions ne signifie pas nécessairement investir dans les PME.
Bref, l’exonération des valeurs mobilières du calcul de l’ISF ne sera conditionnée à aucun fléchage vers un investissement dans l’économie française… A la différence de ce qui existait jusqu’alors. Dans l’ISF actuel, les investissements dans les PME pouvaient justement être exonérés d’impôt sur la fortune. L’ISF-PME permettait de déduire de son impôt l’équivalent de 50% des sommes investies dans les PME. Ce dispositif encourageait donc déjà à investir dans l’économie française, et surtout dans les petites entreprises, alors que l’investissement en actions ne privilégie absolument pas les petites entreprises qui ne sont pas cotées en Bourse par rapport aux groupes du CAC 40. Et ceux qui bénéficiaient de ce dispositif pourraient finalement préférer des investissements plus rentables et moins risqués que les PME.
Non, l’allégement de la taxe d’habitation ne va pas compenser, dès la première année, la hausse de la CSG pour «une grande partie des retraités»
INTOX. Emmanuel Macron en a convenu : 60% des retraités (entre 7 et 8 millions), seront bien touchés par la hausse de la CSG (qui passera de 6,6% à 8,3%). Mais à l’en croire, la suppression progressive de la taxe d’habitation (30% en 2018, 65% en 2019 et la totalité en 2020) pour 80% des Français compensera dès l’année prochaine cette hausse pour une majorité d’entre eux. «Je vous fiche mon billet que dès l’année prochaine, à la fin de l’année, dans une grande partie des cas, votre taxe d’habitation diminuée d’un tiers, compensera ce 1,7 point de CSG. Dans la plupart des cas, les calculs ont été faits, à la fin de l’année prochaine, hormis pour les plus aisés d’entre eux, les 20%-30% les plus riches, ce sera déjà compensé.»
DÉSINTOX. Si des calculs ont bien été faits, ils donnent des résultats bien différents de ceux qu’évoque Emmanuel Macron. Dans un rapport, le député et rapporteur général de la commission des finances Joël Giraud (LREM) rapporte que sur les 7 millions de retraités concernés par la hausse de la CSG, 4,5 millions verront au finale la hausse compensée intégralement ou partiellement par la mesure portant sur la taxe d’habitation, alors que 2,5 millions ne connaîtront aucune compensation (il s’agit des ménages dont le revenu fiscal de référence se situe au-dessus du seuil d’exonération de taxe d’habitation). Mais le gouvernement ayant décidé une suppression progressive de la taxe d’habitation, l’effet de cette compensation sera nettement moins rapide que ne le dit Macron.
Ainsi, en 2018, avec un allégement de 30% de la taxe d’habitation, ce sont seulement 600 000 retraités qui verront la hausse de la CSG compensée totalement. Très loin d’une «grande partie» comme l’affirme Emmanuel Macron. Pour 3,9 millions de retraités touchés par la hausse de la CSG, la compensation ne sera que partielle. Pour 2,5 millions, elle sera nulle.
En 2019, 2,4 millions de retraités touchés par la hausse de la CSG verront cette hausse compensée par l’allégement de deux tiers de leur taxe d’habitation. Pour 2 millions de retraités, la compensation ne sera encore que partielle. Et pour 2,5 millions, elle sera nulle.
Enfin, en 2020, quand la taxe d’habitation aura été entièrement supprimée (et ne sera donc plus payée par environ 80% des Français), 3,8 millions de retraités verront la hausse de la CSG entièrement compensée, alors que la compensation ne sera que partielle pour 700 000 autres. Et 2,5 millions de retraités n’auront aucune compensation.
Ce qui signifie que même en 2020, seulement une petite majorité (3,8 millions sur 7 millions) des retraités touchés par la hausse de la CSG verront cette hausse totalement compensée par la suppression de la taxe d’habitation.
80% des retraités gagneront en pouvoir d’achat avec la réforme ? Vraiment ?
INTOX. Soucieux de vendre sa réforme, Emmanuel Macron s’est à nouveau un peu emballé dans la phrase suivante : «Quand la réforme sera conduite, 80% des retraités gagneront du pouvoir d’achat. Et les retraités qui perdront du pouvoir d’achat, ce sera moins de 1% de pouvoir d’achat qu’ils perdront…»
DÉSINTOX. Quatre cinquièmes des retraités verront leur pouvoir d’achat augmenter du fait de la réforme ? On peut en douter, en lisant le rapport précité de Joël Giraud. Si on additionne les 2,5 millions de retraités pour qui la hausse de la CSG ne sera pas du tout compensée et les 700 000 pour qui la compensation ne sera que partielle, on arrive à 3,2 millions, soit 20% des 16 millions de retraités français.
Mais cela ne signifie pas que les 80% restants seront gagnants. Dans cet ensemble, on retrouve des retraités qui ne seront certes pas touchés par la hausse de la CSG (40% des retraités ne sont pas concernés par la hausse), mais ne devraient pas bénéficier non plus de la suppression de la taxe d’habitation, soit parce qu’ils en sont déjà exonérés, soit parce qu’ils ne la payent pas (vivant en maisons de retraite par exemple).
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D’ailleurs, dans un document récent, Bercy chiffrait à deux tiers – et non 80% – le nombre de gagnants parmi les retraités : «Au total, compte tenu des effets combinés de la hausse de CSG et de la baisse de la taxe d’habitation, deux tiers des retraités seront gagnants nets à la politique fiscale du gouvernement d’ici à 2020.»
Enfin, on peut également pointer l’affirmation d’Emmanuel Macron selon laquelle la perte de pouvoir d’achat, pour les retraités perdants, sera inférieure à «1% de pouvoir d’achat».
Difficile de savoir si le Président évoque une moyenne. Mais sa généralisation n’a pas de sens. Il est aisé de trouver des cas de figure où la baisse sera supérieure : un retraité gagnant 3 000 euros verra la CSG augmenter de 1,7% (et s’appliquer à tous ses revenus) sans bénéficier d’une baisse de la taxe d’habitation. Il lui en coûtera 600 euros par an. Pour une perte de pouvoir d’achat supérieure à 1%. Et pour peu qu’il n’ait de patrimoine qu’immobilier, il ne bénéficiera pas non plus de la réforme de l’ISF.
Non, la taxe à 75% de Hollande n’a pas fait fuir les riches : elle n’a jamais été mise en place
INTOX. Emmanuel Macron l’a répété, il ne croit pas que le matraquage fiscal des riches fasse la richesse de la France. Et s’en est expliqué, en rappelant un raté du dernier quinquennat : «Il y a cinq ans, mon prédécesseur a augmenté massivement l’ISF, il a créé une taxe à 75% pour celles et ceux qui gagnaient plus d’un million. Est-ce que ça a rapporté beaucoup d’argent ?
On disait des chiffres mirifiques. Non ! Pourquoi ? Parce que les gens qui réussissaient, ils sont partis !»
DÉSINTOX. Il est vrai que François Hollande s’est fait élire en promettant de taxer à 75% les revenus au-delà d’un million d’euros Mais si cette taxe, qu’Emmanuel Macron présente comme une augmentation massive de l’ISF, n’a pas rapporté beaucoup, ce n’est pas parce qu’elle a fait fuir les riches, c’est parce qu’elle n’a jamais été mise en place.
C’est lors d’un meeting en février 2012 que Hollande fait cette promesse. Une fois élu, il tente de tenir son engagement, mais ne réussit qu’à braquer le monde du foot professionnel, quelques stars, et surtout le Conseil constitutionnel, qui invalide la taxe en décembre 2012, jugée confiscatoire.
En mars 2013, une nouvelle mouture est présentée. Il s’agit désormais de faire payer, pour les salaires supérieurs à 1 million d’euros, une «contribution exceptionnelle de solidarité», mais par les entreprises. Ce qui n’a plus grand-chose à voir avec le dispositif initial.
Dès octobre 2014, Manuel Valls annonce que la taxe disparaîtra début 2015. Elle n’a rapporté finalement que quelque 200 millions d’euros en moyenne les deux années où elle a été perçue (2014 et 2015). Mais on peut douter, comme le dit Macron, qu’elle ait fait fuir beaucoup de contribuables, puisque pendant sa courte vie, c’est uniquement les entreprises qu’elle a ponctionnées.
Source : Liberation.fr
L’épargne, l’épargne, il y a belle lurette que ce n’est plus l’épargne que font les investissements. La majeure partie des investissements sont des emprunts, c’est l’emprunt qui finance l’investissement…l’épargne est à la marge comme “garantie”.
Ce fameux ISF n’aurait jamais du être mis en place, tout simplement !
Pourquoi se gêner.
Déshabiller les retraités pour se payer du maquillage….
Ce n’est pas donné à tout le Monde.
Tout à fait. Tout homme politique qui s’en prend aux retraités est une ordure de la pire espèce qui ne peut qu’offrir des paroles qui volent.
Il faut SUPPRIMER totalement l’ISF qui est 1 impôt stupide et qui coûte en exils et frais de gestion, plus qu’il ne rapporte !
L’empereur Macron est le président des riches (normal pour un banquier !) et le peuple il n’en a besoin que pour se faire élire. Pauvre France avec un mec pareil.
Je ne sais s’il est le président des riches ou des assistés mais ce qui est sur c’est que ceux qui travaillent et gagnent bien leur vie honnêtement ou ont travaillé en gagnant bien leur vie honnêtement et sont aujourd’hui retraités vont morfler un maximum.
Les classes moyenne et moyenne supérieure vont payer les réformes alors que ce sont elles qui font tourner la boutique !!!!
Les riches, ça leur en touche une sans faire bouger l’autre et les “pauvres” ils font jackpot en ne levant pas le petit doigt !!!
A propos de l’argent. Ceux qui en ont trop ou trop peu ne pensent qu’à ça. Il n’y a que les morts qui s’en foutent. Et, à mon avis, si les morts pouvaient parler, ils nous diraient que ce n’est pas l’essentiel. Et je leur donnerais raison. Macron est une vapeur qui apparaît et disparaîtra, une poussière dans l’infini, comme tout le monde …
En attendant, ce brouillard persistant pollue notre environnement, et pas qu’un peu.
Gigobleu:
“Une vapeur qui disparaitra… ”
Sans doute, mais de quinquennat raté en quinquennat manqué, le temps passe et le pays s’effondre.
Conseil d’un spécialiste de la finance (ce n’est pas moi)
Si vous voulez investir, Il existe aujourd’hui des sites (estampillés AMF) qui permettent aux investisseurs particuliers de prendre connaissance des dossiers de financement proposés par des entrepreneurs et d’investir en direct.
En multipliant les dossiers, vous répartissez vous-même vos risques. Vous n’avez pas besoin de confier votre épargne aux banques que vos impôts renflouent épisodiquement. Vous la confiez directement aux entrepreneurs que vous choisissez
Par contre pas touche aux milliards qui financent l’immigration de masse, par le regroupement familiale, l’aide aux migrants, les allocs diverses, mais aussi la médecine et l’éducation gratuite pour ces populations qui ne seront jamais capables de les financer par leurs impôts car en grande partie improductives, les minimums retraites dont ils peuvent bénéficier sans jamais avoir travaillé, les plans d’aides des banlieues, les HLM, etc.
Financer l’invasion et l’islamisation de la France, le Grand Remplacement, ça c’est sacré ! Ça se compte probablement centaines de milliards par an si on compte tous les frais (c’est incalculable en réalité).
Je vois que Macron cherche quand même à préserver la grande masse des retraités, cette partie de la population qui est la plus profondement désinformée sur l’état réel du pays, car ils ne sont plus dans la vie active, ils vivent dans leur bulle et n’ont pas accès aux infos sur le net, ils sont les plus faibles et manipulables par les sources d’infos officielles (télé, journaux). C’est eux qui ont élu Macron et qui le rééliront. Il le sait.
Cette nouvelle imposition est taillée sur mesure pour les célibataires(hum ! hum !) gagant bien leur vie..
Prenons par exemple Mathieu Gallet : 12 000Euros/mois et bien en fin d’année il paiera 12 000Euros de moins, d’impôts par an..
Bien joué mon gars !
Pour que la démocratie puisse fonctionner, pour moi il faudrait restreindre le droit de vote à la population active. Voici comment.
1) Acquérir le droit de vote seulement lorsqu’on est déjà entré dans la vie active, et non automatiquement à 18 ans, en recevant par exemple sa carte d’électeur après une année cumulée de travail déclaré. Car les jeunes à peine sortis de l’endoctrinant scolaire, et les étudiants qui n’ont jamais travaillé, sont encore dépourvus de tout sens des réalités d’un pays, ils ne sont pas encore politiquement des adultes ! On est tous passé par là, avec les utopies gauchistes ou autres toutes aussi débiles avec lesquelles on a été biberonnés à l’école. Même un étudiant de 25 avec qi astronomique qui fait des études longues n’est pas plus mature d’esprit car il est toujours inexpérimenté de la vraie vie s’il n’a pas travaillé à coté de ses études, et ne devrait pas avoir le droit de vote tant qu’il n’a pas connu la vie active.
Cela limiterait aussi le vote délétère de certaines franges de population qui tendent à ne jamais entrer dans la vie active déclarée (le vote de banlieue perdrait rudement en puissance avec une telle règle d’accès au droit de vote, il ne suffirait plus d’obtenir la nationalité française pour avoir le droit de vote).
2) Le droit de vote prendrait fin lorsque l’on est officiellement entré en retraite depuis au moins une année cumulée (pas immédiatement à l’entré en retraite, pour laisser place à l’hésitation lors de la décision de prendre sa retraite). Pour celui qui voudrait réacquérir le droit de vote : même règle, réintégrer la vie active et sortir de la retraite depuis au moins un an cumulé. La “retraite” (“se retirer”) de la vie active devrait être aussi une “retraite” de la vie politique, c’est à dire une vraie retraite. Ceux qui veulent conserver leur droit de vote ou une carrière politique à un âge avancé ne devraient simplement pas prendre leur retraite, ce qui laisse suffisamment de souplesse dans l’age de la fin du droit de vote. On prend sa retraite sur une décision personnelle, quand on en a besoin, où quand on est au chômage en arrivant à l’age de la retraite. Les retraités deviennent de nos jours beaucoup trop nombreux, de plus en plus, le temps de vie en retraite se rallonge considérablement, et toute cette population vit aux crochets de la population active, tout en pensant trop souvent à ses propres intérêts et en oubliant trop souvent la population active qui leur permet de vivre. Les retraités oublient trop l’avenir des jeunes générations dont ils sont de plus en plus déconnectés, et quand ils y pensent c’est trop souvent de façon inappropriée. Cette population âgée est fatiguée, et contrairement la population active elle n’ose plus du tout les politiques audacieuses et les tournants politiques indispensables aux sauvetages réguliers d’une nation, cette population pense la politique avec des vieux schémas complètement dépassés, leur vote est le plus souvent nuisible aux jeunes générations même quand il est bien intentionné.
3)Les chômeur et inactifs qui ont déjà travaillé (une année cumulée au moins) doivent en revanche conserver le droit de vote tant qu’ils ne sont pas à la retraite, car leur situation doit peser sur la vie politique du pays. Ils pèseront d’ailleurs bien plus dans les statistiques de vote s’il n’y aurait plus le vote des retraités ni des jeunots encore inactifs. Ce qui obligerait la vie politique à s’intéresser de plus près à leur situation. Ils serait aussi électoralement en concurrence directe avec la population qui travaille, qui aurait aussi énormément plus de poids et serait nettement majoritaire dans un tel système électoral. La vie politique pourrait ainsi se concentrer sur les vrais problèmes économiques en temps réel avec bien plus de vivacité.
@ roseau. Vos idées sont intéressantes et méritent réflexion. Mais je doute qu’elles séduisent la classe politique actuelle corrompue. Je voudrais aussi rajouter qu’en aucun cas, nous ne devrions accorder le droit de vote aux étrangers quels qu’ils soient. Exemple: mon père, italien, a vécu et travaillé 51 ans en Belgique sans un seul jour de chômage, avant de retourner en Italie vivre sa retraite et c’est fort bien ainsi. Il a, à un moment donné, demandé sa naturalisation belge mais elle lui a été refusée. Sans doute, n’était-il pas considéré alors comme une chance pour la Belgique? Par contre, ceux qui arrivent de beaucoup plus au Sud, basanés, de culture et religion plus “exotique” semblent, eux, être considérés comme une chance pour la Belgique??? Autres temps, autres mœurs …
@roseau : vos idées sont bonnes, sauf qu’en fin de 2) dernier paragraphe tu délires grave : Les anciens ne votent que très peu France Insoumise : qui est ce qu’il y a de pire pour les futures générations (en plus de l’horreur de soutenir des dictateurs sanguinaires)…, Et la population âgée et fatiguée…ahahaha j’ai de employés âgés qui sont moins fatigués que des jeunes employés..
@PARTIRUNJOUR
“Et la population âgée et fatiguée…ahahaha j’ai de employés âgés qui sont moins fatigués que des jeunes employés.”
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En effet, ceux qui travaillent encore (des employés vous avez dit), et qui choisissent de ne pas prendre leur retraite, c’est qu’ils ne sont pas fatigués, et dans mon système ils ont alors encore le droit de vote tant qu’ils restent dans la vie active sans prendre leur retraite.
Je parle en général, il y a bien sûr de grosses différences entre les individus, et c’est pour ça que je prône un système souple pour la fin du droit de vote, fondé sur le choix de l’individu de prendre sa retraite.
Je refuse de lire Libération. Même pas une ligne. Même pas en rêve !
Et il ne m’a pas fallu une demi-ligne pour comprendre que je lisais un torchon…
Le ressentiment pollue l’âme
La corruption corrompt le corrupteur autant que le corrompu
La gauche gauchit
La merde pue
Libération pue le ressentiment de gauche qui corrompt tout ce qui est bon