Publié par Gaia - Dreuz le 10 décembre 2017

Faut-il classer Abel Mestre dans la catégorie journaliste ? Abel Mestre constitue à lui seul un fourre-tout de l’extrême extrême-gauche, allant du stalinisme à l’anarchisme en passant par le trotskisme expérimental et l’action de rue. Plus qu’un journaliste, Abel Mestre est avant tout un militant qui s’est constitué (avec Caroline Monnot) une niche écologique au Monde en fantasmant autour de l’extrême-droite qui constitue pour lui à la fois une rente et une forme de fascination.

Formation

Promotion 2006 du Centre de Formation des Journalistes (Paris). En 2006 : lauréat du prix BAYARD « Jeune journaliste ». Ce prix récompense les articles écrits sur le thème « Planète attitude» et publiés dans plusieurs titres du groupe Bayard.

2003 – 2004 Institut de criminologie de Paris, Certificat de sciences criminelles.

1999 – 2003 Université Panthéon Assas (Paris II) Master.

Parcours professionnel

« Journaliste », spécialiste de l’extrême droite au journal Le Monde. Auteur avec Caroline Monnot d’un blog du Monde spécialisé sur l’extrême droite, “Droites extrêmes”, depuis novembre 2009.

Octobre 2003 à avril 2007 : Intervieweur, puis rédacteur et chroniqueur à « Très ouvert culturellement : la société interviewée » (TOC). Abel Mestre est responsable de la rubrique « Toc tique », signe ses articles Abel Mestre, puis Abel Mattioli Mestre enfin utilise le pseudonyme de Jean Ackerman.

En avril 2015 il quitte le service politique du Monde pour rejoindre le service des sports où il s’occupe en particulier du football. À ce titre il s’attaque au sponsoring du rugby Club de Vannes par le média indépendant breton Breizh Info, partenariat finalement suspendu.
Publications

Le Système Le Pen : Enquête sur les réseaux du Front national. Abel Mestre et Caroline Monnot, 2011, Denoël.

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Parcours militant

Très proche de l’organisation « La Riposte », section française de la « Tendance Marxiste Internationale » (organisation internationale marxiste de filiation trotskiste) et constituée en tendance au sein du Parti communiste français. Abel Mestre a signé deux articles dans le bimensuel « La Riposte » (revue éponyme de ce groupe) dans le numéro de novembre/décembre 2001, intitulé « Le massacre du 17 octobre 1961 » et en janvier 2002, « 1917: la mutinerie des soldats russes à La Courtine (Creuse) ». Abel Mestre ajoute à sa signature, « PCF, Paris ».
Militant à l’UNEF à l’Université Paris II Assas. Durant ces années « d’action directe », il eut maille à partir avec des mouvements d’étudiants de droite très implantés à Paris II.
En parallèle, membre du groupe informel « De l’utopie concrète » initié par Roland Castro, « se réunissant tous les jeudis (…) dans la perspective des élections européennes du printemps 2004. » (Urbanisme septembre-octobre 2003). Roland Castro, architecte (et membre du Conseil national du parti communiste français) était à l’initiative en 2000 avec le député européen du PCF et ancien président de SOS Racisme, Fodé Sylla, du « Mouvement pour la civilisation Urbaine » voulant croiser « moult compétences (associations, professionnels, élus) et transcender les clivages politiques » (L’Humanité Hebdo, 26/02/2000). Abel Mestre est l’un des membres fondateurs en 2002 du « Mouvement de l’utopie concrète » (MUC), un parti politique dont le président était Roland Castro. Abel Mestre est le responsable de la Commission laïcité (magazine TOC octobre-novembre 2003, voir infra). Dans un entretien accordé à Nicolas Voisin pour Agora Vox, Roland Castro dévoilait le programme de ce groupuscule (voir aussi SA NEBULEUSE) :

« Il faut que tout le monde soit d’accord sur les conditions : le droit de vote des étrangers aux élections locales, la régularisation des sans-papiers, l’arrêt de la chasse aux mômes dans les écoles, la reconnaissance du vote blanc, un service civique obligatoire garçon-fille (…) Le problème actuel de la France est l’explosion du sentiment d’appartenance. (…) Notre programme : Révolution fraternelle pour une République métissée. (…) La fin de la discrimination des Noirs et des Arabes. (…) La vocation de l’Europe elle va s’appeler le gouvernement du monde un jour. (…) La Turquie doit être dans l’Europe, c’est bien qu’un pays musulman soit dans l’Europe. (…) Tout ce qui est sur le plan climatique, il faut s’orienter vers la gouvernance mondiale. Nous sommes sommés à une gouvernance mondiale sur les questions liées à l’environnement. (…) Je suis pour une régularisation et systématique de tous les sans-papiers. Je suis pour une Europe avec des frontières poreuses. » (Source).

De 2003 à 2007 : Intervieweur, puis rédacteur et chroniqueur au magazine TOC (« Très ouvert culturellement : la société interviewée »). Créé en octobre 2003 par Arnauld Champremier-Trigano et Pierre Cattan, ce magazine accueillait dans une optique transversale de l’engagement politique de nombreux militants de gauche, du « Mouvement de l’Utopie Concrète », de l’UNEF, du parti socialiste comme Tristan Mendès France, mais aussi Nadia Tiourtite, Stéphane Pocrain (proche des Verts et plusieurs fois condamné en justice) ou Fiammetta Venner (compagne de Caroline Fourest). Les fondateurs de TOC, Pierre Cattan et Arnauld Champremier-Trigano ont eu des responsabilités au sein de l’Union Nationale des Etudiants de France – Indépendante et Démocratique (UNEF-ID). Ce dernier a été le vice-président de l’UNEF-ID de 1994 à 1997 et président des clubs Res Publica.
Signataire de l’appel « Laïcs, retrouvons-nous », toute « l’équipe de TOC était présente à la manifestation du 6 mars 2011 avec sa banderole Intégrisme = fascisme. » (TOC, avril-mai 2004).

2006 : Abel Mestre publie un article dans L’Humanité (19 janvier), intitulé « Soupes identitaires : les vieilles recettes de l’extrême droite ».

2009 : Élu comme suppléant de l’« Intersyndicale CFDT-SNJ-SNJ-CGT » en tant que candidat CFDT aux élections des délégués du personnel de la société éditrice du Monde.
Très proche du « Réseau d’étude, de formation et de lutte contre l’extrême-droite et la xénophobie » (REFLEXes), revue puis site internet d’ultra-gauche dont le travail consiste à analyser et dénoncer les militants qualifiés d’extrême droite.

Numéro 9 (février 2005) du magazine TOC, Abel Mestre lance cet appel :

Il participe avec Caroline Monnot, sa comparse au journal Le Monde, le 12 décembre 2011 à Saint-Denis à une « rencontre-débat » ayant pour thème « Contre le FN et l’extrême-droite…Saint-Denis contre-attaque ! » organisée par le « Collectif dionysien contre le Front National et l’extrême-droite ». Ce collectif regroupe : Al, Apeis, Cgt Plaine-Commune, Collectif Antiraciste, Coordination 93 de lutte pour les Sans-Papiers, Fase, Mrap, Mouvement de la Paix, Npa, Pcf, Ps, Ras l’Front, section dionysienne du SNUipp-FSU, diversEs citoyennes et citoyens.

Collaborations

En mai 2010 Mestre participe au débat « Images de l’extrême droite en Europe », avec Vincent Geisser, sociologue et politologue, Manfred Rist, journaliste suisse correspondant à̀ Paris, Caroline Monnot journaliste au journal Le Monde, et Alberto D’Argenzio, journaliste italien correspondant à Bruxelles de L’Espresso et d’Il Manifesto. Organisé par Madeline Woker et son équipe étudiante de Sciences-Po dans le cadre du « Festival TRANSEUROPA, premier festival réellement transnational. Il se déroule simultanément à̀ Londres, Paris, Bologne et Cluj-Napoca. Il est à la fois un festival artistique, culturel et politique, construit et mis en place par une équipe originaire des quatre coins d’Europe. Innovant, transversal et critique, il invite, dans chacune des villes du Festival et sur internet, intellectuels, artistes, personnalités politiques, militants et citoyens de tous les pays ou d’aucun à créer l’Europe par ses habitants. » L’organisateur de ce festival était « European Alternatives ».

Participe à la rédaction du « Droit de Vivre », le magazine de la « Ligue Internationale contre le Racisme et l’Antisémitisme » (LICRA). Il fait partie « des amis de la LICRA, experts dans leur domaine » comme Jean-Yves Camus, Philippe Lamy, Caroline Monnot, Samuel Vasquez et Patrick Mignon. (Rapport d’activités de la LICRA 2010).

Il l’a dit

Le 17 octobre 1961, deux à trois cents Algériens et Français d’origine algérienne, qui manifestaient contre le couvre feu que le Préfet de police Papon leur avait imposé, ont été tués et jetés dans la Seine par des policiers déchaînés. Quarante ans plus tard, peu de gens connaissent ce pogrom perpétré en plein Paris, avec la bienveillance du préfet de police, lui-même couvert par les plus hautes instances de l’État. (…)Mais ce qui s’est passé le 17 octobre 1961 est différent par l’ampleur du massacre: les historiens les plus sérieux estiment que le nombre des victimes se situe entre deux et trois cents. (…) dès le mois de septembre 1961, ils formèrent, en toute illégalité mais avec l’accord de leur préfet, Maurice Papon, des “escadrons de la mort”: les policiers allaient, le plus souvent à une dizaine, chercher des Maghrébins, les matraquaient et les jetaient dans la Seine.(…) Ces derniers sont poursuivis jusque dans les ruelles du quartier Saint Séverin et les halls d’immeubles où ils sont matraqués, inlassablement, puis jetés dans la Seine. Les mêmes scènes se passent partout dans Paris et sa proche banlieue: matraquage jusqu’à la perte de connaissance, puis mise à l’eau. La Riposte (novembre/décembre 2001) : “Le massacre du 17 octobre 1961”.

« Symbole bien utile pour l’extrême droite afin d’exclure les SDF ne mangeant pas de porc : des juifs et des musulmans, entre autres. Ces « soupes identitaires » ne sont pas une nouveauté ». L’Humanité 19 janvier 2006, « Soupes identitaires : les vieilles recettes de l’extrême droite ». Source : humanite.fr

« Lors d’un conseil national de l’UMP, Nicolas Sarkozy s’est prononcé contre l’entrée de la Turquie en Europe (…) Après le bruit et l’odeur de Chirac, Nicolas Sarkozy reprend le flambeau du populisme électoraliste de la droite parlementaire, qui caresse dans le sens de la haine ». TOC, « Quand Sarko se prend pour Charles Martel », N°5, juin-juillet 2004

« Dans la série « facho qui a réussi », je demande le journaliste, Patrick Buisson, qui sera chroniqueur dans la prochaine émission politique de LCI « Questions qui fâchent », a été militant d’extrême droite et correspondant de Minute à l’assemblée nationale. Il est entré au Figaro quelques années après, puis à LCI ». TOC, « Ils sont partout », n°10, mars 2005

« Le symbole serait le bienvenu : les nations européennes ont une énorme responsabilité dans la déportation de 42 millions de personnes durant les treize siècles qu’a duré l’esclavage. L’amnésie est de mise parmi les anciennes puissances esclavagistes. » TOC, « L’esclavage, crime contre l’humanité », n°11, avril 2005

« Pourtant, le rôle positif de la colonisation peut se résumer à quelques chiffres : 14 millions d’Africains déportés du XVIe au XIXe siècle, il y aurait eu 13 millions de morts, dont 2 millions disparus en mer quand ceux qui apportaient la civilisation les jetaient par-dessus bord. (…) Une des séquelles du colonialisme a été la politique de la France sur le continent noir. La « françafrique » (..) ou plus récemment le rôle plus que trouble joué par l’armée française au Rwanda pendant le génocide en 1994, ou en Côte d’Ivoire ces dernières années. En 1962, en Algérie, on comptait plus de 80% d’analphabètes, moins de 10% de population scolarisée, un seul vétérinaire, deux ingénieurs et cinq architectes algériens. » TOC, « Les colonies ? des vacances », n°16, janvier 2006

« S’il faut vraiment partir des besoins pour faire les politiques d’immigration, l’ONU estime que l’Europe a besoin de 154 millions d’immigrés d’ici à 2050. Et tous ne pourront pas être des intellectuels ». TOC, « Immigration piège à cons », n°18, mars 2006

Sa nébuleuse

Les anciens du Magazine TOC

Ce magazine réunissant des militants de gauche remercie dans le numéro 1, Anne Sinclair, Michel Field et Malek Boutih pour leur soutien. Plusieurs personnalités (voir supra) ont collaboré à ce périodique comme Tristan Mendès France, Nadia Tiourtite, Stéphane Pocrain, Fiammetta Venner, Caroline Fourest, Cyril Aouizerate, Pierre Cattan, Iman Bassalah, Tania de Montaigne, Ahmed Meguini que l’on retrouve dans les différentes composantes de la gauche et de l’extrême-gauche.
Caroline Monnot

Elle travaille au journal Le Monde depuis 25 ans, chef adjointe du service politique, Caroline Monnot se concentre principalement sur les radicalités politiques. Plus discrète que son collègue Abel Mestre, elle n’est pas pour autant inconnue dans le milieu journalistique. → son portrait.

Il co-écrit avec elle un chapitre intitulé « Les réseaux du Front national », dans le livre de Sylvain Crépon, Alexandre Dézé et Nonna Mayer (dir.), Les Faux-Semblants du Front national : sociologie d’un parti politique, Paris, Presses de Sciences Po, coll. « Académique », 2015.

Parti communiste

Abel Mestre a écrit deux articles dans le magazine du groupe Riposte section française de la Tendance Marxiste Internationale, constituée en tendance au sein du Parti communiste. La Riposte se revendique de l’héritage politique de Karl Marx, Lénine et Trotski. Elle se veut une organisation révolutionnaire, visant au renversement du capitalisme et à l’établissement d’une société socialiste basée sur la propriété collective des moyens de production. Il publie également un article dans l’Humanité. Voir supra .
Roland Castro

Cet ancien maoïste dans les années 1970 fut membre du Conseil national du parti Communiste au début des années 2000. C’est en partie sur la question de la promotion de la pédophilie que le groupe « Vive la révolution », dirigé à l’époque par Roland Castro s’est auto-dissous en 1971. Voir aussi le journal « Tout ». Roland Castro est l’un des signataires de « l’appel face au fascisme » lancé en 1990 par le mouvement Ras l’front : « Le combat antiraciste ne sera pas gagné par la recherche d’on ne sait quel consensus bourbeux avec une droite déjà largement contaminée. (…) Il le sera par la mobilisation de ceux et de celles qui, par-delà différences et clivages, sont résolus à stopper le FN à tout prix, par tous les moyens, à tous les niveaux, et de manière permanente. La bataille doit être livrée devant les tribunaux, dans les médias et dans la rue. »

En 2009, dans le cadre de la faisabilité du Grand Paris, Roland Castro, mandaté par Nicolas Sarkozy, proposait, parmi ses « idées-phares », de construire, à Chelles, « un nouveau Champs de Mars dédié à la République métissée », et de transformer le Mont Valérien en mémorial de l’esclavage, de la shoah et de la colonisation ».

La mouvance REFLEXes

Fait partie réseau national No Pasaran! Très proche des groupes d’ultra-gauche comme le SCALP (Section carrément Anti Le Pen), Alternative Libertaire ou la Confédération Nationale du Travail (CNT) prônant la violence (« l’action directe ») contre leurs adversaires. REFLEXes fait partie du réseau « United for Intercultural Action » qui bénéficie des soutiens financiers du Conseil de l’Europe, du Conseil mondial des Églises, des groupes parlementaires européens vert, socialiste et communiste mais aussi de deux ministères de l’intérieur britannique et néerlandais. Le magazine Searchlight magazine avec lequel REFLEXes est en contact revendique ses relations avec les services de police britanniques.

Les anciens membres du parti politique « Mouvement de l’utopie concrète » : Roland Castro, Cyril Aouizerate (vice-président, président du groupe Spinoza et dirigeant de la société Urbantech), Max Castro, Arnauld Champrenier-Trigano (créateur de TOC, voir supra), Vincent Charpenet, Gaspart Delanoë, Mina Djaad, Leïla Gicquel, Geoffrey Gouverneur, Alban Fischer, Marc Fontaine, Patrice Franceschi, Antoine Lefebure, Ahmed Meguini, Oriane Sarfati et Frédéric Vigouroux. (« J’affirme, mouvement de l’Utopie concrète. Manifeste pour une insurrection du sens » de Roland Castro). Le « MUC » a connu son heure de gloire avec la candidature de Roland Castro, le 21 avril 2005, aux élections présidentielles de 2007 (avant son renoncement en mars 2007 faute de parrainages). La date du 21 avril (en référence à la date du 21 avril 2002) jalonne la courte histoire du MUC. Roland Castro explique avoir fondé son mouvement le 21 avril 2002, après l’annonce des résultats. Traumatisé par la deuxième place du président du Front National, Jean-Marie Le Pen, aux élections présidentielles de 2002, les membres de ce parti politique développent des thèses difficilement classables d’un point d’un vue politique (Voir les « 89 propositions pour restaurer le lien social ») mais dont le seul dénominateur commun est une vision anti-identitaire de la France et de l’Europe.

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On l’a dit à son sujet

« Abel Mestre permet de mesurer l’abîme qui sépare le journalisme de la pensée. Abel Mestre, incarnation de cette jeune génération de journalistes incultes et prétentieux, ne révèle donc que le néant de sa pensée et son hypertrophie journalistique », OPIAM (Observatoire de la propagande et des inepties anti-Mélenchon), 10/07/2014.

« Abel Mestre, ex-spécialiste de « l’extrême droite » au quotidien Le Monde, dont les qualités de journaliste et d’analyste politique ont été récemment récompensées par une mutation à la rubrique sportive du journal. Ce dernier est en effet choqué et scandalisé par l’opération car les idées qu’il prête aux rédacteurs du dit site d’information régionale, en l’occurrence Breizh-info.com, lui déplaisent – ce qui est son droit – et donc ne devraient pas avoir leur place dans l’espace public – ce qui est beaucoup plus discutable et beaucoup moins démocratique », Breizh Info 13/09/2016.

« Dénoncer, nuire socialement et économiquement à ses adversaires, faire des fiches, des sous-entendus, Abel aime vraiment ça, c’est le nectar de ses jours », ibid.

« Abel Mestre a concentré sa vindicte et sa hargne uniquement sur Breizh-info, coupable à ses yeux de patriotisme identitaire. Cette étrange fixation s’explique par le fait qu’Abel Mestre est avant tout un militant politique, activiste antifasciste revendiqué (engagement dont l’urgence et le courage n’échapperont à personne…) et figure bien connue de l’ultra-gauche parisienne. Son but n’est donc nullement d’informer mais de combattre son ennemi », ibid.

Source : Ojim.fr

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