Publié par Magali Marc le 23 novembre 2017

J’ai trouvé cet article rigolo de John Nolte publié sur le site Breitbart, ce 23 novembre. Je l’ai traduit pour les lecteurs de Dreuz.

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Pourquoi les gauchistes sont-ils pris de panique dès qu’ils pensent aux arguments de l’Oncle Bob lors du Thanksgiving ? Ils ont la frousse !

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Avez-vous remarqué que les personnes qui stressent dès qu’on évoque la possibilité d’une conversation politique autour de la dinde de Thanksgiving, sont des gauchistes qui vivent leur panique annuelle? Et que seules nos élites enfermées dans leur bulle publient des avertissements pathétiques sur la façon de ménager votre Oncle Bob qui adore Trump ?

Voici des exemples:

  • Le Washington Post (gauchiste): Quand votre tante gauchiste se présente au repas de Thanksgiving dans le pays de Trump.
  • Politico (gauchiste): Ce que c’est que d’être le seul fan de Trump au dîner de Thanksgiving.
  • Esquire (gauchiste): Pour ce Thanksgiving, ne craignez pas le mot de cinq lettres [T-R-U-M-P].
  • HuffingtonPost (gauchiste): Pourquoi je ne veux pas rentrer à la maison pour Thanksgiving cette année.
  • Le Guardian (gauchiste): Comment éviter la bagarre à propos de Trump pendant le dîner de Thanksgiving.
  • USA Today (gauchiste): Trump à la Maison-Blanche… Que faire si vous ne voulez pas parler de politique?

Ai-je besoin d’en dire plus?

Donc, outre ce narcissisme égocentrique qui pousse les gauchistes à ennuyer tout le monde à mort avec tout ce bavardage incessant à propos de leurs névroses, pourquoi toute cette folle anxiété de vivre un débat de Thanksgiving avec l’oncle Bob?

Deux mots: l’ignorance et la lâcheté.

Ne vous méprenez pas, je ne parle pas des partisans démocrates en général. Ce ne sont pas eux qui écrivent pour s’épancher à propos de leur délicate angoisse devant l’oncle Bob qui ose avoir une opinion.

Ma mère aime Obama et méprise Trump, mais elle vit dans le monde réel et nous allons nous amuser comme des fous à confronter nos points de vue.

Non, nous voyons ces articles écrits et diffusés presque exclusivement, par les élites médiatiques, les élites urbaines, les activistes de gauche et les étudiants — qui ont tous une chose flagrante en commun…

Tous vivent tous dans des bulles aseptisées, dans des caisses de résonance, des espaces sûrs; dans des châteaux indépendants, hermétiquement fermés, bien gardés, sans fenêtres, construits avec des miroirs qui ne reflètent que ce qu’ils veulent voir — le reflet de leur pureté.

Alors, naturellement, Oncle Bob, amène ces faibles d’esprit à se remettre en question. Il les enrage et les contrarie, parce qu’en dehors d’un studio de télévision, d’une salle de rédaction, d’un dortoir, et du bouton de blocage des médias sociaux, ces gauchistes ne peuvent tout simplement pas s’ouvrir à un débat honnête, non filtré, non réglementé et non truqué.

Parce que l’Oncle Bob lit et regarde tout, pas seulement CNN, pas seulement les médias qui provoquent un sentiment indéfinissable de douceur. Il sait de quoi il parle et il est prêt à débattre.

Tandis que le jeune excité, vivant bien à l’abri, minable, sans emploi, efféminé, qui porte chignon, lui n’est pas préparé à la confrontation.

La plupart d’entre nous ont vu cela de près, ce qui explique pourquoi, le jour de Thanksgiving, nous cherchons notre neveu métrosexuel avec ses piercings.

Regarder le Wokey s’effondrer lentement devant le bon sens de l’Oncle Bob, faire l’expérience du monde réel, d’un point de vue alternatif (…) est réellement ce à quoi servent les congés du Thanksgiving.

Un ancien gauchiste borné — qu’il soit un faux journaliste, étudiant, professeur, artiste, bureaucrate ou chômeur diplômé en études féminines — lorsqu’il émerge du monde Woke (terme afro-américain censé évoquer une prise de conscience concernant la justice sociale et raciale) et qu’il tombe dans l’écosystème intellectuel diversifié du monde réel, s’écroule comme une fillette.

Et quand vous saupoudrez ces miettes sur votre tarte aux patates douces, elle a un bon goût de victoire.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : traduction © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

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