Publié par Rosaly le 23 octobre 2017

Max Hill QC, un conseiller principal du gouvernement, a déclaré à la BBC que les Autorités n’allaient pas traduire en justice de nombreux djihadistes de l’EI, de retour au pays ˮ Home sweet Home ˮ, car elles privilégiaient la réintégration à l’incarcération.

Ces jeunes djihadistes naïfs qui reviennent de Syrie après avoir combattu pour l’EI doivent être réintégrés dans la Société plutôt qu’emprisonnés. ˮ

Les naïfs ne sont pas les djihadistes, mais ce Max Hill et ses semblables.

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Les conséquences de cette nouvelle idiotie de la bien-pensance pourraient être explosives. Ces djihadistes de retour en Grande-Bretagne sont des combattants ennemis. Ils ont rejoint un groupe, qui a déclaré la guerre au Royaume-Uni et à l’Occident et a appelé et continue à appeler au meurtre de civils européens.

La Grande-Bretagne aurait-elle réintégré en 1943 un groupe de nazis britanniques, ayant combattu pour Hitler ?

Ce ne sont pas les peuples qui doivent être remplacés, mais certaines Autorités et membres de nos gouvernements.

Par cette funeste décision, la Grande-Bretagne continue à exposer volontairement ses citoyens au danger et aux attaques djihadistes. Rappelons qu’actuellement, la Grande-Bretagne fait face à une menace terroriste des plus élevées. Peu importe, l’indulgence est de mise pour ces mercenaires d’Allah, qui méritent une seconde chance… Ils contribuent tellement à l’enrichissement de nos Sociétés, que perdre une génération de ces jeunes espoirs, pour quelques peccadilles de jeunesse, dues à leur grande naïveté romantique, serait une véritable catastrophe.

Le gouvernement britannique espère faire participer les égorgeurs de l’EI aux programmes de déradicalisation et réinsérer ces charmants individus dans la Société, une fois devenus de doux agnelets. Or, ces programmes ne fonctionnent pas.

Le Prof. Boaz Ganor de l’Institut International de la Police pour le contre-terrorisme avait une fois affirmé que la déradicalisation était pratiquement impossible. Le djihadiste du métro de Londres avait suivi un programme de déradicalisation, ce qui ne l’a pas empêché de passer à l’acte ; en France, le centre de déradicalisation, basé sur une participation volontaire, a dû fermer, les candidats brillant surtout par leur l’absence.

Jihad Watch avait rapporté il y a quelque temps que la seule raison expliquant cette clémence incompréhensible pour de nombreux citoyens était la crainte de paraître anti-musulman ! Cette peur d’être taxé d’anti-musulman prévaut donc sur la sécurité d’innocents civils ! Cela montre à quel point — proche du non-retour — les lavages de cerveau de certains Britanniques ont été efficaces.

Max Hill QC qui agit en tant qu’examinateur indépendant de la législation antiterroriste a déclaré lors d’un débat sur la BBC— Radio4 :

ˮNous avons déjà un nombre significatif de djihadistes de l’EI de retour au pays, en provenance d’Irak et de Syrie. Leur nombre est actuellement estimé à plus de 400.ˮ

Cela signifie qu’ils ont été interrogés par les Autorités et leurs cas examinés de manière très approfondie. Ce qui leur a permis de décider que des poursuites judiciaires n’étaient pas justifiées. Nous devons penser à la réintégration et nous éloigner de l’idée que nous allons perdre une génération à cause de leur voyage

“Mais c’est fascinantˮ a répondu le journaliste de la BBC.

Toutefois, certaines personnes pourraient dire :

ˮHé ! Attendez une seconde : ces gens ont rejoint des pays où des meurtres de masse ont été commis, ils y sont allés volontairement, sans doute parce qu’ils ressentaient de l’enthousiasme pour ce qui se passait là-bas. Dès lors, il semble bizarre de les traiter, comme s’ils n’avaient commis aucun délit

ˮCe n’est pas une décision que le M15 (Security Service) et d’autres auraient prise légèrement.ˮ rétorqua Hill.

“Mais ils ont donné toute latitude et je pense, qu’ils ont eu raison d’agir ainsi, pour ceux qui… voyagèrent par naïveté, ayant probablement reçu un lavage de cerveau en route, ou au cours de leur adolescence… Nous devons laisser une certaine liberté de manœuvre, afin d’éloigner ces individus des cours pénales

Ayant précédemment gentiment joué à l’avocat du diable, le journaliste sembla prendre cette argumentation pour argent comptant.

ˮC’est intéressant, n’est-ce pas Richard Barettˮ dit-il en s’adressant à un autre invité, un ancien directeur du M16 (Secret Intelligence Service). En fait, un nombre surprenant de ces gens, ne représenterait pas nécessairement un danger pour nous.ˮ

Oh, le bel angélisme rassurant du présentateur de la BBC. On croirait assister à une anodine discussion de salon, tout en savourant une tasse de thé et des petits gâteaux, alors que l’enjeu est la sécurité des Britanniques, mise en danger par le retour de ces islamistes entraînés à massacrer d’innocents civils.

ˮC’est absolument correct ˮ acquiesça Barrett.

ˮ Nombreux parmi eux partaient rejoindre quelque chose de nouveau, quelque chose qui leur semblait brillant et attrayant… et ils revinrent passablement déçus.ˮ suggéra-t-il.

Oui, ils partirent à l’aventure, à la découverte de nouveaux paysages... On croit rêver devant autant d’inconsciente minimisation de la réalité.

Hill concéda toutefois que certains de ces djihadistes avaient sans doute commis des infractions criminelles des plus graves en Irak et en Syrie, mais il rassura le public en disant :

ˮ Les responsables comparaîtront devant un tribunal pénal, s’il était prouvé qu’ils ont commis un crime.ˮ

A la question :ˮ comment pourra-t-ton rassembler des preuves dans une zone de guerre contrôlée par les djihadistes ? ˮ la réponse fut… le silence.

Lors de ce débat, aucune voix appelant à une action plus drastique contre les combattants étrangers ne se fit entendre. Il n’y avait personne pour représenter l’opinion populaire de personnes comme le Colonel Richard Kemp, l’ancien commandant en chef des Forces britanniques à Helmand, une province du sud-ouest de l’Afghanistan et membre du comité COBRA. Selon ce dernier, les djihadistes devraient être interdits d’entrée en Grande-Bretagne ou traduits devant la justice ou internés, au cas où ils réussiraient à s’y faufiler en douce, s’il était prouvé qu’ils avaient commis des crimes.

L’affirmation de Max Hill selon laquelle les Autorités allaient examiner attentivement les centaines de djihadistes de l’EI de retour en Grande-Bretagne ne fut pas remise en question lors du débat, malgré l’aveu récent du Maire de Londres Sadiq Khan estimant qu’environ 200 combattants de l’EI étaient dans la nature dans sa ville sans être surveillés.

Les Droits de l’Homme des égorgeurs, coupeurs de têtes, violeurs de l’EI priment sur le droit à la sécurité d’innocents citoyens britanniques. Cette tolérance maladive envers les assassins islamiques semble être devenue la norme en Occident. Peu importe les atrocités commises, peu importe le danger bien réel qu’ils représentent pour les populations, l’important c’est de les aider à se réintégrer, ces pauvres choux, dans la Société, leur donner une seconde chance. Ont-ils accordé une seconde chance à leurs victimes ces tueurs de sang froid, n’épargnant même pas les enfants ?

Chris Phillips, l’ancien chef du Bureau national de Sécurité contre le terrorisme (NaCTSO) avait déclaré :

Je ne crois pas que les Autorités britanniques sachent combien de gens ont quitté le pays pour la Syrie ni combien sont déjà rentrés. Il existe de nombreux moyens de revenir en Grande-Bretagne en évitant tout contrôle. ˮ

Le fait que ces mercenaires de l’islam soient libres de vivre en Grande-Bretagne et de perpétrer encore plus d’attentats, semant la mort et la destruction, est une preuve supplémentaire que les Autorités britanniques ne se soucient guère de la sécurité des gens ou si peu.

S’imaginer que ces ex-djihadistes de l’EI, qui haïssent la Grande-Bretagne et luttent pour instaurer l’islam sur toute la planète, ne représentent plus une menace pour la population indigène relève d’une naïveté sidérale et d’une irresponsabilité des plus criminelles.

La France, l’Allemagne, la Belgique, la Suède, le Danemark partagent cette même indulgence criminelle envers les égorgeurs de l’EI de retour au bercail, pourtant si honni, après la déconfiture de l’EI et de son calife, apparemment abandonnés par Allah le tout-puissant. Ce n’est pas encore aujourd’hui que le calife al-Baghdadi et ses hordes barbares hisseront leur bannière noire à l’odeur du sang sur Jérusalem et Rome.

 

Tous les Britanniques ne sommeillent pas, charmés par les discours officiels rassurants et faussement humanistes des médias et des experts, si prompts à excuser les naïfs djihadistes de retour en Grande-Bretagne.

Le 7 octobre dernier, une manifestation monstre anti-islam s’est déroulée à Londres. Aucun média officiel en a parlé. Pensez-vous ! Une manif anti-islam ! Comme c’est choquant, stigmatisant, affreusement islamophobe, indigne d’une démocratie tolérante, multiculturelle, ouverte à l’islam, cette si belle religion irradiant amour, fraternité et tolérance à l’égard des non-musulmans.

Tommy Robinson a tourné une vidéo montrant l’ambiance et le parti-pris insupportable d’un journaliste de la BBC. Écoutez les réponses sidérantes de ce scribouillard de la BBC. Ce dernier n’hésite pas à déformer la réalité, alors qu’il est témoin de ce qui est en train de se passer, pour l’adapter à la pensée politiquement correcte.

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : « UK Anti-Terror Tsar : UK Authorities not prosecuting Islamic State returnees to avoid creating a ˮLost Generation.ˮ (Breitbart)

 

 

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