Publié par Dreuz Info le 23 octobre 2017

Les Algériens ont pris l’habitude de critiquer la France. Ce n’est plus un secret pour personne. Cette France colonisatrice, coupable de leur avoir imposé ses us et coutumes. De les avoir laissés dans l’ignorance et le dénuement le plus complet. Soit.

Si cela est vrai, il faudra nous expliquer pourquoi les habitants de ce pays, devenu libre, ont fui cette « liberté retrouvée » dès les premiers mois de l’indépendance sans que, jamais, le flux ne se soit tari.

Car il ne fait plus de doute que l’Algérie a été incapable de retenir ses enfants malgré les richesses qui lui ont été abandonnées par cette France honnie.

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Ils sont donc venus s’installer en France et, selon certains auteurs algériens, ils seraient entre 5 et 8 millions devenus des « Français ».

Ne sont pas comptés, dans le nombre, les détenteurs de visas de court ou long séjours, les clandestins, les malades, les étudiants… et on en passe qui, finalement, pour des raisons qui ne regardent qu’eux et nos dirigeants, ne retourneront en Algérie que pour de courts séjours en attendant que la France leur attribue la nationalité de ce pays… qu’ils haïssent.

Mais que font-ils, donc, chez nous ?

Ils colonisent la France. Mais pas seulement. Ils l’islamisent.

Aujourd’hui, nous savons que plus de 10% de la population française est de confession musulmane. Or, les Algériens représentent la plus importante communauté musulmane, dans l’hexagone.

Force est de constater que si, aujourd’hui, notre pays est confronté à la montée de l’islamisme, dans le sens littéral du mot, ce n’est certainement pas le fait d’une minorité des ressortissants des pays arabo-musulmans mais, bien, de cette majorité de musulmans algériens devenus des « Français à part entière ».

Et ces nouveaux « Français » ont choisi de revendiquer leur islamisme et de l’imposer comme, jadis, d’autres Algériens l’ont fait pour se libérer de l’occupation française dans leur pays.

Est-ce un réel retour à la foi ? Est-ce l’esprit de revanche ? C’est, tout simplement, que les Algériens manquent de volonté pour s’affirmer par eux-mêmes, tels qu’ils sont, réellement. L’Algérien est toujours mécontent de son sort. Quitte à suivre les plus criminels d’entre eux, aussi.

Selon l’analyse d’un éditorialiste algérien, les Algériens attendaient de ces exilés devenus Français « qu’ils tirent l’Algérie par le haut ». Ils espéraient que ces Algériens, dès la deuxième génération née en France, deviendraient des citoyens français, respectueux de la démocratie, de la diversité, des lois républicaines.
Ils espéraient que cette nationalité algérienne qu’ils conservaient pourrait encourager ceux restés au pays, à faire comme eux, à leur ressembler.

Las ! Outre qu’ils ne se sont jamais intégrés à nos coutumes républicaines et bien qu’ils n’aient jamais vécu en Algérie, ils ont choisi délibérément de mettre en exergue leur différence. Ils se sont volontairement dissociés du commun des Français par leur coutumes ancestrales mais, surtout, par la religion islamique et sa doctrine.

Ce qui fait dire, à ce journaliste algérien, je cite :

« La communauté algérienne en France est totalement islamisée ou presque […] Quelques poches de résistance ! Les milliers de mosquées et des lieux de cultes musulmans financés par l’Arabie Saoudite, encadrés par des frères musulmans ou des imams salafistes, wahhabistes ont assassiné le rêve de voir venir un souffle d’air frais des milieux de cette communauté. »

Bien sûr, l’Algérie est amie de l’Iran et pas de l’Arabie Saoudite. Néanmoins, si ces deux pays extrémistes financent pareillement le terrorisme, il est vrai que le wahhabisme avec les Frères musulmans et les salafistes est plus présent, plus actif, sur notre territoire.

Donc, toujours selon cet éditorialiste algérien, ceux qui ont fui cette Algérie (un peu) dictatoriale – en tous cas, pas démocratique – n’ont pas répondu aux attentes de ceux qui y sont restés. Ceux-là espéraient que leur expérience de vie dans un pays démocratique et civilisé et grâce à l’enseignement qu’ils y avaient reçu, propulserait l’Algérie vers une réelle démocratie et, surtout, vers une laïcité indispensable à toute évolution d’un peuple.

Non. Les Algériens, en France, n’ont rien retenu des années de guerre contre l’islam sectaire. Ils n’ont rien retenu de ces cinquante-cinq années de despotisme FLN au pouvoir. Au contraire, ils sont devenus plus « islamistes djihadistes » que ceux restés au pays.

Et cet Algérien de conclure son édito par des mots effroyables qui devraient faire réfléchir tous les dirigeants français, de l’Etat à la Justice, en passant par nos Forces de l’ordre :

« On commence à avoir peur de cette communauté (ndlr : algérienne) […] Aujourd’hui, nous avons peur du wahhabisme parisien plus que du wahhabisme saoudien ! ».

Il a raison. Il sait de qui il parle, ce sont ses coreligionnaires. Il sait le danger que représentent ces gens parce qu’il les a subis pendant la décennie noire en Algérie. Aussi, parce qu’il espère voir son pays devenir un pays respectable et son peuple, un peuple respecté.

Ce que nous pouvons nous demander, nous, Français, c’est pour quelle raison nos dirigeants français font la sourde oreille.

Parce qu’ils savent que ce qu’écrit ce journaliste algérien est la vérité. Ils savent très bien que ces éléments sont de dangereux subvertisseurs. Ils nous en ont donné la preuve, maintes fois, depuis plus de 40 ans, en France. Et les dirigeants algériens n’ont pas été les derniers à les aider et les encourager.

Ils savent, aussi qu’une subversion, lorsqu’elle émane d’une minorité, est aisément répressible. Mais là, nous avons affaire à plusieurs milliers, voire des millions de personnes. Des millions de « déstabilisateurs » qui se sentent le droit de perpétuer leurs actes puisqu’ils ne sont pas réprimés. Qui se sentent le droit, le devoir, d’embrigader les autres communautés musulmanes.

Alors ?

Est-ce à croire que les paroles de l’ex-président de la République française en exercice, François Hollande, sont un fait inexorable auquel se soumet la France ?

Devrons-nous un jour – et, au mieux – accepter la partition de notre pays ?

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