La SPCA de Montréal qui soutient la présence de coyotes en milieu urbain, a bon espoir qu’elle aura l’appui de la mairesse de Montréal.
Fraîchement élue mairesse de la Ville de Montréal le 5 novembre dernier, la successeure de Denis Coderre, Valérie Plante, a décidé de soumettre sa ville à un rituel pénitentiel : elle commence les réunions du conseil de ville en disant de Montréal qu’il s’agit d’un territoire mohawk non cédé.
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Valérie Plante est diplômée en Anthropologie, en muséologie et détient un certificat en en intervention en milieu multiethnique de la Faculté de l’Éducation permanente de l’Université de Montréal.
Elle ne connaît donc strictement rien à la gestion d’une grande métropole comme Montréal. Elle est arrivée en politique municipale avec son sourire béat et son idéologie féministe-gauchiste.
En 2016, Poste de Veille notait que, alors qu’elle était la nouvelle cheffe de l’Opposition officielle à la Ville de Montréal, Mme Plante, reconnaissait bénéficier d’un «privilège blanc» et ressentir du «white guilt».
Elle collaborait avec Haroun Bouazzi et soutenait la demande d’une commission sur le racisme systémique. (On sait que le Premier ministre Couillard a fini par organiser cette commission tenue en catimini à cause de la grogne que cette initiative suscite dans les milieux nationalistes et parce qu’il est à un an de tenir des élections qui pourraient lui faire perdre le pouvoir.)
Selon Mathieu Bock-Côté, cette idée de dire de la ville de Montréal qu’il s’agit d’un territoire mohawk non cédé démontre que Valérie Plante est animée d’un «zèle idéologique dont a l’habitude une certaine gauche qui n’a de cesse de faire le procès du monde occidental».
Mais voilà que maintenant, la SPCA de Montréal se mêle de défendre la présence de coyotes en milieu urbain, notamment dans certains quartiers de la métropole, qu’elle considère comme un phénomène positif qu’il faut aborder sous l’angle de la cohabitation pacifique.
C’est le même raisonnement que celui de Trudeau concernant le retour des djihadistes ou celui de Coderre qui a fait de Montréal une ville refuge pour les sans-papiers: si on est gentil avec eux, les coyotes, les djihadistes et les sans-papiers s’empresseront de cohabiter pacifiquement.
Selon la SPCA, la présence accrue de coyotes dans les villes vient du développement urbain « qui détruit inexorablement l’habitat naturel des coyotes » (encore de la culpabilité!).
L’organisme soutient qu’il ne sert à rien de tenter de les éliminer ou de les relocaliser puisqu’ils ont un impact très positif sur la biodiversité d’une région et sur l’équilibre écologique du milieu (une chance pour Montréal?). Par exemple, le régime alimentaire d’un coyote, explique un expert cité par la SPCA, est en majeure partie composé de rats, de souris et d’autres rongeurs. Il est donc plus convenable, selon l’organisme, de viser à bien cohabiter avec les coyotes en prenant des précautions «comme modifier certaines de nos habitudes de vie et en étant conscients de l’impact de nos gestes sur la faune ».
Sur l’île de Montréal, il y aurait plusieurs centaines de coyotes. Depuis juin 2017, trois coyotes auraient été abattus sur place par des agents de la Faune intervenant sur l’île de Montréal. En outre, 19 coyotes auraient été capturés depuis cet été. De ce nombre, six seraient morts à la suite du piégeage et 13 auraient été relocalisés. D’après la SPCA, ils ont peu de chance de survie dans leur nouveau milieu puisqu’ils sont habitués à vivre en meutes.
«La Ville de Montréal doit donc arrêter d’embaucher des trappeurs», a insisté Mme Devine, qui a bon espoir que l’administration Plante sera plus à l’écoute que l’administration Coderre.
La SPCA de Montréal recommande à la Ville de Montréal de s’inspirer de la ville de Coquitlam en Colombie-Britannique où on impose des amendes de 500$ à ceux qui nourrissent les coyotes, même par inadvertance à cause de poubelles inadéquates ou déposées en dehors des heures de collecte.
Cette position de la SPCA de Montréal est rejetée fermement par un trappeur urbain Sylvain Lévesque.
Pour appuyer ses dires selon lesquels le coyote présente des «risques évidents», M. Lévesque rapporte ce cas d’une jeune joggeuse qui est décédée après avoir été attaquée par des coyotes dans un parc national en Nouvelle-Écosse, en 2009.
Il dénonce d’ailleurs le fait que la SPCA invite les citoyens à adopter les mêmes règles de prévention avec les coyotes qu’avec les ours, notamment de soutenir leur regard tout en s’éloignant doucement à reculons si on se retrouve face à l’un d’entre eux. «Est-ce qu’on accepterait les ours dans la ville de Montréal? Eh bien, c’est la même chose!», a-t-il mentionné.
Le phénomène de migration des animaux s’observe depuis quelques années avec plusieurs espèces en quête de nourriture. «Ils rentrent à Montréal par les voies ferrées et par le bord des autoroutes et si rien n’est fait, c’est sûr qu’il va y en avoir de plus en plus», a conclu l’homme qui réclame vivement un meilleur contrôle de la part des autorités.
Il faudrait savoir: doit-on rendre Montréal aux Mohawks ou aux coyotes?
Et que faire si une meute de coyotes s’attaque à un sans-papiers ou à un réfugié?
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
« Mairesse », « successeure » on parle quelle langue ?
Français canadien
Mais qui soutient la cause des rats et des souris ???? Personne ????
C’est honteux et dommageable pour la biodiversité !!!
Les gauchistes, ça ne leur suffit pas d’être cinglés…
ils doivent impérativement imposer les conneries
de leur idéologie au reste du monde.
Même s’il y a des victimes.
Les canadiens français bafouent la langue française avec leur féminisation ridicule des termes “successeur” ou “écrivain” ou “maire”.
L’académie les condamne et nous ne les reconnaîtrons pas. C’est une grave atteinte à la langue et à notre liberté de la respecter.
Les femmes au pouvoir, à quelques exceptions prés, donnent dans le féminisme le plus stupide.
C’est assommant et intolérable.
Oui, c’est assommant, intolérable, et profondément débilisant.
À propos, on a coutume d’appeler les avocats “maître”. On attend donc la première avocate qui acceptera d’être appelée “maîtresse”. 🙂 🙂 🙂
Apparemment, ce ne sera pas pour tout de suite… 🙂 🙂 🙂
D’accord avec vous. Ces féminisations tournent au grotesque.
En tant que femme, je ne me reconnais pas dans toutes ces revendications.
“Pour appuyer ses dires selon lesquels le coyote présente des «risques évidents», M. Lévesque rapporte ce cas d’une jeune joggeuse qui est décédée après avoir été attaquée par des coyotes dans un parc national en Nouvelle-Écosse, en 2009.”
Qui était responsable? Les coyotes? Les administrateurs du parc? La joggeuse qui s’était peut-être aventurée là où elle ne devait pas?
Le fait qu’au Québec on parle un français qui a divergé du français de France de façon naturelle par le temps… doit-il obliger les québecois à adopter le français de France quand ils écrivent sur Dreuz ?
Les règles de la langue française peuvent devenir légèrement différentes avec le temps suivant l’endroit où on se trouve dans le monde. Même en Belgique et en Suisse les règles sont légèrement différentes.
Cela entrave-t-il à ce point la lecture par des français ?
Le fait que les règles du féminin sont différentes au Québec par rapport aux règles françaises rend-il la lecture si pénible qu’on doive en arriver à critiquer la rédactrice d’un texte parce qu’elle utilise les règles en usage dans son pays ?
Dreuz est-il un site de langue française qui oblige les rédacteurs et les commentateurs à utiliser les règles de France à l’exclusion de toute autre règle en usage dans le pays où vit le rédacteur ou la rédactrice ?
Les canadiens ne bafouent pas la langue française. Les canadiens ont une langue française qui est devenue légèrement différente de la langue française de France tout comme les américains ont une langue anglaise qui est devenue légèrement différente de la langue anglaise de Grande Bretagne.
Et lorsqu’on demande du respect aux autres (puisque vous écrivez “C’est une grave atteinte à la langue et à notre liberté de la respecter.”) on est prié de commencer par soi-même respecter les règles en usage dans le pays où vit la personne qui vous offre au moins le plaisir de lire un article qu’elle a pris le temps de rédiger pour vous et vous documenter sur un sujet. Vous, française, êtes même allée jusqu’à exprimer un profond mépris pour la rédactrice de cet article lorsque vous avez écrit “Les femmes au pouvoir, à quelques exceptions prés, donnent dans le féminisme le plus stupide.”. Exiger d’une québecoise qu’elle respecte la langue française de France n’est-il pas l’expression d’une France quelque peu nombriliste? Et traiter de stupide la rédactrice de l’article et de surcroît en l’assimilant à une “féministe stupide” est une marque de profond irrespect en plus d’être une marque de vraie stupidité (constatée) déjà de votre part puisque Magali n’a fait qu’employer les règles du féminin en usage dans la grammaire québecoise, ce qui semble vous échapper totalement !
Donc:
Première chose:
Dreuz n’est certainement pas un site web qui exige qu’on emploie les règles grammaticales exclusivement de France. Dreuz est un site web francophone, or la francophonie est un monde basé sur la langue française et ses différences nationales partout où le français est employé dans le monde.
Deuxième chose:
Une québecoise s’exprime avec les règles grammaticales du Québec, qui sont les règles naturelles pour elle, tout comme un belge, un suisse, un malgache, un sénégalais, etc. emploie des règles qui peuvent être légèrement différentes de celles du français de France.
Troisième chose:
Exiger le respect de la part des autres nécessite de commencer par soi-même respecter les autres et par éviter de se sentir non respecté parce qu’une personne vous choque quand elle emploie les règles de sa langue.
Quatrième chose:
On n’a pas à insulter les gens auxquels on s’adresse.
Je tenais à ce que cela soit dit.
La langue française a une logique, souvent basée sur l’étymologie. Par exemple, les féminins en -eure viennent généralement d’un comparatif latin : meilleure, supérieure etc.
Loin de moi l’idée d’insulter nos cousins québécois, mais j’appelle à un peu plus de rigueur pour protéger notre belle langue. Pour moi, professeure et auteure sont des fautes de français.
@ AlbertGam
Les particularismes propres à chaque pays francophone sont une chose.
Le travail de déconstruction de la langue française orchestré par les khmers féministes radicalisé(e)s, c’en est un toute autre, dans lequel on n’est pas obligé de plonger les yeux fermés.
N’exagérons pas non plus.
Vers 1980, bien avant l’écriture inclusive, je me souviens d’une prof qui était également premier édile de sa commune, on disait alors : “la mairesse de Pl.” – et cela se passait au coeur d’une de nos régions rurales françaises.
Il m’est moi-même arrivé, dans des rapports, d’écrire “une ingénieure”, il y a plus de 10 ans de cela.
Ce n’est pas la même chose que les excès aussi débiles que perturbants, parce que frappés au coin d’un féminisme délirant et terroriste, de l’écriture dite inclusive, laquelle voudrait nous faire écrire par exemple, “des pâturages et des prairies verdoyantes” à la place de “des pâturages et des prairies verdoyants”.
Remettons les choses à leurn place… en tout cas, personnellement je ne suis absolument pas choqué par les termes employés par Magali Marc dans cet article.
Je n’ai fait qu’appliquer les règles de l’Office québécois de la langue française qui est en désaccord avec l’Académie française concernant la féminisation de certains mots.
Ainsi, l’OQLF préfère « successeure» au « successeuse » des Suisses.
L’OQLF accepte autant «maire » que «mairesse ».
Pour ce qui de «la cheffe», il s’agit de la graphie officielle recommandée en France! L’OQLF dans ce cas, préfère écrire « la chef», ce qui est bien la preuve que cette institution québécoise n’est pas peuplée de féministes radicales enragées!
Je suis moi-même très éloignée des féministes anglophones qui souhaitent changer le mot «history », herstory!
Les Suisses n’ont jamais été très à l’aise avec la langue française, surtout avec le français parlé. Aujourd’hui – aussi étonnant que cela puisse paraître – pour entendre le vrai bon français dans sa forme la plus pure et la mieux construite, il faut aller à Dakar, à Bamako, à Libreville et à Yaoundé. C’est un vrai bonheur d’y entendre notre belle langue dans sa forme originelle et qui n’a pas connu, là-bas, le rouleau compresseur des “z’y va t’es chelou” des cités, ni le concert de casseroles trouées des télés et radios françaises.
Oui, les français font du shopping, nous faisons du magasinage ;
Les français envoient des mails ou des emails, nous ce sont des courriels,
Ils portent des baskets, des blues jeans, des t-shirts, font du footing… et donnent des leçons à tout le monde avant même d’aller à l’école ; c’est dans leur ADN, comme la haine chez d’autres peuples!
Une langue morte c’est une langue qui n’évolue pas, comme le latin!
Enfin, ils ont réintroduit le loup dans les Pyrénées pour faire joli ; les loups se sont multipliés, ils ont saccagé les troupeaux de moutons, de vrais massacres sanguinaires, attaqué des humains et “merde de merde” ils ont descendu dans la vallée et sont maintenant à proximité de Limoge. Bientôt les Bidochon pourront recommencer à chanter : “Les loups houhouhou ; les loups sont entrés dans Paris… A moins que d’ici-là ce soit les wolfs sont comming in Pariss?
Et les Québécois ont des chums, des bécosses, mangent des roties… Je continue ?
Oui, mais seulement au WC!
La poésie et la maîtrise de la langue française québecoise n’a rien à envier à la poésie et la langue française… française.
J’ai grandi en écoutant des chanteurs francophones qui étaient autant québecois ou belges que français, et franchement la beauté de leurs textes m’a toujours suscité de véritables et belles émotions.
Je peux citer Jacques Labrecque, Félix Leclerc, Gille Vignault, Pauline Julien, Ginette Réno, le groupe Beau Dommage, le groupe Beausoleil Broussard, le groupe Harmonium (notamment “Si on avait besoin d’une cinquième saison”, mais aussi “l’heptade”), Serge Fiori en solo après la dissolution d’Harmonium, les Séguins (“Récolte de rêves”, As-tu vu tomber l’automne, et s’endormir le soleil ?…. quelle merveille ! Un album qui est un des plus précieux dans ma collection tant il est devenu rare), Diane Tell, Fabienne Thibeault, Richard Desjardins, Lynda Lemay… et franchement la langue française québecoise est aussi belle que la langue française de métropole.
Et à mon avis depuis quelques années la langue française de métropole est bien plus malmenée que la langue française du Québec.
Et je pourrais citer autant de grand compositeurs, poètes et parolier belges.
Chercher des intrusions de mots anglophones dans la langue française c’est chercher la petite bête, parce que toutes les langues du monde subissent ce problème, et la langue française de métropole est particulièrement en tête de celles qui sont littéralement envahies de termes anglophones et sans parler du verlan africain des termes du rap qui entrent dans la rue, etc. , à mon avis bien plus en France qu’au Québec d’ailleurs, surtout depuis ces trente dernières années.
Tout à fait d’accord avec vous! D’ailleurs, je constate que Californienne et Alain Finie comparent des expressions de la langue parlée au Québec et en France qui n’ont rien à voir avec les règles de l’Académie ou de l’OQLF !
Les Québécois, entourés d’anglophones, s’efforcent d’éviter les anglicismes et les Français snobinards les utilisent avec délectation et disent design, squatter, sexy, (faire du) shopping, week-end, square, parking. Et à la télé: one-man-show, best of, best-seller, speech, casting, challenge, remake, scoop, flash, interview, free-lance, low cost , et j’en passe.
@Magali : le français a évolué de façon différente des deux côtés de l’eau. Aucune des deux versions n’est supérieure à l’autre, mais je milite pour qu’on respecte les règles de base du français. La langue parlée, c’est autre chose, et je me régale à comparer les expressions : par exemple nos cousins québécois disent “broue dans le toupet” quand nous disons “le nez dans le guidon”.
Je ne vois pas de snobisme dans l’adoption d’anglicismes (pas les mêmes d’ailleurs) mais une expression de la réalité : de nos jours, tout devient international. La langue anglaise aussi a fait beaucoup d’emprunts au français, et les anglophones n’en font pas tout un plat.
Au passage, je suis traductrice, et quand je travaille pour un client québécois, je m’adapte, parce que j’estime que ce sont deux variantes de la même langue, tout simplement.
Yves Duteil :
C’est une langue belle avec des mots superbes
Qui porte son histoire à travers ses accents
Où l’on sent la musique et le parfum des herbes
Le fromage de chèvre et le pain de froment
Et du Mont-Saint-Michel jusqu’à la Contrescarpe
En écoutant parler les gens de ce pays
On dirait que le vent s’est pris dans une harpe
Et qu’il en a gardé toutes les harmonies
Dans cette langue belle aux couleurs de Provence
Où la saveur des choses est déjà dans les mots
C’est d’abord en parlant que la fête commence
Et l’on boit des paroles aussi bien que de l’eau
Les voix ressemblent aux cours des fleuves et des rivières
Elles répondent aux méandres, au vent dans les roseaux
Parfois même aux torrents qui charrient du tonnerre
En polissant les pierres sur le bord des ruisseaux
C’est une langue belle à l’autre bout du monde
Une bulle de France au nord d’un continent
Sertie dans un étau mais pourtant si féconde
Enfermée dans les glaces au sommet d’un volcan
Elle a jeté des ponts par-dessus l’Atlantique
Elle a quitté son nid pour un autre terroir
Et comme une hirondelle au printemps des musiques
Elle revient nous chanter ses peines et ses espoirs
Nous dire que là-bas dans ce pays de neige
Elle a fait face aux vents qui soufflent de partout,
Pour imposer ses mots jusque dans les collèges
Et qu’on y parle encore la langue de chez nous
C’est une langue belle à qui sait la défendre
Elle offre les trésors de richesses infinies
Les mots qui nous manquaient pour pouvoir nous comprendre
Et la force qu’il faut pour vivre en harmonie
Et de l’Île d’Orléans jusqu’à la Contrescarpe
En écoutant chanter les gens de ce pays
On dirait que le vent s’est pris dans une harpe
Et qu’il a composé toute une symphonie
Et de l’Île d’Orléans jusqu’à Contrescarpe
En écoutant chanter les gens de ce pays
On dirait que le vent s’est pris dans une harpe
Et qu’il a composé toute une symphonie.
Mon cher Albert, vous avez une culture chansonnière digne d’un animateur radio! 🙂
Ca serait Radio Nostalgie Québec alors…
😀
En France nous avons en effet eu de grand poètes (Léo Ferré, Jean Ferrat, Isabelle Aubret, Alain Barrière, Jean-Michel Caradec, Francis Lalanne (en lui je n’aime pas le politicien mais j’aimais le chanteur), Francis Lemarque, Gérard Manset, Daniel Guichard, Michel Fugain…) et les derniers se font rares.
Yves Duteil (qui reste un de mes chanteurs français préférés actuels, en effet, depuis son tout premier album jusqu’à son tout dernier) reste un survivant parmi quelques autres. Gérard Lenorman tourne encore… dans la tournée Âge Tendre. La plupart ont disparu, soit morts soit ayant fini par jeter l’éponge face à un public de plus en plus désert.
Et puis il y a quelques très rares valeurs montantes (Renan Luce, Nolwenn Leroy…).
Mais les grands poètes chanteurs français qui ont un succès leur permettant de faire une carrière aujourd’hui se comptent maintenant sur les doigts de la main (allez, on ne va pas être chien, on va dire sur les doigts des deux mains) et c’est plus un succès d’estime qu’un vrai succès populaire.
Ils sont en réalité bien plus nombreux aujourd’hui au Québec à avoir un vrai succès populaire en langue française. Et pourtant même en France les excellents poètes chanteurs sont plus nombreux qu’on ne pense. Mais contrairement au Québec, en France ils peinent à vivre. Même parmi les anciens tels qu’Alain Souchon, Laurent Voulzy, Gérard Lenorman, William Sheller… on sent que les temps sont très difficiles pour eux désormais. D’ailleurs ils se produisent peu en France… et beaucoup plus au Québec voire en Asie, ce qui est un indice flagrant du désamour de la France pour la poésie chantée française… donc aussi pour la langue française dans son emploi plus large.
Même en Belgique, pays ayant une surface relativement petite par rapport à la France, la langue française reste aujourd’hui beaucoup mieux représentée dans la chanson… et avec une meilleure qualité poétique globale. Et pourtant la Belgique est elle aussi attaquée de toutes parts par des productions anglophones désastreuses (le rap, le RnB, la purée radiophonique…) tout comme la France.
Cela signifie que le problème ne vient pas vraiment ds chanteurs eux-mêmes, de ces chanteurs français… mais vient bien du public français qui a fortement changé, qui s’est beaucoup plus anglicisé (et très mal, avec une très mauvaise qualité tant musicale que parolière) que les autres pays francophone, un public français qui n’apprécie plus qu’une espèce de soupe musicale de galeries commerciales, qui ne s’écoute même plus quand elle passe tellement chaque morceau ressemble au suivant, où même les règles les plus élémentaires d’harmonie musicale (depuis l’âge de 6 ans je suis pianiste et flûtiste amateur et je joue aussi du synthé depuis l’âge de 15 ans dans un style “new age franco-asiatique”, j’en ai 58 donc je connais le sujet) sont totalement bafouées, où l’essentiel de la production consiste en boucles numérisées (des “samples” mis bout à bout dans Cubase, Ableton Live, ou Apple Logic Pro) sans les moindres variations ni sans les petites imperfections qui rendent la musique si humaine, une espèce de purée informatique donc (et pourtant l’informatique permet aussi de faire de superbes musiques mais pas celles-là)… et que les politiciens de ce pays devenu ultra-socialiste classent comme le sommet de la culture à côté de sculptures et peintures “modernes” qui sont autant à vomir ! Quelle tristesse pour les sens, quel drame pour les amateurs de vraie chanson et de vrai art musical même sans entrer dans le classique ! Quand on a entendu les grands poètes musiciens français des années cinquante, soixante et soixante-dix, on ne peut qu’être attristé de voir la langue française totalement méprisée, malmenée, et même abandonnée par les chanteurs et musiciens français.
@ AlbertGam
Je voulais partager avec vous hier toute mon appréciation de l’album des Séguin “Récolte de rêves” puis j’ai pensé que vous le citiez parmi tant d’autre. Du temps où j’étais animateur de radio à Montréal (1974/82) je diffusais rituellement un morceau de cet album et j’ai du ainsi leur en faire vendre quelques uns : Prière à la Terre…
Ça fait vraiment plaisir de restaurer ces bonheurs passés qui manquent tant aux générations actuelles. Ils ont autres choses, mais je ne suis pas sûr que ce soit aussi édifiant…
On est un peu loin des coyotes de Montréal, mais bon, ça va pas les faire mourir!
Je viens tout juste aujourd’hui de m’acheter “Cinquième Saison” et “L’Heptade”, d’Harmonium, en vinyle, quel hasard !
Albert, je suis absolument aligné sur vos propos, bravo pour ces développements ! Il s’agit d’une spéciation linguistique, et elle est aussi digne d’intérêt qu’une autre.
Magali (et les autres québecois(es) ici présent), je suis désolé des remarques de mes concitoyens, et je sais à quel point ce côté donneur de leçons peut vous agacer les gencives. J’ai eu le bonheur de vivre 4 ans à Montréal et me suis régalé quotidiennement des spécificités linguistiques, sans jamais protester, râler ni faire de remontrances. Surtout continuez à écrire en “français de là-bas”, c’est un plaisir rare et une invitation à l’ouverture d’esprit dont nous, français de France, avons bien besoin !
Il faut absolument que tu découvres aussi Récolte de rêves des Séguin (Richard et Marie-Claire, ils sont frère et soeur).
Tu peux l’avoir ici sur Youtube (l’album entier) mais c’est loin de la qualité de l’original:
https://www.youtube.com/watch?v=xDjVw6oKSRk
Cet album est, avec les “cinq saisons” d’Harmonium, un véritable monument de la poésie chantée francophone, tous pays confondu. Un chef d’oeuvre absolu, y compris sur le plan musical. Les québecois avaient fait très fort dans ces années-là avec les Séguin, Harmonium, Beausoleil Broussard, Beau Dommage, et quelques autres qui tous tenaient à la fois de la chanson et de la folk music.
Et puis dans les Cinq saisons il y a cette merveilleuse très longue valse…
J’ai acheté Récolte de rêves à Montréal en 1976 (l’album est de 1975) en même temps que leur troisième album qui s’appelait Festin d’amour qui venait de sortir, et j’ai pu les ravoir tous il y a une dizaine à quinzaine d’années en CD. Je pense que Récolte de rêves qui était de loin l’album sommet de leur carrière est certainement téléchargeable sur une plateforme légale ou peut-être encore disponible en CD. Mais Festin d’amour est une merveille aussi.
En vinyle ils sont tous devenus rarissimes sur le marché de l’occasion. J’ai une chance extraordinaire avec certains autres de mes vinyles qui sont dans ce même cas… et que j’avais tous bien sûr achetés neufs, cette époque des années soixante-dix c’était vraiment la grande époque de la belle musique, autant francophone qu’anglophone.
Merci ! Etant plutôt prog-rock, mes limites en folk s’arrêtent à Pentangle et Gjallarhorn, mais j’ai écouté avec plaisir les Séguin.
A moi de te faire découvrir, si tu ne le connais déjà, Daniel Bélanger
https://www.youtube.com/watch?v=1HxHw9q-_Bs
(et ses autres chansons, toutes aussi belles)
😉
P.S. pas si rares que ça ces vinyles ou CD. Certainement difficiles à dénicher chez ton disquaire local, mais tu les trouveras pour quelques euros sur Discogs 🙂
Demander à un Québécois comment vont tes gosses est insultant car cela veut dire comment va tes couilles
Vous avez tellement raison, même si vous l’exprimez un peu sèchement.
La France était peut-être en mesure de donner des leçons au monde francophone au temps des lumières mais, depuis, elles se sont éteintes. Mes séjours au Québec m’ont sévèrement ouvert les yeux sur l’anglicisation de la France. Le Québec c’est l’Amérique en français, plus français qu’en France.
En France, l’emploi de mots anglais révèle une profonde méconnaissance de la grammaire et de l’orthographe française, un échec complet de l’éducation nationale. L’unique solution apportée est une simplification de la langue et … hum … un contrat juteux pour Microsoft … ce qui n’arrangera rien.
J’ajoute que la dernière ourse des Pyrénées a été tuée en 2004 et a fini … dans un musée.
Pauvres coyotes 🙁 voués à la destruction par l’intelligence humaine.
@ Rousseaux
Pas de catastrophisme écolo-bobo, svp… le coyote n’est
pas une espèce menacée, elle prolifère normalement.
:o) en lisant simplement le titre j’ai cru que vous parliez des muzzs. Non, non…. il s’agit de vrais coyotes….
Et plus spécifiquement de coyotes urbains.
Il y a même un site scientifique dédié spécifiquement à ce problème !
https://urbancoyoteresearch.com/ (“Gestion et écologie des coyotes urbains”), avec entre autres, la triste histoire de cette pauvre jeune femme de 19 ans, Taylor Mitchell, tuée par des coyotes : https://urbancoyoteresearch.com/coyotes-around-continent
A la lecture e l’article j’ai d’abord cru à un hoax, puis j’ai vérifié si je n’étais pas sur le Gorafi. Vérification faite sur le net, l’article est sérieux. J’ai appris que les coyottes sont de plus en plus nombreux en ville, que cela nécéssite des précautions à prendre pour la “cohabitation” et qu’ils y a parfois des accidents. Alors je me demande pourquoi vouloir favoriser le coyotte en ville alors que le Québec est tellement vaste. Est-ce encore une lubie des merveilleux bobos ? d’une association pro-utopie ? d’un mouvement zoophile ? ou bien un groupuscule vegan qui considère que les animaux sont des êtres humains à part entière 🙂
En France on pourchasse les loups jusque dans leur tannière, au Québec il faut laisser la ville aux coyottes. Il y a surement un juste milieu.
Tout ça sans compter les musulmans qui pullulent déjà.
Chez nous à Los Angeles, nous avons de coyotes qui passent dans la rue à la tombée de la nuit, on les voit passer de la fenêtre.
Chez nous en France, nous avons une autre sorte de faune, qui glande dans la rue et rôde à la tombée de la nuit, on les voit passer par les fenêtres 😆
Est-ce encore une lubie des merveilleux bobos ?
Certainement ils pourraient avoir la décence de les héberger au lieu de les tuer ainsi que les coyotes Vets plus spécialisé dans la musique sous fond sonore de AK47
Le mot mairesse existe depuis longtemps dans notre dictionnaire mais ce vocable est généralement attribué à l’épouse d’un maire, et le problème , somme toute identique à celui qui a défrayé la chronique il y a quelques années à l’assemblée nationale concernant un député ( du Vaucluse si j’ai bonne mémoire ) qui persistait à appeler ” la députée alors siégeant au perchoir” Madame le président” , est de savoir qu’elle est la bonne formule ( la terminaison en esse ayant au demeurant un aspect assez péjoratif ):
Il me semble, même si cela doit écorcher l’esprit des puristes , que madame la maire ( le mot serait en quelque sorte asexué) serait un aimable compromis …Net ?
Des coyotes à Montréal pourquoi pas , nous en France ,dans les grandes villes on a déjà des racailles et de plus en plus de chacals issus pour la plupart de l’autre bord de la Méditerranée
Oui, c’est comme la pharmacienne, censée être l’épouse du pharmacien. Sauf que dans les faits, aujourd’hui et depuis quelques décennies, tout le monde utilise l’expression “pharmacienne” pour parler de la dame qui, dûment diplômée de la fac de pharmacie, tient la pharmacie du coin.
on dit bien “monsieur LA sentinelle” . Alors?
faudra-t-il dire: une sapeuse-pompière?
et pour un peintre: une peigneuse ou une peintresse?
Pour la marine : une seconde-maîtresse (encore faut-il en avoir une première !!!!)
En fait, les peinteurs et les peinteuses, ça existe, en Bretagne : ils peignent les carreaux en céramique de la région.
Une plongeuse sous-marine devient
une femme-grenouille ? 🐸
Quelle avocate au barreau accepterait de
se faire appeler “maîtresse” ? 😁
“la maîtresse du barreau” Bonjour les manifs de féministes …
L’OQLF a en effet opté pour «sapeuse-pompière »! Pas très utilisé car il y a peu de femmes dans les casernes de pompiers!
http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?Th=2&t1=&id=1932
et aussi une pizzaïola, ou encore une “immigrante investisseuse” !!!
Sur le fond de l’article, c’est le même principe que les pro-loup en France : que des milliers de moutons aient été tués – donc que ça coûte très cher à la collectivité qui les rembourse – , que le stress des éleveurs au quotidien en soit grandement augmenté (comme s’ils avaient besoin de ça en plus du reste), que nos ancêtres aient unanimement repoussé le loup loin des zones fréquentées par l’homme – non pas tant parce que le loup attaque l’homme que parce qu’il est un redoutable concurrent – n’effleure pas l’esprit des ayatollahs du loup : tout est fait comme si – voire pour que – l’homme devait impérativement être considéré comme inférieur aux animaux, comme devant passer après, leur céder le terrain. Oubliant d’ailleurs magistralement que si l’homme est, comme ils le prétendent, un animal et rien de plus, alors il est aussi un super-prédateur, et un prédateur, dans la nature… ça “prédate”.
Il y a des Coyotes verts plus dangereux que des ours et autres animaux
Mais les coyotes sont des bipèdes verts qu’on les abatte c’est bien mais les animaux non , ils ne tuent personnes ils ne font pas d’attentas alors pourquoi les tuer ??????
Erreur 🙂 les bipèdes verts sont des chacals…
Tôt ou tard, un coyotte va blesser et peut-être même tuer un enfant à cause de ces idéologues gauchistes qui font passer leurs utopies avant la réalité.
Bref c’est dangereux
Vil coyote
Le coyote est considéré comme peureux, et dangereux par sa lâcheté, alors que le loup représente une sorte de force calme et maîtrisée. C’est probablement la conséquence de l’observation directe de l’animal qui, plus petit que le loup, a tendance à fuir la queue entre les jambes tout en demeurant insistant.
Chez les indiens, le personnage du coyote peut cependant être beaucoup plus coloré. Dans un des mythes, c’est lui qui s’accouple à cette femme terrible qui a tué tous les hommes du monde lors de l’acte sexuel.
Quant à des exemples plus récents de la culture occidentale, tout le monde connaît le personnage de vil coyote dans le célèbre cartoon « road runner ». C’est sans doute la représentation la plus célèbre de l’animal, qui bien que vraiment amusante, reste une caricature peu glorieuse pour la pauvre bestiole.
Il n’est pas un western qui se respecte qui ne se serve des glapissements des coyotes pour dramatiser une scène nocturne où les gentils héros sont réfugiés autour d’un maigre feu dans l’attente improbable de l’assaut des indiens qui pourtant, c’est bien connu, n’attaquent jamais la nuit.
Globalement, le coyote est un mal-aimé, et c’est sans-doute pour cela qu’il a été tué sans retenue, qu’il est toujours chassé, et qu’il est si peu considéré par rapport au loup.
En savoir plus sur https://www.pratique.fr/coyote-hommes.html#Kq4ozDtv80XXJr15.99
L’origine des mythes associés au coyote n’est pas européenne, puisque l’animal n’existe qu’en Amérique du Nord et Amérique Centrale.
FAUX CAR IL Y A UNE RACE LES COYOTES VERTS QUI NE SONT PAS AUX USA/CANADA
Oh la la, c’est loufoque, il n’y a pas qu’en Amérique qu’on trouve tout un tas de c.. ards gauchistes, le Canada est bien servi également!
Ils sont partout…..on est cerné par les cons
En effet Magali. Nous avons un nombre élevé d’animaux sauvages qui vivent en Amérique du Nord, ceci même dans les régions qui sont depuis longtemps colonisées; et il n’y a rien de comparable en hexagone. Ma sœur se plaignait des milliers de biches qui pullulent a Austin au Texas. De mon coté j’ai tous les soirs des ratons laveurs et opossums qui font mes poubelles en Floride! sans oublier les aigrettes et héron gris qui au petit matin chassent les crabes terrestres de leurs tanières sous nos gazons.
Dans l’immensité des montagnes rocheuses ou nous résidons a mi-temps, le hurlement des coyotes et le cri de leurs proies effrayées font partie du décor. Et ça n’est pas reposant! On va en randonnées avec un pistolet pour l’auto-defense, même s’il faudrait avoir un 50-caliber ou plus pour descendre un ours hargneux…
Il n’y a pas que la racaille humaine qui soit dangereuse 🙂
Howdy Annika! Chez nous, on a aussi des putois qui se réfugient sous la maison quand il pleut et qui nous embaument ! Et bien entendu, des cerfs, des coyotes, des ratons laveurs, des opossums, des ours, des écureuils, et dans le ciel des oies sauvages du Canada, des hérons bleus, des aigles, des faucons, des corneilles, des colibris… Dans l’eau (500 m à vol d’oiseau), des otaries très bruyantes, des loutres, des requins, des baleines…
Rien à voir avec la France qui a été complètement bétonnée, hélas.
Californienne: LOL!! J’ai pas tout énuméré! On a aussi des alligateurs, crocodiles, pithons (près des marais), balbuzards, cormorans, jay bleus, pelicans, dauphins, requins, etc. Mais aucun d’eux ne sont aussi dangereux que les humains..
Are you safe and sound and away from fires??
Ah oui, j’avais oublié les pélicans ! Et les gaufres, et les violonistes…
I’m on the Central Coast of California, far, far away from the fires; thanks for your concern. I hope your life is back to normal.
Elle commence les réunions du conseil de ville en disant de Montréal qu’il s’agit d’un territoire mohawk non cédé….un mensonge,une fumisterie inventée par l’ultra gauche
Rien de surprenant, Valérie Plante et Émilie Nicolas de Québec inclusif siège ensemble sur le CA de l’institut Broadbent, un think tank de l’ultra gauche socialiste archi multiculturaliste du NPD
Ses scéances de méa culpa , méa maxima culpa ,ses scéances de repentance abrutissante et son rituel pénitentiel débilitant ne vise qu’as culpabiliser et a déligitimiser la présence des québécois de souche qui ne seraient nul part chez eux au Québec a entendre ce néo clergé de soutanes rouges issue de l’ultra gauche
Les historiens réfutent ce mensonge ..les Mohwaks n’ont jamais occuper le territoire qui s’appelle aujourd’hui Montréal
Les tribus iroquoises vivaient au Nord de l’état de New York
https://fr.wikipedia.org/wiki/Iroquois
Les manipulateurs de l’histoire sont parmi nous
http://www.journaldemontreal.com/2017/11/30/les-manipulateurs-de-lhistoire-sont-parmi-nous
Cette entreprise de culpabilisation va bon train médiatiquement et personne n’ose s’y opposer vraiment.
Montréal n’est pas un territoire mohawk non cédé.
Et la Nouvelle-France n’a pas été une aventure criminelle.
Il serait temps de le rappeler à ceux qui nous gouvernent.
Question de point de vue…..les coyotes en ville me gênent beaucoup moins que l’invasion musulmane de nos citées, et pourtant , tirer les coyotes me choque moins que l’utilisation de “mairesse”
Gardez un couple de coyotes pour Paris. Notre pays en voie de pauperisation doit faire face à des invasions de toutes sortes et notamment celle des rats dans les grandes villes. Ils n’auront pas de problèmes de nourriture, contrairement aux populations de bipèdes endémiques.
Privilégier les prédateurs des rats plutôt que d’éradiquer ces derniers par des politiques adéquates, voilà bien une idée de gauchiste.
@Nitzotz
Suite de:
8 décembre 2017 à 11:54
Vraiment magnifiques, les chansons de Daniel Bélanger. Je ne le connaissais pas. J’ai écouté début décembre le morceau que tu avais suggéré. J’ai tellement aimé que j’ai acheté l’album. Splendide album, qui se termine par cette magnifique chanson:
https://www.youtube.com/watch?v=rKGLb7Mkh-w
Son style (et sa voix) me fait beaucoup penser à Renan Luce, l’un de mes chanteurs préférés dans la chanson française actuelle. Voici une chanson dans laquelle je me sens un peu concerné, même si je ne m’appelle pas Marcel:
https://www.youtube.com/watch?v=Uc00H8n3tA4