L’excuse : “Gwyneth Paltrow a couché avec un puissant producteur qui utilise son poste pour promouvoir les jeunes femmes et leur attribuer des rôles principaux dans les films.”
La réalité : et si tout cela n’était qu’un leurre pour transformer les coupables en victimes ?
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Et si les starlettes d’Hollywood étaient collectivement responsables, coupables, du harcèlement sexuel qu’elles subissent et des coucheries qu’elles acceptent pour décrocher un rôle ?
Et si hommes et femmes étaient coupables, au lieu de considérer le camp des coupables et celui des victimes ?
J’espère vous avoir choqué avec ces questions.
Maintenant mon argumentation en 4 points. Si vous pouvez la détruire, je vous écoute :
- Les actrices disent que si elles ne couchent pas, elles n’obtiennent pas les rôles principaux.
- Cela veut dire que si aucune actrice ne couche, aucune femme n’obtient de rôle principal ? Aucun rôle ? Vous croyez ces bobards ? Vous pensez vraiment qu’un film puisse se faire sans actrices ? Sans premiers rôles féminins ? Allons, allons, un peu de bons sens : si collectivement les femmes refusaient les attouchements et les coucheries, les films ne se feraient pas pour autant qu’avec des acteurs hommes. Les films ont besoin de femmes, qu’elles écartent les jambes ou pas.
- Si aucune actrice acceptait de coucher, les producteurs, les réalisateurs, les directeurs de casting ne pourraient pas pour autant se passer d’elles. Ils les feraient travailler, et les choisiraient pour les mêmes rôles qu’elles obtiennent en ne résistant pas aux propositions malhonnêtes.
- Et si les actrices se laissent faire parce qu’elles se pensent en compétition pour le même rôle avec d’autres qui goûtent aux mêmes canapés (avant de se réparer dans celui de leur psy), c’est encore dans le camp des femmes que la responsabilité repose.
Et ma démonstration a ceci d’intéressant qu’elle ne disculpe en rien les hommes : pas de voleur sans receleur.
Hommes, femmes, tous coupables !
Les hommes qui abusent de leur pouvoir pour faire passer les starlettes à la casserole en leur promettant une carrière bien mijotée me dégoûtent. Plus que moralement condamnables, ils sont d’ailleurs aussi et surtout immensément handicapés. Impuissants à séduire pour ce qu’ils sont ils se décorent de ce qu’ils ont. Chaque conquise forcée leur renvoie leur incapacité à plaire. Pauvres types.
Cela ne disculpe pas plus les vraies coupables. La collectivité des actrices. Prédatrices sexuelles pour s’assurer les rôles qu’elles sont certaines que leurs concurrentes voleront sans leur jupon.
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Dans tout cela, les fausses féministes feraient bien de trouver leur voie ailleurs qu’en diabolisant l’homme blanc et applaudissant l’homme musulman. Né d’une juste cause le mouvement se meurt des causes injustes.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Etre Starlette à HOLLIWOOD, c’est comme la Prostitution. Le plus vieux métier du Monde !
Sans rire, je ne défends pas WEINSTEIN, mais mon Père me disait, quand à l’époque on passait des films avec Marlène DIETRICH, ARLETTY… “Tiens celle-là, il n’y a que le train qui ne lui soit pas passé dessus”.
Donc, par mes propos je veux dire que la promo Canapé a toujours existé, comme le BIO, mais qu’on s’en intéresse seulement maintenant !
Les femmes sont toujours en compétition. Partout. Et si une femme ambitieuse et séduisante peut obtenir de l’avancement en se servant de ses charmes, elle le fera sachant qu’elle contrôle sa sexualité et qu’elle peut aussi prendre le contrôle de la relation (dépendant de l’homme qu’elle choisit de séduire).
Ces femmes ne sont pas des nunuches et elles peuvent «tenir» l’homme qu’elles ont séduit en menaçant de tout dire à sa femme.
Qu’un de ces hommes aux mains baladeuses tombent sur ce genre de femme et il est cuit, professionnellement et maritalement.
@ Magali Marc. Remarque tout-à-fait pertinente. Et, dans le climat ambiant de délation généralisée on pourrait aussi rajouter à “balance ton porc”, “balance ta salope”. Seule une droiture morale peut nous préserver de nuits blanches car j’imagine que ces campagnes de délation doivent en empêcher de dormir plus d’un?
On a remplacé l’éducation de la morale et du respect de l’autre par l’éducation sexuelle et on récolte le sida et d’autres maladies vénériennes au plan physique. Et divorces, séparations et souffrances au plan moral. Au lieu d’apprendre à protéger son sexe on ferait bien d’apprendre surtout à protéger et éduquer son cœur. Apprendre à faire l’amour au lieu de baiser.
“Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui viennent les sources de la vie” Proverbes 4:23
Bien d’accord avec vous, Gigobleu. De nos jours les jeunes font bon marché de leur corps.
Tout bien réfléchi, pas seulement les jeunes. Je connais quelques mamies très actives sur internet à la recherche du prochain gars qui les fera grimper aux rideaux. Pathétique et répugnante, cette course à l’orgasme.
Avec regarder la télévision, c’est en effet tout l’idéal qui reste aux deux dernières générations actuelles. Et ce faisant, ils s’ennuient tellement que c’en est pitoyable.
Vous avez tout à fait raison Magali. Les femmes sont toujours en compétition. Si Femme 1 n’en veut pas du #HaloufdeHollywood; Femme2 ou Femme n va accepter pour gagner.
JPG a tout à fait raison. On a vu sur Fb des photos d e femmes pratiquement sur les genoux du #HaloufdeHollywood. Comment voulez vous que #Halouf ne les sautent pas.
JPG, je rajouterais la culpabilité collective de ceux qui vont voir des films comme “La Vie d’Adèle”…
Un film sur l’homosexualité féminine, d’autant plus encensé, qu’il mettait en valeur une “fille de” qui avait besoin de se lancer (le ban et l’arrière ban de ce qui comptait dans le cinéma se devait de soutenir le film oh non pas pour l’actrice néophyte cela se serait trop vu, mais pour le sujet, le réalisateur, le look de BD, etc.) et une actrice au nom de magie (qui permet d’illusionner les plus naïfs, idiots utiles des plus vulgaires ou des plus mercantiles)… avec, last but not least, un réalisateur du camp du bien, avec le nom qui va bien.
Carton plein !! Le film cochait toutes les cases de la bien pensance… alors, comment ?? un peu de bon sens, de sens critique pour refuser ce qui était proposé ? Fallait-il vraiment ne pas y penser ? Chaque spectateur de ce film peut-il y repenser, s’interroger sur ses motivations ou absence de motivation ou suivisme pourri ?
La prostitution morale (ou physique) ne touchait pas que les actrices, contraintes plus ou moins, ou pas, (en substance “ah, cela me dégoûtait, il passait et repassait sans cesse les scènes de sexe”… ben voyons, la prostituée sur le retour qui veut se refaire une virginité !! Tu as eu ce que tu voulais, avec les moyens que tu voulais : ASSUME !!), la prostitution morale des actrices donc, n’a d’égale que la prostitution morale des spectateurs, complices volontaires par manque de lucidité, ou concupiscence rentrée ou naïveté confondante, ou bien-pensisme exacerbé…
Le problème, c’est qu’il n’y a pas de responsabilité collective des femmes, pas plus qu’il n’y a de responsabilité collective des hommes. La responsabilité ici-bas est, heureusement, individuelle.
Parler d’omerta, OK. Ceux et celles qui savent et se taisent dans l’objectif de sauvegarder leur petite carrière, ceux-là sont, sinon coupables, complices, ce qui n’est pas loin de la culpabilité.
J’inclus dans le lot les acteurs, actrices, et autres intervenants de ce milieu (producteurs, etc.), mais aussi les JOURNALISTES, dont c’est en principe le métier que d’informer.
Pour moi, peu ou prou c’est la même problématique que pour le dopage en sport : il y a les coupables, leurs complices, tous ceux qui savent et se taisent par intérêt (parfois c’est par peur ou honte mais c’est minoritaire), l’omerta généralisée, les cris d’orfraie hypocrites au possible à chaque nouvelle “affaire”, comme s’ils découvraient le problème à chaque fois (mon oeil), la même hypocrisie bien-pensante dégoulinante.
Et puis il y a quelques courageux, en général ce sont ceux qui, en premier, brisent l’omerta, prenant des risques, bien souvent.
Mais personnellement, je ne parlerais pas de responsabilité collective, ni des femmes, ni des hommes : chacun est responsable de ce qu’il fait, pas de ce que font ou ne font pas les autres, sur lesquels il a peu ou pas de prise, par définition, dans un monde libre.
“… personnellement, je ne parlerais pas de responsabilité collective, ni des femmes, ni des hommes : chacun est responsable de ce qu’il fait, pas de ce que font ou ne font pas les autres, sur lesquels il a peu ou pas de prise, par définition, dans un monde libre.”
Magnifique conclusion à laquelle je souscris pleinement.
Une “responsabilité collective” impliquerait l’existence d’une volonté de groupe, ce qui permettrait alors à chacun de se dédouaner totalement ou partiellement dans un prétexte de prétendue “soumission” à une influence extérieure. Or c’est bien chaque être qui dispose de son libre-arbitre et qui en est pleinement responsable, avec toutes les conséquences que cela implique.
Donc je vous approuve pleinement, Jacques
Cette fois c’est trop. Je n’ai rien dit à propos des autres articles du même genre, vu de surcroît les commentaires…Mais tant pis si je prends encore une volée de bois vert.
On NE PEUT PAS mettre sur le même plan les victimes de harcèlement et d’agressions avec leurs auteurs.
A propos de Hollywood : il est POSSIBLE que dans certains milieux (genre film pornographique) certaines femmes ne soient pas dérangées par les promotions canapé et scènes de lit. Mais il ne faut pas généraliser.
1- On ne peut pas mettre sur le même plan l’employeur et le demandeur d’emploi ! L’un est en situation d’infériorité.
2- Ne pas oublier que les victimes sont toujours isolées, prise une par une : c’est facile de leur faire croire que d’autres attendent leur tour (ce qui est sûrement vrai), que personne ne les croira, que si elles parlent leur carrière est fichue ou pire; que s’il y a procès on les accusera de se rendre intéressantes, de mentir et d’être vénales. Que faire lorsqu’on s’aperçoit que les agresseurs sont aux postes clé et verrouillent tout.
3- Ne pas oublier la puissance des humiliations et insultes : si on refuse, on est pudibond, réac, coincé, frigide et j’en passe. Toucher au Q, c’est pire que de toucher à l’avortement. Qui est prêt à vivre avec cette réputation et supporter sans cesse ces humiliations, dans un milieu fermé ?
4- pour les scènes de lit, bien des acteurs disent après coup, quand ils ne risquent plus rien, à quel point ils n’ont pas aimé ces scènes ! qu’elles leur ont été imposées mais qu’ils étaient mal à l’aise. Les acteurs de bluettes comme Coup de foudre à Bollywood disent au contraire comme ils sont heureux de jouer des amours innocents. Argument imparable : le public aime les scènes de lit et les attend, la preuve : qui proteste ?
5- pour le milieu du ballet et de l’opéra que je connais un peu : idem. Quels surprise et désarroi lorsqu’au bout d’une dizaine d’années d’études et de sacrifices pour une passion, lorsqu’enfin on décroche un rôle, de s’apercevoir qu’on est le jouet d’un metteur en scène ou chorégraphe ! idem pour les figurants. Regardez les mises en scène des ballets et opéras les plus classiques : combien de scènes scabreuses que rien ne justifie ? Si on refuse : on est viré. Seuls les plus grands solistes peuvent se permettre un refus.
Dire non, c’est changer radicalement de métier, donc apprendre autre chose, repartir de zéro. Certains n’ont peut-être pas le courage ou les moyens financiers de le faire, et ont des factures à payer, maintenant.
Parler de liberté dans ces conditions, c’est indécent. Il faut avoir du choix pour être libre.
6- il faut voir les choses de plus haut : un hold up de la gauche révolutionnaire (à tous les niveaux, politiques compris) pour imposer ses vues, dont fait partie le Q. Imposé aux acteurs-danseurs-chanteurs, au public, en disant à chacun séparément que l’autre le demande, et en verrouillant les postes clés.
Quand le public hue les figurants contraints à des scènes scabreuses, le metteur en scène qui les a forcés n’est pas hué, il est payé, refait la même chose au même endroit ou plus loin. En France beaucoup de nominations sont politiques, et je n’entends personne s’insurger contre ces diktats du Q dans le milieu du spectacle.
7- et aussi des professeurs dans des classes à concours…osez porter plainte dans ces conditions, je vous souhaite bonne chance…
Lorsque Lorraine Schmidt a été tuée, son père a voulu alerter les parlementaires sur le cas du violeur et la permissivité de la loi. Il a témoigné qu’on lui présentait des condoléances sur le moment, puis que les gens se sont détournés. Ce genre de chose dérange, les gens ne bougent pas. Et il était général…Que dire des autres, plus humbles ?
Enfin il est scandaleux que pour ce genre d’agressions, la suspicion se porte d’emblée sur la victime et non sur l’auteur !
Quand on est tabassé, au vu des marques extérieures, en général on plaint la victime, sauf des psys tordus qui disent des épouses battues qu’elles sont consentantes, parce qu’elles ne luttent plus et ne s’en vont pas (en ignorant royalement le processus de destruction physique et psychologique qui amène la victime à craindre même l’extérieur et à s’estimer incapable de s’en sortir et même se trouve coupable de ce qui lui arrive, comme le lui répète son bourreau).
Mais pour le Q, plus difficile à prouver, c’est la victime qui est suspecte.
Et à cause de ce genre de discours, les victimes sont isolées. Elles savent d’avance ce qu’elles vont endurer et reculent. Pourquoi ne pas faire un procès, disent certains ici ? pour tout revivre ? pour entendre les avocats de la partie adverse qu’on l’avait bien voulu ou qu’on invente ? Comme si on n’était pas assez détruit !
Cela finit dans le silence, la mise à mort sociale pour celle qui résiste, la tentative de suicide ou le suicide.
On n’a pas de soutien, même lorsque les faits sont connus ; les calomnies du bourreau et la lâcheté des autres font qu’on est seul.
Un tel déballage ne me surprend pas. Il suffit (comme pour les dissidents de L’URSS : penser à Soljenitsyne qui disait que le communisme tenait par le mensonge. Dites la vérité et il s’écroulera) que quelques personnes aient le courage de parler, alors les autres ne se sentant plus isolées parlent aussi. S’il y a calomnies, elles visent l’ensemble des victimes, et non plus une seule.
Pour DSK et Bill Clinton, les langues se sont déliées, de la part de leurs propres collaborateurs, seulement une fois qu’un scandale éclate : tout le monde connaissait leurs “faiblesses”… Pour J Lang, de très fortes présomptions. Si l’entourage de puissants ne dit rien, si les politiques ne disent rien, pensant “cela ne me regarde pas” ou “cela pourrait être pris pour une cabale”, comment voulez-vous que les victimes parlent !!!
Dans l’état actuel des choses, les musulmans (et aussi les homosexuels) coupables sont quasiment intouchables.
Et pour cette raison, il ne faudrait pas punir les blancs non homosexuels coupables ? C’est tordu non ?
Peu importe par qui on commence, cela finira par retomber sur les autres par ricochet. Et on n’a pas à laisser un coupable en liberté sous le prétexte qu’il y en a d’autres…
C’est l’entourage qui savait et n’a rien fait qu’il faut traiter de complice, pas les victimes !!!
En cause, le mépris de la femme, encouragé par la mentalité contraceptive, largement partagée de nos jours. Les femmes voulaient espacer leurs grossesses, sans avoir le courage d’imposer à leurs maris un peu d’abstinence pour les laisser souffler. Elles en subissent les conséquences : celles de la pilule qui finissent par être médiatisées, et le mépris et la violence qui n’ont fait que croître.
En cause aussi l’hypersexualisation de la société, dans tous les domaines, qui touche aussi les enfants, contre laquelle on ne proteste pas assez (celui qui le fait est aussitôt insulté, voir plus haut…), et promue par les mêmes bourreaux et leurs complices…
La femme, siège de la vie, et l’innocence, spécialement enfantine : c’est signé l’Autre.
Et moi, je refuse de considérer les femmes comme des victimes, l’agneau qu’on mène à l’abattoir. C’est là que je vois le mépris de la femme.
Il est temps que les femmes se rendent compte qu’elles aussi ont un rôle à jouer, c’est trop facile de ne rien dire puis de jouer les victimes après. Si c’est ça, la règle du jeu à Hollywood ou ailleurs, c’est sans moi. Un cadre sup pour qui j’avais travaillé brièvement a essayé ça avec moi une fois. Pas deux. Un regard a suffi, il a compris tout de suite que j’étais prête à le balancer par la fenêtre.
Quand aux femmes qui voudraient imposer l’abstinence à leurs maris… Vous voulez dire que les femmes n’ont pas de pulsions sexuelles ? Nous sommes au 21ème siècle, réveillez-vous !
“Un regard a suffi…”
Vous êtes ceinture noire de karaté ?
si non, vous avez eu beaucoup de chance.
N’accusez pas les autres parce que vous avez eu de la chance. Certains ne supportent justement pas les NON ( et je ne parle pas d’un regard qui arrête… !!!).
Soit ils s’estiment offensés soit ça les excite comme l’instinct du chasseur. Dans les deux cas, ils ne lâcheront pas.
Pas de karaté, de judo. Le plus important, c’est l’attitude, pas la connaissance des arts martiaux.
Offensés ou excités, dans beaucoup de pays, la loi est de notre côté, et il y a aussi des gens corrects.
D’une manière générale, il est temps que les femmes apprennent à se prendre en charge. Je refuse absolument cette attitude de victime.
Californienne, j’adhère.
Moi aussi j’ai eu l’occasion de décocher le regard qui coupe toute envie à la main baladeuse de poursuivre son investigation corporelle.
non, c’est la confiance et la maitrise de soi qui sont en cause et qui se sont vues.(ou se sont faites pressantes, tout autant que le harcèlement)
Quand je dis qu’un regard suffit, c’est parce que les hommes dont vous parlez sont des lâches, et ils comptent justement sur la culture de victime que vous semblez accepter. Il est temps que les femmes se libèrent. Il n’y a pas que des gens gentils de par le monde, et il faut que les femmes aussi soient prêtes à gérer les situations désagréables.
Il n’y a pas d’attitude ou de culture de victime dans ces cas-là.
Mais quand ça se termine par une mise à l’écart, une mutation forcée, tentative de suicide ou suicide, il y a bien une victime, objectivement.
L’environnement y est pour beaucoup (attitude des collègues et supérieurs).
Si la personne visée par des harcèlements (sexuel ou non, j’élargis le débat, mais le processus est le même), des violences verbales, même avérées (les violences verbales s’entendent lorsque les cloisons sont fines), les gens en général ne se mouillent pas, disent qu’il y avait bien une raison, rien n’est tout blanc ou noir etc…Le supérieur ne veut pas d’ennuis. Donc que la loi soit du côté des victimes ou non, cela ne change pas grand’chose. Si on ne parle pas, ça continue ; et si on parle, on fait des histoires pour pas grand’chose, on n’a pas bien compris, on a provoqué etc etc .
Et agir contre des choses dites de face, c’est possible, mais contre des coups/calomnies répandues dans votre dos et que vous découvrez trop tard ?
Et l’innocence et et la gentillesse sont des faiblesses, et malheureusement non une force, surtout que la perversité a ses codes qu’on ne maitrise pas toujours.
Dans ces circonstances, avec la lâcheté ambiante, c’est la loi du plus fort.
Quand il y a “punition” de la victime, ou suicide, iriez-vous jusqu’à dire que c’est de la faute des victimes qui ne se sont pas libérées, pas prises en charge, avaient une culture de victime ?
alors ça c’est le comble !
je finis par me dire, à tous vous lire, que les suicidées sont mieux où elles sont, ce qui du reste est sûrement vrai.
Pour leur famille restée sur terre, c’est l’enfer. Outre le deuil, pas moyen de faire éclater la vérité, avec une majorité de gens pensant comme les commentateurs et auteurs d’articles.
Effectivement, l’environnement y est pour beaucoup, comme vous dites, et ça commence à l’enfance. On peut être défaitiste, ou on peut se rendre compte qu’il faut faire quelque chose, ne pas subir sans rien dire.
A vous lire, j’ai l’impression que beaucoup de femmes ont grandi dans un cocon, et qu’elles arrivent complètement désarmées dans le monde du travail, et dans la vie d’adulte en général. Ce n’est pas mon cas, et je suis sûre que je suis loin d’être la seule. Si quelqu’un vous dit que vous faites des histoires pour pas grand-chose, vous acceptez et vous en restez là ? Personnellement, je ne pourrais pas supporter ça.
C’est le contraire.
Ceux qui ont étudié la question disent que les gens harcelés sont des gens gentils, consciencieux, et surtout qui n’ont pas une énorme confiance en eux. C’est le contraire du cocon.
En rester là ou non : Aller jusqu’au procès ? c’est tout déballer, être humilié en public, chercher des témoignages alors que personne ne veut se mouiller. C’est passer pour une personne à problèmes (alors qu’on n’est que le révélateur de problèmes préexistants), car la vie est ainsi faite que c’est la victime et non le fauteur de troubles qui passe pour être à problèmes. Et enfin prendre le risque de ne pas retrouver d’autre poste, précisément à cause du procès (celle qui a causé des embêtements à un collègue ou supérieur, sans compter les calomnies déversées sur vous).
Chercher à faire rendre justice à l’intérieur du service ? Encore faut-il que quelqu’un le veuille bien. Et ça peut durer bien des mois, voire beaucoup plus. Si vous êtes isolé, et le harceleur se débrouille pour que vous le soyez, vous êtes coincé.
Je dis que vous avez eu de la chance.
Monter dans la chambre d’hôtel d’un homme pour boire un dernier verre, c’est quand même un coup assez classique. Jouer les étonnées que ce monsieur vous saute dessus c’est de l’hypocrisie. Je suis d’accord avec l’article et vos commentaires. Et qu’on vienne pas me dire que celles qui refusent de se faire harceler sont des femmes “pas baisables” comme on dit élégamment.
@ Julie. Merci pour votre courageuse et pertinente contribution. Respect. On sent qu’elle sort du cœur. Et je ne la ressens pas du tout comme une critique de l’article de JPG. On a l’impression aussi que vous, ou votre entourage en ont vécu des choses… En fait, dans ce cas, ces épreuves sont un avantage. Elles permettent de traverser la vie plus forts. Saint-Exupery disait à juste titre: “L’homme se mesure devant l’obstacle”. On parle souvent de la femme comme du sexe faible, je préférerais de loin dire comme le sexe le plus délicat, le plus précieux, celui qui donne la vie. Et qui mérite tous nos soins attentifs comme pour une fleur, infiniment belle mais aussi fragile, délicate. Et dans ce cas-ci bien-sûr, fragilité et délicatesse n’ont rien à voir avec faiblesse, ce sont, au contraire, des qualités uniques, de parfums, couleurs et beautés irremplaçables.
J’ai compris l’article de JPG comme une invitation au débat. Et, dans le triste spectacle que nous offre notre monde aujourd’hui, les responsabilités des souffrances endurées par les uns et les autres dépassent les barrières du sexe. Il y a des violeurs et des victimes c’est sûr, et vous faites bien de rappeler que le plus “fort” abuse de la faiblesse du plus faible. Il y a des coupables et des victimes mais c’est aussi vrai, hélas, que les victimes ne sont pas toujours du sexe dit “faible”. Et il faut aussi pouvoir l’entendre. En fait, les femmes qui font preuve de maturité et d’intelligence appartiennent de fait au sexe fort et les hommes stupides et immatures au sexe faible.
Et le sexe fort pourra toujours résister et dire non au sexe faible. Lisez à ce sujet le commentaire de Magali Marc ci dessus. Bien cordialement,
“J’ai compris l’article de JPG comme une invitation au débat.” : vous avez parfaitement compris. Les commentaires ne devraient servir qu’à cela. Je les vois comme l’étalage d’un supermarché ou chacun choisit les idées qui lui conviennent et les consomme. 30 ou 40 personnes commentent, mais 30 000 lisent. Le produit de cet ensemble est ce qui fait grandir une personne, un groupe, une société, la pensée collective, c’est le produit de cette liberté d’expression dont on parle tant et dont on oublie l’objectif.
Julie, trop longue votre intervention.
Ce que vous dites ne contredit absolument pas l’article! Vous concluez avec le “mépris de la femme”, et vous avez raison. La femme qui illustre l’article en photo s’aime-t-elle? Ne venez pas me dire qu’elle est obligée! ce n’est pas une simple “demandeuse d’emploi”. Il y a tout de même d’autres emplois que de jouer à Hollywood.
Une femme libérée ne devrait-elle pas prendre en main cette liberté et arrêter d’être exactement ce que l’homme (dépravé) attend?
J’en ai marre de regarder ces films où toutes ces scènes de sexe doivent être contrebalancées par un cours d’éducation affective: je ne veux pas que ma progéniture ressemble à çà!
Je n’accuse personne. La vie est dure. La reussite encore plus. Cependant, dans mes posts precedents, j’ai pose la question sans exagerer, car n’etant pas machiste ou anti-feministe, je ne peux pas penser qu’elles soient 100% coupables. Weinstein st un manipulateur, un predateur et une crapule. Bien sur, il a profite d’une avenue qui lui etait ouverte (sans jeu de mots). Maintenant, mon feminisme a moi, c’est plutot Sarah Palin, Condi Rice ou Mia Love que Hillary Cliquetonne, Madonna ou Eleonore Roosevelt.
Bien sûr! Vive les Condi! L’exemple de la Clinton montre bien que sa liberté de femme est d’être la femme du président qui a abusé de sa secrétaire. Elle lui a pardonné la Clinton, pauvre cruche!
“Elle lui a pardonné”.
Pardi, elle a toujours su où étaient ses intérêts et en plus, elle devenait “la pauvre Hillary”, une malheureuse victime…
Elle est devenue une icône du féminisme, c’est ça qui est incompréhensible… Trump est macho, il ne s’en cache pas. Qu’est-ce qui est mieux? L’hypocrisie des Clinton?
cet article est très pénible, il ressemble à l’argument du pédophile qui affirme qu’on l’a
“provoqué” c’est le rapport de force au départ qui indique qui est la victime et la situation est très claire: même si a l’extrême une femme est prête à tout pour obtenir un rôle par ex il appartient au producteur de lui faire remarquer que ce n’est pas sur cette base qu’il travaille sinon il abuse du rapport de force
Pourquoi incriminer uniquement les dirigeants du cinéma alors que tous ceux qui ont du pouvoir en abusent, c’est humain…
Le Président de la République qui distribue les rôles au Gouvernement
Les Chefs de partis qui décident des investitures des Parlementaires….
Les Ministres qui choisissent leurs conseillères de Cabinet et sur quels critères …..
Les P.d.G des chaines de télévision qui recrutent leurs collaborateurs, journalistes, reporters, présentatrices de la météo…, la liste est longue.
Alors, pourquoi seulement Weinstein est-il accusé d’abus sexuel ?
Voyons la situation comme elle se présente :
1° il s’agit d’un Juif (Weinstein) qui a le profil parfait du “bouc émissaire” que notre société cherche à sacrifier pour s’absoudre de ses péchés.
2° l’intitulé de la campagne “DénonceTonPorc” n’est pas anodin dans la mesure où, par définition, les porcs et les Juifs sont les ennemis des musulmans.
3° Organiser une vindicte populaire contre un Juif qui se comporte comme “un porc” c’est réaliser, en quelque sorte, le rêve d’une organisation islamiste comme que BDS.
4° Il existe donc un mobile (l’antisémitisme) et un mode opératoire (dénigrement outrancier) portant la signature de cette campagne de dénigrement; il ne reste plus qu’ à aller chercher à leurs domiciles l’auteur et ses complices, mais que fait la Police ?
Hé, hé! DSK aussi est juif et porc… M’enfin Ramadan a rejoint cette meute de porcs.
putain mais arrétez d insulter les porc!!!! surtout en parlant de personnes qui n’en mange pas!!! l être humain se suffit as lui même en que pourriture sans le comparer tout le temps as un animal!!
Yes et je dis YOUPI.
Ce type est malsain.
Il y a une particularité dans le cinéma, et c’est que les films ne peuvent pas se faire sans femmes, sans premiers rôles féminins. Ce levier, les femmes ne l’utilisent pas.
je suis contre les agresseurs surtout contre les patrons agresseurs qui disent a des femmes que si elles ne couchent pas avec eux …. alors elles seront congédier …..si les femmes auraient porter plainte alors depuis long temp cette forme de chantage serait terminer
Ce genre de pratique existe partout où il y a égalité homme femmes.
Mise à part des les société corseté et surveillées nordiques, les hommes ayant plus de libido , ils vont forcement être tenté de donner l’avantage aux jolies femmes.
D’autant plus qu’ à notre époque où il n’y a plus que des boulot bidons de communication et où les compétences réelles sont secondaires !
Ce que je vois actuellement c’est que la blonde de mon service qui est nulle va être promue et en prime comme Weintsein mon gentil chef s’affirmera encore plus comme féministe.
Tout ceci n’est pas le pire , le pire étant que l’islamisation est le produit du féminisme.
C’est pour cela que les sociétés les plus féministes s’islamisent le plus vite (suède norvège allemagne ….et catalogne) .
@ ceruti
“l’islamisation est le produit du féminisme.” C’est un point de vue intéressant. Pouvez-vous le développer?
Pour ma part, je n’ai jamais considéré les “victimes” qui se dévoilent depuis quelques semaines comme autre chose que des complices salaces qui se sont tues pour obtenir des rôles dans cette industrie du cinéma et ce faisant ont permis que des ordures du type de ce porc d’Hollywood consomment des gamines en toute impunité. Pour une fois, féminisons l’abject et déclarons TOUTES POURRIES quelles que soient leur origine ou nationalité !!!!! Elles ont toutes goûté du ou des porcs, quels qu’ils soient eux aussi, dans tous les continents. Le Satiricon est dépassé et Pétrone jubile et les personnes d’aplomb pleurent de honte.
Bien! C’est vrai que les rôles qu’elles acceptaient après la promotion canapé étaient rarement du style “Mère Teresa”… C’est souvent pour jouer ce qu’elles et ils sont dans la vie d’Hollywood.
Ça ne tient pas la route puisque c’est faire abstraction totale du plus vieux métier du monde. Ce ne sont pas de “pauvres types” uniquement parce qu’ils passeraient outre les jeux de séduction. La testostérone a ses impératifs. Ceci n’est pas une justification ou une excuse (et encore moins une pipe), mais un simple constat des faits. Le pauvre type commence uniquement à partir de l’imposition du sexe non consentant, quelle que soit la raison de ce consentement et le niveau du résultat (autre que soulagement hormonal de l’initiateur). Et il faut rester honnête : je doute que l’initiative vienne de la part des femmes. C’est toujours et invariablement la pression dans les co….es qui est en amont de tout ce cirque.
@ aspirine
“La testostérone a ses impératifs” – la civilisation aussi, qui impose à l’humanité de contrôler certaines pulsions. Ou alors, il faut admettre que nous retournons à l’homme des cavernes.
L’article est clair, net, complet et vrai.
Je dis ça dès le début de cette affaire, parce que j’ai un cerveau, et je me heurte à des critiques à n’en plus finir, car les sans-cerveau (et non sans dent !), soit 85 % des français, résonnent comme les médias islamo-gaucho leur disent de raisonner.
Je ne suis, par contre, pas d’accord avec la phrase de Jean-Patrick GRUMBERG qui est celle-ci : “Les hommes qui abusent de leur pouvoir pour faire passer les starlettes à la casserole en leur promettant une carrière bien mijotée me dégoûtent.”
Et bien, pas moi. Ils ne me dégoûtent pas (au risque, également, de choquer).
Pourquoi ?
C’est tout simple. Quand on embrasse (sans jeu de mot…) un milieu professionnel, on en accepte les règles. Quelques exemples :
– j’embrasse la carrière d’être à mon comte > je vais travailler comme un malade et payer des sommes d’impôts considérables. Je l’accepte.
– j’embrasse la carrière d’être un artiste > je vais vivoter sans jamais réussir à boucler mes fins de mois. Je l’accepte.
– j’embrasse la carrière d’être sportif professionnel (cycliste…) > je vais trimer tous les jours physiquement et moralement. Je l’accepte.
– j’embrasse la carrière d’être fonctionnaire > je vais me heurter à d’extrêmes lourdeurs, de revendications de syndicats imbéciles, d’une absence d’autorité. Je l’accepte.
– j’embrasse la carrière d’être cadre dans le privé > je vais travailler trois fois plus qu’un ouvrier, gagner deux fois moins que lui à l’heure et ne toucher aucune allocation. Je l’accepte.
– etc…
Alors, quand on embrasse la carrière d’actrices, ont sait que, depuis le début du cinéma, il faut coucher, et bien on l’accepte et on ferme sa gueule. Sinon, on fait autre chose.
CQFD. Point barre.
Il y a deux failles dans votre raisonnement.
La première se trouve à la limite entre ce qui est moral et ce qui ne l’est pas. Entre ce qui est légal et ce qui ne l’est pas. Entre le bien et le mal. Les exemples que vous donnez pour expliquer que vous n’êtes pas dégoutés par le comportement des hommes qui abusent sexuellement des femmes sont dans le domaine légal, alors que le harcèlement sexuel ne l’est pas.
La seconde faille est que vous parlez des femmes qui épousent cette carrière et devraient selon vous la fermer car ce sont les risques du métier. D’une part, j’évoque le dégoût que m’inspirent les hommes qui forcent les femmes sous le chantage et parler des femmes renvoie à un autre sujet, d’autre part, il n’est pas établi que les femmes pensent toutes qu’elles vont passer à la casserole pour obtenir un rôle. Il me semble avoir plutôt compris que les actrices s’attendent à un comportement honnêtes et sont choquées lorsqu’on tente d’abuser d’elles.
Merci de votre réponse. J’en suis honoré.
Mais le monde des bisounours n’existe que dans les belles histoires.
Le Monde que nous vivons, hormis quelques personnes fleurtant avec la sainteté, est un monde de crocodiles ou chacun ne voit qu’une seule chose : son intérêt. Rien d’autre.
Je ne vous apprends rien.
Si l’intérêt de Monsieur X est de faire quelque chose de pas moral, il le fera quand même (y compris les actrices). S’il prend des risques pouvant lui amener des ennuis, il réfléchira. Que celui (ou celle) qui a refusé de faire une chose servant son intérêt parce qu’elle n’est pas morale se fasse connaître. On risque d’attendre.
Le harcèlement sexuel ? N’est-ce pas l’attitude d’un homme volontaire envers une femme qui ne l’est pas ? C’est oui. Quand ladite femme couche avec un homme, certes très à contre coeur, mais pour faire carrière, est-ce du harcèlement sexuel ? Pour ma part, je ne le crois pas. On peut penser autrement.
Enfin, si une belle femme s’imagine qu’elle pourra faire carrière au cinéma sans coucher, et bien…sans jeu de mot, il faut qu’elle se réveille…et d’urgence.
Même si je devine que vous ne partagez pas mon texte puisque vous avez dit l’inverse dans le vôtre, je vous remercie de ce débat, et de tous vos formidables articles si clairvoyants et réalistes.
Merci
A +
Oryx
Certains sujets demandent une vision très lucide pour définir où se trouve la fine ligne rouge entre le bien et le mal. Comme pour la différence entre le racisme et la narration de faits qui ne concernent que les noirs.
Aussi, je dis non, “Le harcèlement sexuel” n’est pas “l’attitude d’un homme volontaire envers une femme qui ne l’est pas ?”.
Le harcèlement sexuel est l’attitude d’un homme qui insiste auprès d’une femme qui dit non de façon claire et répétitive, soit avec ses mots soit avec ses mouvements à des avances poussées.
Et là encore, la ligne rouge est fine puisque le jeu de la séduction amène souvent une femme à dire non à la première approche alors que ce n’est pas un non définitif.
🙂
@ oryx
“j’embrasse la carrière d’être à mon comte” – ne préfèreriez-vous pas embrasser plutôt votre comtesse?
Les bons contes font les bons amis!
Ah! Merci Mr. G! il faut n’avoir jamais fréquenté d’acteurs, ni lu la moindre biographie (comme celle d’Elia Kazan) ou même écouté les bio-télévisées de certain(e)s, pour gober que le monde du cinéma comme celui du théâtre n’est que coucheries et donc on se demande comment la pudibonderie vient soudainement les étouffer. Victimes consentantes et vicieux(ses) font la morale… allons donc! à qui profite le crime?!
“Je n’aime pas les meutes “. À méditer . Votre article pose les bonnes questions . Si pendant la guerre, il n’y avait pas eu de collaborateurs , il n’y aurait pas eu de Shoa. Point barre. Or, chaque collabo soumis a réagi comme le collabo hongrois Soros “si ce n’eût été moi, c’eût été un autre”.
Ces starlettes en devenir de stars font penser à la prostipute au Bois : il m’a payée 50€ pour une p… , j’aurais pu avoir plus, c’est du viol, SOS, j’ai été violée.
Combien se sont fait larguer pour une plus jeune et plus accorte , qui ont pris “leur place “? Quelle rancoeur ! “J’aurais pu avoir plus”…
S’il y a viol , c’est évidemment différent , puisqu’il y a usage de la force physique ou absorption de drogues non désirées .
Mais la majorité d’entre elles n’ont pas subi de viol, elles ont choisi la perte de leur intégrité physique en échange d’un deal fructueux.
Ne parlons même pas d’intégrité morale .
Je suis d’accord avec vous, si aucune n’acceptait ces deals, il faudrait bien choisir tout de même des premiers et seconds rôles .
Voyons comment l’une d’elles a beaucoup de mal à expliquer comment elle a entretenu une liaison avec son “violeur” des années durant Et sa fierté de parader à son bras.
Une française qui hurle avec les chiens a oublié son press-book : on la voit lovée contre le torse de Weinstein avec un sourire de femme amoureuse. Ils ne font plus qu’un.
Cette attaque contre le mâle blanc cinquantenaire a un objectif politique évident .
Ici, on va en venir à légiférer pour déterminer à partir de quel âge les relations sexuelles entre un adulte et un enfant sont autorisees .
Cette attaque vise par un moyen détourné à légaliser la pedophilie . Les juges ont d’ailleurs déjà statué en déclarant une petite fille de 11 ans “consentante”.
C’est aussi une diversion du Pizzagate (qui n’existe pas , comme la presse francaise le sait).
Ça détourne aussi l’attention du scandale de l’uranium américain bradé à la Russie sous Obama/Clinton Et la corruption des gouvernants.
Perso, j’ai bien ri lorsque, sur une tv belge, une dame qui avait une paire de loches hors normes et dont elle exhibait les 3/4, déclarait qu’elle avait déposé plainte à la police parce que des ouvriers du bâtiment l’avaient sifflée ! Non mais, sans blague !!! Tu déballes la marchandise mais il ne faut surtout pas la regarder !
” Tu déballes la marchandise mais il ne faut surtout pas la regarder !” : écoeurante opinion sur les femmes. Nous les femmes avons le droit de nous vêtir comme nous le souhaitons, C’est aux hommes de retenir leurs vils instincts prédateurs, et bas les pattes bon sang ! ou alors obligez les à porter la burqa, dans ce cas vous ne valez pas mieux que les jihadistes ! Je me demande même comment votre commentaire a pu passer la modération.
@ Chinook ! Il y a les prédateurs sexuels, les détraqués, les pervers et il faut les empêcher de nuire mais dans une société de personnes équilibrées, les responsabilités doivent être partagées ! Les hommes doivent pouvoir bien se tenir et les femmes ne doivent pas être dans la provoc ! Et cela n’a rien à voir avec le port de la burka que je déteste !
@J-P Grumberg, désolé de vous contredire mais le Cinéma est loin d’avoir l’exclusivité d’avoir des rôles pour les femmes ! en effet, depuis quelques années les partis politiques doivent présenter des listes de candidats à parité égale entre hommes et femmes; ce système électoral a décuplé le nombre de femmes à la recherche d’un rôle politique, ce qui donne davantage de possibilités aux hommes d’exercer des pressions sexuelles sur les nombreuses candidates qui, de surcroît, sont en compétition entre-elles ! le sexe en politique est devenu une occupation à plein temps et le droit de cuissage la routine ! il serait intéressant qu’une investigation journalistique soit réalisée sur ce sujet “brûlant”.
OK avec vous Dany, rare commentaire que j’apprécie sur cet article.
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu !
Que de temps et d’énergie perdus ! Tout ça pour ça ! Il a raison Grumberg.
Et il ne faut pas tout mélanger. Certes, le milieu hollywoodien est particulièrement pourri. Pour ma part, j’ai une petite expérience du milieu artistique français. Mais c’était “avant”, dans ma jeunesse, dans les années 70. C’était un autre monde.
Allez, je vous en parle, un peu.
Par le métier de mon père, j’ai côtoyé enfant, des vedettes. Bien sûr, tous n’étaient pas des “enfants de chœur”, ni des “enfants de Marie” mais il existait encore des valeurs morales. Des liens particuliers se nouaient, des couples se formaient, les tentations étaient grandes mais tout ceci restait discret, entre soi… et chacun était adulte responsable et consentant. S’il y avait eu de sales affaires, elles auraient été immédiatement connues comme “l’affaire des ballets roses” qui avait touché durement monsieur Trénet et dont on ne pu jamais prouver la véracité.
Plus tard, artiste moi-même, j’ai gravité dans beaucoup de milieux. JAMAIS je n’ai été confrontée à ce type de situation graveleuse. Pourquoi ?
Tout d’abord, parce que ce sont des métiers très difficiles qui demandent énormément de travail, d’investissement personnel et de courage. On n’a pas de temps pour le badinage et l’on veut être reconnu pour son talent et son travail. On bosse, on court partout, on est pauvre, on cachetonne, on galère, on doit faire ses preuves. La concurrence est rude.
J’ai un jour demandé à un producteur pourquoi les gens étaient persuadés que si l’on réussissait c’était forcément parce qu’on avait couché. Et si cette rumeur était fondée.
Voici ce qu’il m’a répondu : ” Que je couche ou non avec une chanteuse n’a pas d’intérêt pour moi. Si j’investis plusieurs millions, c’est parce que je crois en son talent et en sa capacité à tenir sur le long terme. Je ne peux pas me permettre de perdre de l’argent uniquement parce qu’elle est passée dans mon lit “. Bien sûr, comme dans tout milieu professionnel où vous passez plus de temps avec vos collègues qu’avec vos amis ou votre famille, des couples peuvent se former et quoi de plus normal dès lors qu’ils vivent la même chose que vous et parlent le même langage ? Après, il y a aussi les “starlettes”. Sans talent particulier autre que leur physique, et qui courent après la gloire en draguant éhontément… Pourquoi ne pas en profiter quand on est peu scrupuleux ?… Mais, c’est leur affaire et c’est la nature humaine.
Ensuite, c’est une question d’attitude et d’éducation. Il faut savoir garder sa réserve. On peut avoir des rapports amicaux, voire de complicité, et même affectueux avec certains qui deviennent des amis, mais en aucun cas laisser entendre que l’on serait “intéressée”. Il faut toujours garder une certaine distance et apprendre à repérer les petits malins qui promettent monts et merveilles en ayant de mauvaises intentions. Et ceci vaut dans tous les milieux… de la postière, à la secrétaire, en passant par la vendeuse ou une femme cadre.
Quand l’attitude dit non. Quand la parole dit non. Savoir se faire respecter et si nécessaire, distribuer des paires de claques, au propre comme au figuré. Et tant pis si l’on perd son travail. L’honneur est sauf. Mais si l’on n’envoie rien de particulier, de signe plus ou moins inconscient, ambigu, qui pourrait être mal interprété, il ne se passe rien, à moins de tomber sur des obsédés (et là, la paire de baffes, illico presto).
Enfin, un dernier témoignage. Il y a 40 ans, je déjeunais dans un restaurant du côté des Champs-Élysées et un homme me regardait avec beaucoup d’insistance et j’en étais très gênée. En sortant, il est venu à ma table, m’a tendu sa carte et m’a dit : “Mademoiselle, je cherche pour mon prochain film ma vedette féminine et ne la trouve pas. Vous êtes exactement mon personnage. Prenez rendez-vous à mon bureau rapidement s’il vous plaît”. Je regarde la carte et je vois que c’est un metteur en scène connu et sérieux. Je lui demande : “Monsieur, est-ce qu’il y a des scènes de nu ou de lit dans votre film ? Parce que si c’est le cas, ne comptez pas sur moi”. Il répond : “Oui, mais si cela vous gêne, vous aurez une doublure”. Alors j’ai dit : “Non merci. Car personne ne le saura et tout le monde croira que c’est moi. Et ça, je ne le supporterai pas. Je ne voudrais pas en avoir honte et faire honte à mes parents”. Il en était désolé mais n’a pas insisté. Et que croyez vous qu’il arriva ? Il trouva quelqu’un d’autre qui me ressemblait. Une petite starlette italienne. Ce fut le seul et unique rôle de sa vie. Personne ne paria un kopeck sur son jeu, ils voulaient tous sa plastique, largement étalée dans le lit de la vedette masculine de ce film. Elle a fini dépressive et suicidaire.
Donc, pour conclure, je le redis fermement. L’auteur de cet article a entièrement raison. Dans la vie, on doit faire des choix et les assumer. On n’en rend pas responsables les autres.
Pardon pour la longueur mais je crois que mon témoignage était nécessaire.
Un petit P.S. quand même. Parfois, ce ne sont pas les affaires de coucheries qui font ou non les carrières. Ce sont les coteries, les petits arrangements entre amis, les appartenances à certaines “confréries”… Si par exemple, vous avez des accointances avec certaine société “secrète”, vous n’aurez aucun mal à faire votre métier, à réussir, si vous êtes la cousine du chef d’orchestre, pas de problème, la relation d’un homme politique, ça arrange bien les choses, etc…
La plupart des artistes sont des gens sérieux, travailleurs. Si ce n’était pas le cas, ils ne pourraient faire carrière et durer. Catherine Deneuve a eu raison de s’offusquer de cette curée nauséabonde sur Twitter. Je ne pense pas qu’en cela elle ait démontré quelque soutien à Weinstein. Non. Elle est écœurée que cela puisse laisser croire que tout le monde artistique est pourri… ce qui n’est pas le cas. C’est notre société moderne tout entière qui est pourrie.
Votre démonstration serait sans faille, cher Jean Patrick, si les prédateurs se bornaient à ‘importuner’ (comme auraient dit les journaux anglais d’autrefois) des jeunes femmes au lieu de s’attaquer également aux jeunes hommes, voire aux adolescents ou aux enfants des deux sexes. D’accord, dans ce dernier cas ce sont les parents qui partagent la culpabilité avec le prédateur, mais on ne peut pas blâmer les victimes.
Et ces prédateurs ne cherchent pas à séduire ou à assouvir une sexualité particulièrement exigeante, mais à dominer par le chantage.
Mais à l’appui de vos arguments on peut rappeler que les stars d’autrefois, les du Parc, Camargo, Mademoiselle George, Juliette Drouet, Réjane, Sarah Bernhardt, etc.. quoiqu’ayant vécu très librement, n’ont jamais eu besoin de bâtir leur carrières sur la promotion canapé. C’est qu’elles avaient du talent, alors que la plupart des célébrités contemporaines n’en ont pas.
après une longue carrière de victime, un fait mécanique a fini par me sauter aux yeux : ce n’est pas l’homme qui prend, c’est la femme…
Autant je n’aime pas le tribunal populaire et la tendance actuelle de plus en plus forte aux jugements d’opinions et à la délation, autant je ne suis pas tout à fait d’accord avec votre démonstration JPG.
Personne ne peut garantir l’intégrité d’un groupe tout entier. Il y aura toujours certaines femmes qui accepteront de coucher pour leur carrière en le ressentant plus ou moins comme une contrainte.
Cependant, si l’on part du postulat que celles qui ne couchent pas ou refusent de céder ne font pas carrière, il ne reste plus que les autres.
Le choix se résume alors réellement à coucher ou faire carrière.
Et là en effet, la responsabilité individuelle joue (hors agression car le fait de ne pas parler par après n’est pas une concession mais résulte, entre autre, d’un traumatisme psychologique).
Je ne suis pas persuadé qu’une très jeune femme (18-20 ans) qui cède réalise la portée psychologique de son choix. Elle sera par la suite toujours une femme qui se percevra comme sans valeur car elle n’aura obtenu le succès qu’à travers d’inavouables concessions sur lesquelles elle ne pourra jamais revenir.
Cela peut d’ailleurs expliquer l’univers extrêmement malsain de ces milieux peuplés de beaucoup d’hommes minables abusant de leur pouvoir et de femmes névrosées ayant une image catastrophique d’elles-mêmes, les deux sexes ayant une image absolument dépravée des rapports hommes-femmes.
Cependant, je vous rejoins partiellement sur la conclusion : les femmes qui cèdent – s’il ne s’agit que de chantage car dans les autres cas ce sont de véritables agressions – sont d’une certaine façon coupables (car elles participent à l’entretien du système qu’elles prétendent dénoncer) mais pas au même titre que les hommes qui restent les principaux responsables.
Mais vous avouerez que sans jamais en parler, il n’est pas possible de faire changer ce type de pratiques (ce qui ne veut pas dire encourage des balancetonporc que je trouve nocif).
Il est très difficile de trouver une sortie par le haut pour tout le monde (crapules de type Weinstein exceptées).
Une chose est sûre : tout célèbre soit elle, si une actrice ou chanteuse marchande son corps en échange d’un rôle ou d’une chanson et que ce n’est pas par goût pour le sexe… c’est que quelque part elle doute de son talent.
Logique.
Quel plus beau cadeau pour un mec, que de se faire draguer ? Enfin on est loin de Hollywood, sauf pour ce qui est des belles plantes.
Bon, on a le droit d’admirer la beauté, sans ressentir le besoin d’aller “plus loin”.
Les regards se croisent, le sien se fait insistant, celui du bonhomme se détourne.
Elle fait le premier pas !
Pas de harcèlement, elle baisse subrepticement les yeux, le temps de scruter et de découvrir que je ne porte pas d’alliance (à cause d’une allergie).
Ni une, ni deux, tombe la question de savoir si l’objet de son intérêt est libre. Sa déception se lit sur son visage, en apprenant la négative.
Bon – il s’agit d’un bon nombre de cas où le même schéma se renouvelle -, elles se remettront vite, ayant toutes les roses de la vie à recueillir devant elles. Tôt ou tard ce seront elles qui se feront aborder, et trouveront dans les bras de l’amour la plus agréable des prisons.
Voilà, cela procure une certaine satisfaction de se sentir désiré…
Je hais les prédateurs sexuels, qu’ils soient males, femelles, hétéros, homos etc…;
Cependant je hais également la lâcheté.; Du coup, je ne sais ce qui me fait le plus mauvais effet.
Probablement que par lâcheté, intérêt personnel, cupidité bon nombre de harcelé(e)s n’osent piper mot , je peux le comprendre mais sans l’accepter comme excuse.
J’ai eu toute ma vie l’exemple de mon père qui était d’une rigueur morale sans faille et comme d’autres, même sous la torture il n’aurait jamais failli; Je pense que c’est cette rigueur qui a manqué a beaucoup;
Elle a manqué a beaucoup de celles qui balancent sur Internet en ce moment: Il ne leur fallait que du courage et de la rigueur morale et cela au moment des faits, pas 10 ans après ou cela s’appelle de la calomnie ou de la diffamation.
Plus haut, il était dit “Si on refuse : on est viré. Seuls les plus grands solistes peuvent se permettre un refus.”
Ma position ainsi que celle de mon épouse est de rejeter cet argument car rien ne vaut le regard que l’on se porte le matin dans son miroir.
Peu importe les galères, le gâchis et toutes les difficultés que peuvent impliquer un refus ou une dénonciation.
Je crois que le regard que l’on a sur soi même est plusieurs puissances de dix fois supérieur aux inconvénients d’un refus.
Mais comme disait l’autre, “c’est chacun qui voit.”
@ Julie
La chance de Californienne, c’est d’être forte, de refuser les compromissions et d’accepter les conséquences de ce refus, aussi pénibles soient-elles. Ce qui lui permet de se regarder dans la glace le matin sans faire la grimace. Sans prix à notre époque.
Merci, Atikva. En fait, je pense que je suis surtout libérée, et que j’essaie de bien faire mon travail. Je sais que c’est pour ça qu’on m’apprécie. Je sais aussi que j’ai certaines responsabilités parce que je suis adulte, et j’essaie de les assumer, ce qui veut dire que je dois gérer aussi les situations désagréables dans lesquelles je me retrouve de temps en temps, comme tous les autres adultes. Les personnes qui ne réagissent pas et se plaignent du comportement des autres sont souvent des gens qui refusent les responsabilités de l’âge adulte. La chance n’a rien à voir.
D’autre part, tikkun olam est une mitzva que je prends très au sérieux.
@ Californienne
Et comme vous avez raison ! Pour nous autres Chrétiens, l’équivalent c’est : «Fais à autrui ce que tu voudrais qu’il fasse pour toi.»
Je suis écoeurée par ce post et la majorité des commentaires….
Quoi les femmes osent réagir…. Évidemment ce sont des hystériques, des “féministes” des coupables qui veulent se faire passer pour des victimes, c’est une attaque en règle contre l’homme blanc alors que le danger vient des muzz, ce sont des femmes vénales… . Ces arguments me dégoûtent…
Vous osez dire que toutes les femmes devraient refuser ensemble mais quand enfin aujourd’hui elles le font, tous les arguments et toutes les insultes leur montre qu’elles sont COUPABLES.
1) il est probable que celles qui osent parler ne soient pas celles qui en avait fait une tactique de carrière
2) les femmes se taisent parce qu’on leur fait croire depuis toujours qu’elles sont coupables ( d’être provocantes, d’avoir de l’ambition, de n’avoir pas su se défendre, de ne pas avoir déposé plainte,….)
3) bien évidemment leur courage actuel est porté par le mouvement… Et c’est tant mieux !!!
4) oui ça fait du bien de dénoncer celui qui vous a humiliée et parfois souillée
5) la dénonciation n’est pas de la délation !!!! Revoyez votre larousse
6) ce n’est pas parce que l’on combat l’islam et la violence misogyne de l’homme musulman, que l’on doit accepter tout comportement déplacé des autres hommes
6) il ne s’agit pas ici du jeu de séduction, naturel, sain, agréable, mais de relations imposées, de gestes ou de phrases humiliantes imposés par une personne ayant un pouvoir décisionnaire sur votre vie.
Triste que vous aussi Jean Patrick Grumberg vous versiez dans cette mode, d’hysterisation et de culpabilisation de la femme qui ose se plaindre…..
“Les personnes qui ne réagissent pas et se plaignent du comportement des autres sont souvent des gens qui refusent les responsabilités de l’âge adulte. La chance n’a rien à voir”.
Vous n’avez pas compris ce que j’ai dit.
Je parlais , d’une part du verrouillage du système pour promouvoir de gré ou de force le Q et tout ce qui va avec,
et d’autre part ce qui arrive à ceux/celles qui disent précisément NON, veulent dénoncer une situation, et finissent détruits.
par un processus psychologique simple : il est impossible que la personne en cause, ou le système en cause, ait tort; cela remettrait trop en question. DONC IL FAUT que “la victime” ait tort.
Je m’arrête là.
Je refuse ce défaitisme. J’ai obtenu ma ceinture noire à la sueur de mon front, mes qualifications professionnelles aussi. Pas dans des pochettes surprise.
Pour en revenir à l’incident dont j’ai parlé, la DRH m’avait dit que je n’avais rien à craindre en cas d’évaluation négative, parce qu’ils connaissaient l’oiseau, et ils me connaissaient aussi.
Je n’ai pas été détruite. Le système dont vous parlez, il faut le combattre, il n’existe pas partout. Ce genre de système ne peut pas exister au grand jour, et c’est un levier de taille.
Pas véritablement hors sujet :
https://www.delitdimages.org/balance-ta-truie/
Car si nos “porcs” se lâchent, c’est notamment qu’ils ont sous les yeux le spectacle de l’impunité absolue de ceux qui, culturellement -si l’on peut parler de culture les concernant-, “le” sont, et dans des proportions bien supérieures ; des modèles, en quelque sorte.
Certes, les suidés ont une solide réputation (est-elle vraiment fondée ?) de crasse corporelle qui, mutatis mutandis, devient crasse intellectuelle et morale quand on l’applique à l’idolâtre (on n’est, in fine, idolâtre que de son ventre et de son bas-ventre), mais la ficelle est un peu grosse, qui veut que la seule référence à cet animal empêche de désigner la doctrine qui, fait assez unique sur la planète, promeut cette crasse intellectuelle et morale : les séides de celle-ci deviendraient enragés (belle susceptibilité de chochottes !) si on s’avisait de les désigner comme des porcs…
Il est vrai que la doctrine en cause ne fait jamais état d’un éloignement de la créature vis-à-vis de son Créateur, avec nécessité de Retour à Lui. Eux, ils sont parfaits !
Cependant, ses séides devraient tout de même (même si cela leur est interdit) s’interroger sur l’identité de celui qui leur affirme qu’ils constituent “La meilleure des communautés suscitées parmi les hommes » : Ne serait-il pas celui qui était venu susurrer quelque idée nouvelle, au tout début, à la « Vivante » ?
Sans doute faut-il être totalement asservi pour ne pas pouvoir en prendre conscience.
Or les moyens existent, visant à “rendre l’autre fou” (Cf. SEARLES Harold) : ils sont à la portée de tous, et l’individu versera dans la schizophrénie lorsqu’il est écrasé d’injonctions contradictoires (dites “paradoxales”), conduisant à un écartèlement psychique (liens opposés ou “double bind”).
Exemple connu : “(c’est l’idole qui parle 🙂 nous pourrions les (les infidèles) tuer nous-même, mais c’est pour te mettre à l’épreuve que nous te le demandons”, que vient contredire : “Ne crains pas, ce n’est pas vraiment toi qui les as tués (les mêmes), c’est bien nous (lulu-lolo-lili-lele-lala, enfin, toujours l’idole*) qui les avons tués”… Alors, épreuve ou propitiation ? L’un ou l’autre, mais pas les deux : Qui ne deviendrait fou ?
Ce monde est un hôpital psychiatrique à ciel ouvert où, au lieu de soigner les pensionnaires, on porte au pinacle leurs pathologies… en les laissant circuler sans contrainte au milieu de leurs victimes potentielles.
Qui peut les guérir ?
B-‘E
[*Ne jamais prononcer son nom, c’est toujours en vain !]
Harcèlement ou manque de compréhension… allez savoir…
sans compter que répondre gentiment non, à un Egyptien arabe ou orthodoxe* -par ex.!- en le regardant dans les yeux signifie : oui je me marie avec toi! (*c’est du vécu, avec l’orthodoxe -petite croix tatouée à l’intérieur du poignet).
Auj. -j’ai plein d’ex. !vous en sort 1- même interrogation avec un Africain qui ne nous dit plus bonjour – mon mari et moi – réfugié la 50aine qui trimballe les caddys – mais ce pourrait-être un collègue d’usine, de sport…- et je suppose donc, depuis qu’il nous fait la gueule, cette fois on a dû se tenir enlacés ! qu’il y voyait une forme de drague, et en brodant, il avait peut-être prit mon mari – qui a mon âge mais cheveux blancs – pour mon père!… en ns voyant 1 fois enlacés !
Avec les Balkaniques la drague ds les cafés sans regard insistant et rien demander !- peut-être le fait de s’assoir à côté d’eux (ds un lieu bien rempli)! – sous-entend : vous venez! Ils l’ont dit et on a cogité sidérées! Trop marrant l’étude des us et coutumes ! … aussi!
il y a xxx années à Paris, habituée au métro, j’étais harcelée par les Magrébins – petit format, donc facile à coincer, faisait pas mon âge donc vierge?! hihi je subodore encore – et devais donc trouver une formule pour ne pas répliquer à la parisienne -façon hautaine et blessante- car en plus je suis chrétienne… donc j’ai trouvé qq’formules : tu dirais ça à une fille de ton pays? …suis-je habillée comme une …? Je crois en Dieu et tu me blesse… le 1er à qui j’ai dit ça a laissé tomber (ts les autres également) mais lui, s’étant retrouvé sur le quai en face du mien m’a crié : pardon ! avec un tel accent de sincérité que je l’entends encore.
Oui je me fais souvent draguer, mais j’affirme que les féministes vous bourrent le moût, qd on est clair et sympa, pas d’imbroglio. Le harcèlement c’est bien autre chose et la France est en tête dans la promo canapé. La haine des féministes et des lesbiennes est la cause de pas mal de vos maux, Messieurs ! Simplifier par « toutes des s… » Trop facile, et la presse nous bassine avec ces raccourcis. Et les enfants, ça s’éduque et soigneusement, pas entre 2 truc hyper-importants et en gueulant sur tous les petits personnels – de la maternelles au lycée, des bonnes aux filles au pair, et sur le conjoint… qui ne font pas leur job !
Les violeurs et harceleurs me dégoûtent mais en revanche, je ne parviens pas à condamner moralement la prostitution quand elle est sur base volontaire. Je n’ai pas suivi de près l’affaire Weinstein mais si le gars exigeait que l’actrice couche avec lui pour avoir le rôle, elle avait le choix d’accepter ou de refuser. Si elle acceptait, elle recevait un paiement. N’est-ce pas très proche d’une relation consentante de prostitution?