Publié par Rosaly le 1 janvier 2018
La psychiatrisation du terrorisme islamique…

De nos jours, en Occident, tuer au nom d’Allah ne relève pas du terrorisme islamiste, ignoble calomnie, mais de la psychiatrie. Ainsi, les pieux fidèles d’Allah, qui égorgent, décapitent, écrasent, pulvérisent les kouffars ne sont pas responsables de leurs actes criminels, mais victimes de troubles psychologiques, aux origines multiples, n’ayant absolument rien à voir avec leur livre sacré, où abondent pourtant des versets leur enjoignant de soumettre et/ou de tuer les infidèles.

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  • En Allemagne, un pieux musulman poignarda 4 personnes dans une gare près de Munich au doux cri d’Allahou akbar. Ses victimes étaient coupables à ses yeux d’être des infidèles et devaient donc mourir. Les Autorités allemandes, devenues subitement ˮexperts psychiatres ˮ, s’empressèrent d’affirmer que l’auteur souffrait d’une maladie mentale…
  • En Russie, Gyulchekhra Bobokulova, après avoir décapité une fillette de quatre ans, dont elle avait la garde, exhiba sa petite tête dans la rue en criant : ˮAllahu Akbar. Je déteste la démocratie. Je suis une terroriste. Je veux vous voir tous morts.ˮ Folie ou piété d’une musulmane respectueuse des ordres de son dieu ?

Selon les Autorités russes, cette personne souffrait de troubles psychologiques…

Vu le nombre d’actes criminels commis par de bons musulmans, une question vient à l’esprit : l’islam rendrait-il fou ?

  • En France, Karim Cheurfi faisait l’objet d’une enquête pour activités terroristes depuis des mois. Interrogé par la police française sur ses menaces de tuer des policiers, il fut étrangement laissé libre. Et un jour, il eut l’opportunité de prouver sa fidélité à Allah et ouvrit le feu sur des policiers aux Champs-Élysées. L’Etat islamique revendiqua l’attaque. Immédiatement son ex-avocat affirma qu’il n’était pas un terroriste islamiste, mais juste une personne psychologiquement fragile… Encore une !
  • Quand Kobili Traoré était en train de frapper sauvagement Sarah Halimi en hurlant “Allahu Akbar”, la police refusa d’intervenir, jusqu’à ce que la malheureuse soit défenestrée par le musulman. Les Autorités justifièrent le meurtre barbare de Madame Halimi par les «problèmes psychiatriques» du tueur musulman…
  • Abdallah heurta avec sa voiture trois étudiants chinois près d’un campus dans la banlieue de Toulouse.

Il déclara à la police : ˮ Je suis en missionˮ et révéla qu’il avait planifié son attaque depuis un mois.  Selon le procureur, il ne s’agissait aucunement de terrorisme, non, mais… de problèmes psychiatriques.

Et dire que l’UE favorise avec un enthousiasme enjoué l’invasion de l’Occident par des millions de fidèles d’Allah ! Les asiles psychiatriques : un investissement d’avenir !

A chaque attentat commis par un musulman au cri d’Allahou akbar, les Autorités se muent en experts psychiatriques et qualifient très rapidement l’auteur du crime de ˮmalade mentalˮ. Croient-elles sincèrement que nous sommes complètement demeurés ?

Justifier cyniquement chaque attentat terroriste commis par un musulman au cri d’Allahou akbar par sa ˮfragilité psychologiqueˮ est devenu le mensonge officiel, par excellence, la seule ˮvérité vraieˮ, susceptible d’être comprise par le peuple, et ce, non seulement en Europe, mais aussi au Canada, aux USA et en Australie. Cette vérité fabriquée est honteusement endossée par les politiques et les médias et transmise à la population, censée accepter cette manipulation grotesque sans broncher.

Aux Pays-Bas, le cas du ˮréfugiéˮ syrien Saleh Ali illustre à merveille la tolérance écœurante des Autorités à l’égard d’un autre phénomène en hausse inquiétante dans notre merveilleuse société multiculturelle : l’antisémitisme musulman.

A Amsterdam, le 7 décembre dernier, Saleh Ali– l’un des 64 000 réfugiés syriens fuyant la guerre et accueillis chaleureusement aux Pays-Bas– fut apparemment frappé à son tour par une crise de folie destructrice.

Comme la majorité des jeunes migrants syriens, Saleh Ali tue le temps en glandant dans les rues de la ville.

Ce jour-là, l’objet de sa colère fut un restaurant, pas n’importe lequel choisi au hasard, non, mais un restaurant juif, le HaCarmel. Ce restaurant cacher, situé entre un café et un Glacier, fait face à un restaurant italien.

Si le réfugié musulman avait voulu saccager un quelconque restaurant pour calmer sa rage ou tromper son ennui, il avait le choix, mais bizarrement, il se dirigea tout droit vers le HaCarmel, coiffé d’un keffieh, un drapeau palestinien dans une main et une batte dans l’autre. A l’intérieur de l’établissement, des chaises en bois, des nappes blanches sur les tables et des bouquets de roses rouges créaient une ambiance douce et agréable. A l’extérieur, un excité hurlant ˮAllahou akbarˮ se mit à démolir les vitres des fenêtres à coups de batte.

Rappelons ici brièvement que Mahomet inaugura le massacre et l’asservissement des Juifs en lançant ce cri de guerre, si cher aux terroristes musulmans.

Dans une ville où un habitant sur quatre est musulman, l’agresseur syrien n’avait lésiné sur aucun moyen pour faire connaître ses intentions belliqueuses à l’égard du restaurant cacher c’est pourquoi, la police était déjà sur les lieux avant l’arrivée de l’islamiste syrien. Le restaurant juif est situé dans un quartier branché, fréquenté par les touristes. Ceci expliquant sans doute cela.

Dans la vidéo filmant l’attaque, on peut voir le ˮréfugiéˮ syrien, déguisé en ˮPalestinienˮ hurler ˮAllahou akbarˮ, avant de frapper les fenêtres du restaurant avec sa batte. Les policiers, comme c’est souvent le cas en Europe en de telles circonstances, demeurent impassibles. Frappés d’une zénitude profonde, ils observent le voyou musulman faire exploser les vitres l’une après l’autre, comme s’ils assistaient à l’inauguration d’une exposition artistique au lieu d’une attaque violente raciste. Après s’être acharné sur les fenêtres, le musulman s’approche de la porte, les flics se faufilent pour mieux voir la scène. Leur langage corporel en dit long sur leur attitude. Ils semblent intéressés par l’attaque de la même manière que les passants : curieux, mais indifférents. Ils admirent sans doute les techniques de démolition des fenêtres du restaurant cacher, mais ils ne sont pas prêts à intervenir pour arrêter le Syrien, du moins pas encore. Est-ce une attitude dhimmie normale ou suivent-ils les ordres ? Et le ˮspectacleˮ continue.

Le réfugié syrien entre dans le restaurant pour continuer le saccage. Seulement alors, les policiers s’approchent de lui, non sans une certaine nonchalance et lui demandent de sortir. Le vandale ressort brandissant un drapeau israélien. Jeté au sol, il se débat avant d’être maîtrisé par les policiers et embarqué dans la fourgonnette.

Les policiers européens ont leur ligne rouge. En regardant la vidéo, on s’aperçoit très vite où se trouve cette ligne rouge. Les musulmans peuvent à loisir briser à coups de batte les fenêtres d’un restaurant cacher en hurlant ˮ Allahou akbarˮ, sans que la police ne lève le petit doigt.

La ligne rouge européenne pour l’antisémitisme musulman serait donc la suivante : vous avez le droit de démolir les fenêtres d’un restaurant cacher, même placé sous la surveillance de la police, mais vous n’êtes pas autorisé à attaquer physiquement le propriétaire et/ou le personnel, du moins quand les policiers vous observent !

Le ˮréfugié ˮsyrien déclara à la police qu’il n’était pas antisémite. Non, c’était juste une attaque parmi d’autres, perpétrée par un musulman à l’encontre de Juifs, mais cela n’avait rien à voir, absolument rien à voir avec l’antisémitisme ! C’était simplement une explosion de colère d’un homme… psychologiquement perturbé ! Ah, la belle excuse ! Elle est tellement usée qu’elle en devient banale et totalement indigeste.

Saleh Ali, accusé de vandalisme et non de crime haineux aggravé, fut libéré deux jours plus tard. Or il avait déclaré à la police qu’il s’était préparé à mourir au cours de l’attaque contre le restaurant casher. Il avoua également qu’il continuerait sa lutte. Saleh Ali avait menti sur son passé pour obtenir son permis de séjour temporaire tout en prétendant être un innocent réfugié fuyant la guerre. Il avait reçu un entraînement au combat et s’était battu avec des djihadistes à l’intérieur et à l’extérieur de la Syrie.

Cette information, gardée secrète, fut divulguée par une source anonyme au sein de la police. Herman Loonstein, avocat du restaurateur et militant des droits civils juifs, publia une déclaration exprimant son indignation, quant à la libération de l’agresseur, ce dernier ayant menacé de poursuivre ses attaques une fois libéré. ”Il est incompréhensible et choquant que cet homme, ayant un passé terroriste, ait été libéré, alors qu’il s’est dit prêt à commettre des actes de violence. L’homme représente un grave danger pour la Société,ˮ a averti l’avocat.

En réponse à la déclaration de Herman Loonstein, le bureau du procureur déposa une plainte contre… lui. Procédure normale au royaume de l’Absurdie. Le chef du Service des procédures pénales objecta que le partage d’informations, tirées du rapport interrogatoire de la police, était inapproprié.

En effet, il était inapproprié de révéler que le pauvre réfugié Saleh Ali n’aurait jamais dû se trouver aux Pays-Bas. Il était inapproprié de lever le voile sur l’attitude indigne des policiers, qui assistaient impassibles à l’attaque d’un restaurant juif par un terroriste entraîné à la guerre. Il était inapproprié de faire savoir que la justice avait libéré un homme, ayant juré de mener d’autres attaques contre les Juifs.

Tandis que le bureau du procureur poursuivait l’avocat Loonstein en justice pour avoir exposé le passé terroriste de l’agresseur, ce dernier comparaissait à nouveau devant le tribunal. Portant le keffieh, il déclara qu’il se sentait comme un volcan en éruption, prêt à exploser. Il avait déjà informé un officier de police que ˮl’attaque contre le restaurant cacher n’était que le premier pas et que la prochaine étape était déjà prévue. ˮIl refusa, toutefois, d’expliquer quelle serait la ˮ prochaine étape.ˮ Et il fut remis en liberté une seconde fois.

Si nous supposions que cette personne représentait un danger pour la société, nous ne l’aurions pas relâché ˮ s’est justifié le ministère public. Mais que pouvait faire ou dire de plus Salieh Ali afin de prouver qu’il représentait bien un danger pour la société ? C’est un djihadiste, entraîné à la guerre, qui a planifié une attaque violente, a exprimé sa volonté de mourir pendant l’attaque et a promis à la fois à la police et aux juges qu’il continuerait ˮ sa lutte.ˮ Apparemment, cela ne suffisait pas. Il eut fallu sans doute qu’il passe à l’acte et tue un innocent, pour qu’enfin il soit considéré comme un danger pour la Société par la Justice. Et encore…

Ali a exhibé un Coran, émis des menaces de violence et les Autorités, comme à l’accoutumée, ont décidé qu’il souffrait de… problèmes psychologiques. Ainsi, le tribunal l’a libéré pour une période de trois mois, tandis qu’un psychiatre et un psychologue vont se relayer afin d’essayer de l’exonérer de son acte criminel antisémite pour cause de… maladie mentale. Les juges lui ont demandé de ne plus s’approcher du restaurant juif. Cette sentence va certainement impressionner notre fou d’Allah et lui rendre sa raison. Et vous pouvez parier que les conclusions de ces éminents spécialistes révéleront que le pauvre réfugié syrien est psychologiquement fragile, car sa mère ne l’aimait pas et son père n’était pas impressionné par ses talents de casseurs de vitres. Ce qui créa en lui un profond sentiment de rejet et de haine envers les oppresseurs. Pas de chance, la divulgation du rapport de police et la vidéo contredisent les efforts des Autorités visant à faire passer Salh Ali pour un individu inoffensif mais légèrement psychologiquement perturbé.

Geert Wilders, le leader du parti de la liberté, a déclaré que les Autorités mettent en danger les Néerlandais innocents en laissant les terroristes circuler librement». Et Saleh Ali est l’un de ces milliers de migrants syriens autorisés à circuler librement. Les Autorités ont tout fait pour couvrir son attaque antisémite. Non seulement elles permirent à un djihadiste de rester aux Pays-Bas, mais la police d’A’dam regarda sans réagir l’homme en train de démolir les fenêtres d’un restaurant juif. Il fut remis deux fois en liberté, malgré les menaces proférées par le djihadiste. La seule décision significative prise par les Autorités fut la plainte à l’égard de l’avocat et activiste des droits civils juifs, qui osa révéler le passé de terroriste de l’agresseur et ses menaces d’actes violents à l’avenir.

Amsterdam est un endroit très tolérant, c’est de notoriété mondiale. Apparemment, pas seulement de la drogue ou de la prostitution, mais aussi de la violence islamique antisémite.

Selon l’avocat d’Ali, le terroriste ne mènera pas de futures attaques aux Pays-Bas. Comme il est doux de rêver !

Il n’utilisera la violence que pour se défendre… par exemple, quand il se sentira à nouveau attaqué par la porte fermée d’un restaurant juif, je suppose ! La dernière fois, il n’a pas pu supporter cette provocation et s’est vengé rageusement en saccageant les malheureuses fenêtres du restaurant cacher. Son défenseur a aussi ajouté sans rire, qu’Ali n’avait rien, mais alors là, rien du tout contre les Juifs et qu’il aimait vivre dans un lieu où toutes les religions pouvaient coexister. Un adepte forcené du multiculturalisme à prédominance musulmane ! L’idéal suprême ! Evidemment, son idée de coexistence interconfessionnelle implique la possibilité de pouvoir pratiquer la violence islamique inscrite dans le coran à l’encontre des Juifs et de bénéficier simultanément de la bienveillante tolérance des non-musulmans envers cette violence islamique.

Le cas de Saleh Ali est un cas de violence islamique parmi d’autres, le plus souvent occulté par les Autorités S’il a fait la une des actualités, c’est pour deux raisons :

  1. l’attaque a été filmée ;
  2. le passé du djihadiste et sa motivation réelle ont été divulgués, grâce à une fuite, avant que les Autorités ne commencent à disséquer son ˮ caractère psychologiquement fragileˮ. Les Pays-Bas, à l’instar d’autres pays européens, ont accueilli des réfugiés syriens et autres migrants musulmans. Ils ont ensuite fait de leur mieux pour dissimuler la violence qu’ils ont emportée avec eux, inhérente à leur idéologie islamique.

Les Autorités d’A’dam ont agi de la même manière que la police de Cologne après l’agression sexuelle de masse la nuit de la Saint-Sylvestre en 2015. La police ne fit quasi rien pour arrêter les agresseurs et les Autorités nièrent toute attaque. Toutefois, après la divulgation de la vérité sur les agressions de masse, les Autorités furent contraintes de réagir. Et cette occultation volontaire de la vérité si dérangeante est une bien dangereuse tradition, qui se perpétue non seulement à A’dam, mais aussi dans d’autres pays européens, confrontés à la violence islamique des invités de Merkel.

Saleh Ali et ses camarades colonisateurs savent que les Autorités ont choisi de tolérer les terroristes, de les justifier et de poursuivre sévèrement quiconque ose critiquer leur politique de soumission et d’apaisement envers les membres de la meilleure communauté qui soit.

Les zones de non-droit ne sont pas seulement des lieux, mais aussi un état d’esprit. Les zones de non-droit se matérialisent partout où le suprématisme islamique s’affirme, sans que les Autorités, supposées faire respecter l’application de la loi, ne s’y opposent. Les zones de non– droit peuvent apparaître à tout moment près de vous. Cela peut être un restaurant juif dans un quartier branché ou une nuit de la Saint-Sylvestre près de la cathédrale de Cologne. La zone de non-droit est partout ou la violence musulmane est tolérée et protégée de toute critique.

Les politiciens gauchistes et les médias, toujours aussi courageusement collabos, se précipitèrent pour accuser Trump d’être responsable de l’attaque contre le restaurant cacher. Hélas pour eux, le réfugié musulman n’avait jamais mentionné ni Trump ni Jérusalem pour justifier son acte.

A A’dam, l’antisémitisme musulman ne s’est pas réveillé depuis l’élection de Donald Trump. Il existait bel et bien avant. A un moment, la situation s’était tellement aggravée, que des policiers déguisés en Juifs avaient été déployés pour mettre fin aux agressions musulmanes. Le grand Rabbin des Pays-Bas, Benjamin Jacobs, avait été traité de ˮ sale Juifˮ. Des pierres furent lancées contre lui et il faillit être renversé par une voiture. Sa maison fut vandalisée 5 fois. Conseil de la police : voyager en train ! Et toute cette violence eut lieu bien avant que Donald Trump ne reconnaisse Jérusalem comme la capitale d’Israël.

Deux survivants de l’Holocauste eurent aussi le malheur de bénéficier des effets positifs du multiculturalisme musulman aux Pays-Bas :

Samuel (87 ans) et Diana (86 ans) Blug furent victimes d’une vicieuse et violente agression < ! –nextpage–>antisémite à leur domicile il y a un mois.

Se prétendant policiers, deux individus frappèrent à leur porte. Dès que Samuel ouvrit la porte, ce fut le cauchemar pour le couple d’octogénaires. Deux hommes d’origine maghrébine, habillés en noir, firent irruption dans l’appartement et commencèrent à frapper Samuel et Diana. Ils les jetèrent au sol, leur donnèrent des coups en criant ˮsales Juifs, à partir de maintenant, votre propriété est la nôtre.ˮ Les Nazis agirent de même dans les années trente en Allemagne et en Autriche, puis dans les pays occupés par l’armée hitlérienne.

Quand Diana, qui grandit à Paris et survécut au camp de la mort d’Auschwitz, eut des difficultés à ôter les bagues de ses doigts, l’un des hommes menaça de les lui couper et la traita, ainsi que son mari, une fois encore de ˮ sales Juifs.ˮ

ˮAdmirable courageˮ de la part de ces ordures, qui n’hésitèrent pas à frapper deux personnes très âgées et sans défense, gisant à terre tout en les insultant, parce que Juifs.

Diane et Samuel vivaient de manière indépendante avant cette horrible attaque. Aujourd’hui, ils se déplacent en fauteuil roulant dans un centre de réhabilitation d’Amsterdam.

ˮCes bâtards ont détruit nos viesˮ a dit Samuel en larmes au journal israélienˮ Yedioth Ahronoth.ˮ

ˮJ’éprouve des douleurs intenses. Je suis complètement brisée de l’intérieur.ˮ a ajouté Diane. 

Selon l’Observatoire de l’antisémitisme de la communauté juive, 70% des attaques antisémites aux Pays-Bas sont menées par les migrants. Et nous ne parlons pas ici des Chinois…

Le harcèlement du restaurant HaCarmel par les musulmans n’a rien d’exceptionnel. Les passants crachent régulièrement sur ses fenêtres. Saluts nazis et doigts d’honneur sont aussi fréquents. Mais ces braves gens, qui font des saluts nazis devant un restaurant casher, ne sont-ils pas les chéris des gauchistes ? Quand un journaliste juif filma un Rabbin marchant dans un quartier marocain d’Adam, les hommes qui lui firent des saluts nazis étaient aussi Aryens qu’Arafat et aussi musulmans que Mahomet.

Soutenir l’immigration musulmane est la nouvelle collaboration nazie. Elle brise les fenêtres d’un magasin juif, incendie les synagogues et chasse les Juifs hors des villes européennes.

Le restaurant HaCarmel n’est pas situé dans une zone de non-droit. L’Heineken Experience et le musée Van Gogh se trouvent à moins de 3 km. Le Vondelpark est à quelques pâtés de maisons.

Si cela se passe ainsi sur l’Amstelveenseweg, imaginez ce qui peut arriver dans les quartiers où la police n’entre pas pour protéger les touristes ? Imaginez ce que vous pouvez ressentir dans une synagogue, qui, devenue une banale forteresse en béton, continue à être vandalisée toutes les deux ou trois semaines ? Imaginez le ressenti d’un Juif ordinaire, résidant dans une ville, où même le grand Rabbin, régulièrement traité de ˮ sale Juifˮ ne vit plus en sécurité dans sa propre maison, ses fenêtres étant fréquemment brisées par des jets de pierre ?

Les politiciens de gauche ont rapidement accusé Trump d’être responsable de l’attaque. Reinier van Dantzig, du parti Les Démocrates (D66), qui vante les mérites des angéliques réfugiés musulmans, a blâmé les “déclarations irréfléchies du chef du monde libre“. Mais Trump ne s’est pas rendu à Amsterdam pour casser les fenêtres d’un restaurant juif. C’est un migrant musulman, qui a commis cet acte antisémite violent.

C’est le schéma honteux habituel propre à la gauche, qui excuse et défend l’antisémitisme musulman en blâmant les Juifs. “Une distinction devrait être faite entre l’antisémitisme traditionnel, qui doit être condamné et la haine musulmane pour les Juifs, qui découle du conflit en cours entre Israël et les Palestiniens“, avait déclaré Howard Gutman, l’ancien ambassadeur des USA à Bruxelles, sous l’ère Obama !

Selon le mode de pensée actuel, l’antisémitisme est blâmable, quand il n’est pas musulman. Et l’antisémitisme des musulmans est justifié, car il est une réponse à leur oppression par les Juifs. Ainsi la victime de cette agression n’était pas le restaurateur cacher, mais le réfugié syrien. Rendre Trump responsable de la violence antisémite en Europe revient en fait à condamner les Juifs. Donald Trump a reconnu la réalité, il n’a pas créé cette réalité. Jérusalem est le centre de la vie religieuse, historique et politique juive. Et reprocher à Trump de reconnaître Jérusalem comme la capitale juive d’Israël, cela revient à incriminer tout simplement les Juifs.

Après l’attaque du restaurant HaCarmel, le fils du propriétaire, Daniel Baron, se mit à nettoyer la salle, jonchée de débris de verre. Des amis de la communauté juive vinrent lui apporter leur aide. Mais les clients tardent à revenir.

La terreur islamique a déjà déprimé la vie nocturne à Paris et dans d’autres villes européennes. Les restaurants juifs sont depuis longtemps les cibles de la violence musulmane. L’attaque de l’Hyper Cacher à Paris, avant le Chabbat, après le massacre terroriste islamiste de Charlie Hebdo, fut qualifié par Obama d’attaque au hasard dans une ˮépicerieˮ par un ˮ groupeˮ de gens !

Il y a eu depuis de nombreuses attaques de ce genre ˮ au hasard ˮ par des ˮ loups solitaires musulmans psychologiquement dérangés ˮ

» Pour ce que Trump a fait, ils peuvent casser les fenêtres dix fois encore. Jérusalem sera toujours la capitale d’Israël.ˮ a affirmé Daniel Baron. HaCarmel ne cédera pas devant les terroristes antisémites musulmans. Le lobby anti-Israël de J Street, If not Now, Téruah et le reste du gang prétendent s’opposer aux racistes. S’opposer aux racistes ne signifie pas collaborer avec eux, mais suivre l’exemple de Daniel Baron.

En ce premier jour de 2018, je formule les vœux suivants :

  • que les responsables religieux et politiques occidentaux retrouvent la raison, la fierté d’être Européens, la fierté de ses valeurs judéo-chrétiennes et de sa culture gréco-latine. Cette fierté de ses origines, de son identité, de sa culture, qu’ils admirent tellement chez les Africains et les Arabo-musulmans, mais qu’ils nient aux Européens le droit de l’exprimer.
  • Qu’ils cessent de culpabiliser Israël et les peuples européens de tous les maux de la terre.
  • Qu’ils combattent enfin l’islamisation de l’Occident et ses corollaires de crimes, de viols et d’’antisémitisme musulman.

Vœux pieux mais irréalisables diront certains. Nul ne peut prédire l’avenir et parfois il nous réserve quelques heureuses surprises, voire des miracles. Et l’élection de Donald Trump fut à la fois une surprise heureuse et un miracle, vu les nombreuses forces du Mal qui s’opposèrent avec un acharnement diabolique sans précédent à ce qu’il devienne le 45e Président des USA. Enfin un Président digne de ce nom, proche du peuple, vrai ami d’Israël et défenseur du christianisme ! Et si merveilleusement politiquement incorrect !     

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

«Europe’s Tolerance for Terrorists»

«An anti-semitic Allahou Akbar in A’dam»

By Daniel Greenfield – FPM (traduit et adapté par Rosaly)

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