Thierry Marchal-Beck, qui s’affichait en militant de la cause féministe, est accusé aujourd’hui par huit femmes de violences sexuelles.
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Accusé d’agressions sexuelles par huit femmes, Thierry Marchal-Beck, ancien président du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS) entre 2011 et 2013, n’hésitait pas à s’afficher en militant progressiste de la cause féministe au sein de son parti.
“La plus grande révolution de la France de 2025, c’est que la nation est devenue un symbole de l’égalité femmes-hommes à travers le monde”, proclamait-il ainsi, lors de son dernier discours de président du MJS en 2013, à l’université d’été du PS, rappelle le Lab d’Europe 1.
“On ne compte plus les crèches, les bâtiments publics, s’appellant Olympe de Gouges, Suzanne Lacore, Yvette Roudy, Simone Veil, Najat Vallaud-Belkacem. En 2025, l’égalité salariale est la norme (…). Les violences faites aux femmes reculent même si elles demeurent un fléau”, ajoutait même le donneur de leçons Thierry Marchal-Beck (à partir de 12:20).
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Un an plus tard, le MJS, non content d’avoir ignoré sinon couvert les agissements de son ex-président, s’était aussi attaqué aux “réacs” de la Manif pour tous, en associant dans une campagne publicitaire le mouvement opposé au mariage homosexuel… au viol.
Source : Valeursactuelles.com
Pour paraphraser un homme politique – qui avait reçu le prix de l’humour politique pour cette saillie pleine de réalisme* – : les socialistes aiment tellement les victimes de violences sexuelles qu’ils en fabriquent !
* “les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent”
D’autant qu’ils ont en leur sein des spécialistes nombreux dont certain (s) en attente de judiciarisation de leurs actes…….
Martine Aubry était au courant. Et elle détourne la tête en disant : “Il n’aurait jamais dû m’appeler “Martine”!”