À la fin de la troisième semaine du mois de janvier, cela fera un an que Donald Trump est à la tête des États-Unis.
À de très rares exceptions près, les commentateurs français se refusent toujours à comprendre qui il est, ce qu’il fait et quelles sont les lignes directrices de sa politique intérieure et de sa politique étrangère.
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J’ai expliqué tout cela dans un livre, La Révolution Trump ne fait que commencer*, mais il semble que les commentateurs français ne l’ont pas lu et préfèrent continuer à recopier les inepties qu’ils trouvent dans le New York Times et le Washington Post.
Redisons, dès lors, ce qui doit l’être.
- Donald Trump est un homme d’affaires qui a géré avec succès une entreprise présente sur les cinq continents, et valant plusieurs milliards de dollars pendant plus de quatre décennies (ce qui est plus difficile que d’écrire un article dans un journal), avant de considérer que son pays était en danger et devait être sauvé de la perdition.
- Il a choisi de se présenter à l’élection présidentielle pour être élu et pour mener une opération de redressement. Il a conçu un programme économique et géopolitique en concertation avec quelques-uns des meilleurs esprits américains.
- Il a gagné grâce à une stratégie électorale lucide et remarquable, en éliminant, du côté républicain, seize politiciens expérimentés, en terrassant la machine Clinton-Obama-grands médias, et en annonçant d’emblée qu’il allait gagner en l’emportant dans des Etats réputés impossibles à gagner par un candidat républicain (Michigan, Pennsylvanie, Wisconsin).
Il s’efforce depuis son entrée en fonction de mettre son programme en œuvre. Il a, malgré les obstacles, et le harcèlement de ses multiples ennemis (démocrates, establishment républicain, grands médias, gauchistes, Etat profond, pseudo-conservateurs) d’ores et déjà accompli immensément.
Sur un plan intérieur, il a voulu et veut, après huit années d’une présidence qui a soutenu des organisations criminelles, telles que Black Lives Matter, remettre de l’ordre à l’intérieur des États-Unis, ce qui implique de redonner confiance à la police et à la justice, et de redonner du dynamisme à l’économie.
La remise en ordre à l’intérieur du pays est en cours, même si le New York Times, le Washington Post, et la plupart des commentateurs français ne le disent pas. La police sait qu’un Président qui la respecte est en place et fait son travail. La criminalité recule. Les gangs les plus importants, tels le MS 13, sont démantelés ou en voie de l’être. Quand bien même des juges gauchistes mis en place sous Obama sont toujours là, de nombreuses nominations ont été effectuées par Donald Trump, et la justice fédérale recommence peu à peu à faire son travail elle aussi. La nomination du juge Gorsuch à la Cour Suprême a assuré que celle-ci restera du côté de la préservation de la Constitution et du Bill of Rights.
L’économie a redémarré. La croissance atteint ou dépasse nettement trois pour cent en rythme annuel (ce qui n’était pas arrivé depuis plus de neuf ans). Le chômage indique désormais une situation de plein emploi et atteint son niveau le plus bas depuis dix-sept ans, 4 pour cent (chiffre qui correspond au chômage frictionnel, constitué par le temps consacré par une personne pour passer d’un emploi à un autre). Une vague de déréglementation sans précédent est enclenchée. La réforme fiscale la plus profonde depuis les années Reagan vient d’être votée, et tout en baissant nettement les impôts de toutes les familles et tous les individus, elle baisse plus nettement encore les impôts sur les entreprises, ce qui favorise investissements, innovations et créations d’emploi. Elle a inclus l’abolition de l’Obamacare, système d’assurance santé monolithique et coûteux, en rétablissant la liberté de s’assurer et de choisir son assureur. La production d’énergie a été relancée et débarrassée des restrictions et asphyxies mises en place sous Obama, et la sortie des Etats-Unis des accords de Paris sur le «climat» avait ce but : le pays est énergétiquement indépendant, et devient exportateur d’énergie. Les accords commerciaux et financiers liant les Etats-Unis au reste du monde sont en cours de renégociation aux fins qu’ils servent au mieux les intérêts américains.
Donald Trump, ce doit être rappelé face aux désinformateurs, n’a jamais été protectionniste. Il entend créer des rapports de force dans les relations commerciales internationales : c’est ce que font les hommes d’affaires. C’est ce qu’il fait.
La police des frontières fait à nouveau pleinement son travail, et l’immigration clandestine recule très nettement. Il y a une diminution de soixante-dix pour cent de l’entrée d’immigrants clandestins dans le pays aujourd’hui. Les immigrants clandestins auteurs de crimes et délits sont systématiquement arrêtés et expulsés. Le financement fédéral versé aux villes sanctuaires a été interrompu.
***
Sur un plan international, Donald Trump entend aussi remettre de l’ordre, et revenir à un ordre du monde où les États-Unis assument leur rôle de principale puissance du monde libre et de principal défenseur de la liberté.
Cela implique de soutenir et récompenser les amis des États-Unis et de faire face et de punir les ennemis des États-Unis, ce qui, par-delà les fluctuations, a été la ligne directrice de la politique étrangère des États-Unis jusqu’à l’arrivée au pouvoir de Barack Obama.
Ce qui en découle est la volonté d’endiguer la Corée du Nord, et le récent voyage de Donald Trump en Asie avait essentiellement ce but.
N’en déplaise aux aveugles volontaires, ce voyage a été un succès.
Le Japon et la Corée du Sud ont compris qu’ils pouvaient compter sur les États-Unis face au danger, et le discours prononcé par Donald Trump à Séoul a été un discours majeur.
Donald Trump a demandé à la Chine de Xi Jinping de contribuer à asphyxier le régime nord-coréen et a fait jouer des arguments économiques. La Chine a un besoin vital du marché américain et Donald Trump le sait. L’asphyxie du régime Kim Jong-Un est en cours, même si la Chine (et la Russie) ne respectent pas encore pleinement leurs promesses. Le but est de réfréner le régime, de l’empêcher d’être menaçant. Cela ne peut se faire par la guerre, Donald Trump le sait et n’utilisera les moyens militaires qu’en dernière extrémité. Cela peut se faire par la pression. La pression est exercée. Le discours de Donald Trump vis-à-vis de la Corée du Nord a été un discours de dissuasion dirigé non seulement vers Kim Jong Un, mais aussi vers la Chine et la Russie, qui ne veulent pas d’une guerre en Corée, et voient, bien sûr, d’un mauvais œil le réarmement massif du Japon et de la Corée du Sud décidé par Donald Trump.
Les étapes vietnamiennes et philippines du voyage de Donald Trump en Asie avaient pour but de circonscrire la volonté chinoise de mainmise sur le trafic maritime en Asie orientale. La volonté chinoise est freinée.
Au mois de mai dernier, Donald Trump avait fait un voyage qui l’avait conduit à Riyad et à Jérusalem.
L’objectif, dans ce cas, était d’endiguer l’Iran.
Donald Trump entendait mettre en place à cette fin une coalition regroupant les pays sunnites, avec pour chef de file une Arabie Saoudite rompant avec l’islam radical, et ouvrant les perspectives d’une alliance entre pays sunnites et Israël.
La révolution en cours en Arabie Saoudite, menée par Mohamed ben Salman prince héritier du trône, est la suite logique de ce voyage. L’alliance entre pays sunnites et Israël s’esquisse. La reconnaissance de Jérusalem, capitale d’Israël, par Donald Trump, s’est faite avec l’accord de l’Arabie Saoudite et de quarante pays sunnites. Les seuls soutiens qui restent à l’Autorité Palestinienne, isolée et radicalisée, sont l’Iran et la Turquie, qui sont sous le contrôle de la Russie de Poutine, qui ne veut pas d’une guerre au Proche-Orient. Outre l’Iran et la Turquie, l’Autorité Palestinienne est aussi soutenue par l’Europe occidentale.
En fin stratège, Donald Trump n’a pas voulu de confrontation avec la Russie, et considère que la Syrie est un pays sous la coupe conjointe de la Russie et de l’Iran.
Il laisse la Syrie à la Russie, mais lui demande de contribuer à l’endiguement de l’Iran et de la Turquie, et c’est ce que fait Vladimir Poutine.
Sachant que l’Iran est le danger principal au Proche-Orient, Donald Trump a commencé à faire sortir les Etats-Unis du désastreux accord de juillet 2015, remis en place des sanctions économiques contre le régime des mollahs, et averti les entreprises occidentales envisageant d’investir en Iran du risque qu’elles soient frappées par des sanctions américaines, ce qui fait que nombre d’entre elles ont reculé. Il a tenu des discours dissociant le régime des mollahs de la population iranienne, et a dit a celle-ci qu’il était légitime qu’elle espère mieux que l’oppression qu’elle subit depuis quatre décennies. Le soutien moral que Donald Trump apporte aux Iraniens insurgés aujourd’hui est la suite logique. Donald Trump sait qu’a l’époque d’internet ses discours sont écoutés en Iran. Il a voulu la déstabilisation du régime des mollahs et l’a anticipée. Elle est là, pleinement visible.
N’en déplaise aux aveugles volontaires, là encore, les effets du voyage de Donald Trump au Proche-Orient en mai dernier sont féconds. Ce qui se passe au Proche Orient et en Iran aujourd’hui découle de ce voyage et de discours tel celui tenu par Donald Trump aux Nations Unies il y a un peu plus de deux mois.
Donald Trump, ce doit être rappelé face aux désinformateurs, n’a jamais été isolationniste.
Il veut «la paix par la puissance», une formule qu’il a empruntée à Ronald Reagan lui-même.
La paix s’établit moins vite que le redressement économique d’un pays. Mais la paix par la puissance avance. La carte géopolitique du monde se transforme de manière très positive.
Les ennemis des Etats-Unis et les ennemis de la liberté voient leurs ambitions freinées et nettement ébranlées.
L’Europe elle-même est concernée par la stratégie de Donald Trump.
Le discours tenu par Donald Trump à l’OTAN était destiné à exiger que les pays membres de l’OTAN contribuent davantage à leur propre défense et sortent de leur position d’assistés comptant sur la défense américaine sans payer leur dû : plusieurs pays ont d’ores et déjà commencé à aller dans le sens défini par Donald Trump. Le discours tenu il y a quelques mois par Donald Trump à Varsovie s’adressait à toute l’Europe centrale. Les gouvernements de celle-ci défendent leur civilisation, refusent l’islamisation que Bruxelles veut leur imposer, et refusent plus largement les directives de Bruxelles. Il se dessine une division entre-deux Europes : une Europe des nations que défend Trump, et c’est celle de la Hongrie, de la Pologne, de la République tchèque, de la Slovaquie, de la Roumanie, de la Bulgarie, des pays baltes, celle que rejoint l’Autriche avec son nouveau gouvernement, et une Europe occidentale enlisée dans l’apaisement, celle de la France, de l’Allemagne, de l’Italie, du Royaume-Uni, de la Belgique, des Pays-Bas et de la Scandinavie.
On peut ajouter à tout cela le renforcement considérable de l’armée américaine grâce au vote de programmes d’armements supplémentaires et au changement des règles d’engagement, le retrait des Etats-Unis de l’UNESCO, institution antisémite privée ainsi d’environ le quart de son financement, le commencement de coupes nettes dans le financement américain de l’ONU, la suppression programmée de l’aide financière américaine à l’Autorité Palestinienne et à des régimes continuant à financer le terrorisme islamique.
Dans les milieux du journalisme et de l’édition en France, le refus forcené de comprendre est en situation de domination absolue
Ce que Donald Trump a accompli en sa première année de présidence est absolument remarquable.
C’est d’autant plus remarquable qu’il a fait face à des obstacles, et au harcèlement de ses multiples ennemis.
Vous ne saurez rien de ce que Donald Trump a accompli si vous lisez la presse française, car les commentateurs français, à d’infimes exceptions près, ont choisi de ne pas le dire.
J’envisage toujours d’écrire un livre appelé Ce que veut Trump, parce qu’un article ne peut tout expliquer, parce que c’est une mutation du monde qui s’esquisse et parce que oui : la révolution Trump ne fait que commencer.
Je n’écrirai le livre que si j’obtiens des conditions lui permettant d’avoir un impact.
Dans la France telle qu’elle est, obtenir ces conditions sera très difficile, peut être impossible.
Dans les milieux du journalisme et de l’édition en France, le refus forcené de comprendre est en situation de domination absolue, et il existe une ligne officielle et omniprésente : Donald Trump doit être présenté comme un crétin dangereux.
Cette ligne officielle et omniprésente signifie que ceux qui lisent seulement le français et ne prennent leurs sources que dans les grands médias ne sont plus informés. C’est d’une gravité absolue.
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Il a toutes les chances d’être réélu malgré tout ce que les merdias peuvent en dire.
Et nos journaux sont toujours “vent debout” contre Trump. Ils manquent d’objectivité pour être crédibles, ils sont à la solde de la finance internationale et Bilderberg. Ils sont à la solde du multi-culturalisme voulu par ces derniers!!!
Merci à vous pour cet article qui remet les choses à l’endroit!
Avez-vous souvent vu un journalope reconnaître qu’il avait tort?
Ils ne peuvent pas critiquer ce qu’ils ont eux-mêmes construit, donc, ils ne passent que les infos qui vont dans le sens qu’ils désirent.
Un article qui “décoiffe”!
Et nos journaux sont toujours “vent debout” contre Trump. Ils manquent d’objectivité pour être crédibles, ils sont à la solde de la finance internationale et Bilderberg. Ils sont à la solde du multi-culturalisme voulu par ces derniers!!!
Hubert Védrine qui semble être un visiteur du soir de l’Elysée, en prend pour son grade avec cet article, il a tout faux!!!
Merci à Dreuz qui remet les choses à l’endroit!
Merci pour votre article.
Quel est votre sentiment sur ce qui ressemble à un renversement d’alliance avec Bannon?
Je reviendrai sur le livre débile et ignoble auquel Bannon a collaboré. Bannon ne se relèvera pas. Il s’est très mal conduit. Il est fini, pas l’alliance qui a porté Trump.
Ceux-là qui qualifient D. Trump de “crétin dangereux” sont simplement en extase devant leur autoportrait de crétins dangereux.
La politique française est contre lui mais pas tout les citoyens. Vive le président du monde libre Donald Trump !!
J’attends avec impatience votre prochain livre.
Merci
Vous avez tout compris !
Quand La France de Macron s’accoquine avec l’Iran et la Turquie, … Deux pays “hégémonismes” “déstabilisateurs” source de conflit et support du terrorisme.
Donald TRUMP érige un rempart en mettant en place une coalition regroupant les pays sunnites, avec pour chef de file une Arabie Saoudite rompant avec l’islam radical, et ouvrant les perspectives d’une alliance entre pays sunnites et Israël.
… “Les français doivent savoir que les négociations d’adhésion de la Turquie à l’UE continuent. Et les français doivent savoir qu’ils paient avec leur porte monnaie des subventions à la Turquie.”
… “Est-ce que vous savez Mr Guillaume Daret qu’il est prévu de donner 4 milliards d’euros à la Turquie pour préparer son adhésion ?”
https://www.businessbourse.com/2018/01/07/nicolas-dupont-aignan-francais-doivent-savoir-negociations-dadhesion-de-turquie-a-lue-continuent/
Le livre qui vient de paraître vendredi est inquiétant. Non pas à cause des campagnes médiatiques mais à cause de la dégradation des relations avec Bannon. Il semblait que Bannon incarnait le courant populiste qui a porté Trump, qu’il incarnait la tendance anti establishment du parti Républicain (cf l’élection dernière en Alabama). Or on s’aperçoit que Bannon vient de “taper” dur sur la famille Trump et met en cause fils et gendre. De plus il engrange des arguments sur la relation avec la Russie.
Ceci est grave car le courant qui a porté Trump peut se fissurer. Et l’on peut se poser une question légitime, est ce que le courant politique qui a porté Trump survivra -t-il en 2018 ?
Il n’ y a que André Bercoff et Gilles-William Goldnadel qui partagent le même avis qui sont invités dans les mainstream médias
Le tweet de Trump dans lequel il se qualifie de “génie équilibré” me semble assez grave car il donne des arguments à l’establishment pour assurer qu’il est infantile et fou. Ce tweet montre un président imbu de sa propre personne, narcissique et “vantard”. Il aurait intérêt à ne pas répondre à tous les provocateurs qui le traînent dans la boue mais ce n’est pas dans son habitude et malheureusement ce genre de réponse ne peut que lui nuire.
Donald Trump a eu pleinement raison. Il ne peut ignorer sans cesse des attaques viles. Il n’a pas a se justifier. Ses paroles sont souvent provocatrices. Il sait que quoi qu’il dise il sera attaqué. Il a tenu a nouveau des propos provocateurs qui suscitent l’ironie. Il dirait que le ciel est bleu quand il fait beau, il serait attaque, même si ce qu’il dit est vrai. Il ne s’est pas contente de dire qu’il avait du genre: il a donne des éléments à l’appui, et ces éléments sont précis et établis. Ils effectivement crée une entreprise valant plusieurs milliards de dollars et l’a gérée pendant quarante ans. Il est effectivement devenu une star de la télévision et l’est reste pendant une décennie. Il a effectivement vaincu dix-sept politiciens roués et chevronnés pour devenir Président. Il était effectivement le seul républicain a pouvoir l’emporter. Il respecte effectivement son programme et a accompli en un an ce que nul ou presque n’imaginait qu’il pourrait accomplir.
Les américains ont bien de la chance d’avoir ce président tant sur le plan intérieur, que sur la politique étrangère.
Quant à nous, nous allons rouler à 8O, bientôt à reculons pendant que les autres avancent.
Pendant qu’elle sombre, la France donne des instructions au monde entier : “Comment faire pour ne pas sombrer”.
Mr Ansden
Absolument vrai.
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Chulem
Et pendant ce temps là , des personnes soit disant éduquées et vivant aux US disent que l’embellie économique actuelle n’est que le résultat visible maintenant de la politique d’Obama.
C’est quand même décourageant de voir que “l’embrigadement”, le “lavage de cerveau” soit aussi important pour que les données macro-économiques ne puissent pas être observées comme des faits, mais au travers d’un prisme déformant!
Guy Millière, un grand merci pour cet article. Il es évident que Trump devait être ce président nouveau pour les états unis. A quand un président tel que celui-ci pour la France, Allemagne, Italie et j’en passe ? Et même en suisse nous n’avons pas de conseillé de la trempe de Trump pour mettre la situation également délétère qu’elle est en train de prendre face a cette union eu déplorable. Encore merci monsieur Guy Millière
Oui, ce sont les faits, les actes du président Trump, indiscutables.
Et pourtant, nos médias français non seulement n’en parlent pas – ou ne font pas le lien entre eux et la politique voulue et menée par Trump – mais ils s’acharnent sur sa personne, s’efforçant de le tourner en ridicule.
Mais il est évident que derrière sa personne, c’est sa politique qui est visée, laquelle représente tout ce que les journalistes et autres libéraux-libertaires trop souvent présents dans les cercles décisionnels – économiques ou administratifs – détestent : la réussite par le travail, la réduction de la bureaucratie et des mesures d’inspiration communiste comme l’Obamacare, l’importance des Nations, l’ordre et la justice, la prééminence des valeurs judéo-chrétiennes sur l’islam, car ce sont elles qui fondent nos démocraties libérales et économiquement prospères, l’importance de la famille et du modèle familial traditionnel.
Et ces attaques ad hominem, qui frisent l’hystérie collective en France, fonctionnent ! La plupart des gens croient réellement que Donald Trump est un crétin dangereux ! Ils ignorent tout de son bilan, mais ils ont retenu cela. Il est vrai que les médiocres aiment se mettre en valeur en rabaissant les autres (tel le coq chantant à tue-tête, les pieds dans le fumier, sans doute).
C’est fou, c’est effrayant, mais c’est tristement vrai.
Merci pour votre excellent article M.Milliere, tout a fait d’accord avec vous.
D’autre part, nous connaissons tres bien la source de la resistance d’admettre que M. Trump est l’homme qui tournera una page tres important pour le monde.
Dand l’attente de votre livre je vous souhaite, M.Milliere, une annee riche en idees et creativite.
Merci infiniment
C’était Obama qui détester les noirs il a même rien dit quand des policiers Blancs et Noirs (racistes envers les noirs) on fait un carton à Ferguson sur des noirs bien sur Obami était heureux en tant que supra raciste la Raison il est Musulman :no: :no: :no: :no: :no: :no: :no: ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ :cyclops: :cyclops: :cyclops: :cyclops: :cyclops:
Je viens de lire a l’instant que banon s’ecuse aupres de Trump.
Vraies ou fausses news???
Exact…..Bannon dement certaines affirmations du bouquin, regrette sa réponse tardive, et assure son soutien inébranlable a Trump en le qualifiant “d’homme bon et de patriote”
Bannon essaie de se raccrocher aux branches. Ce sera très difficile pour lui, sans doute impossible.
D’accord avec le constat, neanmoins je dois dire qu’au point de vue ecomique ( economie, immobilier, chomage) aux USA, j’ai vu exactement la mème situation de 2004 a 2007……2007 quand tout s’est éffondré, quand tout les chantier se sont arrêté net, que les entreprises fermaient et que les vendeurs d’ automobiles vidaient leur enorme concession pendant le week end pour fermeture definitive…….je suis en Floride et quand je vois avec facilité les organismes accordent les credits, immobilier ou a la consommation, le nombre vertigineux des villas qui se montent, le nombre de voitures neuves qui sortent des concessions, les travaux d’infrastructures routières titanesque et les americains qui font chauffer leurs cartes de credit, cela me rappelle vaguement 2006……..
Les choses sont très différentes. En 2007, il n’y avait pas eu la reforme fiscale qui vient d’être votée. Il n’y avait pas la déréglementation qui a eu lieu au cours de l’année écoulée. La crise survenue en 2007-2008a été essentiellement due aux prêts subprime qui ont crée une bulle spéculative dans le secteur immobilier dont les effets secondaires ont été la mise sur le marche financier de produits toxiques. Il n’y a rien de tel aujourd’hui. La comparaison pertinente devrait être à faire avec les années Reagan, appelées par un commentateur de l’époque, Robert Bartley, les sept années grasses (The Seven Fat Years). Ce qui pourrait gripper la machine et provoquer une crise cette fois serait le retour des démocrates au pouvoir.
J’avais suivi presque tous les meeting électoraux de Trump et j’avais été subjugué par son programme et sa prestance. Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles et je me pinçais afin de me persuader que je ne rêvais pas. Je n’ai pas suivi le dépouillement des votes, me disant inconsciemment qu’il ne serait pas élu, que, encore une fois, une fois de plus, le mal l’emporterait sur le bien et qu’il était vain d’espérer plus avant. Le lendemain, quand j’ai appris son élection, j’étais sidéré. A partir du moment ou il prit la direction du pays, j’ai, de nouveau, cessé de regarder les sites US, de m’intéresser à ce que Trump faisait, ceci, sans doute, pour les mêmes raisons que précédemment. Je viens, depuis peu, voir sur Dreuz ce que Trump devient et je vois que vous dites qu’il est en train de réussir son pari, d’honorer ses promesses, de redresser le pays et j’espère que vous ne vous trompez pas : ce serait trop beau s’il réussissait complètement, la république socialiste qui est en France à nous persécuter et les petits maquereaux à sa solde en prendraient un sacré coup dans les gencives.
Trump ! sauveteur d’un monde dirigé par la mafia gauchiasse, il faut y croire !
Cet article de Mr Millière est une carte de voeux pleine d’optimisme. Merci !
j’aime Trump il fait ch..les cons!
Très juste, MDR.
Je pense par contre qu’il a tout faux concernant l’Iran et la Corée du Nord…. wait & see !
@Alice : Ben c’est carrément l’inverse de ce que vous dites, ……….
Pour preuve Donald TRUMP en montrant sa force et sa détermination sur la Corée du Nord, tout en se moquant de Kim Jong Un, est arrivé à ce qu’aucun autre Président Américain avait réussi à obtenir. La Corée du Nord vient de décider d’une ouverture et des pourparler avec la Corée du Sud. D’autre part, elle a décidé d’envoyer une très grande délégation aux J.O. de Séoul.
Concernant l’Iran, c’est encore Donald TRUMP qui vient de réussir à le déstabiliser. En imposant de nouvelles sanctions, tout en réveillant la protestation à l’intérieur du pays. Si ça continue comme cela, le régime des Mollah n’en n’a plus pour longtemps.
Alors que l’Europe était prête à leur livrer la bombe atomique.
Cher Guy, Si vous faites un livre, faites une souscription, et je ferai partie de vos soutiens. Vos interventions sont salvatrices. Ne lachez rien, et surtout ne nous lachez pas. On est déjà assez mal comme ça… !
ça c’est de la véritable géopolitique, Merci Monsieur Millière et je serais aussi de la souscription. Courage…
Qaund je lis un article defavorable a Trump dans les merdia francais , je sais que Trump a eu encore un succes a mettre a son actif.
Que Trump soit milliardaire, ce qui est un plus aux États Unis, compte tenu du poids
politique des tendances protestantes, ne gène personne. Tant mieux pour sa fortune.
Mais que le même Trump soit – comme beaucoup d’Américains – totalement incultes
quand il s’agit de comprendre le monde, cela pose un grand problème. Connaître, ne
serait-ce qu’un peu comment vivent, se nourrissent, travaillent, ont une famille.. des
pays comme l’Allemagne, l’Inde, la Chine, la France, le Maroc, la Turquie, le Brésil…
cela n’intéresse pas les politiciens américains.. Toujours le même slogan : America
first.
Vous devriez éviter les stéréotypes antiaméricains. Le peuple américain est en moyenne plus cultive que la plupart des peuples européens. Donald Trump en sait bien davantage sur le monde que la quasi-totalité des politiciens sur la planète. On ne gère pas une entreprise présente sur les cinq continents sans en savoir beaucoup sur le monde.
La modestie de Schmitt fait penser à ces annonces-type dans la presse romande : “Home cultiver cherche famme cultiver pour avançé dans la vit”.
Dès que le chef d’un état occidental – comme M. D. TRUMP, par exemple – déclare qu’il est pour le respect de l’ordre tant au plan national qu’international, les journalistes pratiquement de tout bord cassent du sucre sur lui. Nous l’avons déjà vu avec le gal De Gaulle qui, lors du conférence de presse s’est insurgé, clouant le bec à l’un d’eux, en répondant : “Les libertés publiques, c’est moi qui les aies rétablies dans le pays, pourquoi voulez-vous qu’à 67 ans je devienne dictateur !” N’a-t-il pas remis de l’ordre ? N’a-t-il pas redoré le blason de la France tant au plan national qu’international ? Et la Constitution qualifiée de “coup d’état permanent” par son principal adversaire, celui-ci ne l’a-t-il pas utilisée à son tour ? Et ses adeptes maintenant ne se recommandent-ils pas de ce général tant décrié aussi bien en 1958 qu’en mai 68 ? Ils ne faut pas avoir vécu ces années-là pour se permettre de traiter de crétin un Président qui aime et protège son pays !
Merci beaucoup Guy Millière , pour ce tour d’horizon. Je suis totalement d’accord avec vous.
A Jérusalem, à travers ce qu’en disent les journaux, une grande partie de la population, les partis Likoud et Bennett en particulier travaillent à l’unisson avec Trump et on sent un éclaircissement de la situation au Proche-Orient: suppression ou transformation de l’aide aux réfugiés palestiniens, la déclaration de Trump sur Jérusalem a suscité plus de transparence dans le discours de Abbas et chaque pays se sent obligé de se positionner; on voit qu’Abbas n’est plus modéré du tout, et on sent se produire une ligne de partage entre pays arabo-musulmans sunnites; La Jordanie ne se fait plus extrêmiste et tend à se rapprocher de la Turquie, contrairement à l’Egypte qui semble plus responsable de la paix conclue avec Israël. Ici; la population apparaît plus confiante en l’avenir et se met à espérer.
M. TRUMP, tant décrié : 1 – n’a-t-il pas remis à leur place certains chefs d’état du moyen orient en leur disant de faire face à leur responsabilité et prendre les mesures qui s’imposent contre des gens de la région s’en prennent aux citoyens américains s’ils veulent continuer à bénéficier du soutien des USA. 2 – N’a-t- il pas mis face à leur responsabilité les soutiens d’un dictateur qui menace les USA du feu nucléaire ! Celui-ci n’a-t-il pas cessé ses menaces, semblant sur le point d’être plus mesuré, pour ne pas risquer de perdre les aides que reçoit son pays fermé au Monde ! Si j’étais jeune, c’est aux USA que j’irais…
L’Europe risque de se rabougrir d’année en année pour se circonscrire au tandem Allemagne-France avec des satellites comme l’Italie, Royaume-Uni, Benelux (en fait les premiers du Marché Commun), mais les plus tard arrivés et même les Pays-Bas risquent de se désolidariser. Dans votre article, vous citez pas moins de 10 pays -sur 28,- qui sont déjà désolidarisés et Merkel est sur la touche. la France le sera.
En dehors du tandem rigide, complètement soumis aux directives de Bruxelles, les autres pays semblent sensibles à la démarche américaine, malgré leurs diverses réactions, et ont plus tendance à reconsidérer leurs positions (par exemple l’aide qu’ils fournissent aux Palestiniens, je pense au Danemark)
Merci pour cet article et bonne année 2018 Monsieur Millière.
A moins d’être fâché avec la réalité, il est indéniable que les résultats de Trump sont exceptionnels.
La machine à laver les cerveaux en Europe fonctionne à plein rendement en tout cas. Je ne cesse de croiser des gens éduqués qui passent leur temps à détester Trump mais sont incapables de donner une autre raison que “il est bête” et qui ne connaissent pas le commencement du début du moindre sujet. C’est consternant et désespérant.
Je lirai avec attention votre article sur Steve Bannon si vous en écrivez un.
Je n’ai pas suivi cette affaire et ai été quelque peu étonné par le peu que j’en ai lu.
J’espère que les élections de mi-mandat seront positives pour notre POTUS préféré.
Je me posais une (ou plusieurs) question sur l’Iran;
1- quelles sont les sanctions eco mises en place?
2- et surtout est ce que cela ne va pas affamer encore plus le people, sachant que les dirigeants sont tout au moins millionnaires?
Donc finalement, est ce une bonne idée?
3- qu’est ce qu’on attend de ces sanctions eco?
Merci Guy pour vos formidables articles, au plaisir de lire votre prochain livre.
Merci infiniment.
Les sanctions en place interdisent aux entreprises américaines tout lien avec l’Iran. Les entreprises européennes qui voudraient investir en Iran ne le font pas, car elles ont peur de représailles américaines a leur encontre. Le peuple iranien ne verrait pas sa vie devenir meilleure s’il n’y avait pas de sanctions: les millions de dollars dont le régime a bénéficié après l’accord de juillet 2015 sont allés vers l’effort d’armement, vers le financement du terrorisme islamique et vers les comptes en banque des dirigeants iraniens. Les sanctions évitent que davantage d’argent encore aille la ou l’argent va présentement. Elles freinent l’effort d’armement et le financement du terrorisme islamique.
Rocket man qui discute avec la Corée du sud ,voilà l’effet Trump n’en déplaise à tous les Cons…..Bravo Trump.!