J’ai longtemps hésité à me prononcer sur cette affaire Hervey Weinstein, c’est très certainement une ordure, je ne dirai pas un porc car j’apprécie trop la charcuterie, mais une ordure parmi bien d’autres car dans le milieu du spectacle, et plus particulièrement du cinéma, ils n’en manquent pas.
Qui plus est, il s’agit d’une ordure qui souffre d’une pathologie reconnue : l’addiction au sexe. Il s’agit d’un besoin physique, d’assouvir une pulsion qu’on ne contrôle pas.
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Je n’affirme pas cela pour excuser Weinstein, loin de moi cette pensée car il aurait pu se soigner et il ne l’a pas fait, mais elle existe cette pulsion difficilement contrôlable.
Ce fut, sans doute, le cas de Roman Polanski et de DSK.
Ce qui explique sans doute qu’ils se sont trouvés devant le désir de violenter de jeunes femmes alors qu’ils pouvaient, tenant compte du pouvoir qu’ils détenaient, s’en offrir en toute facilité.
Car ces jeunes starlettes qui rendaient visite à Weinstein savaient à l’avance ce qu’il leur proposerait. Pas d’être violentées bien sûr, mais elles étaient prévenus car il était connu, et il n’était pas le seul à l’être, dans ce milieu du cinéma, combien de producteurs ou de metteurs en scène, ont profité de leurs pouvoirs et cela depuis des décennies ?
J’ai eu l’opportunité de beaucoup fréquenté ce milieu, au cours des années 60/70, à l’époque je « couvrais » le festival de Cannes chaque année pour mon quotidien « L’Aurore » et quelques piges pour le magazine « Ciné-Revue » et des starlettes qui s’offraient dans l’espoir d’atteindre une certaine célébrité, il y en avait des dizaines.
Elles n’étaient pas violentées, fort heureusement, mais ce n’était vraiment pas nécessaire et tous ceux qui ont fréquenté, et fréquentent toujours, ce milieu du cinéma, peuvent en témoigner.
Jean Marais, Marlène Dietrich, Marylin Monroe et bien d’autres auraient pu en parler !
Brigitte bardot, Alain Delon, Jean-Pierre Mocky et de nombreux autres le pourraient également.
Celles qui ont réussi, ou presque, n’en disent pas mot. Celles bien plus nombreuses qui, malgré l’offrande de leurs corps, sont restées dans l’anonymat préfèrent oublier, jusqu’au jour où on leur donne la parole.
Et il n’y a pas que les jeunes femmes, c’est une majorité, mais également une minorité de jeunes hommes.
Je veux rendre hommage ici à l’une de ces starlettes, que j’ai eu le bonheur de connaître personnellement.
Elle aurait fort bien pu devenir une Brigitte Bardot, car elle avait le physique, les formes et certainement autant de talent.
Elle s’appelait Véronique Troy, Véro pour les intimes, j’ai fait sa connaissance, en mai 1972, sur une plage de la Croisette, à Cannes.
Elle posait devant les photographes en « monokini ». Ce n’était pas encore la mode à l’époque et elle faisait sensation car elle était vraiment très belle.
Je n’aurais jamais rêvé avoir la moindre chance avec cette créature de rêve.
J’ai demandé à mon photographe de l’immortaliser et lui ai promis que sa photo paraîtrait sur « Ciné-Revue ». J’ai tenu ma promesse.
Nous avons dîné ensemble. J’ai en mémoire encore ces deux magnifiques tatouages : un cobra menaçant sur le bras gauche et un aigle aux ailes déployées sur la cuisse droite.
Elle était l’amie du producteur et éditeur, entre autres professions, Gérard Lebovici, l’ami des stars ; Brasseur, Depardieu, Deneuve, Belmondo, etc.
Elle espérait arriver au sommet et pour cela elle s’est beaucoup offerte, mais jamais violentée, que je sache.
Les circonstances ont fait que nous n’avons plus eu l’occasion de nous croiser.
En 1974, Véro me téléphonait pour m’annoncer son mariage avec Gérard Klein, qui n’était pas encore « L’Instit ». Il n’a duré que l’espace d’un voyage de noces.
La nouvelle est tombée sur les téléscripteurs le 10 octobre 1977 : à Sanaa, capitale du Yémen, le président Hamdi, son frère et deux gardes du corps étaient victimes d’un attentat. Il y avait également deux cadavres, deux françaises, les corps perforés de balles de pistolet-mitrailleur et les têtes coupées, Françoise Scrivano et Véronique Troy. Toutes deux représentaient, paraît-il, la haute-couture française.
Je veux rendre hommage à ces deux starlettes, qui ne sont jamais devenues vedettes, mais sont mortes en représentant la France à l’étranger. Qui s’en souvient ?
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.
Bel hommage.
vive la France avec des vrai Femmes forte + ses Femmes sont malheureusement obliger de cotoyer des obséder sexuel dans le monde du spectacle
Mr Gomez, arrêtez avec vos histoire de Polanski et de DSK ! Ça n’a rien à voir dans le contexte actuel ! Personne ne sait ce qui s’était réellement passé dans cette chambre du Sofitel, et d’ailleurs la “victime” s’était bien satisfaite d’un “accord financier” pour clore l’affaire, par le biais de ses avocats.
Ce n’est pas parce que le FBI a fait son grand spectacle en menottant DSK que celui-ci est forcément coupable. Il est impossible de prouver que Nafissatou ait été consentante ou pas.
Quant à Roman Polanski, il est juste une proie facile pour cette justice suisse complètement bornée pour des faits qui remontent à 1977 (mais qui se montre bien moins prolifique quand les banques suisses entassent les milliards des pires dictateurs de la planète – dont ceux l’hyper dépravé sexuel Khaddafi), car ladite “victime” de cette non-affaire a bien affirmé publiquement et plusieurs fois qu’elle ne porte pas plainte et qu’elle souhaite qu’on en finisse avec cette histoire.
Dans ces deux cas, c’est 2% de sexe, et 98% de bidouillages judiciaires et d’aboiements médiatiques.
Et jusqu’à preuve du contraire, les aboiements répétés de la médiasphère n’ont jamais fait office de preuves bibliques.
“Mr Gomez, arrêtez avec vos histoire de Polanski et de DSK !”
il n y a pas de fumee sans feu
seriez vous leur avocat?
@ Franck
Non je ne suis pas leur avocat, pas plus que vous n’êtes l’avocat de la médiasphère.
S’il n’y a pas de fumée sans feu, que celui qui n’a jamais fauté me jette la première.
Et si les bobards de la “réalité augmentée” déversée à pleins tube par les médias vous fascine tant, sachez qu’il existe des cures de désintoxication pour ça aussi.
…me jette la première pierre.
Rico, je trouve votre post révoltant, vous trouvez des excuses à ces 2 porcs, car ils en sont bien , effectivement. Quelle honte, vous défendez l’indéfendable !
Je sais, Chinook… un rien vous révolte.
Je ne leur cherche aucune “excuse, je replace les choses dans leurs contexte, en y soustrayant la pollution des journalopathes. Car à eux deux, DSK et Polanski n’arrivent pas à la cheville d’un Jacques Chirac, par exemple, ce qui est de notoriété publique… mais la merdiasphère sait où placer ses billes.
Et si cette merdiasphère est parvenue à vous contaminer et à vous convaincre que Polanski ou DSK seraient des “porcs”, alors méfiez-vous, car il se pourrait qu’il y aie autour de vous beaucoup plus de “porcs” que vous ne le suspectez.
Merci de résumer votre depravité ! Je vais vous exposer la mienne. Depuis l’âge de 9 ans je baise ! En dehors de mes deux premières grandes expériences sexuelles où j’ai baisé une fille de 16 ans (j’en avais 9) et une fille de 15 ans (j’en avais 12 et sa mère y participait) je n’ai jamais baisé une fille de moins de 21 ans. Pas mal pour un dépravé qui en a baisé des milliers : de 21 à 80+ ans. Jamais je n’ai donné une petite tape sur la fesse même si on me le demandait. Jamais je n’ai été violent avec une femme. Jamais je n’ai forcé une femme. Elles pouvaient même me demander d’arrêter quand j’étais dedans et je le faisais : je m’arrêtais er me retirais. Je n’ai jamais baisé une femme saoule ni droguée (je déteste tellement cela que ça me donne envie de vomir). Dépravé certainement ! J’ai baisé quasiment toutes mes collègues de travail, toutes celles qui travaillaient avec moi, toutes les femmes et petites-amies de mes copains. Mais jamais je n’ai forcé une femme de le faire. Alors vos exemples de débile du genre DSK et Polanski je crache dessus. Ils ont forcé des femmes ce qui est inacceptable et doivent payer pour cela. Que les femmes soient enfermées dans des sacs poubelles, qu’elles soient forcées pour avoir des boulots ou qu’elles soient forcées pour satisfaire le crétin du jour est totalement inacceptable.
@ Adroitetoutemaintenant
1. Quand vous postez un message, dites à qui vous vous adressez, parce que là c’est confus.
2. Dans ces 2 cas, vous n’avez aucun moyen de savoir s’il y a eu forçage ou pas. Libre à vous de plonger dans les débilités de la médiasphère. S’ils ont désinformé et menti ailleurs, ils désinforment et mentent ici aussi.
3. Dans le monde du show-biz, vous savez très bien que le cas Polanski n’est qu’une demi goutte d’eau dans un océan des pires orgies (passons les détails). Si cela vous révulse autant que vous essayez de le faire croire, alors vous devez immédiatement cesser d’acheter des tickets de cinéma, de voir leurs films à la télé ou ailleurs et d’en acheter des produits dérivés. Sinon, vous êtes complice.
4. En matière de dépravitude, le “palmarès” de vos ébats est certes impressionnant, mais vous connaissez le fameux dicton :
C’est ceux qui en parlent le plus qui en font le moins…
Il y a une obsession commune chez tous ces cas : celle de ne pas dire qu’ils ont payé (même s’ils payent au centuple, par les rôles qu’ils octroient, ou leur mécènes, payent au centuple..)
Ils veulent se croire beaux et désirés : en prenant les 3 on a aux USA : un vilain gros (que peu de femmes trouveraient à leur goût-du moins les poupées que lui appréciait-, sans savoir des rôles et des millions), aux USA puis en Suisse : un petit nain peu engageant, et pour finir en France un vieillard bossu, qui aime tabasser car il n’a comme argument : comme le révèle -les témoignages de chaque filles- dans le savoureux livre de Dodo la Saumure, que 8CM en pleine turgescence et double viagra pour expulsion précoce.
@franck + 1000 Il n’y a pas de fumée…. ahahahahah
“Parmi les producteurs et les réalisateurs, il y en a beaucoup qui couchent… mais ce ne sont pas les meilleurs!” (Coluche, pour défendre les starlettes)
On n’arrête pas de couper des têtes dans les pays islamiques.
“J’ai eu l’opportunité de beaucoup fréquenté ce milieu […] et des starlettes qui s’offraient dans l’espoir d’atteindre une certaine célébrité, il y en avait des dizaines.
Elles n’étaient pas violentées, fort heureusement, mais ce n’était vraiment pas nécessaire et tous ceux qui ont fréquenté, et fréquentent toujours, ce milieu du cinéma, peuvent en témoigner.
[…]
Celles qui ont réussi, ou presque, n’en disent pas mot. Celles bien plus nombreuses qui, malgré l’offrande de leurs corps, sont restées dans l’anonymat préfèrent oublier, jusqu’au jour où on leur donne la parole.”
Je crois que vous avez tout dit.
C’est là toute la difficulté de l’affaire : il est de notoriété publique, ou presque, que le milieu du cinéma est corrompu, qu’un certain nombre de gens ayant du pouvoir abusent de ce pouvoir. Et quand il s’agit d’une jeune femme, d’une “starlette”, cet abus de pouvoir se traduit presque toujours de la même façon : en extorquant de la personne en question des “faveurs” sexuelles.
Comme vous le dites, bon nombre de ces “starlettes” savent à quoi s’attendre, et si cela arrive, une bonne partie d’entre elles se soumettent, dans l’espoir d’obtenir en contrepartie un rôle, un appui, etc. : ce qui n’est vraiment pas loin de s’appeler de la prostitution ! Cela ne leur plaît pas, mais elles le font quand même, à condition d’être “payées” en retour.
Celles qui deviennent célèbres et riches n’en diront jamais rien ; les autres se tairont, honteuses. Jusqu’au jour où… le règlement de compte devient possible.
Ce qui me débecte est le silence de ceux et celles qui savent, tout en profitant du système, et qui par leur silence couvrent les crimes des prédateurs sexuels. Et bien sûr, quand survient le grand déballage, ils jurent qu’ils ne savaient pas (Hillary Clinton par exemple, mais manifestement elle est très loin d’avoir été la seule à savoir pour Weinstein). Milieu corrompu et rempli d’hypocrisie, mais pourrait-il en être autrement ?
(dans un tout autre domaine, le dopage des sportifs, c’est la même hypocrisie généralisée – la différence étant qu’on ne se dope pas, en principe du moins, à son insu – mais des sportifs prêts à sacrifier leur santé et leur honneur pour accéder à la gloire et à la richesse, il y a en a pléthore)
On sait que ce monde est pourri, que beaucoup de ces hommes (voire femmes se comportent comme des ordures, ou autres qualificatifs) mais serait ‘il possible de ne pas les comparer au PORC, oui le porc, cet animal noble, intelligent, affectueux, que l’on fait souffrir en le saignant à blanc, en l’égorgeant et dont tout le monde se régale, mais où l’on se sert de son nom pour dénoncer toute cette vermine ou pourriture qu’est ce monde hypocrite du spectacle comme celui de la politique. Cet animal, LUI, mérite le respect. Merci pour lui. 🙂
D’accord avec vous sur ce point.
@rousseaux
Mille mercis.
Le porc, que je ne mange pas, étant vegan, ne mérite pas ces comparaisons insultantes.
Bonne nouvelle pour tous les végétariens ( dont je suis): la chaîne Mac Donalds
fait de la promotion pour un sandwich “vegan”.
J’espère qu’il est permis, vu l’implantation planétaire de cette entreprise, de
voir que cela répond à une demande croissante de clientèles soucieuses du
bien -être animal, et que c’est le début de la fin des élevages concentrationnaires.
Très bonne nouvelle en effet.
L’élevage industriel est une abomination.
Stéphane Plaza, ouvre le volet Homme, les producteurs sont Bisexuels…Et il envoie : tous, tous : les présentateurs, journalistes et acteurs de téléfilm y sont passés ou ont sucé (quelle différence, forcer c’est forcer !)…..
DSK & Cie ne savent pas que pour 40 € l ‘heure ou 80 la nuit il y a des filles superbes à
PATTAYA ?
Pas d’accord pour que les vicieux de chez nous, pleins de fric de surcroît,
aillent exploiter la misère , en Thaïlande, ou ailleurs.
Je n’ai jamais compris que l’on ne juge pas le pédophile Mitterrand, ni le
Cohn Bendit qui se vantent, dans la presse, de leurs exploits sexuels sur des enfants.
Les adultes dont parle M. Gomez, peuvent se défendre.
Les enfants , nous le savons, sont prostitués par leurs parents, dans les pays
pauvres.
La justice DOIT passer.
Par ailleurs, M. Gomez, votre article ne dit rien de la mission d'”espionnes” des
deux femmes françaises tuées au Yémen.
@ Blum
Pier ne parle pas des enfants prostitués. En Thaïlande ça fait à peu près 20 ans que ce fléau a cessé (sauf à très petite échelle dans l’arrière-pays, mais ça cessera aussi). Celui qui s’amuse à ça à Pattaya ou ailleurs risque TRÈS GROS.
Il y a maintenant des accords internationaux : Tout celui qui pratique la pédoprostitution, ou en est client, est poursuivi criminellement quel que soit le pays où il se trouve, pendant ou après les faits.
@ Rico: Je ne sais , si vous êtes allé là-bas, ( moi, oui, plusieurs fois), à quoi vous
reconnaissez que des jeunes personnes sont majeures, ou pas.
La pauvreté, la corruption, la grande amabilité de ces populations font que
ce que vous estimez en voie de disparition, existe tjrs, et pas que ” dans
l’arrière-pays”, selon l’écho que j’en ai eu, de la part de voyageurs.
Votre bel optimisme concernant les ” accords internationaux” me ravit.
Je continue à demander que la Justice juge des actes pédophiles, même remontant
à plusieurs années; surtout que l’on est en train de nous installer en France,
la religion du pédophile Mahomet.
Les juges seront de moins en moins enclins à aller contre la charia qui,
chez nous, prend le pas sur les lois françaises, dans nombre de zones.
Bonjour Manuel
Très généreux de votre part et émouvant..
Mon frère habitait durant ces années dans un immeuble Place Jules Joffrin ( Paris 18ème ) et au dessus de son étage vivait un couple d’artistes assez jeunes de Télévision et souvent les locataires ont dû appeler Police Secours à cause des parties très bruyantes et autres qui se déroulaient chez ces gens du cinéma..
Bref ce que vous dîtes est vrai et il fallait dire la vérité sur ce monde bien particulier du 7 ème art..
Et c’est bien triste pour votre amie d’avoir été ainsi traitée
Amitiés
Monsieur Gomez,
Je vous remercie pour vos articles pour des raisons bien personnelles…
Je ne sais pas si vous lisez les commentaires mais au cas ou vous les liriez, je vous serai extrêmement reconnaissant de me contacter.
Enfant, mes “tontons” s’appelaient Gaby (l’argenté…), Paulo, Antoine, Joe… mais je ne sais pas grand chose de mon histoire ou de la vraie histoire qui a bizarrement conduit mon père au Yemen dans les mêmes années puis ailleurs…
Par avance, je vous en remercie.
Sinceres et respectueuses salutations.
M.
Le cas Véronique Troy est beaucoup plus intéressant que tous les exemples que vous donnez sur les promotions canapés ayant cours dans le milieu du cinéma. En effet, il faut rappeler qu’elle était en relation avec le producteur-imprésario le plus puissant de cette époque, Gérard Lebovici (son ami Claude Berri disait dans une émission qu’il représentait, à travers toutes les sociétés qu’il dirigeait, 80 % du chiffre d’affaires du cinéma français et il n’est pas du tout déraisonnable d’avancer qu’aucun homme n’a eu depuis sa mort un tel pouvoir sur l’ensemble du cinéma français), mystérieusement assassiné dans un parking de l’avenue Foch en mars 1984. C’est une figure qui m’a longtemps fascinée et c’est dans ce contexte que j’ai pu connaître l’existence de Véronique Troy par un article publié par Paris-Match en 1992. La question qu’on pourrait se poser, c’est qu’allait faire une apprentie actrice au Yémen ?Faisait-elle partie d’un réseau d’espionnage ou de prostituées liées à l’Etat français dans le but de décrocher des gros contrats pour la France, sur le modèle du réseau de Madame Claude qui louait ses modèles pendant les années Giscard ? Qu’est-ce que savait Lebovici des activités secrètes de Véronique Troy ? quelqu’un dans un livre a même émis l’idée que ce serait le père de Véronique Troy qui aurait lui-même assassiné Lebovici pour se venger qu’il n’ait pas pris plus assez soin d’elle.