Publié par Danièle Lopez le 26 novembre 2017

Dans le climat délétère qui règne en France, les figures de proue du racisme anti-blanc ou anti-français, Houria Bouteldja et Danièle Obono, font la une des informations de cette semaine.

En effet, deux programmes envisagés par l’Éducation nationale, l’un dans une Université qui invitait Bouteldja, l’autre par le syndicat Sud Éducation 93 qui prévoit des « ateliers en non-mixité raciale » âprement défendus par Obono, ont levé le vent de la révolte dans certaines formations politiques et jusqu’au ministère de l’Éducation.

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Il n’en fallait pas moins pour que le sentiment nationaliste des Français ressente agression, victimisation, stigmatisation… avec raison. Donc, il s’en défend.

Arrivant dans le contexte actuel qui interdit aux Français toute critique contre l’islam ou l’immigration arabo-africaine sous peine de condamnation judiciaire, il est d’autant plus malvenu, après la tenue autorisée d’un camp de vacances anti-blanc à l’initiative de Bouteldja et les propos antinationalistes de Obono, de faire, encore une fois, pression sur la race blanche française en l’accusant de tous les maux.

Et on se demande quelle mouche pique ces deux femmes ?

Bouteldja est une Algérienne musulmane, née à Constantine en 1973. Elle fait ses études à Lyon et, depuis 2001, est salariée de l’Institut du monde arabe. Nous ne savons pas à quel âge elle est arrivée en France ni quand elle a obtenu la nationalité française. Toujours est-il que sa naissance dans son pays indépendant, dix années après que la France se soit retirée d’Algérie, prouve que ses parents n’étaient pas pro français puisqu’ils ont opté pour la nationalité algérienne comme ils en ont eu le choix dès le 3 juillet 1962. S’ils ont émigré plus tard vers la France, c’est parce que l’Algérie algérienne ne leur a pas convenu.

Dès lors, nous ne comprenons pas pourquoi le cheval de bataille de cette pasionaria, maghrébine antisémite, anti-française et anti-blanc, est devenu son combat pour l’anti colonialisme français ? Puisqu’elle est née Algérienne, rien ne l’empêche de repartir dans son pays qui se plaint, d’ailleurs, de la « fuite des cerveaux » détournés par les pays d’accueil, dont la France en premier lieu.

Elle est d’autant plus antifrançaise et antisémite que, lors d’une émission télévisée française, elle a repris à son compte les propos de l’odieux Sartre qui traduisait le terrorisme FLN algérien par ses mots : « Abattre un Français, c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre ». Bien sûr, elle a remplacé « Français » par « Israélien ».

Ce qui fait d’elle une aficionada du Hamas, du Hezbollah et de tous ces terroristes que la France a nourris et éduqués à l’instar de ceux qui ont tué hommes, femmes et enfants, en France. Le fait est qu’elle ne le cache pas qu’elle soutient le terrorisme : « Mohammed Merah c’est moi. Je dis, ce soir, je suis musulmane fondamentale. »

Et, nous, nous disons : pourquoi cette femme est-elle encore en liberté, chez nous ?

Si l’État français était réellement parti en guerre contre le terrorisme et qu’il appliquait cette politique à la lettre, elle devrait, déjà, être fichée S et, tout au moins, mise sous surveillance accrue.

Quel intérêt avait Philippe Colin de l’Université de Limoges à débattre avec cette femme dans son « séminaire d’études décoloniales », en ayant toute connaissance de sa francophobie, de son israélophobie et de son racialisme légendaire ?

Même s’il se défend de toute politisation dans ce séminaire, ce professeur de recherches en Sciences humaines reconnaît que c’est la « militante Bouteldja », pour son dernier « livre » –jugé antisémite– qui l’a encouragé à l’inviter. Il ajoute, même, qu’il la considère comme «l’une des meilleures spécialistes sur ces questions (de décolonisation) en France».

« Être militant » fait-il d’un homme, un auteur, un juge impartial du combat pour lequel il s’engage ? Jamais ! Encore bien moins une spécialiste d’une décolonisation qu’elle n’a pas connue mais aura entendu raconter par chacun à sa façon, à sa manière.

Et ce professeur-chercheur ose dire que cela n’aurait rien de politique ? L’Éducation nationale française, par son gauchisme inutile, serait-elle devenue le premier terreau de l’islamisme ?

C’est, toujours, dans l’Éducation nationale que nous allons retrouver l’autre antifrançaise notoire, Obono, qui défend bec et ongles un « atelier en non-mixité raciale » prévu par le syndicat Sud éducation 93, dans le cadre d’un stage intitulé « Au croisement des oppressions –Où en est-on de l’antiracisme à l’école ? ».

Cette Africaine, née à Libreville au Gabon en 1980, est entrée en France au début des années 90 pour être naturalisée en 2011. Elle avait donc 31 ans lorsqu’elle a acquis la nationalité française. Nous dirons pour elle comme pour l’autre, depuis l’âge de sa majorité, rien ne l’empêchait de retourner dans son pays africain si l’accueil en France lui déplaisait.

Mais non. Elle est très bien en France sauf qu’elle est encore plus haineuse que la Bouteldja, son égérie. Son combat, à elle, c’est la « blanchité ». Élue députée de la très gauchiste pro islamique France insoumise, elle monte au créneau à toutes les occasions pour casser du blanc et son soi-disant racisme.

Même quand elle ne sait pas ce qu’elle dit, elle le dit !

Cette semaine sur Sud Radio, elle a affirmé que « la non-mixité raciale est une pratique très courante… dans les mouvements féministes, LGBT » par exemple.

Ah, oui ! Pour être un exemple, c’en est un.

Parce que pour Obono, être gay ou lesbienne, c’est être d’une autre race. Elle n’est pas noire, elle n’est pas arabe, elle n’est pas blanche, elle est homo !

Selon elle, pouvoir discuter des mêmes problèmes partagés par les gens d’une même race est un outil pédagogique indispensable pour libérer plus facilement la parole. Il semblerait qu’elle, précisément, a la parole un peu trop libre. Surtout, quand il s’agit d’accuser la France de racisme. Et, au contraire, la libération de la parole qu’elle préconise dans cet atelier en non-mixité raciale ne fera qu’exacerber la présumée victimisation dont ils se plaignent sans pouvoir entendre l’avis d’aucun contradicteur.

Mais, dans le fond, c’est ce que cherche cette bonne femme. Pouvoir propager « sa » parole pour endoctriner les esprits malléables.

Le site français. rt.com rapporte, au sujet de ce stage : « Dans cette optique, seront mis en place des ‘ateliers en non-mixité raciale’ –c’est à dire dont sont exclus les blancs– où les participants pourront discuter de la ‘blanchité’ ou encore des enseignants et des élèves qui seraient ‘racisés’ et des ‘postures dominantes’ des ‘enseignants blancs’. »

Tout un programme, en effet ! Nous retiendrons et Obono aura, certainement, retenu la même chose, la prétendue « posture dominante des enseignants blancs ». Ah ! La fameuse domination des Blancs qui les maintiendrait dans la soumission !

Selon Obono, au prétexte qu’ils ont la peau claire, la suprématie blanche est avérée partout où elle se trouve. C’est faire fi des enseignants d’origine africaine comme d’autres chefs dans d’autres professions, qui sont respectés pour leur valeur et leur professionnalisme et non pour la couleur de leur peau.

Où donc se situe le racisme ? Qui donc sont les communautaristes ? Qui, des Français blancs ou des Français noirs ou des Français arabes, sont les plus réfractaires à la mixité entre les races voulues par nos gouvernements successifs ?

Cette ségrégation qu’elles encouragent, l’une comme l’autre, par leurs actions, démontre qu’elles n’ont qu’un but, dénoncer un présumé racisme des Français pour parvenir à leur fin, à savoir se détacher du lot… des quidams de leurs communautés respectives, en devenir les « chefs ».

Mais en aucun cas nous ne pouvons croire au bien-fondé d’un programme qui les aiderait à s’intégrer ou à s’améliorer. Bien au contraire, le sectarisme y a toute sa place et nous ne doutons pas qu’il y serait activement préconisé.

Les preuves sont flagrantes, dans ce cas précis. Dans une réunion « en non-mixité raciale », on ne doit pas inviter des participants d’une autre race, nous sommes d’accord sur ce point. Alors pourquoi inviter des participants de la race arabe quand on exclut les participants blancs ?

Or, la « guest star » prévue dans ce stage est l’ancien patron du CCIF, le très islamiste Collectif contre l’islamophobie en France, dont nous savons tous qu’il appartient au mouvement des Frères musulmans égyptiens, connus pour leur haine du non-musulman et adeptes de l’instauration de la charia dans tous les pays non islamiques. Sont-ce là des personnes stigmatisées dont la parole n’est pas été libérée ?

Rien, dans les discours détournés sur la réelle motivation des engagements des Bouteldja et Obono ne trompe plus personne. Il y a longtemps qu’elles sont parties en guerre contre la France et les Français. Et chacune de leurs interventions n’entend qu’à soulever la révolte des « jeunes noirs et arabes des cités » au lieu de calmer ce jeu qui fait d’eux des rebelles en puissance.

Des rebelles dangereux contre lesquels les Français Blancs se focalisent avec raison. Il est donc de leur devoir d’empêcher ces rhéteurs de propager leur rhétorique anti-française, pro-islamique et nocive pour le bien et le respect de notre Nation.

La parole est à l’État français. A son président et à son gouvernement.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Danièle Lopez pour Dreuz.info.

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