Gilles-William Goldnadel revient sur la polémique déclenchée par la décision de Donald Trump, de déplacer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem. Il considère qu’une partie de la presse française idéologise et hystérise le sujet sans aborder le débat de fond.
On a beau savoir que Jérusalem rend fou et que Donald Trump rend hystérique, la manière dont une partie de la presse a rendu compte de la dernière actualité hiérosolymitaine met à mal le bon sens.
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On a bien entendu le droit de tout dire sur la décision controversée du président américain de transférer les locaux diplomatiques de son pays de Tel-Aviv à Jérusalem.
On peut parfaitement penser que cette décision va jeter de l’huile sur les braises du conflit israélo-palestinien pour rien. Et l’auteur de ces lignes n’est pas loin de le considérer. On peut tout dire et prophétiser. On peut même soutenir que ce sont ces prophéties du pire qui sont le meilleur carburant de la passion violente. Qu’anticiper complaisamment la radicalité est le meilleur moyen de se faire son auxiliaire. Après tout, les Juifs n’ont menacé personne après que l’Unesco (dont la France) a contesté leurs liens historiques avec Jérusalem. On peut tout dire, sauf n’importe quoi. Tout, sauf de flagrantes contrevérités.
La semaine écoulée donne un triste exemple de ce que l’idéologie est capable de dissimuler ou de travestir, même lorsque son métier est d’informer. Comment, dès lors, espérer que le public égaré soit capable de pouvoir se former un jugement éclairé, équitable et pondéré ?
Ainsi, le 7 décembre, dans son éditorial sévère, Le Monde écrit: «Si le gouvernement israélien a été installé à Jérusalem en 1948, Jérusalem-Est était entièrement arabe jusqu’à 1967.».
C’est parfaitement vrai, sauf qu’il manque singulièrement l’essentiel: si Jérusalem-Est était «entièrement arabe» jusqu’en 1967, c’est parce que l’armée jordanienne en avait expulsé pendant la guerre de 1948 les milliers juifs qui y vivaient majoritairement depuis des siècles, leurs lieux saints leurs demeurants interdits jusqu’en 1967. Occulter cette épuration ethnique et religieuse tout en faisant argument de ses conséquences donne littéralement le vertige.
Le lendemain, 8 décembre, le même quotidien vespéral publie un nouvel article sur le même sujet: «Pourquoi la reconnaissance par Donald Trump pose-t-elle problème?».
Lisons bien cette phrase:
«En 1947, les Nations unies (ONU) ont voté le partage de la Palestine en deux Etats: l’un arabe, l’autre juif. Jérusalem est exclue de ce plan et doit passer sous le contrôle de l’ONU, qui en garantit la liberté d’accès aux lieux de culte. Pourtant, en 1949, après la fin du mandat britannique et une première guerre avec les pays arabes, le jeune État d’Israël transfère sa capitale de Tel-Aviv à Jérusalem-Ouest».
Fermons les yeux sur le fait que le journal se contredise du jour au lendemain sur cette «capitale» de Tel-Aviv qui n’a jamais été transférée par le gouvernement Israélien de 1948 à 1949. À nouveau, la même incroyable occultation. Un rien, un simple petit détail: alors même que le quotidien insiste sur la localisation administrative de la capitale de l’État juif à Jérusalem-Ouest, il oublie invraisemblablement de mentionner que la Jordanie avec sa Légion Arabe, après avoir vaincu et expulsé les juifs, a occupé physiquement sans droit Jérusalem-Est tout en leur interdisant de venir prier sur leurs lieux sacrés, largement dévastés.
À ce degré d’occultation des faits, le spectateur, fût-il engagé comme l’auteur de ces lignes, demeure impuissant à vouloir raisonner.
De même, l’ensemble de la presse française a cru devoir présenter l’initiative controversée, du controversé américain, comme une «reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël». Nouvelle contrevérité.
C’est le Congrès américain en 1995, sous Bill Clinton, qui a pris quasi unanimement cette disposition législative en ordonnant par voie de conséquence le transfert de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem. Ce n’est que pour des raisons de sécurité que les présidents américains successifs ont temporisé. Obama le bien-aimé en 2008, lors d’une visite, a rappelé que pour l’Amérique: «Jérusalem était la capitale d’Israël». Il n’a pas déclenché le feu du ciel. La Russie, en avril dernier, a prononcé le même credo sans que le ciel ne tombe sur la tête de Poutine.
On a parfaitement le droit de penser et de dire que ce type de décision indispose la partie arabo-musulmane dont les droits sur la ville sainte sont également inaliénables ou contredisent le plan de partage onusien de 1947, si mis à mal par le refus arabe de son application. On peut parfaitement considérer que la décision d’ordre pratique prise par le président extraverti est motivée par des considérations intérieures. Les commentaires sont parfaitement libres, mais la vérité, elle, est rigoureusement contraignante.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.
C’est très juste et important de faire remarquer que lorsque l’Unesco nie les liens historiques millénaires des juifs avec Jérusalem, cela aurait pu soulever une vague d’indignation et même une intifada juive, ce qui n’a pas été le cas. L’initiative de la violence vient toujours du même camp.
le mot intifada forme un oxymore avec “juive” et un pléonasme avec “musulmane”.
Du coup, on dit juste “intifada” (tout court), et tout le monde sait de quoi on parle. C’est comme “radicalisation”, “attentat” ou “déséquilibré”.
” la partie arabo-musulmane dont les droits sur la ville sainte sont également inaliénables “.
Il est discutable de prétendre que Jérusalem est une ville sainte pour l’Islam puisque, parait-il, elle n’est mentionnée ni dans le Coran, ni dans les Hadith.
Ce dont on est sur c’est que la revendication se développe qu’a partir des années 60
Alors…
Quoique l’on puisse dire, Jérusalem ne signifie rien pour les musulmans. Le dome du rocher et al aqsa n’ont rien de saint. Ce sont des provocations envers les vraies religions c’est à dire le judaïsme ET le christianisme présents là-bas. En aucun cas Jérusalem n’est dans leur texte sectaire appelé “coran”, il n’y a que la Mecque. Tout ça à partir d’un rêve de leur violeur, pédophile, assassin qui leur sert de “prophète” qui a rêvé d’une mosquée éloignée de la Mecque. Rien n’indique Jérusalem. Pour rêver d’une mosquée éloignée tout en étant sur un cheval volant, faut vraiment être sous drogue ! L’opium était leur truc, donc je ne serai pas surpris si ce fut le cas…
C’est bien ce qu’il me semblait: il s’agit d’une verrue.
Papier tout à fait inutile.
– D’une part, comment s’étonner encore, du parti-pris de la propagande ordinaire de francekipu ? N’étant plus qu’entre collabos des nazislamistes, c’est à ceux qui aboieront le plus fort. Donc soit on les ignore, soit on fait plus de bruit qu’eux. Mais croire que l’on peut encore discuter avec ces déchets de propagandistes, c’est presque débile.
– D’autre part, c’est décevant de découvrir la mollesse de l’opinion de l’auteur de l’article, du moins, parce qu’il est Juif. Comme si que jusqu’à présent, toutes les concessions volontaires, ou imposées à Israël, avaient fait avancer les choses…
Non, les musulmans de Jérusalem n’ont aucun droit sur le statut de la ville. Un point c’est tout.
Je suis plutôt d’accord avec vous, Ch.Dalger.
GWG nous a habitué à beaucoup mieux. Mais il y a ici un zeste d’anti-trumpisme très tendance, ainsi qu’un dhimmisme avéré, surtout lorsqu’on lit : “la partie arabo-musulmane dont les droits sur la ville sainte sont également inaliénables”.
“Inaliénables”… rien que ça !?
À ceux qui seraient si sûrs que l’existence de la « Palestine » remonte très loin dans l’Histoire, je suppose qu’ils sont capables de répondre aux questions qui suivent sur ce pays, la « Palestine » (texte de Y.Sagamori traduit par Marcoroz) :
1) Quand a-t-elle été fondée, et par qui ?
2) Quelles étaient ses frontières ?
3) Quelle était sa capitale ?
4) Quelles étaient ses principales villes ?
5) Qu’est-ce qui constituait la base de son économie ?
6) Quelle était la forme de son gouvernement ?
7) Pouvez-vous nommer un chef palestinien avant Arafat ?
8) La Palestine a-t-elle déjà été reconnue par un pays dont l’existence, à l’époque ou aujourd’hui, ne laisserait aucune place à l’interprétation ?
9) Quelle était la langue de la Palestine ?
10) Quelle était la religion dominante en Palestine ?
11) Quel était le nom de sa monnaie ? Choisissez une date dans l’Histoire, et citez le taux de change à cette date de la monnaie palestinienne contre le dollar US, le mark allemand, la livre britannique, le yen japonais ou le yuan chinois.
12) Quels objets archéologiques les Palestiniens ont-ils laissés ?
13) Connaissez-vous une librairie où l’on pourrait trouver une oeuvre littéraire palestinienne produite avant 1967 ?
14) Enfin, puisqu’un tel pays n’existe plus, quelle aurait été la cause de sa “disparition”, et quand aurait-il disparu ?
Et si cette population que vous appelez par erreur « palestinienne » n’est pas seulement constituée d’Arabes génériques mais en grande partie d’Arabes provenant ou plutôt expulsés du monde arabe alentour, (rapelleons que « sous le mandat anglais plus de 200 000 sont venues dArabie précisément, pour s’installer avec promesses dun monde meilleur »), si elle possède vraiment une identité ethnique qui lui donnerait un droit à l’autodétermination, POURQUOI n’a-t-elle jamais essayé d’accéder à l’indépendance AVANT qu’Israël n’inflige aux Arabes une cuisante défaite lors de la guerre des Six-jours ?
Évitons d’invoquer un lien entre les « Palestiniens » actuels et les Philistins de la Bible : substituer l’étymologie à l’Histoire n’a aucun sens.
La vérité devrait être évidente pour qui veut la connaître. Les Arabes n’ont jamais abandonné le rêve de détruire Israël : ils continuent de le chérir. N’ayant pu détruire Israël par la force militaire, ils tentent aujourd’hui de le faire par procuration. À cette fin, ils ont créé une organisation terroriste qu’ils ont appelée non sans cynisme le « peuple palestinien » et qu’ils ont installée à Gaza, en Judée et en Samarie. Autrement, comment expliquez-vous le refus par la Jordanie et l’Égypte, après la guerre des Six-jours, d’accepter inconditionnellement de reprendre l’une la « Cisjordanie » et l’autre Gaza ?
Le fait est là, la population arabe de Gaza, de Judée et de Samarie est bien moins fondée à revendiquer un statut national, que la tribu d’Indiens américains qui s’est rassemblée avec succès dans le Connecticut pour y créer un casino détaxé : Au moins cette tribu était-elle motivée par un but constructif. Tandis que les soi-disant « Palestiniens », eux, n’ont qu’une motivation : la destruction d’Israël, et de mon point de vue, cela ne saurait suffire à faire d’eux une nation ni rien d’autre à l’exception de ce qu’ils sont vraiment : une organisation terroriste qui finira par être démantelée.
l n’existe par conséquent qu’un seul moyen de parvenir à une paix au Proche-Orient : Que les pays arabes reconnaissent et acceptent leurs défaites dans leurs guerres contre Israël, et, en tant que perdants, qu’ils versent à Israël des réparations pour les dégâts qu’ils lui ont causés depuis plus de 50 ans. La forme de réparation la plus appropriée consisterait à éliminer leur organisation terroriste de la terre d’Israël et d’accepter l’antique souveraineté d’Israël sur Gaza, la Judée et la Samarie. Et ce serait la fin du peuple “palestinien”.
…Vous disiez qu’il vient d’où, déjà ?!
Excellent votre commentaire Rico! J’adhère à 100%.
Je suis tout à fait d’accord avec vous.
Faut pas oublier que la Jordanie (un autre pays inventé), pendant son occupation de Jérusalem, avait utilisé des pierres tombales juives pour en faire des pissotières!)
Quelle cause pourrie la
« cause palestinienne » c’est fou tous les mensonges qu’un journal respectable comme le Monde est obligé de commettre pour la défendre !!!! Pauvres journalistes qui se salissent a ces basses manœuvres !!!Jamais une cause n’aura nécessité autant de mensonges par omissions ou calomnies historiques pour perdurer!!!
+++++
Oui ! On peut tout de même comparer cette psychose à certaines “œuvres d’art” contemporain devant lesquelles on fait semblant de se pâmer alors que c’est de la m… La “cause falestinienne”, c’est pareil : une grosse m… que beaucoup s’obligent (et obligent les autres) à admirer et à défendre.
“Hmmmm c’est beaauuuu, ça sent booooon !!!!” Euh, non : c’est de la merde.
Journal respectable?
Ah bon.
Quel débat ? Il n’y a pas de débat. Jérusalem est la capitale de l’Etat juif depuis le roi Salomon, point barre. Reconnaissance ou non du pays et de sa capitale par le reste du monde ne change rien à l’affaire.
Si la presse française tient à perdre son temps en discussions oiseuses, c’est son problème mais nous ne sommes pas forcés d’entrer dans son jeu.
La verite a des racines, le mensonge n’a pas d’anse.
C’etait et c’est sera toujours l’histoire de l’humanite. “Par ses actes on les reconnaiteras”.
Le scenario entre Israel et la Palestine est claire, a la fin la verite sortira triumphante malgre les epines du chemin pour l’etablir.
Et pourquoi Monsieur le President TRUMP a compris que les soi sisant ^palestiniens n’existent pas . n’est ce pas le jour ou il a rencontre ABBAS apres la visite de <Monsieur NATANYAHOU a la Maisins Blanche il a recu ABBAS qui a honteusement menti au point que Monsieur le President TRUMP s 'est deplace pour rencontrer Le felon ABBAS pour lui dire en face des quatre verites et notamment le traider de menteur , a tele enseigne qu'il n'a plus voulu le voir ni lui ni ses soi disant "Palestiniens"
DE FAIT LA PALESTINE est le nom de cette contrée envahie par les Romains en tant que pays JUIF, pour changer me de ISRAEL en PALESTINE. Rabbbi HILLEL et 960 juifs refugies sur la montage de MASSADA , se sont suicides pour mourir libres plutot que de vivre esclaves . Pharaon n'a pas reussi a nous mainteniur en esclavage ni les romains ni les perses (Irran) ni ;les Babyloniens etc , et ce sont aujur d hui les zarabes qui le voudraient ?
LA¨PATRIE DES JUIFS C EST ISRAEL DEVENUE PALESTINE PUIS REDEVENU ISRAEL, et toutes les decisions FELON Onusiennes et des escrocs de l ,unescros quii changeront l'histoire . BEXIT les faux arabes faux musulmans tetes de turs et faux jordaniens de la terre de PALESTINE de ISRAEL et qu'ils emportent le nom de palestine avec eux nous gardont ISRAEL;
Le coup de pied dans la fourmilière de Trump a ceci de bon qu’Israël sait maintenant, si elle ne s’en doutait pas déjà, où sont exactement ses ennemis.
Il suffit d’observer : ils courent de tous côtés.
Une technique similaire : on enfume le terrier pour débusquer le renard, le lapin, le furet ou un autre animal fouisseur.
Malgré tout le respect que je dois à ces animaux.
C’est probablement pour cette raison qu’il y avait des chaussures abandonnées dans le désert.
Catholique français je m’étonne simplement que la France se permette de critiquer la décision américaine de transférer son ambassade à Jérusalem de la même façon que je m’étonnerais si les Etats-Unis se permettaient de critiquer le fait que nous maintenons notre ambassade à Tel Aviv.
C’est une leçon d’histoire que vous donnez aux journalistes incultes du monde, c’est presque humiliant pour eux………
Une réflexion les musulmans devraient se poser la question pourquoi avoir construit la mosquée uniquement sur la zone du saint des saints (qui est interdite aux juifs même après destruction du temple) , pourquoi n’ont-ils pas construit sur toute la zone du temple……à mediter
C’est comme les poissons volants : Les musulmans “qui se posent des questions” existent, mais ils sont extrêmement peu nombreux.
Mr. Goldnadel vous me surprenez, lorsque vous écrivez “On a parfaitement le droit de penser et de dire que ce type de décision indispose la partie arabo-musulmane dont les droits sur la ville sainte sont également inaliénables” .
NON Jérusalem, n’a jamais été reconnu par les musulmans comme un endroit comme la Mecque. Le coran ou autre naziécriture n’en parlent pas.
Les palestiniens emmerdent le monde entier avec leurs prétentions et il fallait un homme d’état suffisamment “couillu” pour passer outre : c’est fait ! Il n’a pas innové, il s’est contenté de mettre en application une décision vieille de vingt ans et si ça déplaît aux islamo-gauchistes, c’est tant mieux !
vous savez bien ce qu’il est dit quand on veut tuer son chien. Pourtant mille mensonges mille fois répétés ne font pas une vérité.Je pense que ce qui met en rage les antisémites et ils sont la grande majorité en France, c’est la force d’Israël et l’ignominie prouvée chaque jour des terroristes tous musulmans. Je laisse aux mal baisé(e)s la rancoeur, la rage et l’humiliation d’être toujours les derniers
Le “Jerusalem Embassy Act”, voté en 1995 par le Congrès des États-Unis, n’est donc point “la décision du président américain de transférer les locaux diplomatiques de son pays de Tel-Aviv à Jérusalem”.
Un granc merci Me Goldnadel; celui-ci je le placarde sur mon mur FB
Vous êtes vraiment trèèèèès gentil, Me Goldnadel, avec ces gens, pseudo-journalistes, qui ne sont rien d’autre que des faussaires pousse-au-crime. Qui font sciemment dans la désinformation du public.
“Si le gouvernement israélien a été installé à Jérusalem en 1948, Jérusalem-Est était entièrement arabe jusqu’à 1967” : l’occultation que vous mettez en lumière – si j’ose dire – marche exactement de la même façon pour Israël dans son ensemble que pour Jérusalem. Les faussaires propagandistes pro-arabo-musulmans et antisémites que sont devenus les journalistes oublient systématiquement de rappeler les origines de ce soit-disant peuple “palestinien” – encore que, quand ils mentionnent le conflit israélo-arabe de départ, ils donnent sans le vouloir un indice – et l’Histoire de cette région, prenant argument des conséquences des actes de conquête et autres faits criminels accomplis par l’islam conquérant au cours de son histoire pour dénier au peuple hébreu/juif ses droits élémentaires sur son seul pays d’origine.
A Calvo : journal respectable pour le Monde, c’était de l’humour!!
” L’idéologie … a pour métier , d’informer”, Monsieur?
” La partie arabo-musulmane” a des “droits inaliénables” sur Jérusalem?
Décidément, je ne vous suis pas, aujourd’hui.
Jérusalem, capitale d’Israel, devrait donc faire débat?
Peut-être depuis que les pays d’Europe de l’ouest se laissent envahir par l’islam
conquérant.
Je redoute donc le pire, en tant que Française: le moment où Paris “fera débat”
comme capitale de la France.
New York aussi est très cosmopolite et très “multiculturelle”… Stockholm avec sa “diversité”, Berlin, Los Angeles, Barcelone, Marseille, Roubaix, Londres, Birmingham, Bradford, Bruxelles, Copenhague, Avignon… toutes ces merveilleuses villes “très ouvertes” feront aussi débat, tôt ou tard, avec des gens qui réclameront subitement aussi un droit “inaliénable”.
https://www.youtube.com/watch?v=dzr5x9m0bC0
Les recensements concernant la population de Jérusalem effectués par les Autorités Ottomanes à partir de 1860 ainsi et par la Grande Bretagne sous son Mandat sur la Palestine (1920-1948) montrent que la population juive était majoritaire à Jérusalem.
Le lendemain de sa proclamation d’indépendance le 14 mai 1948 la Légion Arabe Jordanienne commandée par Glubb Pasha attaqua Jérusalem vidant la Vieille Ville des Juifs ,détruisant toutes les synagogues (plus de 50) , utilisant les pierres tombales juives comme latrines et interdisant aux Juifs de prier au Mur Occidental ( Le Kotel Hamaaravi) pendant les 19 ans de son occupation sans aucune condamnation de la part de l’ONU pour ces méfaits.
C’est en 1949 après l’armistice signé entre la Jordanie que le terme ” Jérusalem-Est” apparut pour la première fois dans l’histoire plurimillénaire de Jérusalem.
C’est seulement après la REUNIFICATION de Jérusalem en juin 1967 ,et non de l’ANNEXION comme ne cessent de le proclamer les média qu’ont commencé les condamnations d’Israël par l’ONU surtout après la proclamation par la Knesset le 30 Juillet 1980 que Jérusalem était la Capitale d’Israël “Une et Indivisible”. Bien entendu l’ONU n’a jamais reconnu cette décision . Depuis lors maintes condamnations ont été prononcées contre Israël jusqu’à ce jour mais presque jamais à l’encontre des Palestiniens qui nient tout lien des Juifs avec Jérusalem.
Le plus déplorable est que la plupart des Gouvernements et des média “regrettent” ,”sont inquiets ou préoccupés” “, condamnent” et certains appellent même à la violence contre la décision du Président Trump de RECONNAÎTRE UNE EVIDENCE , que JERUSALEM EST LA CAPITALE D’ISRAËL QUE CELA PLAISE OU PAS.
Ne pas oublier de préciser que Glubb Pasha, John Bagot Glubb de son vrai nom, était anglais et lorsqu’Hussein de Jordanie décida de se passer de ses service, il fut promu chevalier commandeur de l’Ordre du Bain (appellation Sir) par la Couronne britannique.
tout a fait raison /il ne dise que ce que les lecteurs de l`imonde veulent croire en effacant la verite sur l`occupation illegale de la jordanie ,leurs articles sur israel sont bourres de mensonges et d`accord aussi que de predire des violences sur le fait de reconnaitre jerusalem comme capital d`israel a rappele aux balestiniens qu`ils doivent faire un antifada /bravo pour avoir retabli la verite
La première remarque est qu’il n’y a pas de commentaires pro Palo ? N’ont ils pas d’arguments à faire valoir ? La 2 ieme va au journal le monde , pour vendre ils sont obligés de prendre position pour le plus grand nombre, et ça tous les commerçants vous le diront, pas les journalistes ils n’existent pas en France
Les accords de San Rémo ont commencé par créer un état arabe à l’est de la Palestine. Cet état devait logiquement se conformer aux dispositions générales prévues pour le partage de la Palestine c’est à dire, la préservation des droits des minorités.
La première entorse des jordaniens a consisté à ne pas se conformer à cette disposition. Ils firent ce qu’ils n’auraient jamais du faire, en ne permettant dans le pays qui leur a été dévolu, aucune autre religion à l’exception de l’islam.
Le fait de suggérer, même de mettre ensemble, des arabes et des Juifs, est déjà une très mauvaise idée car si les Juifs de part leur Torah sont obligés d’être bienveillant envers les étrangers qui se trouvent parmi eux, ce n’est pas le cas des arabes.
Rappelons qu’en 1948 lorsque les arabes ont conquis ce que l’on a appelé improprement et pendant les quelques années de leur annexion, la Cisjordanie, les jordaniens ont rassemblés les juifs qui étaient sur ce territoire fraichement conquis et les en ont expulsés faisant de la Cisjordanie un territoire Judenrein en dépit des accords de San Rémo.
Depuis 1948, A l’exception du ministère de la défense, elle héberge toutes les administrations ainsi que le parlement : la Knesset. On peut donc affirmer en ne se basant que sur ces faits que Jérusalem qui est ouverte à toutes les religions est, politiquement et de facto la capitale d’Israël.
Pour ce qui est de la reconnaissance internationale, ce n’est pas aux puissances étrangères qu’il appartient de décider de la localisation de la capitale d’un état souverain. Rappelons que c’est en 1995 les Etats Unis ont pris la résolution d’établir leur ambassade à Jérusalem. Ils ne l’ont pas fait à l’époque mais leur engagement n’a pas changé.
Quand les israéliens ont conquis la Vieille Ville de Jérusalem, la plupart des arabes ont fui. Rappelons que c’est le Général Moshé Dayan qui est intervenu auprès des autorités religieuses arabes pour qu’elles encouragent leurs populations à revenir et à reprendre leur place en Israël.
En conclusion, nous ressentons l’impérieuse nécessité de demander aux censeurs d’Israël de faire preuve de modestie et de pertinence.