Initialement publié le 19 novembre 2017 @ 10:29
Monsieur Jean-Patrick Grumberg,
Votre article du 02 novembre 2017, intitulé « Faut-il aimer la France » ne m’a pas laissé de marbre, comme aucun de vos articles, d’ailleurs, tous emprunts d’une grande pertinence et d’une grande intelligence.
Merci de poser la question ; nous nous la posons presque chaque jour, ici en France. À soixante ans passés, je me la suis posée dix mille fois, mais aujourd’hui la réponse m’effraie.
Je suis d’accord avec vous quand vous dites que la situation s’est dégradée depuis Giscard d’Estaing ; ce bellâtre se rêvait président de l’Europe et la France était devenue trop petite pour sa grosse tête d’œuf et de polytechnicien. Lui et les présidents qui ont suivi n’ont fait que descendre les escaliers de l’Élysée. Pas un seul n’a été digne, depuis, de ce qui était jadis la légitimité et la grandeur d’un Roi de France. Nous avons vénéré des grands rois, des petits, des empereurs et des présidents du conseil. Notre histoire est un roman que le monde entier nous envie et les philosophes allemands du XIXe ne concevaient même pas la Science autrement écrite qu’en français. Las, on crache dessus aujourd’hui, on se demande pourquoi.
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À la télévision, récemment, un Français (breton, originaire de Lorient) résidant depuis plusieurs années à Singapour avec sa famille, disait à un journaliste que pour lui le sentiment d’être Français se résumait à une formule simple mais profonde : quand il lui arrivait d’entendre le son d’un biniou ou d’une cornemuse sur des ondes radio ou télé, il comprenait qu’il y avait « le pays que l’on habite et le pays qui vous habite » ; son pays était sa Bretagne natale et il mourrait avec elle au fond du cœur.
Vos questions, Monsieur Grumberg, et les réponses que vous vous faites, nous nous les faisons également, avec un chagrin grandissant. Il y a beaucoup d’indifférence, de renoncements, de spéculations, de je-m’en-foutisme et d’égoïsme autour de nous. Pour ma part, je comprends mieux aujourd’hui ce qu’a été la collaboration avec l’ennemi pendant la Seconde Guerre mondiale ; nous ne vivons pas autre chose qu’une collaboration, sinon une « Soumission » comme l’a très bien ressenti Michel Houellebecq. J’ai relu récemment « Le premier cercle » de Soljenitsyne ; non plus de façon dégagée, comme en 1970, mais avec une sorte d’angoisse prospective (Freud dirait une « angoisse d’attente »).
Les mécanismes de l’amour de son pays participent de la construction de la psyché humaine et celle de la civilisation. Je suis atterré par le nombre de Français qui s’en contre-foutent. Ceux qui sont incapables de cet amour ne mériteraient pas qu’on leur prête attention ; mais ils sont devenus puissants et méchants. Non bien sûr que ce n’est plus réciproque ! Trop belle, la France, comme la Joconde, est en déshérence.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Georges Balcon pour Dreuz.info.
Rayer de la carte professionnellement car j’ai émis des critiques sur la valeur des procédés de l’Inra, rayer de la carte familialement par la justice française, je mettais alors en avant le hastag #RayerLaFranceDeLaCarteMondiale, finissant pas considérer que pour cela je n’avais aucun effort à faire, que les autorités françaises s’en chargeaient.
De retour “au pays” après avoir travaillé à la Banque de France à Paris, j’ai fait face à une pluie d’arrêté à mon encontre : illégaux et contracditoires refus et retrait de permis de construire, interdiction préfectorale de reprendre la ferme parentale. A la manoeuvre un maire de nom Ménard, et derrière la décision préfectorale, le syndicat agricole dirigé par son fils.
Aujourd’hui le fils est maire, je devrais dire, était maire, car il a vendu sa charge à la commune plus grosse d’à côté pour un euro symbolique disait rageusement hier un voisin avec qui je parlais. Comme moi, lui aussi a déménagé sans bouger, changeant d’adresse, sans le moindre vote. Ainsi Ossé, ma commune de naissance, a été rayée de la carte mondiale, son site web est venue obsolète…
Cette procédure microscopique est-elle le reflet de ce qui est en train d’advenir de la France ?
Très vrai tout cela…
La question était : “faut-il aimer la France?”
Je dirai que, si tu n’aimes pas la France et également pourquoi pas les Français…, mais vas-t’en, vas-t’en très loin, disparais mais arrête de te poser des questions…!
“””Je suis atterré par le nombre de Français qui s’en contre-foutent. “”””
Moi aussi, qu’est-ce qu’ils font là, si ce n’est profiter de la France et des Français???!
Pour ma part, j’aime la France, et malgré moi, excusez-moi, mais… je hais ceux qui s’en contre-foutent mais qui sont toujours là pour en profiter…
Trop facile…
La France, tu l’aimes ou tu la quittes!!!
S’il n’y avait dans ce pays que des gens aimant cette France, il ferait bon y vivre!!!
Même les politiques ne sont là que pour en profiter et pour la dessécher alors Basta!!!
Oui, la France aime là, ou alors tu peux partir on ne te retiendras pas, ne t’inquiètes surtout pas pour ça…! Adieu et bon vent…!
Bien à vous
Financièrement, la France a profité de moi, et non l’inverse. Mais je ne lui en veux plus. Je lui ai donné infiniment plus que ce qu’elle me rendra, j’ai fait d’importants efforts pour contribuer à son économie et la réduction du chômage. C’est du passé, I never cry over spilled milk.
Ce que je veux dire avec ces précisions, c’est qu’il est regrettable, à mon sens, sur Dreuz info, de se soumettre à la dictature des clichés faciles.
Je suis parti loin de la France non que je ne l’aime pas, mais parce que son niveau standard en matière de liberté individuelle est très inférieur au mien. Mes valeurs n’étaient pas du tout en phase avec celles de la France.
– C’est aussi mon cas personnel:
A moins de 18 ans, je me trouvais dans un corps de choc de nos Armées, car alors, je croyais “bêtement” à la valeur de la “Patrie” et à l’exemple donné par nos anciens.
Depuis lors, je me suis rendu compte qu’on les a bien eus ceux-là qui ont laissé leurs vies pour “çà”.Et malheureusement, je n’ai pas réussi, étant plus jeune, à en foutre le camp.
Donc, maintenant j’estime qu’elle me doit l’équivalent de ce que j’étais prêt à donner pour elle.
Mais, je ne me fais aucune illusion: les brassards des résistants de la Dernière Heure sont déjà prêts.
Je vis à l’étranger, je rêve de rentrer au pays mais quand je vois ce qu’il est devenu, j’ai l’impression de n’avoir plus de “homeland”.
C’est un sentiment dévastateur.
L’amour de son pays, comme les autres, ne peut pas être inconditionnel. Il arrive un moment où la personne aimée s’est tellement reniée qu’il devient impossible de se rendre complice de son infamie. Continuer à aimer sans respecter, ce n’est pas à la portée de tout le monde, heureusement. La cuisine français, c’est bien bon, mais ça ne remplace pas le respect de soi-même.
Dans ce cas, deux options: refuser d’être complice et prendre le maquis – mais quand on est pratiquement seul, ça ne sert à rien – ou tourner la page et partir reconstruire sa vie ailleurs. Ce qui n’empêche pas d’espérer qu’un jour le pays d’origine retrouvera son âme, ni de chérir de toutes ses forces le pays d’adoption. Celui qui a le coeur trop petit pour contenir d’autres amours que celui de ses origines est bien à plaindre.
PS: pardon, cuisine françaisE, bien entendu.
Hellen j aime votre commentaire.
je dis la meme chose a certains, vrais Francais qui crachent sur Notre France et qui en profitent amplement. honte a eux…
quand j etais petit, j ai 66 balais, je n ai jamais imagine que tout ces problemes allaient surgir. et quels problemes.
que va devenir ce beau pays, et que Faire.
merci a vous.
Pas une ligne de cet article n’est à modifier. C’est exactement ce que je ressens actuellement vis à vis de la FRANCE, qui pour moi n’est plus la FRANCE que j’ai aimée.
Effectivement, si pouvait les mesurer, il n’y aurait pas un seul parmi tous ces ploucs qui arriverait à la cheville du plus petit de nos rois de France.
Les rois de France n’avaient (heureusement) pas fait l’ENA.
L’ENA est une petite Sarl spécialisée dans le clonage en série de petits communistes qui pensent à la place du peuple et qui nous pourrissent la vie depuis un demi-siècle.
@ Rico
Les rois de France n’avaient certes pas besoin d’un enseignement politisé pour gouverner. Ou de mercenaires pour les protéger de leurs sujets 24/7. Ils considéraient leur royaume comme la famille que Dieu leur avait donnée et savaient qu’ils auraient à répondre, au besoin sur leur vie, de sa sécurité, de sa prospérité, de sa liberté, de son agrandissement et de son honneur – de même que tout chef de famille.
Il y eut de bons, d’excellents, de moins bons et de mauvais rois de France. Mais aucun qui n’ait ressenti viscéralement son appartenance au pays que “Dieu aurait donné en héritage à son fils cadet s’il en avait eu un”, comme disait l’Empereur Maximillien.
Je ne suis surement pas royaliste. Mais je me faisais aujourd’hui la reflexion que Louis XIV a encourage Lully, que Rameau a compose sous Louis XV et que Macron (par l’intermediaire de son premier ministre) nous aura donne un rappeur islamiste et antisemite. On peut se dire “non, on ne tombera pas plus bas”, mais qu’est-ce qui nous attend lorsque la revolte gagnera ?
Oui, vous avez parfaitement raison: je ne dirai pas que je partage votre avis parce que vous en savez incomparablement plus que moi. Mais, sur le plan culturel, le siecle de Louis XIV fut immense: c’est egalement sous son regne, je crois, que l’Alsace fut acquise a la France, chose dont je lui serai eternellement reconnaissant. Mais la misere noire … Dans le film “si Versailles m’etait compte” de Guitry, il y a une replique astucieuse: a un moment, on voit Corneille, Lully, Moliere bavarder ensemble et ‘un d’eux dit “au fond, Louis XIV, c’est nous !” J’espere que Medine ne dira jamais“au fond, Philippe Emmanuel …”
@ Nicolas Carras Contrairement à vous , qui cherchez tout ce qui
peut faire détester la France, je lis tout ce qui me tombe sous la
main, et peut m’instruire sur ce qu’a été la France, pour la soutenir
dans la période de trahison qu’elle vit.
Et, me référant au même siècle que celui que vous avez choisi, je vous
livrerai qqs citations de Guy Patin, médecin connu par toute l’Europe
—comme l’étaient , à ce siècle, les grands penseurs, les princes, les
médecins, les inventeurs, les voyageurs…
Il parle de la famine qui frappait le peuple, en effet.
Mais , sous Louis XIV, la justice n’épargnait pas les puissants.
Lisez plutôt:
” La Chambre de Justice a donné un Arrêt considérable contre un
Partisan nommé Boisleve, ci-devant Intendant des Finances; on
avait saisi ses beaux meubles, & on avait avis d’une bonne somme
d’argent qui lui appartenait; un sien frère ci-devant Conseiller de la
Cour, aujourd’hui Evêque d’Avranches, & de plus, grand fourbe,
est intervenu, prétendant revendiquer lesdits meubles, & l’argent
aussi, comme s’ils lui appartenaient: il en a fait un serment, dont
la fausseté fut aussitôt découverte par M. Talon, ensuite dequoi
les meubles & l’argent furent trouvez & déclarez bien saisis, &
l’Evêque condamné à une amende de 12000 livres parisis: &
pour cet effet on envoya tout à l’heure chez lui, saisir sa maison
& ses meubles: vous voyez qu’il y a encore d’honnêtes gens à
Paris, qui font justice, nonobstant le sacré caractère”….
Les 3 tomes de Patin sont des lettres , écrites très spirituellement,
et souvent subversives.
Je les recommande à ceux qui aiment la France.
Ils ont voulu faire une révolution, quitte à éliminer un Roi, sa famille et tous les satellites – je pense surtout par jalousie -( mais maintenant, ils se disent Humanistes) ils sont restés tellement bêtes que ça ait marché auprès du “peuple” qu’il leur a fallu quatre vingt ans pour mettre en place leur système de remplacement perpétuel à la tête.
Comme ils se sont rendus compte que la place était bonne, ils se sont arrangés pour jouer les chaises tournantes avec la collaboration imbécile des veaux-tant payeurs.
Bonjour
Je ne pense pas que les Français s’en contre foutent je sens grandir une peur ils ne savent quoi faire.
D autre part on aime la France car on y est né nous aimons sa culture aussi et tout ce qu’elle nous a apporté
Rappelons également ce commandement il est écrit dans la Torah
– tu n auras pas l I dumeen en horreur car il est ton frère
– idem pour l Égypte car nous y avons demeuré
Donc ne pas aimer la France impossible pour un Juif
Peut on aimer la mère et pas le père ?
Israël et la France mes parents 💟
La France je l’aime ce qui s’y passe non of course.
Tout à fait d’accord avec ces commentaires , Après la mort du Président Pompidou nous avons été ” gouverné ” par des …… le seul qui a essayé de faire des choses positives a été contré ! résultat nous régressons dans tous les domaines ………
On aime son pays quand il nous a apporté joie, opportunité, liberté, confort et bonheur.
Aussi on peut aimer son pays d’origine d’où que l’on vienne, et ce dernier gardera une place spéciale dans notre cœur.
Nos parents sont associés eux aussi au pays d’origine; et si les souvenirs d’enfance sont violents, relèvent de l’exploitation, du chagrin, ou désespoir, comment pouvoir aimer en bloc un pays et une culture qui toléra sans mot dire cet état de fait ?
Aussi belle soit-elle, la ville lumière est glaciale pour les chiens battus.
Vous prononcez, chère Annika, des mots que je ne comprends pas.
– De mon point de vue, un pays n’apporte pas joie, opportunité, et bonheur : c’est moi qui ait créé mes opportunités par mes efforts, ma volonté et mon imagination. La France m’a plutôt mis des bâtons dans les roues, que j’ai contourné car rien ne m’arrête lorsque je décide que quelque chose est à ma portée.
– Mon bonheur et ma joie viennent de moi, de ma vision et de ma perception du monde, pas des autres et certainement pas d’un pays. Il vient de ma maison mais j’ai eu tant de maisons partout. Il vient de mes amis et mes amours. Ils vient de mes rêves et de mon regard.
– La France ne m’a pas offert la liberté que je voulais. Elle est bien trop bureaucratique, avec un gouvernement qui se mêle bien trop de la vie privée. Ses administrations sont bien trop présentes dans la vie de tous les jours d’un entrepreneur, trop omniprésentes et autoritaires, trop rigides, bien trop étroites d’esprit, et comme elles ne sont pas assez habitées par le devoir de servir les citoyens avec déférence et respect, elles ont un peu inversé les rapports de dépendance – elles me donnaient l’impression qu’elles s’imaginaient que j’étais à leur service et pas l’inverse.
– Le confort en revanche, celui d’être né dans un pays où il y a à manger pour tous, un toit pour tous, pas de guerre civile, la sécurité, et une grande stabilité politique et sociale, je l’attribue à la chance, la chance d’être né ici et pas là. Il ne m’inspire pas d’amour.
– Mes parents ne sont pas associés au pays mais à mon histoire et ma vie.
– Mes souvenirs d’enfance sont magnifiques, baignés d’amour et de joie, et en rien attachés à un pays.
J.P.: “De mon point de vue, un pays n’apporte pas joie, opportunité, et bonheur.”
J’aurais du être plus claire. Un adulte determine bien évidemment son environnement et sa destinée. Mais là je parlais de l’enfance, cette période fragile durant laquelle on se forme une identité, et l’on apprend à aimer (ou non) son pays suivant le bonheur que l’on y trouve.
J.P.: “Mes souvenirs d’enfance sont magnifiques, baignés d’amour et de joie”. La différence est là. Il est difficile d’aimer un pays où l’on a grandit avec peu d’amour et peu de joie.
Mon enfance a été baignée dans le bonheur, mais jamais en lien avec le pays ou je résidais. Mon pays, c’était mon jardin, ma chambre, le couloir ou je faisais rouler mes petites voitures, le mur lézardé de l’immeuble en face ou je passais des heures à y découvrir des visages…
S’il “est difficile d’aimer un pays où l’on a grandit avec peu d’amour et peu de joie”, l’inverse ne fut pas vrai pour moi.
Où est la France de mon enfance?
J ai quitte la france , il y a deja 30 mois , je ne me pose plus de questions .
Je consulte les news sur le web uniquement , j y vais de temps a autre , il me reste , helas encore de la famille ,et quand je reviens chez moi , je suis soulage .
La révolution française, clone de l’américaine a été le fait d’une poignée de franc-maçons. Cette ploutocratie concentre aujourd’hui tous les leviers de l’économie. Elle continue ce qu’elle a toujours aimé faire, et qui est la seule chose qu’elle sache faire : du fric, en mettant le bordel.
Ordo ab chaos.
Tant que vous n’aurez pas pendu ceux qui s’empiffrent sur votre dos, ils continueront. Tout leur système — et le nôtre aussi — est en faillite et ils n’ont plus d’autre choix.
Il est temps d’abréger leurs souffrances.
@ Pierre Estrelka Vous oubliez le rôle de La Fayette ( voyez sur wikip)
dans la Révolution américaine.
Ici, une rue porte son nom, et, accessoirement, un grand magasin.
En Amérique, une ville porte son nom.
Que de vérités dans certains commentaires, c’est vrai qu’à 70 ans j’ai peur de cette France que j’aime tant et qui est si belle dans la multiplicité de ses paysages, mais tellement abandonnée. Les politiciens, les financiers pourrissent tout, dévalorisent tout et on enlève aux enfants tant de valeurs intellectuelles et morales qu’i ne va plus rien nous rester.
J’aime la France. Elle et moi sommes comme un vieux couple, je râle, je m’exaspère, je suis dans l’opposition pour de bonnes raisons, puis je me réconcilie et tout recommence.
J’aime la France dans le temps long ; avec de mauvais moments à passer comme la Guerre de Cent Ans (“Dieu aime les Anglais chez eux” , a dit Jeanne) ou encore l’Invasion Musulmane bien commencée pour les années à venir (Dieu aime les musulmans chez eux en Dar El Islam, dis-je).
Non seulement j’aime la France mais je suis Breton par mariage, celui de la bonne Duchesse avec avec le roi Louis XII. Un mariage d’amour rare à l’époque.
Je suis catholique, du petit nombre restant. Pour résister à la fois à la marée vert-noire qui arrive à la vitesse d’un cheval au galop – et au matérialisme ambiant – il faudra toutes les ressources françaises.
D’accord, c’est irrationnel, j’aime la France.
@ Ar- Men Tout comme vous, j’aime la France; la question ne se pose
même pas.
Elle est dans une mauvaise passe: il faut l’aider à redevenir la France
que nous aimons.
La liberté n’est jamais donnée pour toujours, nous le constatons.
Nos parents, grands-parents se sont battus pour elle.
A notre tour, maintenant.
A propos de Bretagne, connaissez-vous la chanson des “Boulinerien”:
” Les roses d’Ouessant” ? Superbe!
aucun homme politique aime laFRANCE,seul le fric les interesse comme meilleure preuve il change de parti dès qu’une opportunité se presente ,(on voit ça tous les jours ) depuis POMPIDOU ,ils on tous oeuvré pour livrer notre pays a l’ennemi ,et cela est une traitrise !tout se paye un jour !!!!mais pour le moment nous devons tendre le cou aux egorgeurs ,une question !!SI JE ME DEFENDS CONTRE UN EGORGEUR ,QUI VA ALLER EN PRISON ??? je me pose souvent la question ? attendons le sauveur !!!!!
AUJOURD’HUI en 2023, “le sauveur” attendu s’appelle : “Reconquête ! ” : réponse à la question posée ci dessus par le commentaire de ‘auviroamma’ (??)
(Avouons que rien n’a changé depuis le 25 novembre 2017 )
Aujourd’hui j’ai pris connaissance d’un “fait divers” absolument effarant : Pour avoir chassé des voleurs un agriculteur a été condamné a les indemnisés a hauteur de 2400 €uros pour préjudice moral , les fait se sont déroulés le 31 Juillet à Labastide-Cézéracq . Pas belle la justice FRANCAISE ? Je ne reconnais plus cette FRANCE qui fut jadis le phare culturel et moral d’une grande partie du monde . C’est aujourd’hui une pétaudière ou règne une bacchanale totale sombrant dans la folie sous les regards béats des FRANCAIS . Je ne peux m’empêcher de penser que la déchéance morale ronge la société FRANCAISE et la mène vers la perdition . J’aime mon pays ; MAIS pas la façon dont ces “dirigeants” gouvernent le pays ; c’est une véritable catastrophe . “Le meilleur présage est de se battre pour la patrie” ( Homer) . Vite des élections et que RECONQUETE gouverne .
j’aime toujours mon pays mais pas les gens qui nous gouvernent, les associations en tout genres et syndicats qui ont pris le pouvoir, la justice qui ne la rend plus, les racisés qui nous ont envahi, Français de papier mais pas de cœur, l’Europe qui grignote de plus en plus nos droits, notre histoire, notre culture, je ne me reconnais plus dans cette France. J’ai eu 20 ans, j’aurai donné ma vie pour ce pays, j’aurai 20 ans aujourd’hui j’irai voir ailleurs. Et comme dit la chanson de Johnny, c’est ici que je finirai ma vie,
Dans ce pays où je suis né.
De toute façon, on ne peut pas se forcer à aimer, ni un pays, ni une personne, ni quoi que ce soit. Ça réchauffe ou ça laisse froid. Mais cette France-là, celle de Crépol (Drôme) entre mille autres exemples, alors franchement non, je renonce.
Je viens d’apprendre l’existence de ce scandale par la presse internet de langue anglaise. Il s’agit d’un groupe de 7 ou 8 maghrébins (gageons qu’ils sont tous musulmans) dont j’ai pu voir les photos, qui ont attaqué au couteau les jeunes gens qui sortaient d’un bal de villlage. Bilan : un mort et 16 blessés parmi les attaqués, sans parler des traumatisés.
“Le vigile s’est alors pris un coup de couteau, il avait la main en sang, ça criait, ça pleurait, j’entendais dire “ça plante”, ils ont des couteaux, partez .. il y avait du sang partout.”
“Je suis sorti, je me suis pris un coup de couteau dans l’épaule et dans le dos, j’ai vu mon pote t’as se faire poignarder.. un autre pote a moi se faire planter dans le dos.” “Les agresseurs ont dit: “On est là pour planter des Blancs.”
C’est clair comme de l’eau de roche, il s’agit d’une nouvelle tentative parmi tant d’autres d’installer la sharia en France. Or en France, pour la presse officielle et les autorités, il s’agit d’un simple fait divers qu’il faut à tout prix minimiser de peur de voir à nouveau les quelque 700 territoires musulmans en France se soulever. Il suffit de voir les différences dans les titres des articles :
Dans la presse de langue anglophone:
‘Bain de sang dans un village’ (Bloodbath at rural village fete)
‘Un adolescent tué, 16 bessés au cours d’une attaque massive à coups de couteau”(Teen killed, 16 wounded in mass stabbing”)
‘La tragédie de Crépol: une rixe de village ou une guerre ethnique?” (“Crépol’s tragedy: village brawl or ethnic war?’)
Dans la presse francophone:
‘Apres le meurtre d’un adolescent de 16 ans à Crépol’
‘Mort de Thomas dans la Drôme’
‘Adolescent tué à Crépon’
‘Un jeune tué à la fin d’une fête de village.’
Fermons le banc. Et surtout, pas de vagues… jusqu’au prochain massacre à maquiller en fait divers.
@maujo,
Je suis d’accord avec vous: il ne faut pas identifier un pays et ses gouvernants.
Sinon quoi ? Les Américains ne doivent ils être patriotes qu’une fois sur deux sachant que le pays est géré par une administration démocrate à égalité avec les Républicains depuis 7 décennies ? Les Américains ne doivent-ils aimer que la moitié de leurs Etats sachant que 50% d’entre eux sont gérés par des Démocrates ?
@Atikva,
Vous semblez penser que la haine et la violence n’existent qu’en France. Je crains que vous ne choisissiez vos faits divers. Un Américains tue 18 personnes en octobre laisse tout le monde indifférent ici quand un effroyable meurtre au couteau amène à mettre en cause un pays, une population, une histoire.
Je pense que votre opinion précède votre pensée et vous amène à ne considérer que ce qui vous conforte intellectuellement.
@ Marlowe
N’essayez pas, une fois de plus, de noyer le poisson en faisant des comparaisons avec ce qui se passe – ou avec ce que vous croyez qui se passe – dans d’autres pays. La France est l’objet de cet article et non un autre pays, elle est devenue ce qu’elle est devenue, et c’est lamentable. Point barre.
@Atikva,
Entièrement d’accord avec vous!
Il est malheureusement difficile à un certain âge d’ouvrir vraiment les yeux sur ce qu’est devenu notre pays …
@Avitka,
Je ne noie pas le poisson, je dis simplement que si un meurtre vous fait ne plus aimer la France, quel pays au monde vous sentez-vous capable d’habiter ?
Je suis comme vous bouleversé par l’assassinat odieux du jeune Thomas mais cela me fait détester son meurtrier, pas mon pays. Je suis pareillement consterné quand j’apprends (encore aujourd’hui) qu’une femme est tombée sous les coups de son mari ou que des enfants sont victimes de parents tortionnaires mais prétendre que cette violence définit la France est une ineptie. On pourrait ainsi stigmatiser n’importe quel pays. D’ailleurs, vous refusez de penser cela en parlant de que “je crois qu’il se passe dans d’autres pays” alors que je vous cite un cas précis (assassinat de 18 personnes par Robert Card en octobre dernier dans le Maine).
La différence est que je n’en tire pas une conclusion définitive sur les Etats-Unis ou le Maine en particulier mais que j’essaie de réfléchir sur ce fait. Je pense que de votre côté, vous avez de la France une vision globalement négative ( ce qui est votre droit) et que dès lors, tout ce qui peut s’y passer ne retiendra votre attention que si cela conforte votre idée a priori.
Par exemple, vous vous plaignez de “ce que la France est devenue” comme si autrefois il n’y avait pas de violences, d’attentats, de meurtres,… Je vous mets au défi de trouver une seule période où la France tout n’était que luxe, calme et volupté.
Bon courage !
@Marlowe,
On vous répète qu’il ne s’agit pas seulement d’un meurtre, loin sans faut!!
Il s’agit d’un phénomène de société qui s’installe, dû à la présence croissante d’une culture exogène et dont les valeurs n’ont plus rien à voir avec la France que nous avons connue. Ce que la plupart des “élites” refuse encore de regarder en face …
@ Marlowe
Encore une fois, vous êtes à côté de la plaque. Il ne s’agit pas de meurtres et autres violences en France d’aujourd’hui ou d’hier, il s’agit du manque de réaction en France dès qu’il s’agit des meurtres et autres méfaits perpétrés par les musulmans. Il s’agit de l’acceptation tacite de l’envahissement, de la disparition de la France par une grande majorité de Français.
@Avitka,
Le meurtrier et ses complices sont sous les verrous, entre les mains de la justice.
Qu’aurait dû être pour vous une saine “réaction” ? Un lynchage ?
L’erreur que vous commettez est de lier l’envahissement réel à tel ou tel meurtre. Sans immigré il y aura toujours des meurtres en France et ailleurs, même là où il n’y a jamais eu d’immigrés.
Les britanniques ont commis la même erreur en pensant qu’avec le brexit ils se débarrasseraient de leurs problèmes alors que c’était simplement se donner les moyens de les résoudre. Le travail reste à faire alors qu’on leur avait promis que le brexit leur apporterait mécaniquement prospérité, santé et sécurité. Le résultat est que la pire gauche antisémite est aux portes du pouvoir au R.U.
Il en est de même avec l’immigration. Même sans un immigré en France resteront à prendre en main l’économie et la vie sociale. Quel parti anti-immigration ose le dire ?
Résultat, si le RN, par exemple, prend le pouvoir et qu’il applique son programme, même si l’immigration recule, les problèmes s’aggraveront et ce sera la pire gauche qui ramassera la mise.
Osons le dire: il faut cesser l’immigration mais, ensuite, tout restera à faire et le travail sera rude. Les trafics perdureront même sans immigrés, donc la violence et la délinquance. Par ailleurs, les Français n’échapperont pas à des réformes libérales. Je rappelle ici que pour Mme Le Pen, Macron est “un ultra libéral”.
Combattons l’immigration pour ce qu’elle commet, la dilution de notre cohérence sociale, mais ne prétendons pas qu’elle serait cause de tous nos maux car le réveil de l’opinion déçue sera rude.
@ Marlowe
Même si les coupables sont arrêtés, je pense qu’Atikva déplore qu’on ne parle que de responsabilité individuelle, et qu’on ne cite ni la responsabilité de la culture islamique, ni la complaisance de nos élus envers la dite culture. Sur le plan juridique strict, il n’y a de responsabilité qu’individuelle, certes. Je pense qu’Atikva le sait bien, et qu’elle connait les dérapages possibles quand on commence à incriminer un groupe. Il n’empêche qu’on peut quand même regretter que nos dirigeants fassent comme si la culture islamique ne posait pas problème. Hélas ils peuvent difficilement faire autrement, car ils ne représentent pas des valeurs, mais juste un nombre (la majorité). Leur règne n’est pas du domaine de la qualité, mais de la quantité.
@Freddie,
Pour tenir ce discours, il faudrait démontrer que ce meurtre serait lié à la culture islamique. C’est facile quand le tueur revendique son attaque mais qu’en est-il dans ce cas précis ? Ou bien il faut dire qu’à chaque fois qu’un crime est commis par un tueur dont le nom est d’origine musulmane, il s’agit forcément d’un crime islamiste. C’est dangereux car que direz-vous quand l’assassin se prénomme Jacques, Francis, Emile ou Jonathan ?
Par ailleurs, je ne pense pas que la France soit particulièrement complaisante avec l’islam: quel autre pays montre autant d’intransigeance dans la laïcité ? Ce n’est pas pour rien que la France est l’une des cibles systématiquement citée par les organisations islamistes.
On peut incriminer la culture islamique mais pour de bonnes raisons. Rien ne montre que les pays avec une population musulmane sont mécaniquement plus violents et moins prospères que les pays sans migrants. Et j’affirme ici que ce n’est pas la baisse du taux d’immigration musulmane qui ferait baisser la criminalité en France ou ailleurs. Il faudrait un travail profond et prolongé pour obtenir des résultats.
L’arrêt de l’immigration ne serait pas la fin des problèmes de la France mais de l’un d’entre eux parmi d’autres. Tout resterait à faire et ce serait encore un sacré travail !
@Marlowe,
Nos dirigeants sont dans un déni farouche et totalitaire parce qu’ils ont peur! Peur des émeutes ethnico-religieuses, peur d’endosser la responsabilité de la politique des quarante dernières années qui amène à ce qui se passe aujourd’hui.
Mais posez-vous la question: vous, pourquoi avez-vous peur?