**Lisant ce matin un titre de journal de gauche français Le Figaro, je n’ai pu m’empêcher d’avoir envie de donner à ce que j’écris ici un titre proche.**

Le correspondant de gauche obamalâtre du journal de gauche Le Figaro a en effet titré, satisfait de lui-même et des pseudo informations qu’il ramasse dans les poubelles de la presse de gauche américaine, “Trump s’affranchit toujours plus des faits”.

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Suit dans l’article, une litanie de “mensonges” reprochés à Trump par les journaux mensongers de la presse de gauche américaine. Comme les “mensonges” reprochés à Trump le sont par des journaux mensongers, et ne sont pas des mensonges, il résulte qu’il n’y a pas de mensonges attribuables à Trump, mais le correspondant de gauche obamalâtre du journal de gauche français Le Figaro n’en a cure.

Il sait que dans quasiment tout le reste de la presse française, on ramasse des pseudo informations dans les mêmes poubelles que lui et qu’il peut donc écrire un article débile et falsificateur sans être accusé d’être un imposteur.

Dire que les Français qui lisent seulement la presse française sont désinformés est énoncer une évidence.
Dire que les Français sont tout particulièrement désinformés lorsqu’ils lisent ce que la presse française écrit sur Trump est une évidence plus flagrante encore. Si, en supplément, ils regardent la télévision française, cela n’arrange rien.

Les faits, donc. Pas les pseudo faits dont Trump est censé “s’affranchir”. Les véritables faits.

L’économie américaine ne s’est pas portée aussi bien depuis longtemps. Les créations d’emplois se font de plus en plus nombreuses. Le chômage est à son plus bas niveau aux Etats-Unis depuis dix-sept ans. Les investissements sont en forte hausse. Le marché boursier reflète la confiance des investisseurs et l’indice Dow Jones vient de passer la barre des 24.000 points pour la première fois de son histoire. La croissance se situe ce trimestre à 3,3 pour cent: sous Barack Obama elle n’avait jamais atteint 3 pour cent. Le marché immobilier, stagnant sous Obama est en très forte hausse. Le nombre de pauvres et d’assistés chute.
La réforme fiscale voulue par Donald Trump vient d’être adoptée par le Congrès, et l’impôt sur les bénéfices des entreprises va fortement diminuer (il sera presque divisé par deux), de même que l’ensemble des impôts sur le revenu, ce qui va avoir un effet très positif sur la consommation, l’épargne et, une fois encore, les investissements. La confiance des Américains dans le futur de leur pays est à nouveau au beau fixe et atteint des niveaux sans précédent depuis que les sondages existent.
L’immigration clandestine a diminué de plus de soixante dix pour cent quand bien même des villes sanctuaires continuent à abriter des immigrants clandestins, y compris s’ils sont criminels récidivistes. La criminalité est elle-même en nette baisse, sauf dans les villes sanctuaires, à qui Donald Trump entend légitimement couper les vivres. Des gangs dangereux tels MS 13 ont été presque complètement détruits. Il n’y a plus d’assassinats de policiers.
En termes de politique étrangère, même si cela prend du temps, Donald Trump est en train de remédier aux immenses dégâts laissés par son prédécesseur, ce qui implique de mettre en place un endiguement de la Corée du Nord, qui est un danger planétaire, et un endiguement de l’Iran, qui est aussi un danger planétaire.
- La révolution en cours en Arabie Saoudite est un événement majeur, né de la diplomatie et de la politique énergétique de Donald Trump, j’en ai déjà traité ici.
- L’Arabie Saoudite n’est pas seule et a derrière elle une coalition de quarante pays sunnites.
- Des rapprochements stratégiques cruciaux s’opèrent entre Israël, l’Arabie Saoudite et les pays sunnites susdits.
- Donald Trump reconnaîtra sans doute bientôt Jérusalem comme capitale d’Israël.
- L’armée américaine a retrouvé confiance en elle, efficacité, et crédibilité.
Les mises en examen successives de Paul Manafort et de Michael Flynn montrent que le Rottweiler démocrate enragé appelé Robert Mueller, censé s’occuper d’une inexistante “collusion” entre la campagne de Donald Trump et la Russie rentre de la chasse absolument bredouille, ce qui est logique puisque la “collusion“ est inexistante et n’a existé que dans les fantasmes de la gauche démocrate américaine et de ses alliés médiatiques.
- Paul Manafort a été mis en examen pour des actes qui semblent relever de l’évasion fiscale, et qui se sont déroulés il y a dix ans, parfois davantage, en une époque où Donald Trump n’était pas candidat à l’élection présidentielle et n’avait aucune relation avec Paul Manafort. Ce dernier est une victime collatérale d’une délirante chasse aux sorcières.
- Michael Flynn, lui, est accusé de ne pas avoir tout dit au FBI d’une conversation qu’il a eue avec l’ambassadeur de Russie. Il peut lui être reproché de ne pas avoir tout dit au FBI sur cette conversation. La conversation elle-même est totalement anodine, comme le montrent les retranscriptions qui en ont été faites et qui ont été publiées illégalement dans le Washington Post et le New York Times.
- Ni la conversation, ni le fait que Michael Flynn n’aie pas tout dit n’impliquent en quoi que ce soit Donald Trump et ne montrent en quoi que ce soit une “collusion”.
- Il ressort de ce qu’énoncent les poubelles de la presse de gauche américaine que Michael Flynn aurait téléphoné à l’ambassadeur de Russie sur demande de Jared Kushner, après que Donald Trump a été élu, et avec autorisation préalable de l’administration Obama. Jared Kushner était à ce moment conseiller du Président, Michael Flynn allait être nommé Conseiller national à la sécurité. Qu’un conseiller du Président demande à celui qui va être Conseiller national à la sécurité de téléphoner à l’ambassadeur d’un pays important sur la scène mondiale, avec autorisation de l’administration sortante, n’a rien d’un scandale et est un geste normal. Qu’un futur Conseiller national à la sécurité téléphone sur cette base est un geste tout aussi normal. La diplomatie d’un pays implique d’avoir des relations avec d’autres pays et une continuité des relations diplomatiques: devoir rappeler quelque chose d’aussi élémentaire est consternant.
- Que la mise en examen de Michael Flynn pour un motif, somme toute, très mineur, et sans la moindre trace de “collusion” fasse les gros titres serait grotesque si nous ne vivions pas dans une époque grotesque et s’il existait encore un minimum de sérieux dans la presse de gauche américaine, soit quatre-vingt pour cent de la presse américaine, et un minimum de sérieux dans la presse de gauche française, soit quatre-vingt-dix-neuf pour cent de la presse française.

Qu’on puisse trouver dans Le Figaro, en première page de la version internet du journal, un titre disant “l’inculpation de Michael Flynn menace la Maison Blanche” montre que Le Figaro n’est plus un journal digne de ce nom. C’est un journal de gauche, certes, mais tout de même ! Le crétinisme journalistique de gauche menace Le Figaro.

Si la presse américaine ne devait employer que des journalistes dignes de ce nom, les salles de rédaction seraient quasiment désertes dans presque tout le pays. Si la presse française devait faire la même chose, il resterait à peine assez de journalistes en exercice pour les compter sur les doigts d’une seule main.

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