Nous fêtons le premier anniversaire de l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis.
J’avais, en date du 4 novembre 2016, publié un article dans Dreuz, par lequel je démontrais que Madame Clinton serait battue. Nous n’étions pas nombreux à annoncer la victoire de Trump, victoire que les “vaincus” n’acceptent au demeurant toujours pas, multipliant les astuces procédurales pour aller contre la volonté du peuple américain et faire obstacle à la mise en œuvre du programme pour lequel Tump a été élu.
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Pourquoi Trump suscite-t-il une telle haine? Pourquoi en France notamment, provoque-t-il un mécanisme de rejet quasi-pavlovien?
Pour comprendre cette étrange situation, il faut revenir aux fondamentaux, notamment ceux véhiculés par les deux grandes idéologies qui ont dominé le XXème siècle, en tout premier lieu, le communisme.
En dépit des dénégations de Marx, qui en maints endroits de son œuvre fait l’apologie du capitalisme, se moquant des petits bourgeois apeurés, tel Proudhon, la théorie marxiste est fondamentalement réactionnaire en ce qu’elle exprime un rejet radical de la révolution industrielle.
Marx pensait que sa théorie conduirait dans la pratique, à un dépassement du capitalisme. L’épreuve des faits, la mise en application de sa doctrine, prouvent qu’il n’en est rien. Sa critique radicale du système capitaliste engendre un retour au système féodal comme le prouvent tous les régimes communistes se réclamant de l’héritage de Marx, depuis la défunte URSS, en passant par la Chine, Cuba et la Corée du Nord.
Tous sans exception ont mis en place de nouvelles formes de féodalités avec leur système de castes hiérarchisées, leur organisation rigide de l’ordre social, centrée sur une Église (le parti communiste) une religion (la dogmatique marxiste), une foi (le culte du chef suprême), avec son rejet de la liberté, et sa haine des bourgeois accusés d’être à l’origine de tous les maux.
Même valorisation, avec des motifs différents, de l’ordre féodal dans les régimes fascistes.
Au cœur de ce dispositif idéologique réactionnaire, le rejet du judaïsme et des valeurs qu’il véhicule.
L’un des tout premiers ouvrages de Marx, « La Question juive »*, peut être considéré comme le premier manifeste de l’antisémitisme moderne. Marx montre que le Juif c’est le matériel, l’argent, et que la société ne sera libre que lorsqu’elle se sera débarrassée des Juifs/bourgeois qui sont à ses yeux une seule et même chose.
Ainsi, le XXème siècle dans ses variantes communistes ou fascistes, peut se résumer à la volonté d’imposer par la force un retour au féodalisme.
Le monde d’aujourd’hui, celui du XXIème siècle, est dominé par l’opposition entre ces deux grandes formes de société: la société féodale incarnée par la Chine et le monde arabo-musulman et le capitalisme libéral incarné par les États-Unis et Israël.
Si les systèmes communistes et fascistes se sont effondrés en Europe, les idéologies qui les sous-tendent sont toujours vivaces.
C’est ainsi que le Président Trump dont la caractéristique idéologique majeure est de se faire le chantre du capitalisme libéral, est présenté en France comme un fou dangereux tandis que son homologue chinois jouit de l’estime générale.
La présence d’une importante communauté musulmane dont la religion, l’Islam, est par essence porteuse d’un modèle féodal, ne fait que renforcer ce clivage.
Les derniers sondages n’indiquent-ils pas que 80% des français se méfient de Trump?
Vers quel camp basculera l’Europe? Vers le camp féodal, majoritaire sur la planète (Chine, Monde Arabe…) ou vers le camp du capitalisme libéral représenté par les États-Unis-Israël?
Tel est l’enjeu de ce phénomène majeur que Guy Millière, lucide observateur de la société américaine, a qualifié de « Révolution Trump » (cf. son dernier ouvrage, « La Révolution Trump ne fait que commencer* ».
Les États-Unis parviendront-ils à sauver une nouvelle fois le capitalisme libéral et le modèle de société, la démocratie, qu’il véhicule?
Ou bien, le féodalisme incarné par le modèle chinois (et Arabo-musulman), imposera-t-il ses normes grises à la planète?
Rien n’est acquis, dès lors que l’on garde à l’esprit d’une part que le capitalisme n’a que deux siècles d’existence et le féodalisme, notamment en Europe, a dominé pendant plus de 1000 ans ; de l’autre qu’un fait nouveau majeur se produit sous nos yeux.
En principe, le système capitaliste ne pouvait se développer réellement, que dans le cadre des démocraties respectant les libertés fondamentales, publiques et privées.
Sous les régimes autoritaires ou fascistes, le système végète. (Cf les dictatures de Franco, de Salazar, d’Amérique latine etc…)
Or, l’émergence de la Chine semble administrer la preuve que le système capitaliste peut se développer dans le cadre d’un régime autoritaire ne respectant pas les libertés fondamentales, à la condition qu’il fonctionne selon une dogmatique marxiste bien rodée.
Un régime qui ignore le « social », les droits des travailleurs, où le droit de grève et la liberté syndicale, la liberté d’opinion, le multipartisme…n’existent pas…qui en raison de sa rhétorique marxiste neutralise les critiques de « gauche » et partant du « politiquement correct » ; un tel régime peut être terriblement attractif pour les grandes entreprises qui y sont assurées de réaliser des profits records. Le phénomène massif des délocalisations et des transferts de technologie montrent que cette attractivité du régime chinois est bien réelle.
Tous les clignotants de la politique européenne montrent qu’elle est séduite par ce modèle. Outre sa tiédeur dans la dénonciation de la violation des droits de l’homme par le régime de Pekin, ne s’est-elle pas engagée dans la voie d’un monisme économique (le Traité de Rome fonde tout le développement sur l’unique instance économique) directement issu de la théorie marxiste sur le prima de l’infrastructure économique sur les superstructures ?
Pilotée par les grands groupes, par les grands féodaux de l’industrie et de la finance, l’Europe avance à coup de diktats concoctés par les technocrates de Bruxelles dans le dos des peuples.
De nouvelles féodalités se mettent en place gouvernant sans partage.
Peu à peu, la démocratie européenne tend à devenir un mot vide de sens, un leurre reposant sur la fiction des droits de l’homme réinterprétée à la lumière du marxisme, dans lequel l’homme n’est qu’une abstraction vide de toute historicité, de toute caractéristique ; un être interchangeable… et dont l’immigré, le « migrant », le « sans » est devenu le modèle archétypal qu’on veut vendre aux peuples à tous prix et dont le « Juif » qui ne renonce pas à ses traditions, son « particularisme », représente une « gêne », un obstacle dans ce processus. (cf. l’ouvrage d’André Senik, « Marx, les Juifs et les droits de l’homme »* paru chez Denoël en 2011).
L’Europe qui à coups de milliards créé de toutes pièces un sous-prolétariat misérable, une masse de pauvres, de « gueux » comme on disait au Moyen-âge ; (en France, huit millions de gens vivent au dessous du seuil de pauvreté. Il n’y en avait que quelques centaines de milliers en 1954).
Cette Europe qui prône un modèle unique de développement (celui de l’Allemagne) ; qui fait de la « pensée unique » une norme impérative ; qui réduit la « culture » au simple divertissement de masse ; qui fait de la destruction des identités nationales et individuelles, son objectif « culturel » majeur ; une telle Europe reconstruit les structures d’un nouveau féodalisme où des « seigneurs » vivant hors de l’ordre commun, disposant de moyens gigantesques, imposent leur volonté à des Etats impuissants, simples relais permettant de réduire les peuples, chaque jour davantage, à l’état de masses indifférenciées.
Ne va-t-on pas jusqu’à priver l’individu de sa caractéristique biologique majeure, de la seule chose qui semblait lui appartenir en propre, son identité sexuelle ? (Freud disait « l’anatomie, c’est le destin ») Faire comme si, être homme ou femme n’était qu’un accident culturel, une simple option ? Ne nous orientons nous pas vers la création d’un être « neutre » ? Sans passé, sans culture, sans identité spécifique, interchangeable au gré des besoins de la nouvelle technostructure féodale ?
La démocratie qui semblait avoir triomphé avec la chute du mur de Berlin et l’effondrement du bloc soviétique, est de nouveau en danger.
La dictature chinoise est en passe de devenir un modèle.
Le dénigrement de Trump par l’Europe et de nombreux autres pays, n’est-il pas l’indice de ce possible basculement dans un monde dominé par le nouveau système féodal planétaire ? (cf. mon ouvrage « De la 4e république au néoféodalisme »*, Berg International, 2011).
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Pour info, ce commentaire que je reproduis ici sur le devenir de l’Europe :
Un scoop du journal allemand SPIEGEL : l’armée allemande envisage la désintégration de l’Union Européenne.
Etude secrète de l’armée allemande :
Les planificateurs militaires pensent que l’effondrement de l’Union Européenne est concevable.
Selon une information de SPIEGEL, pour la première fois la Bundeswehr a étudié les tendances sociales et politiques jusqu’en 2040. Les stratèges militaires prévoient un scénario catastrophe.
L’armée allemande estime que la fin actuelle de l’Occident dans les prochaines décennies est possible. Ce sont des informations obtenues par SPIEGEL au sujet de la « Perspective Stratégique 2040 », qui a été adoptée fin février par le ministère de la Défense et qui a depuis été tenue secrète.
Pour la première fois de son histoire, un document de 102 pages de l’armée allemande montre comment les tendances sociales et les conflits internationaux pourraient influencer la politique de sécurité allemande dans les décennies à venir.
Cette étude définit le cadre dans lequel l’armée allemande du futur est susceptible d’évoluer. Le document ne fournit pas encore de conclusions concrètes sur l’équipement et sur le matériel.
Dans l’un des six scénarios (« L’UE en désintégration et l’Allemagne en mode réactif »), les auteurs prévoient une « confrontation multiple ». Cette projection décrit un monde dans lequel l’ordre international s’érode après des « décennies d’instabilité », dans lequel les systèmes de valeur divergent dans le monde entier, et dans lequel la mondialisation prend fin.
« A cause de l’élargissement de l’Union Européenne et de la sortie d’autres États qui quitteront l’Union, l’Europe perdra sa compétitivité mondiale », écrivent les stratèges de l’armée allemande :
« Un monde de plus en plus désordonné, une évolution chaotique et conflictuelle changera l’environnement de sécurité de l’Allemagne et de l’Europe de façon spectaculaire. »
Dans le cinquième scénario (« D’ouest en est »), certains États de l’Est de l’Union Européenne paralysent l’intégration européenne, tandis que d’autres « rejoignent le bloc de l’Est ».
Dans le quatrième scénario (« Concurrence multipolaire »), l’extrémisme est en hausse lors des élections et certains membres de l’Union Européenne « semblent même rechercher une politique selon le « modèle capitaliste d’Etat » de la Russie.
Le document ne fait expressément aucun pronostic, mais tous les scénarios sont « plausibles à l’horizon 2040 », écrivent les auteurs. Les simulations ont été développées par des scientifiques du Bureau de planification des forces armées fédérales.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/bundeswehr-studie-haelt-zerfall-der-europaeischen-union-fuer-denkbar-a-1176367.html
Concevable?
Ou plutôt souhaitable et indispensable.
L’europe, c’est le gouffre à pognon de Bruxelles, Strasbourg, Luxembourg, et les trop remplis de la panse joueurs de tablette et “siesteurs”.
La féodalité est née d’une nécessité impérieuse de se défendre contre les pillards bretons et vikings. L’état central étant incapable de défendre les populations, il a bien fallu inventer autre chose et cette chose autre, ce fut un système décentralisé et hiérarchisé d’auto-défense qu’on a appelé “féodalité”. C’était un système permanent de service militaire qui pouvait être actionné à n’importe quel moment. Des professionnels de la guerre, ce furent les chevaliers, constituait le socle de tout l’édifice féodal et c’était la foi qui en constituait le ciment. La foi en Dieu et le serment lige prêté sur les reliques des saints. La féodalité n’a strictement rien à voir avec ces régimes athées, corrompus, criminels, esclavagistes, qu’ils soient communistes ou fascistes. Il s’agit même de son exact contraire, puisque ces deux régimes odieux étaient totalement sataniques.
Je n’ai jamais dit que féodalité et socialisme était la même chose.
J’ai dit que le communisme a développé une nouvelle forme de féodalisme.
Je n’ai jamais dit que le féodalisme né après l’effondrement de l’Empire Romain
était totalement négatif.
Les formes nouvelles qu’il prend aujourd’hui sont toutes négatives, violentes et anti-démocratiques. Il suffit de se pencher sur la période de l’Occupation ou sur les écrits de Charles Maurras.
Il ne faut pas confondre féodalité et socialisme, cela n’a rien à voir.
Le noyau de la féodalité, c’est la famille, et son moyen d’existence, la loyauté. Le noyau du socialisme, c’est l’individu (l’individu, dans un ensemble non familial, et non la personne ; là aussi il y a souvent confusion, on appelle individualiste le respect américain de la personne, pour mieux valoriser le socialisme). Son moyen d’existence, c’est le collectivisme, avec ses corollaires, autoritarisme et égalitarisme.
Le Moyen Age a par ailleurs connu de belles périodes de progrès économique, technologique, scientifique, agricole, essor des villes etc.
Avec la féodalité, toutes les structures intermédiaires entre le plus haut niveau et le plus bas sont respectées et libres. Dans le socialisme, elles sont supprimées.
La féodalité s’est effondrée peu à peu, lorsque la notion d’Etat dépassant la personne du suzerain a prévalu, le choc ayant été la maladie de Charles VI et le choix à faire entre le Dauphin futur Charles VII (celui que promeut plus tard Jeanne d’Arc) et le duc de Bourgogne. Ensuite les envoyés royaux sont entrés en concurrence avec les seigneurs, et les droits seigneuriaux peu à peu ne correspondaient plus à des services.
Il y a trop d’erreurs, de généralisations hâtives et de confusions dans cet article pour qu’on puisse s’atteler à tout démêler.
Je me bornerai à mentionner la première erreur, à savoir l’affirmation que Marx rejette la révolution industrielle. Rien n’est plus faux. Les trois volumes de “Das Kapital” nous procurent une analyse du capitalisme de la grande industrie qui ne remet aucune en cause les avancées techniques et scientifiques qui constituent la société industrielle. Bien au contraire, le propos de cette analyse est de montrer que la grande industrie va libérer les prolétaires en les émancipant du labeur aliénant qui les attache aux machines. Marx serait le premier à se réjouir de la robotisation actuellement en cours.
Soit dit en passant que je ne suis pas marxiste du tout et me sens très proche de la conception économique d’Ernst Friedrich Schumacher (“Small is Beautiful”) et, pour mentionner un auteur beaucoup plus récent, de la pensée économique de John Michael Greer, dont le livre “The Wealth of Nature” prolonge le travail de Schumacher.
En accord avec ces auteurs, je rejette complètement la théorie anthropocentrique de la valeur développée par Marx. Marx n’a aussi pas saisi le rôle fondamental que joue l’énergie extrêmement concentrée des carburants fossiles (charbon, et, plus tard, pétrole et gaz naturel) dans le système de production caractéristique de la société industrielle.
Bon, je m’arrête là.
Desole de vous dire que vous vous trompez concernant Marx. Celui-ci considérait que la part du capital consacrée au capital constant (machines, technologies, matières premieres, infrastructures) allait s’accroitre et conduire a la diminution de la part du capital appelé par lui capital variable (salaires versés aux ouvriers), ce qui allait conduire a ce qu’il a appelé la baisse tendancielle du taux de profit, a une exploitation de plus en plus forte des ouvriers, et a une paupérisation relative et absolue de la classe ouvrière qui, a ses yeux, allait des lors inéluctablement se revolter. Marx s’est trompé et l’a compris: c’est pour cela qu’il n’a pas achevé la redaction du Capital. C’est pour cela aussi que le marxisme est entré en crise fin 19eme siècle. Les réponses a la crise ont été d’un coté le réformisme prone par Bernstein et Kautsky, de l’autre la théorie léniniste de l’impérialisme et de l’exploitation des pays prolétaires.
J’ajouterai que les auteurs que vous citez ne sont pas des économistes sérieux (Marx, lui, n’était pas un économiste du tout, mais un ideologue pratiquant le bricolage dans le secteur de l’économie). L’un, Schumacher, a élaboré une vague économie bouddhiste et fait l’essentiel de sa carrière dans une institution d’essence socialiste, l’autre, Greer, est un illuminé écologiste se prétendant druide.
Lisez “Das Kapital”. Il est clair que vous ne l’avez pas lu.
La raison pour laquelle Marx n’a pas terminé son grand ouvrage, c’est tout simplement qu’il est mort avant d’avoir pu le terminer.
D’ailleurs, même si vous aviez raison, cela ne voudrait pas encore dire qu’il rejetait la société industrielle.
Correction: … qui ne remet aucunement en cause…
Mes excuses.
Quant à votre opinion de Schumacher et Greer, c’est une opinion qui cherche gratuitement à ridiculiser. C’est d’ailleurs une de vos habitudes lorsque vous n’aimez pas une quelqu’un et que vous n’avez rien à dire de probant, et ridiculiser est tout au plus un argument ad hominem, l’argument du faible.
J’ajouterai que j’ai noté mes préférences en théorie économique pour m’épargner le reproche que je serais une espèce de marxiste ou de crypto-marxiste et non pas pour que l’on me fasse la leçon sur les mérites de ces deux auteurs. En fait, ce que vous pensez de ces deux auteurs m’indiffère profondément: c’est encore un exemple de votre tendance à faire des remarques sans pertinence d’aucune sorte.
moi ce qui me fascine de Trump est pour fêter son 1ier anniversaire comme Président , il fête cela en Chine car il négocie avec la Chine pour être sûr que ce Pays soit ferme avec la Corée du Nord pour ainsi éviter une guerre …… putain de merde ont a pas vue une telle fougue pour régler un problème avec ce Pays avec ses 3 générations de Psyco. du grand-père du père comme le fils actuel bref Trump prend de front ce que Bush , Clinton , W. Bush et Obama ont refuser de faire …. qui est de prendre ses responsabilité
Il suffit de voir la tête des merdialopes des deux côtés de l’Atlantique. Voila qui me réjouit de voir autant de haine partisane, et me confirme qu’ils l’ont mauvaise de ne pas avoir réussi totalement leur coup d’état.
Cher lecteur,
1) Julie: Je n’ai jamais confondu socialisme et féodalisme.
Je dis simplement que le communisme a reconstitué une forme de féodalisme.
Je n’ai jamais dit non plus que le féodalisme tel qu’il s’est créé après l’effondrement de l’Empire Romain d’Occident, était totalement négatif.
Je pense que le retour au féodalisme prôné par les régimes d’extrême droite autoritaire, ou dans les faits par les régimes communistes, est un danger pour la démocratie libérale. C’est une régression dangereuse pour les libertés.
2) A Occident: je n’ai jamais dit que Marx rejetait la révolution industrielle. J’ai même écrit le contraire dans cet article. Marx dans plusieurs endroits de son oeuvre, fait l’apologie des industriels et du système capitaliste.
Ce qui me semble clair, c’est que la sortie du système capitaliste qu’il prône, ne se fait pas par le “haut” comme il l’espérait, mais par le bas. Sa croyance fondamentale en la puissance rédemptrice de la classe ouvrière, produit un monstre. La classe ouvrière qui fait la révolution, ni se libère, ni ne libère le peuple. Le système mis en place est une dictature.
Les principes de Marx, appliqués dans le monde réel, montre qu’il est un vrai réactionnaire.
Cette photo inspire le respect à l’échelle mondiale, le Président Trump avec son plateau au milieu de la troupe témoigne de ses valeurs humaines.
A quand notre minable irrespectueux jupiter se comporter de la sorte.
Vraiment, l’Amérique et son peuple sont comblés par la grandeur de leur dirigeant élu démocratiquement.
Vive l’Amérique, vive la France Patriote, dehors la mafia socialiste.
les dictatures de Franco, de Salazar, d’Amérique latine etc : pas efficaces.
C’est faux pour l’espagne de Franco qui a connu un gros développement économique.
wikipedia
“L’industrie automobile a été l’une des locomotives les plus puissantes du miracle espagnol: de 1958 à 1972, elle a progressé à un taux annuel composé de 21,7%. En 1946 il y avait 72 000 véhicules privés en Espagne, en 1966 il y en avait 1 million. Ces chiffres sont uniques au monde. ”
Ce n’est qu’a la mort de Franco que l’économie espagnole croit moins que l’économie française pour reprendre ensuite dans les années 80. début années 60 elle était à près de 15% de croissance !(5% en france)
Sinon l’éclatement de la zone euro est souhaitable pour les économies mondiales et européenne mais Berlusconi a été viré pour l’avoir voulu, les gauchistes grecs ont été achetés-menacés et bloqués (on ne sait pas encore comment, omerta) pour ne pas le faire, (il suffit qu’un des pays sorte de l’euro pour que tout s’effondre rapidement).
La zone euro est aussi inepte que les collages des pays d’Amérique du sud au dollar, çà a donc déjà été fait et çà été une catastrophe.
Toute manipulation monétaire qui consiste à fixer une monnaie se solde toujours par une catastrophe.
La zone euro ne tient que part l’afflux monétaire du nord vers le sud (prêts à faible intérêts) y créant des bulles immobilières (parfois un quadruplement en France en 20 ans alors qu’il n’y a eu que 30% d’inflation sur les autres biens : c’est pourtant évident) et réduisant leur compétitivité, induisant une croissance faible pour l’europe ……et la planète entière (la zone euro est la plus grosse zone économique mondiale …et elle marche sur la tête).
Les pays du sud deviennent des côtes d’azur désindustrialisées au nord où l’inverse se produit (faible immobilier allemand et compétitivité allant en s’améliorant).
Bref l’europe devient un seul pays où comme la France, l’Italie ou l’espagne les régions se spécialisent et divergent totalement.
La zone euro crée une divergence massive entre les pays au lieu des les faire converger, une zone de faible croissance avec aussi un danger de déflation (qu’il faut obligatoirement compenser par un qe permanent).
Cher lecteur,
1) Julie: Je n’ai jamais confondu socialisme et féodalisme.
Je dis simplement que le communisme a reconstitué une forme de féodalisme.
Je n’ai jamais dit non plus que le féodalisme tel qu’il s’est créé après l’effondrement de l’Empire Romain d’Occident, était totalement négatif.
Je pense que le retour au féodalisme prôné par les régimes d’extrême droite autoritaires, ou dans les faits par les régimes communistes, est un danger pour la démocratie libérale. C’est une régression dangereuse pour les libertés.
2) A Occident: je n’ai jamais dit que Marx rejetait la révolution industrielle. J’ai même écrit le contraire dans cet article. Marx dans plusieurs endroits de son oeuvre, fait l’apologie des industriels et du système capitaliste.
Ce qui me semble clair, c’est que la sortie du système capitaliste qu’il prône, ne se fait pas par le “haut” comme il l’espérait, mais par le “bas”. Sa croyance fondamentale en la puissance rédemptrice de la classe ouvrière, produit un monstre. La classe ouvrière qui fait la révolution, ni se libère, ni ne libère le peuple. Le système mis en place est une dictature.
Les principes de Marx, appliqués dans le monde réel, montre que sa théorie est réactionnaire. Il n’est que prendre en compte l’analyse qu’il fait des Juifs et de la question Juive.
3) Je ne peux arbitrer la discussion concernant les différents économistes cités, mais je pense que pour ce qui concerne la remarque faite par Guy Millière, ce dernier a raison. En effet, vers la fin de sa vie, voyant ce que l’on faisait de sa pensée, Marx disait: “Je ne suis pas marxiste.”
Les militants socialistes de l’époque étaient peu nombreux à trouver grâce à ses yeux.
Il était agacé par la manière dont sa pensée était récupérée. Il prenait conscience sans doute par là, de l’impasse dans laquelle il s’était enfermé.
Si vous appelez nouveau féodalisme un système d’apparatchiks, je suis d’accord. Les apparatchiks sont les profiteurs/bénéficiaires d’une dictature.