Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 19 novembre 2017

Pour essayer de comprendre la fausse question du changement climatique selon le GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) et du rôle supposé des énergies cosmiques extraterrestres, Michel de Pracontal a écrit un livre tout en rondeur, un régal : “L’Imposture scientifique en dix leçons“*, publié aux éditions La Découverte (Paris, 1986).

Il propose quelques définitions utiles :

  • Baliverne : Propos futile et creux (Petit Robert) (comme les bavardages à la télé).
  • Imposture scientifique : 1 : Tromperie qui consiste à faire passer pour scientifique une théorie, qui ne l’est pas. 2 : “L’imposture scientifique est à la science véritable ce que Canada dry est à l’alcool”. (Gaston Bachelard).
  • Pipeau : Flûte champêtre (Petit Robert). “Comme il faisait une chaleur de trente-trois degrés, le champ de conscience de Pécuchet était bercé par le son du pipeau” (Gustave Flaubert).”

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Et si le réchauffement climatique était le résultat des agissements obscurs des petits hommes verts du GIEC ?

Ils ne manquent pas de c’Hulot, à en croire le petit Nicolas. Il a été autrefois l’illustre promoteur de la moto, sur France Inter, avec son émission pro-vitesse et pro-CO2 : “La poignée dans le coin“. Il lui en est resté une pulsion pro-vitesse et pro-CO2 avec son hélicoptérisme débridé !

Quoi qu’il en soit, c’est un proche du dérèglement climatique, de la disparition des dinosauriens et des mystifications des verts extraterrestres de la télé, sous l’effet des vibrations climatiques dues aux basses fréquences et à l’énergie vitale électrostatique émises par les petits hommes verts du GIEC.

Comme chacun le sait, le choc aussi brutal que maladroit d’un vaisseau-mégalithe astéroïdien des extraterrestres pacifiques, venus sur la planète terre, a provoqué un refroidissement climatique tout aussi brutal, ce qui a été funeste à la destinée des dinosauriens, une population aux mœurs paisibles.

On comprend que le résultat final de la propagande climatique est difficile à évaluer quand les budgets consacrés à L’imposture climatique du GIEC coûtent plus cher que la vraie science. On sait que les arguments de la vraie science n’ont aucune prise sur les croyances et les convictions, comme sur les prophéties alarmistes des petits hommes verts du GIEC. Dès lors, comment ne pas s’interroger sur les raisons de la diffusion généralisée des annonces et des prédictions catastrophistes du GIEC ?

L’esprit critique, contrairement au bon sens, n’est pas universellement partagé et, pourtant, nos animateurs télé-médiatiques semblent en avoir le moins, eux qui préfèrent croire à l’erreur plutôt qu’à la vérité, et au simulacre de la fausse science plutôt qu’à la vraie science. Quand les prophéties alarmistes des petits hommes verts du GIEC partent de “zéro preuve scientifique”, on n’est donc pas surpris que la méthode ne mène pas à grand-chose et que le résultat ne corresponde à rien de probant.

La vraie question est : pourquoi faudrait-il croire à l’apocalypse millénariste proclamée et à la fin du monde annoncée par les prophéties du GIEC ? C’est là toute la différence entre la “propagande médiatique sensationnaliste du GIEC” et la “méthode scientifique fondée sur des preuves”.

La méthode du GIEC repose sur des observations et ne propose que des descriptions. Le GIEC est incapable de donner des explications du changement climatique scientifiquement vérifiées, de faire des prédictions scientifiquement justifiées et encore moins de proposer des solutions efficaces.

Aujourd’hui, les explications politico-médiatiques du GIEC “n’ont jamais prouvé quoi que ce soit” et c’est pourquoi “elles n’expliquent rien“. Elles relèvent de la catégorie para-scientifique, de la pensée magique, de la croyance pseudo-scientifique et du mystère climatique scientifiquement prouvé !

La vraie question est alors celle de l’intelligence irrationnelle des prophéties du GIEC. Les soi-disant découvertes du GIEC se limitent à “affirmer sans preuve leurs convictions de départ“. Pour ces gens-là, leurs croyances quasi religieuses sont médiatiquement trop belles et spectaculaires pour être fausses. Serge Galam a publié chez Plon un petit livre : “Les scientifiques ont perdu le Nord. Réflexions sur le réchauffement climatique” (© Plon 2008). “Avant-propos : “2007, une année qui dérange.”

“En 2007, tempête dans un verre d’eau : scientifiques et politiques font de la pensée magique !

Le GIEC déclare à l’unanimité : “L’homme coupable de crime contre la nature.” Le secrétaire de l’ONU Ban Ki-moon : “On est au bord d’une catastrophe.” Al Gore reçoit deux Oscars à Hollywood pour son film de science-fiction : “Une vérité qui dérange“. Pourtant scientifiquement, qu’a-t-on prouvé ? Rien !

Une certitude scientifique, c’est 100 % de vérité. Ce n’est pas une intuition, ni même une intime conviction et encore moins de la prospective par ordinateur. Et ce n’est ni à la politique ni aux médias d’en décerner le label scientifique. Si désormais la (propagande) vaut davantage qu’une preuve, notre démocratie est en péril, avec pour seule certitude éprouvée le spectre de la tyrannie. Cette “évidence” pose le problème du danger des certitudes collectives” (en lieu et place des preuves scientifiques).

Reste la question des origines de la croyance à l’apocalypse millénariste et de savoir qui sont ceux à qui profite le crime de désinformation systématique mondialisée sur le “changement climatique d’origine humaine“. C’est pourquoi, la croyance dans le rôle de l’énergie cosmique en lieu et place de la vérité scientifique et de l’illusoire fausse réalité de la pensée magique du GIEC est tout aussi justifiée !

Le refus de la réalité scientifique se vérifie à la fois dans la propagande millénariste du GIEC et dans le truquage des faits. Les agissements obscurs des petits hommes verts du GIEC veulent que tout le monde les croie et se plie sans critique à leurs fantasmagories infantiles. C’est, pour la fausse vérité de la pseudo-science officiellement établie, tout autant la manipulation des faits que la manipulation des mots. L’imposture climatique du GIEC consiste à truquer les explications des faits pour transformer les échecs de la pseudo-science officiellement établie du GIEC, en échec de toute tentative de vérification scientifique des prophéties du GIEC qui prédisent l’apocalypse millénariste pour dans 100 ans !

Au lieu de se demander : “Comment ça marche ?”, la propagande du GIEC préfère la tyrannie idéologique du Pourquoi : Parce que “L’homme est climatiquement coupable de crime contre la nature.” Voilà pourquoi l’enfumage médiatique des petits hommes verts du GIEC continue “ad nauseam”.

Voilà pourquoi les observations anecdotiques les plus superficielles sur les phénomènes et les divers aléas météorologiques deviennent les signes, les présages et les symptômes de l’apocalypse climatique à venir. Et pourquoi pas les violentes éruptions solaires, les rayonnements cosmiques ou “un alignement malencontreux des planètes” ? La pseudo-science révélée des petits hommes verts du GIEC procède d’un usage immodéré des signes et des présages subtils, à défaut de drogues dures.

Déjà incapables de poser les vraies questions du changement climatique, comment pourraient-ils apporter des vraies réponses ? C’est pourquoi le mythe de L’homme climatiquement coupable de crime contre la nature doit venir combler le vide de la pensée des petits hommes verts du GIEC !

Alors, pourquoi le monde entier ne reconnaît-il pas la grandeur de leur génie climatique ?

Malgré cela, il est clair que “l’abstinence intellectuelle ne les fait pas souffrir de manque“.

Le mystère du changement climatique est une donnée aussi essentielle que le mystère de la disparition des dinosaures qui relève de “la mythologie de l’histoire zoologique” (Michel de Pracontal).

Mais si on connaissait la vérité du changement climatique, “qui aurait envie d’y croire” ? (id).

Aujourd’hui, la science est incapable d’expliquer les causes réelles du changement climatique.

C’est pourquoi le mythe des causes cachées doit répondre au sentiment de panique provoqué par la propagande du GIEC en faveur de la punition, de la fin du monde et de l’apocalypse climatique à venir.

Voilà pourquoi la vraie question n’est pas tant celle du changement climatique que celle de savoir si le GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) héberge encore une forme de vie intelligente. Et là, assurément, le mystère reste entier.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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