Contrairement au discours « politiquement correct », 8 ans de présidence Obama ont affaibli les Etats-Unis aussi bien sur le plan intérieur qu’extérieur, et une année de présidence de Donald Trump, ayant comme politique « America First », a apporté de notables améliorations qui ont permis de rétablir une certaine prééminence des Etats-Unis sur le plan mondial.
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Huit années de scandales Obama
Les 8 années de la présidence d’Obama sont parsemées de scandales, dont les plus notables sont cités ici.
- – Scandale Solyndra : un prêt de 535 millions $ a été accordé à cette société, travaillant dans le domaine « solaire », sachant bien que la société n’était pas viable et en voie de faillite, mais son fondateur le milliardaire George Kaiser avait beaucoup contribué à l’élection d’Obama.
- – Scandale des vétérans : l’hôpital d’état de Phoenix a refusé de recevoir et de traiter des vétérans de l’armée pour des raisons fallacieuses. 40 vétérans en sont morts.
- – Scandale d’influence discriminatoire : l’administration a fait pression sur le réseau bancaire pour qu’il ne prête pas à des entreprises qui ne se situent pas dans « la doctrine du pouvoir », comme les fabricants et commerces d’armes
- – Scandale de la « société Guitare Gibson » : dans le même esprit, cette société a fait des dons au Parti Républicain, alors que son principal concurrent alimentait le Parti Démocrate. Les deux sociétés achètent du bois à Madagascar, ce qui serait un crime de violation de l’environnement selon la loi américaine « Lacey Act ». « Guitare Gibson » de Nashville et Memphis (Tennessee) a été ainsi accusée de crime, malgré qu’elle ait produit un document officiel malgache assurant qu’elle ne violait aucune des lois locales. Elle été obligée de payer une amende de 250 000 $ et une contribution de 50 000 $ à un groupe lié à l’environnement. Son concurrent n’a pas été inquiété.
- – Scandale du procureur Eric Holder : L’administration a perdu trace de 1400 armes qui ont été volées par la mafia et vendues au cartel mexicain de la drogue. Or on a retrouvé 2 de ces armes sur la scène de l’assassinat du garde-frontière Brian Terry. Le procureur Général Eric Holder a omis de communiquer au Congrès cette information et a reçu un blâme pour cette omission.
- – Scandale James Rosen : ce journaliste de la Fox a été indûment accusé de publier une information classée liée à la Corée du Nord. Utilisant les méthodes de la Stasi, le procureur général Eric Holder l’a accusé de conspiration et de violation de la loi sur l’espionnage.
- – Scandale Gruber : pour asseoir la pertinence de la loi sur la prise en charge des soins de santé appelée « Obamacare », l’administration a payé 400 000 $ au spécialiste Gruber pour ses services. Gruber a été un des principaux artisans de l’installation de ce système peu adapté à la société américaine. Une vidéo a été publiée montrant Gruber disant « Obamacare est le résultat de la stupidité du vote du citoyen américain »
- – Scandale Skolkovo : la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton était chargée de remettre à flot les relations avec la Russie « dans le but d’identifier les domaines de coopération et réaliser des projets communs et des actions pour renforcer les liens stratégiques, la sécurité et la stabilité, le bien-être économique et développer les relations entre les deux peuples ». Le programme s’est alors centré sur la ville de Skolkovo, près de Moscou, cette ville devenant une « Silicon Valley ». Or dans ce programme, des technologies sensibles ont été transférées vers la Russie, améliorant sensiblement ses capacités militaires et cybernétiques. Le FBI a prévenu les sociétés américaines impliquées, sur l’usage duel qui est fait par la Russie des technologies transférées. Or on a démontré depuis qu’aussi bien les sociétés russes qu’américaines impliquées avaient fait d’importants dons à la Fondation Clinton.
- – Scandale Benghazi : l’ambassadeur en Libye Chris Stevens et 3 autres américains ont été assassinés par des terroristes au Consulat de Benghazi, l’administration ayant tardé à leur porter secours, malgré l’information reçue liée à l’attentat. Hillary Clinton a longtemps nié que l’attentat était un acte terroriste prémédité.
- – Scandale de l’exemption fiscale : le Service des Impôts refuse de prendre en compte l’exemption d’impôts pour les dons faits par des organisations de droite, ou pro-israéliennes, malgré les injonctions du Congrès.
- – Scandale de la rançon payée à l’Iran : 1,7 milliard $ ont été donnés en espèces à l’Iran pour libérer 4 Américains tenus en otage, l’administration refusant d’informer le Congrès par écrit sur la transaction. Cet argent a servi à financer des groupes terroristes.
- – Scandale Bergdahl-Guantanamo : Obama a relâché 5 terroristes taliban contre la libération d’un « déserteur condamné par les tribunaux », en violation du « National Defense Authorization Act ». Obama devait informer le Congrès un mois avant l’exécution de la transaction. Obama a informé le Congrès le jour même de son exécution. 3 des 5 terroristes ont repris leurs activités de terreur.
- – Scandale du Dossier préfabriqué : voir dreuz.info
- – Scandale des emails Clinton : la secrétaire d’Etat Hillary Clinton a utilisé un serveur privé pour recevoir et envoyer des informations classées. Bien que 33 000 emails aient été effacés, un certain nombre a été intercepté par Wikileaks, et l’administration Obama a absout Clinton par des subterfuges (voir ci-dessus)
- – Scandale de l’uranium : Hillary Clinton a autorisé la vente à la Russie de 20% de l’uranium américain, sans informer l’administrative. Une partie de cet uranium a été réexporté par la Russie. La Fondation Clinton a enregistré de nombreux dons russes après la transaction…
- – Scandale Cassandra : l’administration Obama a empêché des investigations du service anti-drogue DEA sur un trafic armes/drogue/blanchiment d’argent du Hezbollah, ce qui a laissé cette organisation amplifier ses activités de déstabilisation au Moyen-Orient.
Voir également liens en fin de page pour la politique étrangère (1)
Une année de gestion de Donald Trump
Malgré toutes les embûches posées sur son chemin par de nombreux détracteurs, et notamment le Parti Démocrate et l’ex-président Barack Hussein Obama, le président Donald Trump peut déjà être comparé à Ronald Reagan, vu ce qui a été accompli en l’espace d’un an. Malgré les dénigrements de la majorité des médias et de l’« Establishment », son administration a réussi à agir hors des sentiers battus et elle enregistre les succès suivants :
- – une très bonne croissance économique, qui atteindra les 4% en 2018
- – création continue de nouveaux emplois, avec un chômage est au plus bas
- – pour la 1ère fois depuis 30 ans, les emplois manufacturiers reviennent au pays et les investissements industriels sont en croissance
- – création intense de nouvelles entreprises et baisse des faillites
- – pour la 1ère fois depuis 30 ans, la fiscalité des entreprises et les contraintes administratives diminuent et la bourse a pris 30%
- – aussi bien le consommateur que l’industriel sont enfin optimistes, ce qui n’était pas le cas depuis deux décennies
- – l’industrie charbonnière revit, la construction de pipelines et les forages pétroliers reprennent et le pays est non seulement indépendant sur le plan de l’énergie, mais il est devenu exportateur
- – le système judiciaire a été revu dans le sens prévu par le parti républicain, avec la nomination de nombreux nouveaux juges, un conservateur, Neal Gorsuch, ayant été élu à la Cour Suprême
- – le système de santé ObamaCare a été démantelé et est en voie de remplacement
- – pour la 1ère fois depuis 30 ans, l’immigration illégale sans contrôle a été ralentie, en attendant d’être stoppée, et les groupes illégaux étrangers ont été chassés
- – l’Etat islamique a été chassé de Syrie et d’Irak, et Jérusalem a été désignée comme la capitale d’Israël, malgré de nombreuses réticences
- – l’alliance amicale avec Israël et les états arabes sunnites a été rétablie, avec des accords pour mettre un terme à l’agression iranienne au Moyen-Orient, et revoir le mauvais accord nucléaire établi par les 5+1 avec l’Iran
- – pour la 1ère fois, l’administration a décidé de contrecarrer la volonté de la Corée du Nord d’acquérir des fusées et des armes nucléaires
- – le pays a quitté l’accord TPP, et négocie un meilleur accord ; il renégocie aussi NAFTA, il a dénoncé l’accord de Paris sur le Climat, a revu le programme spatial de la NASA, a donné de l’espoir à l’armée et à ses vétérans, a redéfini les grandes options de Sécurité Nationale, et a quitté les instances internationales coûteuses qui n’apportent rien au pays (UNESCO…), en avertissant l’ONU de son arrogance et des suites possibles
- – l’administration a informé certains médias de leur manque d’objectivité et de leur parti pris, a dénoncé la corruption du parti Démocrate, et a aidé à réformer le parti Républicain pour l’assainir et le renforcer.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Albert Soued, (nuitdorient.com) pour Dreuz.info.
Notes
(1) liens complémentaires concernant la politique étrangère d’Obama :
L’administration américaine sème la panique chez ses alliés
Obama, l’idéologie, vous dis-je
Il est en train de démolir l’Amérique
Les véritables raisons de l’échec américain au Proche-Orient
Obama abandonne le Moyen-Orient
Les Exécutions sommaires de l’Administration Obama
Avec Barack Hussein Obama les Barbus en Route vers le Califat
Obama entre Echecs et Fantasmes
Une longue Histoire d’erreurs ou de Croc-en-jambe américains qui Fragilisent Israël
Qui veut d’une Palestine au Moyen-Orient ? – Obama et l’Iran
Les Etats-Unis livrent la Région à l’Iran au lieu d’armer les Kurdes pour combattre l’Etat Islamique
Six ans d’Influence américaine au Moyen-Orient sous l’Obédience de Barack Obama
La Politique étrangère d’Obama est désastreuse
Qui est vraiment Huma Abedin ?
Ce texte est établi à partir de 2 articles :
- – « Trump’s Momentous First Year » de David Prentice, ayant pour source: americanthinker.com
- – « The Obama Years: A Legacy Of Scandal And Deception » par Ari Lieberman – an attorney and former prosecutor who has authored numerous articles and publications on matters concerning the Middle East and is considered an authority on geo-political and military developments affecting the region. frontpagemag.com
Et maintenant; il empoche 140000 Dollars par conférence, pour dire des billevesées. Je ne donnerais pas 1 Dollar. Ni pour Macron, non plus.
Il n’y à que , les Collabos, les Soumis, les, jaloux, et les incapables pour voir la Différence.
Mais c’est normal, ils ont tous des Oeillères, plus de Conscience, mais certainement un gros Portefeuille.
rien compris à ce que vous racontez
Heu !! Vous parlez de qui et de quoi exactement ??? Pas très clair !!
Vouliez-vous dire:
“pour NE PAS voir…” ?
je pense comme vous, sinon rien clair dans ce com.
c’est vrai que la politique a changer EX: poutine ce foutait de Obama et même les Chinois ont même pas dérouler le tapis rouge a Obama avec aucune délégation a la sortie du Air Force One a Pékin + Trump est le seul qui a le courage d’affronté la corée du nord
Depuis l’élection d’Obama, l’excellent Guy Millière dénonce le torpillage des états-unis par ce président félon, raciste et anti-américain. Mais évidemment en France quand je soutiens son point de vue ma propre famille me traite de “facho”. Allez comprendre.
PS : je reconnais que les membres de ma famille cités sont des abrutis finis
une conférence Obama à 140000 dollars pour raconter des billevesées, peut être est ce les primes pour service rendu quand il était président, c’est un moyen détourné pour soudoyer les grands de ce monde.
qui sait? C’est bien de le dire.
Il n’y a que Valeurs actuelles et Causeur qui défendent Trump. Parmi tout le reste de la presse écrite on ne lit jamais ne fusse qu’une phrase favorable. On peut alors mesurer le niveau de la propagande diffusée quotidiennement.
Scandale Benghazi: une petite précision.
L’administration Obama n’a pas seulement “tardé à porter secours” à 4 membres de la délégation américaine, elle n’a porté aucun secours aux membres de sa Délégation.
En fait, après avoir précédemment refusé de renforcer les mesures de sécurité réclamées par les quelque vingt employés (y compris l’Ambassadeur) de la Mission, elle les a livrés en toute connaissance de cause à la bande de terroristes armés jusqu’aux dents qui les assiégeait, en interdisant à tout secours de se manifester. “Stand down” = Ne bougez pas, c’est l’ordre qui a été donné plusieurs fois aux personnel américain de la région.
Si Glen Doherty et Tyrone Woods, anciens Navy SEALS, n’avaient pas choisi de désobéir à cet ordre et d’organiser tant bien que mal la défense de leurs compatriotes, ce n’est pas 4 victimes qu’il faudrait déplorer (dont un sauvagement torturé), mais tous les membres de la Mission.
Et ces deux héros attendent encore de recevoir le Purple Heart qu’ils ont richement mérité à titre posthume.
Bien dit. En outre, Obama s’est servi de l’affaire pour faire annuler la liberté de parole (dans une petite histoire d’escroquerie, si ma mémoire est bonne, le gars n’avait pas le droit d’approcher un ordi ni de se connecter) dont bénéficiait un vidéaste blasphémateur, et il a publié des excuses partout à l’adresse des muzzs pour une vidéo quasi confidentielle jusque-là qu’il a accusée d’être à l’origine de l’attaque, et il a présenté la révocation de la liberté provisoire comme une punition du blasphème et non une rupture de la défense de s’approcher d’un ordinateur (mais pour le coup, il ne mentait pas et disait la motivation réelle).
Rien que cette attaque contre la liberté de la presse et cette dhimmitudes étaient hallucinantes. Quant à Hillary, elle a dit au père d’une des victimes qu’ils allaient faire incarcérer “le responsable”, sachant pertinnement que le vidéaste navait rien à voir avec l’attaque.
@ Vive Israel
Vous avez raison, et encore, il y a bien d’autres les détails sordides dans le scénario que ces deux crapules ont mis sur pied pour cacher la vérité après avoir délibérément sacrifié une vingtaine de leurs compatriotes (du moins en ce qui concerne Mme Clinton) et rester au pouvoir. Rien que pour ce scandale, ils méritent de se retrouver derrière les barreaux.