Gabrielle Bouchard est la nouvelle présidente de la Fédération des femmes du Québec (FFQ). Mais qui donc est cet homme devenu femme à l’âge adulte ?
Bien sûr, les médias sont à quelques exceptions près devenus muets lorsqu’il s’agit d’interroger Gabrielle Bouchard sur son parcours. Comment peut-elle parler au nom de toutes les femmes, elle qui a été formée dans la culture masculine, ignorant les expériences vécues par les femmes depuis l’enfance ? Nous sommes tous prisonniers d’une terrible rectitude politique puisqu’elle nous interdit d’exprimer quelque doute sur le bien fondé de pareille réalité. Car le risque est grand alors d’être honni et menacé sur les réseaux sociaux.
Aucun débat ne peut donc se dérouler sur ce qu’il faut bien nommer une offensive des transgenres à faire éclater la réalité des deux sexes pour imposer une vision ahurissante où il n’existerait plus ni homme ni femme.
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Auto-identification
D’ailleurs, au cours des auditions publiques sur le changement de nom pour les transgenres tenues le 15 avril 2015 à la commission des institutions de l’Assemblée nationale, Gabrielle Bouchard est intervenue sur le sujet. « Ce serait le fun d’abolir les sexes, mais ça n’est pas quelque chose qui va arriver ». En fait, Gabrielle Bouchard croit à l’auto-identification, c’est-à-dire l’idée que le genre est défini non plus par la société, mais par ceux qui le ressentent.
Durant cette commission, Gabrielle Bouchard a abordé aussi le cas de transgenres qui vont accoucher, puisque certaines femmes devenues hommes gardent leur utérus.
Voici le propos de Gabrielle Bouchard sur l’avenir de la conception de l’enfant. « Y a des gars qui vont accoucher. Donc, de dire “mère” pour automatiquement signifier que c’est la personne qui a accouché d’un enfant, déjà là, ça aussi, c’est un pas qu’on doit aussi déconstruire parce qu’il y a des pères qui vont accoucher. D’appeler ça une maternité, c’est le genrer (sic) ».
Pour parler clairement, Gabrielle Bouchard souhaite que les mots « mère » et « maternité » disparaissent du vocabulaire. « Peut-être que, bien, ce parent-là, qui se trouve la personne qui va accoucher, bien, il va peut-être avoir une barbe, là, ou peut-être avoir une grosse voix. »
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Éradication
La nouvelle présidente a, à l’évidence, des difficultés à s’exprimer correctement. Désormais, elle parle au nom des femmes du Québec. Sachons qu’elle veut éradiquer les mots les plus chargés d’émotion dans toutes les langues, à savoir « mère » et « maternité ».
Est-ce vraisemblable qu’une femme s’exprime de la sorte ? Il y a derrière ce souhait exprimé par la présidente de la FFQ un sentiment quasi haineux à l’égard de la moitié de l’humanité. Un macho n’en pense pas moins.
L’on ne trouve pas de qualificatifs pour décrire ces assauts de déconstruction des structures humaines. La condition de transsexuel, aussi douloureuse et injuste qu’elle soit, ne peut justifier ces délires que certains esprits fêlés qualifient de progrès et d’ouverture à plus d’humanité.
Quelle tristesse et quelle folie se sont emparées de nos pauvres sociétés en désarroi !
Source : Journaldemontreal.com
Il y en a marre des transgenres qui se permettent continuellement depuis que nos gouvernements vendus à la sauce transgenre, de parler à la place et contre les femmes et les hommes qui le sont depuis leur naissance et qui le vivent normalement, non par choix, mais parce que la nature les a fait ainsi, on ne choisit pas d’être un homme ou une femme, on l’est à la naissance, normalement…!
Et particulièrement ceux qui étaient des hommes et qui ont choisi de devenir des femmes qui ne savent pas, qui ne connaissent pas et qui se permettent de parler de sujets qu’ils ne connaîtront jamais, puisqu’ils sont transgenres…, à la place de ceux qui sont femmes depuis leur naissance…!
Que ces gens-là ont voulu effacer leur sexe, on va dire qu’ils ont le droit de faire ce qu’ils veulent avec leurs corps et dans ce cas-là avec leur sexe, mais qu’ils se maintiennent à leur place et évitent à tout prix de parler à la place de ceux qui ont toujours été des femmes et qui n’ont pas cherché à être autres choses…
Merci d’avance à ces transgenres!
Bien à vous
Généralement ce sont ceux qui chantent archi-faux 🙂
qui ont le plus de souffle pour nous casser les oreilles…
https://www.youtube.com/watch?v=_YsvVUch-_4
Les transgenres ils sont très mal vus par l’Islam par le TRES SAINT CORAN c’est la décapitation bref il faut de tout pour faire un monde 🙂🙂🙂🙂🙂🙂
Elire un exhomme à la tête de la fédération des femmes québécoises c’est comme d’élire un eunuque à la tête de la fédération des mâles en rut….
Mais un homme qui a gardé son utérus est-ce vraiment un homme ?
Parce que s’il est capable d’accoucher c’est qu’il a des hormones femelles qui lui permettent, non ?
Ou bien c’est une simple matrice… pardon un simple patrice !!!!
Comme disait l’autre : ” Un homme qui se fait couper le penis ne devient pas une femme, c’est juste un homme qui s’est fait couper le penis”.
🐽 C’est comme si on nommait Justin Bridou 🐷
président de la fédération des végétariens. 🌿🐖
Non Rico il faut dire président de la fédération des Islamiques 🙂🙂🙂🙂🙂🙂
Si on coupe la saucisse à Justin Bridou, il ne peut plus présider les islaniques…
justine l’islamiste devrait quitter ses fonctions indigne de lui
Pauvre CANADA pire que la FRANCE.
Ah la tradition ça a du bon !!!!!!
Si tout se vaut, le cannibalisme n’est qu’affaire de goût.
ps: les blagues de South Park d’il y a 20 ans sont devenues réalité aujourd’hui.
he , oui tout est Kif kif , pas de différenciation, tout se vaut , sinon c’est de la discrimination voire du fascisme . On s’invente sans aucune filiation parce que l’on veut être un rebelle contre l’Ordre des choses . Finalement , car ce n’est pas le tout d’être déglinguée encore faut-il que les autres le soient aussi ; on se doit d’être militant de cette psychose mondialisée du genre à la carte , et la fin d’une filiation traçable qui se construit contre les autres , car l’ORGUEIL dans cette affaire n’est pas une mince affaire . Au Canada, c’est certain avec une telle débine, les musulmans vont l’emporter, et eux ne gambergent pas .
« Mais qui donc est cet homme devenu femme à l’âge adulte ? »
– Mais, surtout, qui donc sont les personnes qui ont porté ce freak à la présidence de cette fédération, en parfaite connaissance de cause, le jugeant suffisamment représentatif de… de quoi d’ailleurs ??
Au Québec on parle Français et il ne faut pas dire comment vont les gosses c’est mal vu , il faut dire comment vont les enfants .
Car gosses veut dire couilles au Québec
Évitez de dire : “Embrasse tes gosses pour moi”* ça pourrait facilement passer pour du harcèlement sexuel…
Voir le commentaire de Richard Martineau, effarant :
http://www.journaldemontreal.com/2017/12/11/harcelement-dun-extreme-a-lautre
* : Il vaut mieux dire : “Embrasse ta femme et mes enfants”
cette fois nous atteignons la folie
jusque là tout semblait m’amuser mais là je suis abasourdie
à quand la prochaine dinguerie?
C’est pour bientôt :
ils vont mettre Anne Hidalgo ministre des Transports 🙂
Rico…
Anne Hidalgo est un surnom pour passer inaperçue, car elle s’appelle dans la réalité : Aïcha Hidalgo…, mais elle ne s’en vante pas…!!!
Voilà pourquoi elle se permet dans les panneaux illuminés à Paris de souhaiter un bon Ramadan et quand ça se termine : une bonne fin de Ramadan…!
Bien à vous
Non. Elle ne se prénomme pas Aicha. C’est un hoax qui a été lancé il y a quelques mois et dans lequel des foules entières de personnes se jettent à corps perdu comme toujours en matière de hoaxes.
La pire dinguerie serait de voir le débile à Trudeau l’engager pour faire partie de son caucus de dingues.
“L’on ne trouve pas de qualificatifs pour décrire ces assauts de déconstruction des structures humaines.”
C’est même encore pire… c’est une déconstruction des structures biologiques du vivant, rien moins que ça.
1. Qu’une personne soit transgenre ne me gêne pas.
2. Qu’elle emmerde le monde en en parlant sans cesse autour d’elle commence à gêner, parce que ça signifie que cette personne continue à vivre mal dans sa peau (sinon elle n’en parlerait plus, son changement de sexe étant du domaine du passé) et en fait un problème social donc collectif alors que ça ne concerne qu’un iota minuscule dans l’espèce humaine (et dans le vivant en général).
3. Mais que de surcroît cette personne se mette ensuite à en faire son activité professionnelle et une revendication se généralisant à toute la vie sociale des 99,999999999% qui ne sont nullement concernés, là ça devient purement et simplement de l’outrage envers la société et envers le vivant, et plus que de l’outrage: du parasitisme ! Parce que pour vivre, cette personne utilise sa revendication comme source de revenus en plus d’être un élément fortement perturbateur de la société au point de remettre en cause son équilibre !
A de rares exceptions près dans le monde bactérien (partiellement) et dans celui des insectes (partiellement là aussi), la quasi-totalité du vivant est faite de mâles et de femelles et ce sont les femelles qui donnent naissance grâce à la fécondation du mâle. Et rarissimes sont les cas de changement de sexes dans le monde animal au cours de l’existence d’un spécimen d’une espèce. La reproduction humaine ne fait pas exception. Et la reproduction humaine ne fait pas exception non plus dans le fait que pour élever un juvénile il faut un père et une mère non seulement pour la fécondation mais aussi pour les premières années de croissance et que chacun, père et mère, a un rôle bien défini aussi dans la transmission culturelle et sociale pour en faire un adulte qui saura se comporter de façon équilibrée au milieu de ses semblables.
Tous ces délires d’aujourd’hui comme ces revendications politiques de transgenres et d’homosexuels conduisent l’espèce humaine à sa disparition, pure et simple.
Puisque ces gens veulent vivre avec des règles méprisant celles de la nature… qu’elles aillent vivre hors-sol dans une sonde interstellaire et qu’elle nous foute la paix à nous qui voulons vivre de façon naturelle ici sur Terre. Nous savons par avance que dans leur sonde interstellaire ils pourront toujours tenter de se reproduire et je leur souhaite bien de la chance de pouvoir survivre plus d’une ou deux générations ! Alors ils auront compris, mais trop tard comme aurait dit La Fontaine, qu’on ne joue pas avec la nature et avec les règles naturelles du vivant. Donc je ne m’inquiète même pas pour un quelconque risque d’aller polluer une autre planète : ils seront tous morts bien avant. Mais comme cette opportunité de les expédier non pas ad patres mais ad universum n’est pas pour demain, on aimerait bien qu’ils commencent au moins par nous foutre la paix et respectent le vivant dans son ensemble, y compris la nature de l’espèce humaine qui fonctionne biologiquement de façon parfaitement semblable aux autres espèces mammifères en ce qui concerne sa reproduction.
Remarques, Albert, qu’il n’y a que l’espèce humaine qui a légalisé le mariage homo et l’adoption d’enfants par des homos. Plus je regarde les hommes plus j’aime les bêtes.
Ça ne me dérange pas si ces transgenres grimpent au rideau en slip léopard, ou se greffent un potiron dans le rectum, ou complotent constamment de nouveaux délires sociétaux qui ne concernent en fait que leurs pathologies personnelles – sans pour autant les guérir. De toutes les façons, ces micro-ethnies disparaissent d’elles-mêmes pour d’évidentes raisons, comme l’a bien expliqué AlbertGam.
Mais ça devient plus gênant quand ces “choses” briguent sciemment les places influentes de nos sociétés dans le but d’imposer leurs monstrueux comportements, comme par exemple celui d’ôter carrément une maman ou un papa de la vie d’un enfant (en lui imposant 2 “papas” ou 2 “mamans”) qui – et c’est indéniable – ne leur a strictement rien demandé.
Dans leurs grottes de l’Afghanistan profond, les barbus Talibans marient aussi des fillettes de 7 ans contre leur gré. C’est mot pour mot la même idéologie.
Hilarant, mais la vérité c’est que plus personne ne porte attention à la Fédération des femmes du Québec (FFQ). Même moi qui suit relativement bien informée, j’ignorais que la nouvelle «présidente» était une transgenre.
Dans mon milieu, on rit sous cape de certains transgenres qui insistent pour dire qu’ils sont des femmes tout en portant la barbe … Comme on ne se mêle pas de leur vie privée, on ne sait pas trop comment ils/elles la vivent.
Ça ne doit pas être simple.
Au nom de “l’égalité” si chère à ces sectes de gauche,
existe-t-il une Fédération des Hommes du Québec ?
J’ai trouvé le ROHIM : Regroupement des Organismes pour Hommes de l’Île de Montréal qui existe depuis 2006!
« Le ROHIM fait la promotion d’une approche positive, d’une meilleure connaissance du vécu masculin et de la consolidation d’un continuum de services adaptés aux réalités masculines.»
Le site: http://rohim.net/
J’aime beaucoup vos articles Madame Magali Marc et le côté éminemment raisonnable et pondéré de ceux-ci. C’est pourquoi je vous écris sur ce sujet.
Non ce n’est pas simple. Et ce n’est pas une fantaisie. La plupart de tous les commentaires de ce fil ramènent le changement de genre à une simple opération des organes sexuels et à des désirs sexuels inavoués sans tenir compte de tout le côté psychologique qui peut engendrer des souffrances pendant des années dû aux violences psychologiques des différents acteurs de la société. Ce sentiment de ne pas être dans le bon corps peut apparaître très tôt. La prévalence des personnes transgenres dans une population est très difficile à établir (https://fr.wikipedia.org/wiki/Transidentité). La seule chose que les personnes personnes transgenres et les intersexuées demandent c’est d’avoir les même droits que tout un chacun et ne pas devoir subir des discriminations de toute sorte: ne pas être considérées comme des malades mentaux ne pas subir de discrimination à l’emploi, ne pas à devoir subir de violences physiques (et assassinats) comme c’est le cas dans de nombreux pays, et j’en passe… Bref être considérées comme des personnes dignes d’exister et d’être respectées dans la société. Ce sont ces discriminations de toutes sortes qui génèrent des réactions de défense et des revendications. Les contributions des ces personnes à la société ne sont pas négligeables comme par exemple Lynn Conway, et ce n’est pas une exception, (http://ai.eecs.umich.edu/people/conway/conway-French.html) à qui nous devons entre autres des contributions fondamentales à l’intégration à grande échelle des circuits intégrés sans lesquels dont il est inutile de nier l’utilité dans notre société actuelle.
Je suis une personne transgenre et heureuse d’être enfin bien dans ma peau. J’ai de beaux enfants et petits enfants qui m’aiment beaucoup et c’est tout ce qui compte pour moi.
Vous aurez certainement deviné également par mon nom que je suis juive, un autre sujet de discrimination de toute sorte. Mais ceci est un autre débat quoique qu’un parallèle puisse s’établir à ce sujet. Pas simple non plus.
Bonjour Shirah! Merci de votre contribution à cette discussion.
Vous écrivez: « La seule chose que les personnes transgenres et les intersexuées demandent c’est d’avoir les même droits que tout un chacun et ne pas devoir subir des discriminations de toute sorte».
En milieu de travail, quelqu’un qui semble être une femme ou un homme ne subira aucune discrimination car le «genre» qu’il ou elle pense être tient à la vie privée.
Je traite toutes les personnes avec le même respect, mais si je devais croiser la transgenre barbue (qui a l’air d’un homme normal mais qui insiste pour qu’on le prénomme au féminin ) dans les toilettes pour femmes, je serais mal à l’aise. J’imagine que tous les transgenres n’ont pas ce problème.
:o)… nous sommes d’accord! Non tous les transgenres n’ont pas ce problème. Il y en aura toujours qui cherchent la provocation.
Toutefois lorsque vous écrivez : “En milieu de travail, quelqu’un qui semble être une femme ou un homme ne subira aucune discrimination …..” n’est malheureusement pas encore si souvent le cas. Je connais des cas, encore trop nombreux, ou les discriminations s’exercent au travail. Heureusement les choses et la législation évoluent grâce entre autres à des organisations qui s’occupent de ces problèmes et tentent de rendre conscientes les autorités législatives.
La vie privée de chacun, y compris transgenre ou transsexuel (ce n’est pas tout à fait la même chose) doit rester du domaine privé.
Transgenre et transsexuel, ce n’est pas tout à fait la même chose car un transsexuel est nécessairement transgenre mais un transgenre n’est pas nécessairement transsexuel. Une personne transgenre se sent mal dans le genre qui lui a été attribué par l’embryogenèse et elle ne fera pas nécessairement la conversion un jour. Une personne transsexuelle est une personne transgenre qui décide de faire la conversion hormonale puis anatomique. Je reviendrai un peu plus bas sur les raisons pour lesquelles une personne peut se sentir transgenre, certaines sont physiquement concrètes, cérébrales et/ou génétiques… et le reste relève uniquement du mal-être pour des raisons psychologiques à identifier.
Il est exact aussi qu’il y a beaucoup à faire encore dans la façon dont la société (faite d’individus) tolère les différences. Et pas seulement concernant le genre sexuel.
Il est normal que les personnes appartenant à un groupe caractérisé par une différence par rapport à la majorité, il est normal que ces personnes réclament à être considérées à l’égal de tout le monde dans le milieu du travail, des loisirs, et de la vie sociale en général. Attention aussi à bien toujours avoir à l’esprit qu’un enfant qui vit sous la tutelle de deux “parents” de même sexe ne peut en aucun cas avoir le même développement psychologique correctement équilibré qu’un enfant vivant sous la tutelle de deux parents de sexes complémentaires. C’est d’une évidence criante car l’équilibre entre le rôle paternel et le rôle maternel est nécessairement rompu quand les deux “parents” sont de même sexe. Un homme ne pourra jamais avoir la sensibilité maternelle d’une femme, même en s’en approchant au mieux possible, et une femme ne pourra jamais donner à l’enfant la même part paternelle qu’un homme. L’enfant ressent aussi la différence d’ailleurs, même s’il est incapable de la mentaliser, et cela aura nécessairement un impact sur sa propre future vie adulte.
Là où le bât blesse surtout, c’est lorsqu’une différence vécue sur le plan social devient un motif de revendication politique tendant à vouloir inverser les valeurs de la “normalité sociale”. Le battage politique militant et revendicatif qui est fait depuis une vingtaine d’années sur le mouvement LGBT est un non-sens total en voulant de leur part absolument imposer une normalité totalement factice de l’homosexualité (là je ne parle pas des trans, je n’arrive même pas à comprendre ce qu’ils fichent avec les LGB) surtout en matière de procréation et de paternité/maternité vis à vis de l’enfant. Autant je me fiche totalement qu’il y ait des lesbiennes, des gays et des bissexuels dans la société, c’est leur vie privée, ça ne regarde qu’eux, autant je suis extrêmement critique quand les pratiquants de ce mode de vie essaient de faire croire que l’éducation et la croissance psychologique d’un enfant serait la même avec eux qu’avec des parents ordinaires. Là ça devient une affaire de responsabilité vis à vis d’un tiers ! Et d’un tiers qui de surcroît est un enfant ! Et un enfant dont la personnalité est construite comme tout enfant à partir de quasi-zéro puisqu’au départ il ne contient que de l’inné et le rôle des parents est de lui apporter l’acquis qui dépend lourdement de leur comportement non seulement vis-à-vis de l’enfant mais aussi entre eux !
Ce n’est pas pour rien que la nature a inventé la différence sexuelle mâle/femelle pour la procréation dans le monde des vertébrés. Et dans aucune espèce animale vertébrée on ne voit des juvéniles être élevés par deux parents de même sexe. On l’a observé dans des cas rarissimes chez des chimpanzés et des bonobos mais à chaque fois cela a été à cause de la mort du père… et qui systématiquement fut remplacé non par une compagne de la mère mais par la grand-mère du juvénile, venant ainsi au secours de la mère le temps de la croissance du jeune ! La nature a des obligations et chaque espèce animale a des devoirs intrinsèques… qui sont de respecter les obligations de la nature. Dans toute espèce animale, toute lignée généalogique qui s’écarte des obligations qui lui ont été conférées par la nature est condamnée à disparaître à bref délai (en général en seulement une ou deux générations) puisqu’il se produit alors un décalage entre l’environnement et l’adaptation naturelle (c’est à dire innée, par l’héritage génétique) ou culturelle (c’est à dire transmise par les parents) de cette lignée à cet environnement ! L’environnement n’étant pas seulement le paysage… mais aussi les autres animaux du groupe même au sein de la même espèce !
On a beaucoup parlé des “apprentis sorciers” en évoquant les biologistes au cours du XX° siècle. Mais les pires apprentis sorciers qui puissent exister ne sont pas biologistes… ils sont les personnes qui pour des raisons fallacieuses (je ne parle donc pas des trans) veulent persuader la société que bafouer les obligations de la nature n’a aucune importance pour les générations suivantes à court terme et pour la survie de l’espèce à long terme.
Mais pour finir, il y a aussi de véritables tarés parmi les trans comme parmi les “gens ordinaires”, de véritables tarés qui eux aussi, comme cette Gabrielle Bouchard, entrent dans une revendication politique allant totalement à l’encontre de la nature et rejoignent purement et simplement le monde délirant des homosexuels qui prétendent pouvoir élever des enfants.
Qu’on le veuille ou non, la nature a toujours eu et aura toujours le dessus. Les trans qui sont nés avec un genre anatomique qui est un accident de la nature lors de leur embryogenèse (leurs organes anatomiques sexuels ayant subi une anomalie par rapport à leur développement cérébral (notamment au niveau du thalamus) et/ou par rapport à leur caryotype, notamment au niveau des incidences d’une anomalie du gène SRY), à ces personnes-là il est normal de leur redonner le genre anatomique qui correspond à leur genre cérébral et à leur genre génétique. Pour ces personnes on procède donc à une réparation hormonale et anatomique d’une erreur de la nature donc à un retour à la situation qui aurait du être nativement la situation normale. Elles deviennent alors transsexuelles et vivent désormais avec le sexe qu’elles auraient du avoir depuis leur naissance. Le problème s’arrête là (nonobstant le suivi médical à vie bien sûr, notamment oncologique) et rien dans la société ne peut leur interdire d’avoir les mêmes droits (et devoirs) paternels/maternels que toute personne normalement constituée depuis sa naissance, puisqu’il n’y a aucune ambiguïté.
Mais lorsqu’on a affaire à des personnes qui simplement se sentent mal dans leur peau “parce qu’elles auraient préféré être dans la peau d’une personne du sexe opposé” sans que les analyses révèlent la moindre anomalie ni cérébrale ni génétique, la cause est donc psychologique depuis la prime enfance (mais elle peut être grave et être une vraie souffrance). Qu’elles changent de sexe anatomique (et avec tout l’accompagnement hormonal nécessaire) si elles le souhaitent, pourquoi pas, cela ne regarde qu’elles… mais modifier les lois sociales pour ces personnes est un non-sens. Car la modification de lois sociales engage tout le fonctionnement de la société pour des décennies, or il reste et restera toujours une ambiguïté pour ces personnes dont la cause du mal-être est psychologique (je parle bien du second cas) et donc aussi concernant leur comportement relatif à l’éducation des enfants et à l’apport de chaque sexe parental dans l’équilibre de l’enfant.
Mais là encore le problème reste encore moins grave que dans le cas des personnes homosexuelles ou bisexuelles où la cause est résolument psychologique et exclusivement psychologique, qu’elle soit due à une influence de leurs propres parents ou de l’environnement scolaire ou plus tard de leur environnement social. La cause est exclusivement psychologique et vouloir modifier les lois sociales pour faire plaisir à ces personnes est résolument jouer aux apprentis sorciers avec la société mais aussi et surtout avec l’avenir des enfants que la société va leur confier. C’est donc une aberration, et une déviance qui n’est plus seulement individuelle mais vraiment collective et contre laquelle il faut absolument lutter si on veut que la société ne tombe pas dans un désastre généralisé dont elle pourrait se passer !
Bien d’accord avec vous Albert sur votre § détaillant les origines, soit physiologiques, soit psychologiques des différents cas de figure rencontrés.
“mais modifier les lois sociales pour ces personnes est un non-sens.”
… C’est pourtant bien l’objectif de l’activisme LGBT. Ce lobby n’a de cesse d’essayer de nous faire avaler qu’il n’y a aucune différence entre l’homme et la femme, et que l’idéal vers lequel la société doit tendre est un genre “neutre” : ni homme ni femme, ou plutôt les deux à la fois.
Or si ces gens réussissaient à imposer leur point de vue consistant à nier la différence (dans la complémentarité) homme-femme, quid de la reproduction de l’espèce ?
Ah oui, ils nous répondront : insémination artificielle, GPA, blabla. Autrement dit, la fabrique artificielle d’enfants destinés à ne pas connaître, soit leur père biologique soit leur mère biologique – puisque jusqu’à preuve du contraire il faut un gamète mâle et un gamète femelle pour faire un enfant. Quand on sait le nombre d’enfants adoptés qui passent par une crise, parfois grave, à l’adolescence, justement pour la raison qu’ils n’ont pas connu leur père ou leur mère biologiques (ou les deux), ça promet… sans parler bien sûr du déséquilibre dans l’éducation reçue, comme vous le notez fort bien dans votre commentaire.
Il y a chez ces gens de LGBT une forme de terrorisme intellectuel qui voudrait nous obliger à penser comme eux, en attendant de nous obliger – ou nos enfants, cf ce qui se passe dans les écoles – à agir comme eux. C’est insupportable. D’une certaine façon, dans les méthodes employées, il y a une ressemblance frappante avec l’islam conquérant. À ce titre, je trouve que Zemmour a parfaitement raison quand il parle de “cage aux phobes” : comment enfermer socialement – en attendant de le faire en vrai – toute personne qui ne pense pas “correctement” à propos de l’islam (islamophobie), de l’immigration (xénophobie), mais aussi… de l’homosexualité (homophobie).
D’accord avec vous Jacques Ady, le problème étant…, on y va part, on y court…
les LGBT, veulent un monde à leur image, sans se rendre compte, que l’on va à la cata, et cela pour tout le monde…!
L’équilibre est :
l’homme et la femme, que l’on veuille ou pas!!!!
Mais vrais hommes et femmes, vouloir changer ce que Dieu à fait pour l’être humain, n’a jamais mené à un équilibre…
La preuve, dans tout ce que vous décrivez!
Bien à vous
@ AlbertGam. Cher Albert, je veux bien considérer qu’il y a des anomalies dans la nature et que des humains puissent en souffrir, c’est évident et ces personnes méritent toute notre compassion et nos soins. Par contre, l’homosexualité est une déviance morale et la considérer comme une forme normale de la nature restera toujours pour moi un mensonge. J’ai connu des homosexuels qui, suite à leur conversion à la foi chrétienne, sont revenus de leur homosexualité vers une hétérosexualité normale. Ils se sont mariés, ont eu des enfants et mènent une vie épanouie. Le genre d’infos qu’on ne risque pas de voir demain dans les médias. Loin de moi l’idée de condamner et poursuivre les homosexuels, par contre, si j’étais dictateur, les manifestations publiques d’homosexuels, leur mariage et l’adoption d’enfants par eux seraient strictement interdits et sévèrement réprimés. Pour que les humains puissent se reproduire il faut un homme et une femme. Et pour que les enfants s’épanouissent correctement ils ont besoin d’un papa et d’une maman.
Ouh… loin de moi de la considérer comme une forme normale de la nature. Bien au contraire. C’est en effet une déviance morale, et pas seulement morale d’ailleurs, c’est aussi une déviance physique et une insulte à la nature.
Non, je disais seulement que tant que ça ne me gène pas et ne pose pas de problème dans ma vie, je la tolère. Mais c’est tout. Et surtout j’ai bien insisté aussi sur le fait que c’est une aberration (en plus d’être une aberration déjà en soi) de leur confier des enfants.
Voilà voilà.
Cher Albert, nous sommes bien d’accord. Serions-nous du même genre? Celui que notre société déboussolée condamne … Puisque nous parlons en vérité, nous devons être exécutés.
@gigobleu,
On est parfaitement d’accord et vous le dîtes très bien..!
ça n’est que la réalité!
Bien à vous
Bonjour Shira
Parlons discrimination : malheureusement la discrimination est partout …la laideur physique peut discriminer dans la recherche d’un emploi, le handicap , la couleur de peau , la religion , la pauvreté…etc…etc…et toutes ces oersonnes vivant de discrimination réelle ou ressentie représentent des millions d’individus. Et non quelques centaines de transgenres en France .
Même la taille.
Pierre Desproges avait raconté qu’il avait un ami qui était blanc, juif, flic, et qui mesurait 1m78. Il avait postulé pour faire partie de l’équipe locale de basket ball à Saint-Denis. Eh ben on l’a refusé parce qu’il était trop petit !
Sans vouloir faire une jeu de mot, la réalité n’est pas qu’il existe une zone érogène dans l’anus lui-même.
C’est la partie externe (le derme papillaire) du périnée, zone située entre les bourse et l’anus, qui est une zone érogène, chez l’homme comme chez la femme.
Toute zone érogène du corps est activée par une stimulation de ladite zone érogène… ou par une stimulation d’une région voisine si la stimulation (mécanique) s’étend à cette zone érogène. Ce qui fait croire que l’anus contient une zone érogène. Alors qu’en fait il est situé dans une région qui est immédiatement voisine d’une zone érogène. La stimulation nerveuse s’étend donc, les zones étant immédiatement voisines, jusqu’à la zone érogène comme cela se passe pour toute stimulation érogène. L’intérieur de l’anus lui-même (le canal anal, qui mène au rectum) est très vascularisé (c’est l’endroit où se trouve les veines hémorroïdales) mais n’est pas suffisamment innervé par des nerfs sensitifs (il l’est surtout par des nerfs moteurs, ceux qui activent les sphincters) pour être érogène. D’autant plus qu’il n’est pas concerné par ce que je vais décrire dans mon paragraphe suivant.
Il ne suffit pas qu’une zone soit sensible pour être vraiment érogène, il faut aussi que sa stimulation active les réseaux endogènes de dopamine, d’endorphine et d’endocannabinoïdes (rien à voir avec le cannabis), qui sont trois types de neurotransmetteurs, les deux premiers sont produits par l’hypothalamus et concernent toutes les zones érogènes du corps (et ont d’autres fonctions aussi), et les endocannabinoïdes sont un type un peu spécial puisqu’ils sont produits directement sur place dans l’appareil génital et ont un rôle important non seulement dans le plaisir… mais aussi dans l’humidification… et même dans la fécondation! Si toute zone sensible du corps était vraiment érogène, alors même les doigts ou certaines autres zones quelconques seraient érogènes… ce qui poserait un sérieux problème. Pour être vraiment érogène il faut que la zone stimulée active aussi ces réseaux de dopamine, d’endorphine et d’endocannabinoïdes.
Il reste une dernière composante dans la nature perçue à juste titre (si elle active les réseaux hormonaux ci-dessus) ou à tort (si elle ne les active pas) comme érogène d’une zone du corps : cette dernière composante c’est le conditionnement psychologique, d’abord par la culture dans laquelle on vit depuis l’enfance, mais aussi par les croyances fausses ou vraies de chacun concernant le sexe, et enfin par la situation dans laquelle se produit l’acte, notamment la relation mutuelle sentimentale. Et le canal anal tout comme l’anneau de l’anus entrent uniquement dans cette dernière catégorie, celle des fausses zones érogènes, sachant que pour ce qui est de l’anneau lui-même de l’anus il y a aussi la simple diffusion depuis la vraie zone érogène voisine: le derme papillaire de la zone du périnée.
Pas très poétique tout cela, mais voilà.
Albert
Biologiste
Aujourd’hui nous découvrons Albert, le proctologue de Dreuz …
En tout cas, la description de cette sexologue nous aide à faire la différence entre une belle histoire d’amour et une histoire de culs. A chacun son bon plaisir.
J’avoue ne pas avoir lu l’article jusqu’au bout. La photo de la dame me suffit pour dire qu’elle n’est pas mon genre …
Nos sociétés, ce n’est plus de la décadence, c’est l’effondrement.
Pour les transgenres, il n’aurait pas fallut commencer par le commencement : (je ne vais pas me faire que des amis) l’homosexualité. Je m’explique avant qu’ils ne me lapident.
Il y a une différence entre accepter les différences et les oublier.
Lors d’une procédure de désignation du lieu de résidence d’enfants en bas âge, le juge a désigné un psychologue, homosexuel, pour évaluer la situation de chacun des parents. Son évaluation était tellement entachée par son orientation sexuelle (pour ne pas parler de déviance naturelle) qu’elle n’avait aucune valeur. Son attitude avec les enfants s’était révélée frivole,parfaitement irresponsable et gravement désastreuse.
Aujourd’hui on confie tout naturellement DES ENFANTS à des couples homosexuels, “parce qu’ils ont bien le droit d’avoir des enfants” sans considérer les droits fondamentaux des enfants d’avoir un papa et une maman. C’est de la pure folie.
Chacun a des limites que lui imposent sa nature, son hérédité, son vécu, son milieu de naissance… L’homosexualité est stérile en terme d’espèce. Point. Il faut accepter ses limite. J’aurais aimé être Mozart, mais je chante comme une casserole. Vais-je me faire démonter le gosier pour qu’on me greffe des cordes de harpe divine?
On ne peut pas ne pas considérer les différences sous prétexte de ne pas les pénaliser : confie-t-on un autobus à des aveugles… Non. Quelqu’un qui a des déviances ne peut pas soigner celles des autres. Un peu simpliste, je l’admet, mais de gros bon sens. On ne confie pas une voiture accidentée à une voiture accidentée, mais à un garagiste
Cette hommesse nommée Gabrielle Bouchard n’aurait jamais été élue à ce poste s’il avait été une femme d’origine. Comme pour les musulmans, on se trouve intelligents de ne rien voir!
Ses propos sont manifestement ceux d’une personne dérangée, sans repère autre que son accident de naissance. Nous ne sommes pas que des accidents, sauf peut-être en cas de coït interrompus trop retard.
on confie tout naturellement DES ENFANTS à des couples homosexuels, « parce qu’ils ont bien le droit d’avoir des enfants »… malgré le fait qu’il y déjà des milliers de couples hétéro sur les listes d’attente.
Parfaitement d’accord avec vous.
Le gauche, n`a pas d`égale, pour enfoncer une societé au fond du baril d`immondises , les licorne ou les minorités “étranges“ fonts lois ,vous pouvez etre sur qu`a ce rime, le grand chapiteaux du cirque des bizzareries , sera ouvert en permanence, vive le canada du l`elfe trou d`eaux!, j`ai honte pour l`avenir, car “nous“allons encore “ voter“ pour cette chose au prochaine élection!!!
On dirait Michael Moore.
Ce n’est pas si capilotracté de dire m-p-aternité… avec ou sans phanères. Je m’adapte sans problème à ces particularités linguistiques en me marrant, les transgenres sont à mes yeux du dernier ridicule -autant que les tenues de Louis XIV- ou carrément glauques – ce ne sont pas seuls – et je garde avec assurance la certitude de qui je suis véritablement. Ce qui me surprend est le mépris voire la haine que nous vouent de plus en plus d’homosexuel(le)s envers les… (tiens j’ai oublié le noms des) couples “ordinaires”- on entend plus que bi, trans ou homos… Moi, j’accepte leur façon de vivre – je n’accepte pas que quiconque mette son nez ds ma chambre à coucher, donc ne mettrai jamais mon nez ds celui des autres – mes enfants ont été éduqué selon ma foi et ne sont pas devenus des intolérants et n’ont pas davantage virés leur cuti au gré de la mode… donc pourquoi tant de haine systématique et de suspicion, sans nous connaître, nous les rayés de la liste??? voilà qui me fait dire que la radicalisation a gagné 10 terrains de foot, comme l’étroitesse d’esprit et le besoin de militer comme raison de vivre à des gens qui ne savent même plus raisonner auj. (comme hier?!)
Les transgenres et ceux et celles qui veulent le devenir ont d’abord et avant tout besoin de soins psychiatriques! Ou d’une carte de membre de QS!
QS: Québec Solidaire, groupuscule politique islamo-communiste dont l’objectif courant est de “dégenrer” l’humanité.
mais ou est-ce qu on s en va en tant que société ?? incroyable que toutes les femmes ne s unissent pas contre une telle injustice ! demandé a un homme de geré la condition féminine !!! c est n importe quoi !! unisez-vous les femmes et sacré ca dehors !!
@gigobleu
“Cher Albert, nous sommes bien d’accord. Serions-nous du même genre? Celui que notre société déboussolée condamne … Puisque nous parlons en vérité, nous devons être exécutés.”
Tant qu’ils vivent leur vie et se sentent plus heureux ensemble et n’emm… personne…
Mais pour moi deux hommes ensemble ou deux femmes ensemble c’est comme vouloir une planète avec deux pôles nord ou deux pôles sud.
Pas étonnant alors que la planète ne tourne plus très rond…
😀
Une société tournée autour de la rondelle + Jupiter Mac rond, forcément Saturne pas rond…
😀