Deux Evangiles consacrent chacun deux chapitres aux récits de la naissance de Jésus. Documents abrupts chez Matthieu, et fresque grandiose où vibre le souffle des prophètes chez Luc…
Quelle était cette douce nuit que nous chantons aujourd’hui ? C’était une époque sombre, effroyable et dangereuse, un monde marqué par la panique, la terreur et l’angoisse. Le recensement de la population dont il est question dans l’Evangile de Luc visait l’augmentation des impôts. Sous l’Empire romain les Juifs étaient soumis à des taxations toujours plus lourdes qui appauvrissaient la population. « Nous est-il permis, oui ou non, de payer l’impôt à César ? », demanda-t-on à Jésus ? L’armée romaine procédait à de multiples arrestations. Des centaines de partisans furent crucifiés. Tous ceux qui se révoltaient étaient traités par les Romains comme des bandits et des criminels.
Les chrétiens des trois premiers siècles n’ont jamais célébré Noël. D’ailleurs, jusqu’à aujourd’hui nous ne connaissons pas la date exacte de la naissance de Jésus. Nous connaissons les récits de Noël rapportés dans les premiers chapitres des Evangiles de Matthieu et de Luc. L’Evangile de Marc n’en parle pas. Et l’Evangile de Jean explique le sens de Noël.
C’est dans le premier chapitre de Jean que nous lisons le célèbre verset 14. « La parole (La Thora) a été faite chair, et elle a habité parmi nous, plein de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme celle du Fils unique venu du Père ». Mais les Evangiles ne mentionnent nulle part la date de naissance de Jésus. Parmi les déductions que nous pouvons faire il est intéressant de donner trois exemples. Les bergers dont parle Luc sont dans les champs de mars-avril à novembre. Jésus est probablement né au printemps. D’autre part, on sait que l’événement de sa naissance s’est produit durant le règne du roi Hérode. Or celui-ci est mort le 13 mars de l’an 4 avant notre ère. De façon plus précise encore, on a pu dater l’an 8 avant J.-C. le décret du recensement général décidé par César Auguste qui obligea Marie et Joseph à se mettre en route pour Bethléhem. Il est donc difficile de déterminer une date exacte et l’on doit se contenter d’une fourchette chronologique allant de -8 à -4 .
Comment la fête de Noël a-t-elle été introduite dans l’Eglise ? Chose étonnante, c’est le baptême de Jésus dans le Jourdain qui éveille l’intérêt des chrétiens. A force de célébrer la mort et la résurrection de Jésus, on commence à s’intéresser à sa vie terrestre. Plusieurs aspects de son ministère revêtent un caractère rédempteur et salvateur : les noces de Cana où Jésus change l’eau en vin ou la multiplication des pains. Mais c’est surtout son baptême, au cours duquel la voix de Dieu proclame : « Tu es mon Fils bien-aimé. », qui retient l’attention.
Ses miracles et son baptême sont considérés comme des manifestations, des apparitions ou des épiphanies divines.
Pour des raisons théologiques, on a ajouté la fête de Noël à la fête du baptême de Jésus.
Grâce à la découverte en Egypte des feuilles de papyrus datant du IV siècle nous avons trouvé des chants de Noël en usage à cette époque :
« Né à Bethléhem, Elevé à Nazareth, Il résida en Galilée. Nous avons vu un signe du ciel, avec l’étoile de lumière ».
La nuit de Noël fêtée avec éclat à Jérusalem et dans tout l’Empire romain se répandit partout désormais. On y retrouve le style liturgique d’aujourd’hui : le culte nocturne, l’éclat incroyable des milliers de bougies, la beauté des chants. L’essentiel de cette fête de Noël consistait à célébrer la manifestation du Christ dans le monde, représentée comme la Lumière qui jaillit des ténèbres.
Les empereurs romains avaient élevé des temples au SOL INVICTUS, Soleil invaincu. Dans le culte de Mithra, particulièrement appréciés des soldats romains, l’adoration du « Soleil invaincu » revêtait des formes plus concrètes. Pendant un certain temps, au cours du IIIe siècle, elle opposa au christianisme une concurrence sérieuse.
On comprend que l’Eglise de Rome se soit efforcée de mettre en relief sa propre fête de la lumière, celle de la naissance de Jésus, salué dans l’hymne de Siméon, est salué comme « la Lumière qui éclairera les nations ». Sans cesse, on rappelait le passage de Malachie 4 : 2 : « Pour vous se lèvera le Soleil de justice ».
A cette époque, l’Empereur romain, Constantin, essaya d’unir le culte solaire et le culte chrétien, grâce au symbolisme qui égalait le Christ au soleil. En l’an 321, il décréta jour hebdomadaire officiel le jour du Seigneur appartenant aux chrétiens. en un jour hebdomadaire officiel. Ce jour s’appela désormais le Jour du Soleil. C’est le sens du mot « dimanche », « Sonntag », « Sunday ».
Augustin, l’évêque de Carthage, et le pape Léon ont combattu cet amalgame. Le Christ est la Lumière du monde. Mais cette Lumière ne dépend pas du culte du soleil du 25 décembre.
C’est à partir de la seconde moitié du IVe siècle que la fête du 25 décembre s’est propagée dans la chrétienté tout entière. Lors des premières fêtes de Noël, ils ne célébraient, d’aucune façon, une date, mais une réalité importante pour l’Eglise chrétienne: la manifestation du Christ sur la terre. J’aime le titre paru dans un bulletin d’information de l’Eglise catholique romaine il y a quelques années.
Noël, une date plutôt incertaine pour un événement certain.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pasteur Bernard Buunk pour Dreuz.info.
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On ne peut que désapprouver ce texte sur le fond c’est à dire la fausseté des intentions politiques romaines. Car ce qui est sûre c’est que pour Rome les juifs existaient à peine et ne leur faisaient pas d’ombre surtout à Rome même si éloignée de la Palestine. Et puis l’esprit romain c’est la systématisation des lois et non leur visée particulariste et donc soit privilégiant ou discriminant les uns ou les autres.
A Rome même la position juive n’était pas si mauvaise, et des conseillers ou partenaires économiques pouvaient être importants.
Quant à la palestine elle était en effet parcourue de courants soit indépendantiste soit messianiques qui bouleversaient la société. Ceci n’avait rien à voir avec la thèse de l’auteur. D’ailleurs où sont ses sources? Dans les archives romaines? Chez Flavius Joseph?
C’est de l’anachronisme historique avec des catégories comme l’antisémitisme qui n’avaient aucun cours à cette époque.
C’est seulement à compter du IIème siècle que le nom de “Palestine” apparait dans l’Histoire. Du temps de Jésus/Yeshua, ce nom donné aux différentes régions composants l’Israël du premier siècle n’existe pas. C’est Rome qui en fut l’inventeur après la capitulation des insurgés et la destruction du Temple, symbole de l’unité du Peuple Juif. (En bref)
Tout cela afin que l’on ne se souvienne plus du Nom d’Israël.
Cp: Psaume 83/1 à 9.
L’Histoire ne fait que se répéter.
LA DATE DU 25 DÉCEMBRE
En 1995, le savant israélien Shemaryahu Talmon a publié une étude sur le calendrier liturgique découvert dans la grotte 4 de Qumrân (4 Q32l). Il y trouva incontestablement les dates du service au Temple, que les prêtres assuraient, à tour de rôle, encore au temps de la naissance de Jean-Baptiste et de Jésus. Selon ce document, copié sur parchemin entre les années 50 et 25 av. J.- C., donc contemporain d’Élisabeth et de Zacharie, la famille des Abiyya à laquelle ils appartenaient (Luc 1,5 ; cf. 1 Ch 24,l0) voyait son tour revenir deux fois l’an, du 8 au 14 du troisième mois du calendrier essénien, et du 24 au 30 du huitième mois.1
Cette seconde période tombe vers la fin de notre mois de septembre, confirmant le bien-fondé
d’une tradition byzantine immémoriale qui fête la “Conception de Jean” le 23 septembre.
Or, écrit saint Luc, c’est “le sixième mois” de la conception de Jean que “l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, du nom de Nazareth, à une vierge fiancée à un homme du nom de Joseph, de la maison de David; et le nom de la vierge était Marie.” (Lc 1,26-27).
À compter du 23 septembre, “le sixième mois” tombe très exactement le 25 mars, en la fête de l’Annonciation. Dès lors, Jésus est bien né le 25 décembre, neuf mois plus tard. Noël n’est pas “la consécration religieuse et cultuelle d’un événement cosmique, le solstice d’hiver qui marque la régression de la nuit”2 . Non! Le 25 décembre est l’anniversaire de la naissance du Christ, tout simplement…
Il n’en reste pas moins vrai que “le 25 décembre était dans le monde païen la fête du Natalis Solis invicti, la fête du soleil renaissant, toujours vainqueur des ténèbres”2. Mais loin d’être une invention de l’Église romaine, la rencontre est l’oeuvre de Dieu qui créa le soleil et la lune, “pour séparer le jour et la nuit et servir de signes, tant pour les fêtes que pour les jours et les années” (Gn l,l4). C’est Lui qui a voulu, quand les temps furent accomplis, cette coïncidence du Natalis Solis invicti et du Christus natus in Bethleem, pour nous enseigner que le Christ est “le soleil de justice” (Ml 3,20), “l’Astre d’en haut” (Lc 1,78), “la lumière du monde” (Jn 8, 12) que les ténèbres n’ont pu “étouffer” (Jn 1,5), et “qui éclaire tout homme” (Jn 1,9). Saint Matthieu et saint Luc font bien entendre que la naissance eut lieu pendant la nuit; les mages ont vu son étoile (Mt 2,2), et les bergers ont été avertis par “l’Ange du Seigneur” alors qu’ils “gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit” (Lc 2,8). Cela aussi avait été suggéré, moins de cinquante ans auparavant : “Tandis qu’un silence paisible enveloppait toutes choses et que la nuit parvenait au milieu de sa course rapide, du haut des cieux, ta Parole toute puissante s’élança du trône royal.” (Sg 1 8, 14-15, sens accommodatice)
Bible, archéologie, histoire; Sous le signe de la Résurrection, par l’Abbé Georges de Nantes et le Frère Bruno Bonnet-Eymard, 2001, ©La Contre-Réforme Catholique, Maison Saint-Joseph, 10260 Saint-Parres-lès-Vaudes,
France, page 163
1 Shemaryahu Tatmon and Israel Knohl, A calendrical scroll from a Qumran cave : Mismorot Ba, 4Q 321, dans
Pomegranates and Golden Balls, Eisenbrauns 1995, p.292.
2 Catholicisme, IX (1982), 1310.
le 25 décembre n’est pas un anniversaire de naissance, mais la célébration de l’événement de l’incarnation.
le fait est que pendant longtemps la Nativité a été célébrée à des dates autres que celle-ci.
si la convergence absolue que vous exprimez avait été connue de l’Eglise primitive, Noël aurait été célébré le 25 décembre dès l’origine, cela n’a visiblement pas été le cas.
quelle incidence au niveau de la foi? aucune.
viens toucher a ma Crèche vas voir ta gueule a la récré ???
Les fêtes de Noël devaient être déclarées patrimoine de l’humanité et protégées comme tel (si Le Mont Fuji peut l’être…). En tout cas, de façon indéniable, indiscutable et non négociable, elles sont le patrimoine intangible de la civilisation européenne et nul besoin d’être croyant pour y adhérer pleinement. Certains pourraient avancer que ces fêtes se sont transformées pour beaucoup surtout en une grande messe – passez-moi l’expression – de consommation. Mais cet argument milliard de fois ressassé sent un peu le ranci. En mon pays natal, même au cours des 40 ans du règne des camarades, peu enclins à avoir des sympathies prononcées pour l’Eglise et ses manifestations, les fêtes de Noël (qui commencent par le réveillon de la soirée du 24, avec de la carpe panée et de la salade de pommes de terre et les cadeaux sous le sapin) ont été un événement fort, avec des chant de Noël traditionnels – et modernes – à la radio tout au long de la journée, des contes de fées noëlliques à la téloche, de splendides crèches, le plus souvent de l’époque baroque, dans les églises, des visites en famille de moult célèbres crèches mécaniques, des crèches exposées dans chaque famille, les vitrines de magasins sur-décorées ambiance Noël, etc., etc. et j’en passe et les meilleurs. Tout cela dans le respect le plus strict de la “laïcité”. Il y avait pourtant une grosse différence, une différence capitale, essentielle : il n’y avait nulle part un seul musulman. Et ça continue. Le plus gros succès du box office lors de cette période ces dernières années est le film (une sorte de comédie-conte de fées) “Ange du Seigneur”, qui est déjà à son troisième volet. Tout le monde adore, qu’il soit croyant ou athée. Ce sont Les Fêtes De Noël !, faisant partie du paysage au même titre que le Soleil. Parce que nous sommes en Europe. La France, elle, est-elle encore en Europe (sauf celle grotesque représentée par une certaine UE eurabienne dhimmisée) ?
Noël est, chronologiquement, le premier des cinq événements les plus importants de l’histoire de l’humanité.
James B Irwin (1930-1991) est le huitième homme qui a marché sur la lune (mission Apollo 15 en 1971), et un des premiers qui a pu contempler la terre d’en haut. Voici ce qu’il a déclaré: “Le plus important, ce n’est pas que l’homme ait marché sur la lune, mais que Dieu ait marché sur la terre en Christ”.
Cet événement est tellement important qu’il marque le temps de l’humanité et que nous nous situons en 2017 après celui-ci. La venue de Jésus dans le monde a un caractère extraordinaire puisqu’il est issu d’une femme vierge. Insolite mais compréhensible pour celui qui croit. Comment l’incarnation de Dieu aurait-il pu être créé par l’homme? Et l’arrivée de Jésus dans le monde a bel et bien provoqué un bouleversement politique. Son Royaume se substitue aux pouvoirs humains qui se sont sentis menacés. La naissance de Jésus à provoqué, sur ordre d’Hérode, le massacre des enfants en dessous de deux ans, de Bethléem et du territoire environnant.
La naissance de Jésus ne doit pas nous faire oublier sa mission. Une mission suicide. Il est venu ici bas pour sacrifier sa vie mais pas à la façon des djihadistes d’une certaine religion d’amour et de paix qui entraînent des milliers d’innocents dans la mort. Non. Il a été crucifié entre deux brigands, Lui qui n’avait commis aucun mal. Il s’est sacrifié, Lui, pour arracher des millions de coupables à la mort. Et vivre réellement ce qu’il a proclamé Lui-même: “Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime”. Jean 15:13.
Ceci nous amène au troisième événement le plus important de l’histoire de l’humanité. Après sa naissance et sa mort, Jésus est ressuscité! Attestant ainsi définitivement de sa divinité. Il s’agit ici du cœur de la foi chrétienne. Si Jésus n’était pas ressuscité, il est parfaitement inutile de croire en Lui. Et nous avons, à mes yeux, une preuve incroyable de sa résurrection que l’Apôtre Paul nous livre en 1 Corinthiens 15: 1 à 8: https://www.biblestudytools.com/lsg/1-corinthiens/passage/?q=1-corinthiens+15:1-8
Paul nous explique ici que ceux qui ne croient pas que Jésus est ressuscité n’ont qu’à demander à ceux qui l’ont vu de leurs yeux (environ 500 personnes) si ce n’est pas vrai! Et il précise même, puisqu’il parle quelques années après l’événement, que la plupart des témoins de la résurrection sont encore vivants et que quelques-uns sont morts. Ceci donne une véracité incroyable à son témoignage!
Après la résurrection suit l’ascension de Jésus qui nous est rapportée seulement dans deux versets (Luc 24: 51 et Actes 1:9). Mais cette ascension est, pour nous, essentielle, car, si elle n’avait pas eu lieu, Dieu n’aurait pas pu conduire son plan de rédemption de toute l’humanité et pas seulement d’Israël et nous n’aurions tout simplement pas existé.
Enfin, le cinquième et dernier point essentiel de l’histoire de l’humanité reste encore à venir. Il s’agit de la venue, pour les uns, et du retour pour les autres du Messie.
Et Jésus reviendra, selon Actes 1: 11, de la même manière qu’il est monté au ciel. Mais, cette fois-ci, il ne reviendra plus pour sauver le monde mais pour le juger. A bon entendeur …
Conclusion: ainsi les cinq événements les plus importants de l’histoire de l’humanité qui gravitent autour de Noël sont:
1) la naissance de Jésus-Christ (l’incarnation de Dieu; Jean 1:14)
2) Son ministère et sa mort sur la croix pour le rachat de l’humanité.
3) Sa résurrection (devant de nombreux témoins oculaires).
4) Son ascension (en vue du plan divin de salut universel).
5) Son retour promis et encore à venir.
Bien vu gigobleu…
Merci Gigobleu, oui un immense MERCI!
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Observations :
1) Le Nouveau Testament est formel sur la naissance de Jésus et de Jean le batiste à six mois d’intervalle : cela sanctifie l’année de six mois en six mois ;
2) Il y a 4 jours de décalage entre les solstices effectifs d’été et d’hiver et le jour de la célébration de leurs Fêtes respectives dû à l’absence des années bissextiles pendant 19 ans après l’instauration de calendrier grégorien ;
3) L’Étoile des Rois-Mages semble être un phénomène cosmique qui nous permette aujourd’hui de dater avec précision le moment de la naissance de Jésus.
4) L’incarnation effective de Dieu à travers de Jésus de Nazareth ne s’est manifestement pas produit entre la poire et le fromage un jour de Ramadan mais au moment d’un événement cosmique (la Terre n’est pas plate au centre de l’univers mais dans un ensemble qui s’étend à l’infini) ;
5) Enfin, qu’importe le flacon si nous avons l’ivresse. (qu’importe tous ces détails si nous avons la foi.)
P.S. : Moi qui ne suis personne, je suis né un jour de concomitance entre une nuit de nouvelle lune (donc une nuit la plus noire du mois), un solstice d’été (le jour diurne le plus long de l’année), et une éclipse solaire totale (absence d’ensoleillement pendant quelques minutes solstice)… et j’ai toujours été inexorablement attiré par l’aspect spirituel de l’existence qui m’a amené à découvrir et adorer le Christ, Rédempteur, incarnation du Dieu vivant… que je souhaite à tous sans exception de rencontrer.
Alors, je présume que Dieu, Maître de l’univers s’est offert un palais d’étoiles pour ne pas passer inaperçu, puisque tel n’était pas son intention.
P.S.
“Si je considère l’éternité précédente et suivante*”, nous sommes des CONTEMPORAINS du Christ!
* Blaise Pascal
Une heureuse ivresse, cette joie divine, Alain Finie.
A vrai dire, pour moi la date précise de la naissance de Jésus m’importe peu. L’essentiel est qu’il soit né. C’est de très loin le plus important.
Exact, et donc pourquoi ne fêterions-nous pas sa venue?
Peu importe le jour, mais autant le faire tous ensembles.
C’est en effet là que se trouve le plus important : le faire tous ensemble.
Si des chrétiens devaient partir sur une lune imaginaire d’une planète du système solaire, la nouvelle planète ne tournerait pas en 365 jours.
Se poserait alors la question : continuer à fêter Noël en choisissant un nouveau repère fixe sur le nouveau calendrier imposé par la révolution de cette planète autour du soleil ? Ou bien abandonner la célébration de Noël parce qu’on n’est plus sur Terre ?
Pour moi la chose est évidente : il faut alors continuer à fêter Noël en choisissant un nouveau repère fixe sur le nouveau calendrier imposé par la révolution de cette planète autour du soleil. Parce que la célébration régulière de la naissance du Messie est plus importante que la date à laquelle on la célèbre. L’important étant de continuer à la célébrer… et tous ensemble.
Quelles que soient les conditions, il faut continuer à le faire. Même sur Terre dans un monde où le calendrier chrétien serait devenu interdit et où le 25 décembre deviendrait au fil des années de plus en plus difficile à identifier dans ce nouveau calendrier imposé. Le plus important est ce qu’on célèbre tous ensemble.
Tout à fait d’accord avec vous : il faut préserver nos fêtes chrétiennes jusqu’aux fonds des dernières catacombes si nécessaire, et les fêter tous ensemble, en les établissant en fonction d’événements cosmiques immuables comme les solstices (ou les équinoxes selon le calcul de Pat ci-dessous) ; l’important étant de célébrer la seule chose à célébrer sur Terre ou ailleurs : l’avènement du Christ parmi nous et la Pâques chrétienne, sa Résurrection.
La raison de l’Église catholique d’instituer Noël au solstice d’hiver, outre qu’il court-circuitait toutes les fêtes païennes de tous temps, est qu’à partir de cette date, la lumière revient… et avec Jean six mois plus tard, éclairé au plus fort par Dieu pour l’annoncer, la lumière diminue pour faire place à celle du Christ qui revient… m’a toujours parue très bien “inspirée”.
Les Pères de l’Église n’ont pas tous été des renégats, bien que certains ne ressemblent à Saint-Pierre que dans ses trois reniements.
Oui, mais il y a ceci :
Que disent les textes ?
Luc 1:36 Voici, Elisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils en sa vieillesse, et celle qui était appelée stérile est dans son sixième mois.
On peut donc dire que Jésus était plus jeune de 6 mois que Jean. Si nous pouvons déterminer la date de naissance de Jean, nous saurons aussi quand Jésus est né, il nous suffira de rajouter six mois.
Jean était le fils de Zacharie et d’Elizabeth
Luc 1:5 Du temps d’Hérode, roi de Judée, il y avait un sacrificateur, nommé Zacharie, de la classe d’Abia; sa femme était d’entre les filles d’Aaron, et s’appelait Elisabeth.
Zacharie était sacrificateur
Luc 1:5 Du temps d’Hérode, roi de Judée, il y avait un sacrificateur, nommé Zacharie, de la classe d’Abia; sa femme était d’entre les filles d’Aaron, et s’appelait Elisabeth.
L’ange lui annonça que sa sera enceinte pendant son service dans le temple
Comment fonctionnait le service dans le temple ? il était divisé en 24 classes de sacrificateurs
1 Chroniques 24:3 … David les distribua en classes, selon leur office dans leur service… 5 On les classa par le sort, les uns avec les autres…
Le premier sort échut à Jehojarib; le second, à Jedaeja; le troisième, à Harim; le quatrième, à Seorim; le cinquième, à Malkija; le sixième, à Mijamin; le septième, à Hakkots; le huitième, à Abija; le neuvième, à Josué; le dixième, à Schecania; le onzième, à Eliaschib; le douzième, à Jakim; le treizième, à Huppa; le quatorzième, à Jeschébeab; le quinzième, à Bilga; le seizième, à Immer; le dix-septième, à Hézir; le dix-huitième, à Happitsets; le dix-neuvième, à Pethachja; le vingtième, à Ezéchiel; le vingt et unième, à Jakin; le vingt-deuxième, à Gamul; le vingt-troisième, à Delaja; le vingt-quatrième, à Maazia. C’est ainsi qu’ils furent classés pour leur service,
Au retour de Babylone aussi :
Esdras 6:18 Ils établirent les sacrificateurs selon leurs classes et les Lévites selon leurs divisions pour le service de Dieu à Jérusalem, comme il est écrit dans le livre de Moïse.
Chaque classe servait dans le temple pendant une semaine d’un sabbat à l’autre
2 Chroniques 23:8 Et les lévites et tout Juda firent selon tout ce que Jehoïada, le sacrificateur, avait commandé ; et ils prirent chacun ses hommes, ceux qui entraient le jour du sabbat et ceux qui sortaient le jour du sabbat; car Jehoïada, le sacrificateur, n’avait pas renvoyé les classes.
2 Rois 11:9 Et les chefs de centaines firent selon tout ce que Jehoïada, le sacrificateur, avait commandé ; et ils prirent chacun ses hommes, ceux qui entraient le jour du sabbat et ceux qui sortaient le jour du sabbat ; et ils vinrent auprès de Jehoïada, le sacrificateur.
De quelle classe était le sacrificateur Zacharie ?
Luc 1:5 Du temps d’Hérode, roi de Judée, il y avait un sacrificateur, nommé Zacharie, de la classe d’Abia; sa femme était d’entre les filles d’Aaron, et s’appelait Elisabeth.
La classe de sacrificateur à laquelle appartenait Zacharie était celle d’Abia(en grec) ou Abija(en hébreu). Elle avait été tiré au sort la huitième :
1 Chroniques 24:10 le sixième, à Mijamin; le septième, à Kots; le huitième, à Abija;
Chaque classe servait une semaine au temple d’un sabbat à l’autre. La première classe servait la premiere semaine de l’année qui débutait toujours à la nouvelle lune la plus proche de l’équinoxe de Mars. Quand les vingt-quatre classes avaient servis une semaine chacune, c’était au tour de la première de reprendre le service et ainsi de suite.
Les vingt-quatre classes servaient donc au temple deux semaines par an cela fait quarante huit semaines, pendant les trois semaines qui reste le service était fait par toutes les classes ensemble pendant les fêtes annuelles.
Sachant cela il nous suffit de calculer depuis la nouvelle lune qui détermine le début de l’année 5 ou 6 avant JC car l’histoire nous affirme que Hérode est mort en l’année 4 avant JC donc Jésus est né avant cette année 4.
Le site internet P.G.J – CALENDRIER LUNAIRE nous donne les cycles de la lune de toutes les années. Prenons l’exemple de l’année 6 avant JC;
L’année -6 la nouvelle lune qui déterminait le début de l’année sacrée était le 30 mars (voir le site internet) La Pâque eu lieu cette année-là 14 jours plus tard le 13 avril + les sept jours des pains sans levain qui nous amène au 20 avril.
Il nous faut donc ajouter neuf semaines (huit semaines + une semaine de la fête de la pâque ou toutes les classes servent ensemble) ce qui nous donne mi- juin ou mi-juillet pour le début de la grossesse d’Elizabeth.
Jean est donc né neuf mois plus tard, c’est à dire début mars de l’année -5
En ajoutant six mois, la naissance de Jésus a probablement eu lieu début septembre de la même année.
Très intéressant tout çà. Je ne comprends pas bien tous ces calculs d’apothicaire, pour tenter de démontrer que Jésus serait ou ne serait pas né à noël, alors que tous est dans la Bible. Je me pose une question malgré tout! En tant que chrétien/ne ne sommes nous pas censés nous référer à la Parole de Dieu, de surcroît, lorsque l’on parle de cette fête comme étant la naissance de Jésus.. Je ne vois nul part dans la Bible le mot noël, et encore moins la célébration/commémoration de noël.
D’autre part, jamais il n’y eu un service religieux qui ait été tenu pour commémorer la naissance de Jésus. Tout simplement parce que l’anniversaire de naissance n’était pas dans les coutumes bibliques si je m’en réfère aux Ecritures,
A contrario la seule fête indiquée à cette époque et dont personne ne parle est la fête juive de Hanouka qui est le 25 du mois de Kislev (décembre) correspond à la fête de Hanouka (fête des Lumières/dédicace)..curieux surtout lorsque l’on sait bibliquement que Jésus est la Lumière du Monde.
Jean 10.22 : On célébrait à Jérusalem la fête de la Dédicace (Hanouka) C’était l’hiver. (Pourquoi est-ce précisé que c’était l’hiver???!!! lorsque l’on sait que chaque mot, chaque lettre à son importance dans la Bible)
Marc 7.8.9 .C’est en vain qu’ils m’honorent, En donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. 8 Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes. 9 Il leur dit encore: Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition….
(2.Rois 17.8) Ils suivirent les coutumes des nations que l’Eternel avait chassées devant les enfants d’Israël, et celles que les rois d’Israël avaient établies.
Jérémie 10.3 Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt; La main de l’ouvrier le travaille avec la hache; 4 On l’embellit avec de l’argent et de l’or!! (tiens tiens, cela ressemble étrangement à un arbre que l’on abat et l’on orne de boules et de guirlandes je trouve)
La première mention précise officielle du 25 décembre, dans les annales romaines, date de l’an 354 apr. J.-C., qui furent publiées en entier pour la première fois par Mommsen. [… le 25 décembre] était une fête en l’honneur de Mithra, selon les annales mentionnées ci-dessus, mais c’était aussi la célébration du natalis invicti solis, ou l’anniversaire du soleil invaincu » (Encyclopeadia Britannica, onzième édition, article “Christmas”
En hébreu le mot soleil se dit : shemesh
Quand il est parlé des statuts consacrées au soleil il est dit «hamanime»
Levitiques 26.30 : je détruirai vos hauts lieux, j’abattrai vos statuts consacrées au soleil (obélisques) : Vos obélisques (‘hamonékhem) Sorte d’idole que l’on plaçait sur les toits. Et comme on les dressait face au soleil (‘hama), on les appelle ‘hamanim. (commentaire Racchi)
2.Rois 23.5 : ceux qui offraient des parfums à Baal, au soleil (shemesh), à la lune, au zodiaque et à toute l’armée des cieux.
2.Chroniques 14.5 : Il fit disparaître de toutes les villes de Juda les hauts lieux et les statues consacrées au soleil. Et le royaume fut en repos devant lui..
Bien d’autres passages bibliques font références à ces statues consacrées au soleil..
Si la date exacte de naissance de Jésus avait une quelconque importance pour notre foi, nul doute que la Parole de Dieu nous l’aurait transmise. Pour ma part, je suis convaincu que, dans Sa Parole, Dieu se limite à nous révéler ce qu’il nous est absolument nécessaire de savoir pour notre salut et destinée éternelle. Le dernier verset de l’Évangile de Jean me parait assez explicite sur le sujet: “Jésus a fait encore beaucoup d’autres choses; si on les écrivait en détail, je ne pense pas que le monde même pût contenir les livres qu’on écrirait”. Jean 21: 25.
Il ne faut jamais perdre de vue que la Bible n’est pas une démonstration mais bien une monstration. Dieu n’a rien à nous démontrer, il nous montre ce qu’il veut, quand il veut. Le but de la Bible n’est pas scientifique même si, ce qu’elle dit au plan scientifique s’avère exact. Au premier chapitre de la Genèse, nous avons une description de la cosmogonie biblique et, lorsque l’on sait que l’on mesure le temps en fonction des révolutions de la terre autour du soleil, je laisse à la méditation des matheux et autres amateurs de chiffres et de signes le verset 14 du premier chapitre de la Genèse que je trouve stupéfiant de précision: “Dieu dit: Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années”. Genèse 1:14.
Et les quelques cinq versets qui suivent valent aussi le coup pour un éclairage complet! On comprend mieux pourquoi un scientifique tel Blaise Pascal et bien d’autres encore se soient passionnés pour cette lecture prodigieuse de simplicité et exactitude.
C’est aussi une des oppositions les plus radicales entre le déterminisme absolu du Coran ne laissant aucun libre-arbitre au musulman… et le manque résolument volontaire de certains détails dans la Bible afin de laisser le libre-arbitre le plus responsable pour le croyant juif et chrétien.
Ainsi le musulman est enchaîné au Coran à chaque minute de son existence (jusque dans ses toilettes) et s’il commet une faute c’est Allah qui l’a voulu, sauf une seule faute : le vol. A cette exception près on a donc un déterminisme absolu.
Et à l’inverse, le juif ou le chrétien n’est pas lié à la Bible à chaque minute de son existence, et est donc pleinement responsable de ses actes, sans aucune exception. Sans la moindre exception on a donc le libre-arbitre absolu… et le jugement des actes à la fin.
Preuve la plus élémentaire et la plus définitive que Dieu et Allah sont bien deux entités radicalement différentes, diamétralement opposées. Au point d’ailleurs qu’on peut affirmer que la première existe bien et que la seconde n’est qu’une illusion, un mirage du désert, une inexistence totale.
@ AlbertGam. Je suis contents du parallèle que tu fais ici avec l’Islam. C’était exactement ce que j’avais en tête en écrivant cette réflexion. Et je me demandais si quelqu’un allait soulever la question. Comme quoi, le subliminal fonctionne encore entre chrétiens. En tout cas, tu as une sacrée puissance de travail à lire plusieurs de tes commentaires fouillés et fort bien documentés sur toutes sortes de sujets.
J’essaie de faire de mon mieux…
😀
Et ça n’est pas toujours facile de traduire en mots simples des notions parfois complexes voire très complexes et sur lesquelles il faudrait s’étendre beaucoup plus en longueur pour compenser le manque de connaissances préliminaires requises pour une lecture par tout le monde. Résumer en quelques paragraphes ça et là quarante ans de recherches scientifiques ou d’acquisition de connaissances pointues dans divers domaines, c’est une impossibilité totale. Il y a quelques minutes, j’ai répondu à notre amie blum (*) et il m’a été quasiment impossible d’éviter la flopée de mots très techniques que j’ai employés, parce que sinon cela nous entraînait dans un cours entier de cladistique et de phylogénie. Donc je laisse un peu à chacun le loisir… de découvrir le sens de ces mots par leur moteur de recherche préféré (en évitant le plus possible Wikipedia qui dans ce domaine de la Biologie de l’Evolution (mon métier) est vraiment désastreux).
* ici
https://www.dreuz.info/2017/11/21/pourquoi-lasie-du-sud-est-a-t-elle-decolle-et-pas-lafrique/comment-page-1/#comment-557905
Je souhaite bien du plaisir à celles et ceux qui voudront se coller à une compréhension complète de la réponse que j’ai donnée à notre amie blum (et sans erreurs d’interprétation sur le sens des mots, c’est encore une autre histoire, hé hé!).
Là je pense que tout le monde va comprendre que dans certaines domaines tels que ceux-là (tout comme dans l’histoire de l’Islam, la géopolitique, l’histoire du monde, et évidemment l’histoire du vivant), dès qu’on tire un bout de ficelle il faut vraiment passer des jours, des semaines voire des mois pour détricoter tous les noeuds qui se présentent. Ca n’est pas pour rien que certains domaines nécessitent de faire une licence, un master ou un doctorat. Ca me fait bien rigoler à longueur de journées quand je vois (ici ou ailleurs) des gens affirmer en quelques mots des choses dont même nous, avec un Doctorat ou une Agreg plus toute une carrière de déjà deux ou trois décennies (34 ans de carrière pour ma part), on n’est même pas vraiment sûrs ou bien qui nécessitent de sérieux développements pour dire les choses de façon juste.
😀
En France, je ne sais pas, mais en Belgique on dit de la culture qu’elle est semblable à la confiture. Moins on en a, plus on l’étale… En tout cas, c’est bien vrai qu’il est particulièrement difficile de parvenir à simplifier des notions complexes, à vulgariser des sujets sans diminuer leur substance. Tout un programme …
Les dieux n’ont pas manqué depuis qu’il y des hommes mais aucun n’est un être.
Allah mono-dieu teinté de la digestion de l’Ecriture, du Nouveau Testament et de la révélation d’un ange Gabril est-il une entité ? (Gabril copié-collé de Gabriel, je vous demande un peu !) Non, bien d’accord, AlbertGam.
Un ange qui abroge sans explication tout un pan de ses propres révélations, comme si Allah pouvait se tromper- et il se trompe.
Mohamad, lui, a bien existé. Le Beau Modèle a eu une vie très occupée.
Le Seigneur dit : Je Suis celui qui Suis (ou -Serait- idem).Toujours très ému en écrivant ces mots sacrés. Il n’y a pas d’autre dieu que Dieu.
On dit de façon sérieuse que de nombreux musulmans nés dans l’Islam embrassent la foi chrétienne à la vue des atrocités de Daesh. Ils découvrent la liberté ; d’un mal sort un bien.
“d’un mal sort un bien”
En effet. Et c’est des ténèbres que sort la lumière. L’inverse est impossible.
🙂
Je vous cite : “Lorsque l’on sait que l’on mesure le temps en fonction des révolutions de la terre autour du soleil”…
Vous faites erreur. Le calendrier hébraïque est lunaire : “Il a fait la lune pour marquer le temps…” Psaume 104:19
Or il se trouve que chaque année, le quinzième jour du premier mois, la lune est pleine et ce, depuis des siècles.
Qu’il y ait des luminaires pour séparer le jour d’avec la nuit, oui, mais seule la lune fixe le temps, et non aléatoirement. Et il n’y a pas besoin de rajouter des jours au calendrier, cycliquement, pour faire la bonne mesure. Par ailleurs, plusieurs calendriers sont en usage, et les Esséniens avaient le leur.
De plus, les dates relatives à la vie de Jésus ne sont pas anodines, elles correspondent au cycle des Fêtes de l’Eternel, aux « convocations divines »…
Vous avez raison, cela ne met pas en cause la foi, mais ces petits arrangements avec la vérité sont problématiques.
@ Pat. Je n’ai aucune difficulté à accepter ce que vous dites et ne suis pas un scientifique. Mais je remarque quand-même que notre calendrier est établi sur 365 jours qui correspondent à une révolution de la terre autour du soleil … Avec un léger décalage de six heures par an qui est rattrapé tous les quatre ans, années bissextiles. Ce que je dis n’entre pas en contradiction avec le texte que j’ai cité. Ce que je crois et admets volontiers c’est que je peux parfaitement me tromper, mais le texte biblique, lui, est sans erreur. Mes remarques profanes s’adressent aussi aux scientifiques, donc toute contradiction est bienvenue. Et c’est clair que la lune joue un rôle majeur aussi dans le calcul du temps. On a pas fini de découvrir toute la vérité. Merci à vous. Bien cordialement,
@ Pat. Complémentairement à ma première réponse à vos remarques, je rajouterais que vous avez parfaitement raison mais que je ne suis pas complètement fautif …
Comme vous le dites, le texte biblique, lui, est sans erreur.
Bonne journée.
“sauf une seule faute : le vol.”
(entre musulmans bien évidemment. Le vol des biens des mécréants est au contraire lourdement encouragé partout dans le Coran… il y a même une sourate consacrée entièrement à ce sujet).
Même si je suis de confession juive, je trouve que Noël est une très belle fête dans les traditions et les symboles.
Heureux Dan. S que vous trouviez que “Noël est une très belle fête”.
C’est aussi la fête de la naissance à Bethléem, “ville de de David”, d’un enfant mâle nommé Yeshua “Dieu sauve”, né de Myriam, jeune vierge de la Maison de David, accompagnée de Joseph également son époux, aussi de la Maison de David ; tous deux de la tribu de Juda.
Cela au moment du recensement de Caesar Augustus.
D’abord c’est une une Histoire juive.
Même si ce n’est pas important de connaitre la date exacte de Sa naissance, il est certain que le Christ n’est pas né un 25 décembre pour la simple raison que les bergers et les troupeaux ne se trouvaient pas dans les champs en cette période de l’année. l’hiver était la saison des pluies et les bergers ne pouvaient demeurer dans les champs la nuit. Il y a 4 grandes fêtes en Israël (les plus importantes) 2 au printemps, la Pâques et Pentecôte, 2 en automne (septembre-octobre) la fête des Trompettes qui représente le temps de l’Église et Yom Kippour, La fête de Grand Pardon, le jour le plus saint de l’année religieuse du peuple Juif. Ne croyez-vous pas que Jésus sois né pendant l’une de ces fêtes? Il est venu pour pardonner les péchés ce qui correspond bien a Yom Kippour, que l’on célèbre au mois de septembre.
Sur le même sujet: http://luc-henrist.com/assets/a-propos-du-25-d%C3%A9cembre.pdf