Avec le hashtag Balance ton porc!, l’hystérie électronique aura encore frappé. L’avantage avec l’hystérie, c’est que ses crises passent vite, et que l’on peut ensuite la questionner calmement.
Bien que cette dernière crise ne se soit pas tout à fait estompée, il est déjà venu le temps de la décrire.
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Son origine tout d’abord: une nouvelle fois, les États-Unis. La société française ne s’est toujours pas aperçue à quel point elle vivait désormais sous l’empire et même sous l’emprise américaine.
Le plus tristement cocasse, c’est que ceux qui en sont les victimes les plus consentantes sont ceux qui historiquement auront le plus vitupéré l’impérialisme politique et culturel américain. En deux mois historiques, deux crises hystériques, largement cornaquées par des histrions, auront importé sur les rives européennes des crises américaines.
- En septembre, les mauvais vents venus de Charlottesville auront conduit jusqu’à Paris de nouveaux talibans antiracistes pour détruire les statues de Colbert et Dugommier,
- en octobre les turpitudes de Monsieur Weinstein auront conduit les féministes les plus agressives à encourager la dénonciation massivement anonyme.
On peut décrire aussi les causes de la crise hystérique. Toujours noble, toujours honorable, toujours soutenable.
De la même manière que la guerre raciale américaine est devenue une réalité condamnable, le harcèlement, les violences faites aux femmes le sont tout autant. C’est d’ailleurs leur instrumentalisation par des combattants autoproclamés déchaînés, quand ils ne sont pas pervers, qui autorisent tous ses excès à la crise sans maîtrise.
On peut décrire aussi idéologiquement les acteurs de la poussée hystérique: largement la gauche féministe.
Avec ses contradictions qui font son improbable charme: c’est ainsi que pendant des années, tout esprit civique de coopération avec les autorités de police et de justice pour lutter contre le terrorisme était strictement proscrit au nom de la lutte contre la délation. L’interdiction puisait sa force d’intimidation dans la référence obligatoire à la sombre période de collaboration.
Aujourd’hui encore, la même famille politique qui encourage la délation électronique de masse combat tout projet de loi antiterroriste qui aurait comme effet prétendument barbare de conserver sur des fichiers le nom d’islamistes susceptibles de passer à l’acte homicide.
La gauche féministe a aussi le jugement sélectif. Mesdames Autain et Schiappa adorent regarder les porcins balancés. Mais les deux dames ont leurs porcs saints.
C’est ainsi que la féministe Insoumise tient à défendre l’honneur des bars unisexes de Trappes et que la Secrétaire d’État qui traque volontiers le cochon en cravate n’a pas vu d’exactions sexistes à la Chapelle. Il est vrai que la strabique n’a pas vu non plus d’antisémites dans les quartiers islamiques.
Cette famille politique portée à l’hystérie se veut toujours vertueuse. Mais l’hystérique politique est souvent amnésique. Dans ma chronique de la semaine passée je rappelais que ce monsieur Weinstein était issu du camp du Bien autoproclamé.
Longtemps protégé par les très féministes Hillary Clinton et Jane Fonda.
Longtemps protégé par le très libéral New York Times ou le très intransigeant Quentin Tarantino.
En France, l’hyperactif Denis Baupin est issu du parti gauchisant des Verts qui aura fermé les yeux sur son activisme sexuel pendant des années tout en promouvant le féminisme le plus agressif.
Décidément les grands prêtres les plus fanatiques de la religion des droits de l’homme auront commis, à l’abri de leur soutane, bien des turpitudes et des tartufferies.
Méfaits commis, aussitôt oubliés, voici leurs amis hystériques qui poussent des cris d’orfraie.
La même famille politique qui chante les louanges de la dénonciation électronique célèbre théoriquement la liberté d’expression.
Malheur pourtant à ceux qui comme moi s’interrogent à voix haute sur les vertus dénonciatrices, tantôt ce sont des harceleurs en puissance qui s’ignorent, tantôt des collaboratrices des violents, comme l’ineffable Caroline de Haas, qui gazouille sur Twitter: «Eugénie Bastié, alliée indéfectible des agresseurs…».
Rappelons en passant que la gazouilleuse intraitable proposait pour régler la question du harcèlement de rue à la Chapelle d’élargir les trottoirs, seuls responsables des agressions. Cochons de trottoirs.
On peut, on doit aussi et surtout décrire les ravages de la crise hystérique électronique.
Il n’y a pas que la laideur de la délation. Après tout que les femmes, massivement, décrivent leurs souffrances peut avoir un effet apaisant et obliger, qui sait, certains salauds à prendre conscience.
Mais il y a aussi la calomnie. Avec son cortège de couples brisés, de carrières gâchées et de vies piétinées. Car des patronymes ou des individus reconnaissables ont été donnés en pâture par des personnes anonymes ou sous pseudonymes. Et ici habite l’essentialisme abject, maître de tous les racismes.
De la même manière que tous les hommes ne sont pas des harceleurs, toutes les femmes ne sont pas des victimes innocentes. Il y a des femmes menteuses. Il y a des femmes mythomanes. Il y a des maîtresses vengeresses. Il y a des maîtresses chanteuses. Il y a même des harceleuses que j’ai fait condamner.
Dans le Monde, une sociologue se réjouissait samedi de ce que la peur avait changé de camp. Il est des expressions qui vous glacent le sang. Il n’est pas bon que les innocents puissent éprouver la peur ou la honte de se voir reprocher des fautes qu’ils n’ont pas commises.
L’être humain est complexe et pluriel. Les rapports entre les hommes et les femmes peuvent être très laids, très douloureux, très injustes, ou encore magnifiques, sublimes ou très mystérieux.
Le monde de l’hystérie électronique, le monde du lynchage, le monde de la suspicion généralisée et organisée entre les hommes et les femmes, le monde du simplisme et des rôles distribués et stéréotypés, n’est pas un monde très humain.
C’est même un monde très bête.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.
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Qui signe? Mr Goldnadel ou Mr Millière, les deux noms apparaissent… J’ai plutôt l’impression que c’est le premier.
Bravo pour cet article. Y aura-t-il des voix de gauche pour dénoncer ces lynchages électroniques? J’en viens même à me demander devant l’hystérie collective si ce n’est pas pour balancer le porcin Trump en bout de course, suite à tant d’indignation, de condamnations, de retrait de prix (sans procès, ni jugement).
Je me disais bien aussi… je reconnaissais en lisant ce texte le style si particulier de Me Goldnadel et ses jeux de mots inimitables, et me disais : tiens, Guy Millière fait du Goldnadel maintenant ! 🙂
Excellent texte au demeurant.
Le Maître écrit et le disciple signe ?
Ou bien l’inverse ?
🙂
Quoi qu’il en soit, c’est un excellent texte !
Évidemment, l’hystérie digitale peut tourner à un jeu pervers :
Honnie soit celle qui n’aura pas été harcelée, car celle-là ne peut qu’être vilaine, boutonneuse, et totalement privée de sex-appeal.
Et la palme sera remportée par celle dont la collection des harceleurs sera la plus longue, et qui pourra raconter les scènes les plus graveleuses.
Par effet miroir, honte aux hommes qui n’ont jamais harcelé, car c’est le signe qu’ils n’ont rien dans le pantalon, ou pas de cou… un qualificatif dont on affuble volontiers les hommes politiques.
Une petite histoire authentique qui est arrivée à un de mes amis dans un colloque scientifique aux US il y a une vingtaine d’années :
Le premier soir, celui de l’arrivée des participant(e)s, quelqu’un distribue les badges (nom et affiliation), divers papiers : le programme des conférences, un plan de l’ensemble des lieux etc, plus une rose rouge.
Mon ami reçoit donc sa rose. Ne sachant qu’en faire, et habitué à offrir des fleurs à sa femme, il se tourne et la tend à une jeune femme inconnue qui attendait son tour derrière lui. Un petit sourire soulignait son geste.
Eh bien, en guise de remerciement, la dame lui a tout bonnement flanqué une paire de gifles. Mon ami, un garçon très/trop courtois, se fit un devoir de subir l’affront sans broncher.
Voilà la société américaine d’il y a 20 ans.
Comme on pouvait s’y attendre, ça ne s’est pas arrangé !
Excellent texte en effet, surtout la fin, implacable. Toute l’horreur du monde et ses intrigues perverses nous sont révélées progressivement. Heureux l’homme qui s’exerce à la droiture et qui marche dans la lumière.
L’égalité homme femmes est un leurre.
Les femmes se sacrifient très rarement pour la collectivité, la solidarité féminine va plutôt jouer pour étriller dans une curée finale quand on ne risque rien ( comme actuellement) mais absolument pas pour reprendre le dessus sur des être en position de force.
Dans ce dernier cas il n’y ABSOLUMENT JAMAIS de solidarité féminine.
Tout porte à croire à la lumière de notre époque “libérée” que les femmes sont faites pour vivre en sorte de harem avec un mâle dominant, libérée de la religion, elles font absolument tout inconsciemment et consciencieusement pour en arriver là.
=>Les sociétés les plus égalitaires et “avancée” sont celles qui se sont islamisé le plus vite.
Lisez Soumission de Houelebeck
On remarquera au passage que plus les femmes font du “féminisme” au sens politique du terme, même à l’échelle de leur simple entourage… moins elles font d’enfants.
La femme est l’égale de l’homme, oui. Mais l’homme et la femme ne sont pas interchangeables.
Avoir les mêmes droits et les mêmes devoirs ne signifie pas avoir les mêmes rôles.
Dieu, à travers la nature, a donné aux femmes un rôle d’une importance considérable non seulement dans la fabrication du corps de l’enfant mais aussi dans son éducation, son éveil à la vie, son apprentissage de certaines valeurs…
… tandis que l’homme avait un rôle tout aussi important mais complémentaire, celui d’assurer les ressources de la famille, mais aussi de transmettre à l’enfant certaines valeurs.
Dans le bouddhisme chinois et le taoïsme l’une des représentations imagées de cet équilibre entre l’homme et la femme se trouve dans le taiji, image bien connus des occidentaux:
http://black.winny.free.fr/Bouddhisme-Tao/TaiJi_177x177.png
Faisons un petit tour de ces valeurs. Etant d’origine bouddhiste (tout en étant chrétien) je vais citer les 25 valeurs enseignées dans le bouddhisme et vous allez voir que ce sont exactement les mêmes qu’on retrouve dans la civilisation judéo-chrétienne (rien d’étonnant à cela, ce sont les valeurs humaines fondamentales) :
– altruisme, bienveillance, compassion, générosité
– courage
– discernement, vigilance
– effort, endurance
– envie d’apprendre
– équanimité
– éthique et morale
– famille, groupe, solidarité
– fidélité
– honneur
– honnêteté
– humilité
– justice, droiture, loyauté
– liberté, refus de se soumettre à une autorité non légitime
– obéissance
– organisation
– patience, persévérance
– respect de l’avis d’autrui
– respect de la parole donnée, sincérité
– respect de la propriété d’autrui
– respect de la vie
– simplicité
– spiritualité
– tempérance, retenue de soi-même
– tolérance
L’être humain, qu’il soit homme ou femme, contient toujours en son esprit une part de masculinité et une part de féminité. Dans l’image du TaiJi c’est la raison du point noir dans la moitié blanche et du point blanc dans la moitié noire.
Certaines de ces valeurs étaient (et devraient le rester) donc transmises par la mère, non seulement par l’enseignement mais aussi et surtout par son exemple propre.
D’autres de ces valeurs étaient (et devraient le rester) donc transmises par le père, non seulement par l’enseignement mais aussi et surtout par son exemple propre.
Enfin certaines de ces valeurs étaient (et devraient le rester) donc transmises par les deux parents, non seulement par l’enseignement mais aussi et surtout par leur exemple propre.
Le socialisme, le féminisme revendicatif (à ne pas confondre avec le vrai féminisme, qui est l’invitation au respect mutuel), et la société moderne “déshumanisée” ont balayé en moins de 150 ans toutes ces valeurs humaines fondamentales.
A vouloir être les “égales de l’homme” dans les rôles et non plus dans simplement les droits et les devoirs, les femmes ont perdu le sens de leur existence, qui était de transmettre aux jeunes générations les vertus, les valeurs féminines en l’esprit humain.
Et les hommes en contrepartie ont eux aussi perdu le sens de leur existence qui était de transmettre aux jeunes générations les vertus, les valeurs masculines. Que transmettent les hommes aujourd’hui aux enfants ? Ils ne transmettent plus des vertus, des valeurs masculines… ils transmettent un sentiment de supériorité sexuelle, comportementale et sociale, ce qui n’a rien à voir avec les vertus masculines indispensables à l’équilibre du couple et à la cohésion de la famille et sa survie dans la société.
L’homme devient encore plus macho que phallocrate, et la femme oscille entre deux extrêmes : soit une masculinisation par revendication “politique” d’un statut social, soit une féminisation à outrance, excessive et sexuellement obscène ayant pour but de tenter désespérément de s’attacher un homme mais dont le vrai unique résultat est alors une exacerbation du machisme de l’homme choisi.
Résultat : les couples ne font plus d’enfants, divorcent… voire ne se forment plus du tout. Et ce pourtant dans une société moderne où les moyens de communication mais aussi de contact n’ont jamais été aussi présents et jamais été aussi évolués. Ils sont si mal utilisés que leur résultat a même tendance à être le contraire de celui souhaité. Dans les espaces de danse on ne se touche plus dans un cercle symbolisant un couple au milieu du monde mais on gigote dans des spasmes où chacun mesure ses performances en matière de frénésie avec tout le monde autour, on n’écrit même plus à sa propre famille lors des fêtes, on ne se téléphone presque plus, on ne va plus voir ses grands-parents voire parents dans leurs maisons de retraite, par contre on écrit chaque jour des millions de lignes à des prétendus “amis” sur des réseaux sociaux.
Et par ailleurs la société entière elle-même (!) perd ainsi ses propres valeurs dont les plus importantes sont la fidélité à sa mémoire et la transmission du patrimoine civilisationnel aux générations futures. Ce reniement des 25 valeurs humaines fondamentales entraîne de facto la disparition de toute la civilisation dans un chaos comportemental et social, une déconstruction qui prend même la tournure d’une destruction… parfaitement propre à aider au passage l’aboutissement des desseins invasifs d’une autre civilisation aux valeurs barbares. Même si l’événement que constitue cette auto-destruction d’une civilisation par perte des valeurs humaines et familiales se produit sur une surface réduite comparée à la surface du monde… c’est toute l’humanité entière qui y voit son avenir mis en péril.
Si Dreuz souhaite faire de ce commentaire un autre article… pas de problème. J’en serai même ravi car je pense que c’est un texte offrant une opportunité d’une réflexion de fond sur ce qu’est en train de devenir l’esprit humain dans la société moderne menant au péril une civilisation entière construite grâce aux valeurs qui avaient été portées par le sens religieux (au sens étymologique du terme).
ras le bol des mal baiser revenchardes ?
M. Millière, je lis toujours vos articles, ainsi que ceux de vos collègues, avec un grand intérêt : ils frappent juste, et grâce à des reporters comme vous, nous ne sommes pas intoxiqués par la propagande des médias. Pourtant, dans cet article, vous considérez l’espèce humaine de façon positive. N’est-ce pas normal que les êtres humains soient en majorité pervers, tricheurs, menteurs ? Il me semble, arrivé vers la fin d’une longue vie, que les honnêtes gens ne sont qu’une petite minorité, des êtres d’exception. Ou sinon, Dreuz aurait beaucoup plus de lecteurs en France, en Belgique, en Suisse et au Québec. À mon avis, l’être humain « normal » est plutôt sado-maso, calomniateur qui se cache lâchement derrière l’anonymat.
Quel est le pourcentage d’abonnés à Dreuz.info par rapport à ceux abonnés à la plupart des autres médias francophones, ceux de la désinformation ? N’est-ce pas nous, les anormaux ?
Quel rapport avec Guy Millière, pour ce texte ?
Erreur d’attribution lors de la publication, le texte est de GW Goldnadel, l’erreur a été corrigée
“De la même manière que tous les hommes ne sont pas des harceleurs, toutes les femmes ne sont pas des victimes innocentes (…) ”
Absolut! Prenez la température avec la série “N-Y Police judiciaire -où l’on peut tirer des leçons sociologiques et (presque) tt savoir sur leur législation, donc se poser de très bonnes questions (privilégier le droit des femmes droguées ou celui de leur enfant…etc), les Américains s’inspirant de faits réels – on s’y met aussi 10 ans plus tard, com. d’hab.- série donc, où le féminisme fausse la donne : les femmes violées (pas battues), quel que soit leur âge et leur job -prostituées incluses!- restent traumatisées à vie… même dans les cas d’inconscience totale après prise de GHB! vous y croyez????…
J’estime que les maltraitances n’ont jamais le même impact : un être violé peut passer à autre chose sans problème -juste un réflexe : m… quel con(ne)! et d’autres sont traumatisés par la vue de choses impudiques… et le restent à vie. Marre de la psychologie de magazine que les journalistes nous bassinent sur tous les tons.
“La condition féminine est la pire condition de l’homme” (!!!)
JPG a écrit sur les commentaires sur les starlettes
« Il y a une particularité dans le cinéma, et c’est que les films ne peuvent pas se faire sans femmes, sans premiers rôles féminins. Ce levier, les femmes ne l’utilisent pas »
j’y ai répondu, je précise même et il avoué
il a essaye de tendre une perche.
je répète en reformulant la fin
=> le monde du cinéma a été façonné par les femmes , pour les femmes.
C’est elles qui suivent les aventures des stars PAS LES HOMMES
C’est elles qui n’ont souvent comme sujet de conversation et d’internet que les histoires de stars PAS LES HOMMES
C’est elles qui au travers de la presse people (FEMININE) ont rendu les hommes politiques à l’image des stars. PAS LES HOMMES
C’est elles qui vont chercher d’une manière obsessionnelle qui joue dans quel film pour aller voir l’acteur et ne pas s’occuper de ce que dit le film. c’est elle qui font les groupies des chanteurs aux acteurs.
et bien ceci, c’est la reproduction 100% de la soumission aux mâles dominant de la tribu , à TOUT ce qui dirige*.
*Même les femmes d’où l’explosion que dis je la déflagration des relations lesbiennes en ce moment dans la ville étudiante que je connais très bien depuis 25 années.
Oui, ces 100 dernières années On a tordu les c… des tous les mâles occidentaux peut -être avec raison mais dans le même temps on a caressé dans le dos (notamment avec le cinéma, nouvelle religion) toutes les mauvaises habitudes féminines alors qu’elles auraient du aussi disparaitre comme ces travers masculin.
nous sommes fait comme çà:
90% des hommes s’intéressent à la majorité des femmes.
90% des femmes se battent pour 10% des hommes.
Le monde du cinéma est donc l’exacte volonté féminine collective et inconsciente.
Ce monde est à l’image pour la nième fois des sociétés nordiques(norvège suède danemark et allemagne) qui ont éradiqué par le féminisme le mâle dominant classique (père de famille).
Le mâle occidental s’est laissé VOLONTAIREMENT DOMINER et donc affaiblir, les femmes s’empressent donc de le remplacer par un autre dominant (par des femmes éventuellement ou des hommes profondément frustres qui n’ont pas eu les c coupées par la culture occidentale).
Voilà où nous a mené la perte des nos religions non polygames.
Auparavant on avait ce que Houlebeck appelait “le communisme du sexe” dans son livre « Extension du domaine de lutte ». Et le titre de son livre évoque les sociétés modernes où peux d’hommes ont toutes les femmes comme dans le capitalisme où peux d’hommes auraient tout l’argent. La perte de la religion chrétienne => c’est donc l’extension du domaine de la lutte capitalistique au sexe.
Religion qui n’était souvent qu’un moyen de contrôler l’instinct des femmes certe non violent mais absolument pervers :
=> retour direct case-primate par l’islam (notamment) et sinon çà aurait été par le latino bien macho.
lisez tout Houellebeck « soumission » c’est 20 années après l’écriture d’« extension du domaine de la lutte » la polygamie officielle pour les 10% de dominants mais PAR L ISLAM.
@ ceruti :
En clair, en résumé et pour vulgariser votre propos : la femme rêve d’un étalon sauvage qu’elle s’empresse de seller, de dompter puis d’atteler aux araires, puis dénigre ce canasson castré avant de partir à la conquête d’un autre bel étalon sauvage… car c’est bien connu : si le cheval est la plus belle conquête de l’homme, l’homme est la plus belle conquête de la femme.
Malheureusement pour elle, les pur-sang arabes sont beaucoup moins dégénérés que leurs propriétaires, qui disent volontiers que ce qu’on trouvera toujours de mieux dans une femme, c’est un homme…
Il est bon de rappeler la nature des choses pour mieux les gérer.
Cette américanisation de la société fait peur de part ses excès et cela va conduire, si l’on voit le pire à finir à séparer les hommes des femmes, à réaliser un apartheid des sexes.
Alfred de Vigny (1897/1863) dans son poème la Colère de Samson a écrit ” La Femme aura Gomorrhe et l’Homme aura Sodome, Et, se jetant, de loin, un regard irrité, Les deux sexes mourront chacun de son côté”.
Ce qu’il faut surtout retenir c’est que l’islamisation n’est qu’une conséquence de la féminisation de la société et donc de sa Soumission (islam= soumission = dernier livre de Houelebeck).
Donc rien ne sert de se battre contre l’islam si on ne prend pas le problème à la racine.
Les société qui réagissent sainement(Pologne, Tchéquie, Hongrie) sont celles d’Europe de l’est qui n’ont pas cru à la “féminisation”.