La crise de la presse gagne en intensité – la preuve, la propagande médiatique contre les « fake news » ne suffit pas à convaincre les Français de ne lire que les médias du système, alors Emmanuel Macron veut les y contraindre de force avec une loi sur les « fake news » ouvertement dirigée contre les médias du web et les sites d’information russes (Sputnik et surtout RT) en France. Le Canard Enchaîné (3.01) met en lumière une autre facette de la crise : les grands journaux français sont payés par Facebook pour traquer les « fake news », vraies ou fausses… mais surtout pas les leurs !
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La collusion n’est pas une illusion, c’est un meurtre d’état
Depuis février dernier Facebook a en effet pris langue avec certains journaux, notamment Le Monde ou l’Express pour traquer les fake news. Le « pragmatisme » financier l’a emporté sur les considérations morales. D’autant que certaines proximités personnelles ont pu jouer – ainsi Julien Codorniou, vice-président de Facebook chargé des partenariats, est membre du conseil de surveillance du Monde, révèle le journal satirique. Et ce « grand ami de Xavier Niel », copropriétaire du quotidien de centre-gauche, « figure aussi depuis peu au conseil de surveillance de Mediawan, le fonds d’investissement cofondé fin 2015 par un certain Niel Xavier ».
Huit médias français ont signé un partenariat avec Facebook, expliquait le média spécialisé Next Impact le 26 avril dernier, à savoir l’Express, Libération, 20 Minutes, Le Monde, BFMTV et les agences d’État que sont l’AFP, France médias monde et France Télévisions. Mélange des genres garanti, d’autant que Facebook leur achète aussi (fort cher) des espaces publicitaires ou y diffuse des Facebook lives. Ce partenariat-ci passait par l’achat d’espaces publicitaires où Facebook mettait en avant son tutoriel pour repérer les fausses nouvelles, mais aussi la rémunération des médias pour le repérage des « fake news ».
Éric Mettout, directeur adjoint de la rédaction de L’Express, l’avouait à Next Impact du bout des lèvres : « au début, c’était totalement gratuit. Ils sont ensuite revenus vers nous en disant qu’ils allaient rémunérer notre travail ». En revanche les responsables de Facebook, BFMTV ou encore Libération ont préféré ne pas répondre aux questions de Next Impact – un manque de transparence bien étonnant si le but est présenté comme louable. En fait, la discrétion est compréhensible : c’est un délicat fumet de collusion qui plane au-dessus de toute cette histoire, dénoncé avec force par RT (Russia Today). De quoi rappeler une fois de plus le slogan des nationalistes irlandais (collusion is not an illusion, it’s a state murder).
Le Décodex du Monde mis à contribution
Le Décodex du Monde – financé par Google– a été mis à contribution pour passer à la moulinette les vraies et fausses informations sur Facebook. En s’érigeant juge et partie du journalisme, Le Monde a aussi laissé à la postérité un outil partial et partiel – ouvertement dirigé contre la concurrence sur le web et les médias qui véhiculent des idées différentes – qui s’est retourné contre ses inventeurs. À force, il est même devenu une sorte de boussole qui indique le sud : un site marqué en rouge par le Décodex est digne de confiance, car il participe à dynamiter un monopole de la presse du système si utile et si solide qu’il faut l’imposer par la force.
Quels sont les résultats après huit mois de travail ? Pas grand chose. Le Décodex a repéré 2865 infos bidon sur Facebook. Près de 1198 pages ont été épinglées et 147 fermées. Beaucoup de contenus n’ont été supprimés que le temps des élections présidentielles et législatives, principalement à la demande des structures d’État comme la plateforme gouvernementale PHAROS – comme l’a expliqué Facebook très récemment.
Cependant les « fermetures sont plus souvent liées à des contenus haineux ou racistes qu’à la chasse aux bobards », remarque le Canard. Quant à Facebook, il a constaté – comme les observateurs au moment de la réception du Décodex par le public – que « des études laissent penser qu’un vocabulaire (de mise en garde) trop fort ou certains visuels (comme une icône rouge) peuvent avoir des effets contre-productifs ». Fichus lecteurs, toujours prêts à lire ce qu’on leur interdit !
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Ces fake news de la presse du système qui échappent aux radars des médias partenaires de Facebook
Pourtant, il est des fake news qui ont échappé aux médias partenaires de Facebook. Notamment celles qui émanent des médias du système. Par exemple Le Monde lui-même a cité à tort l’acteur américain John Malkovich au moment des Swissleaks – il a été condamné en justice, ce dont l’AFP a fait part, tandis que le journal redresseur de fake news faisait profil bas. Les grands médias français (dont Le Monde, Libération, Le Figaro, Ouest-France, Le Point, i>Télé…) ont aussi affirmé en février dernier que Donald Trump avait inventé un attentat en Suède qui n’a jamais existé. Une affirmation totalement gratuite tirée d’une erreur (volontaire?) de traduction de ses propos.
Plus récemment, le JDD s’est illustré en faisant un gros buzz sur le sujet de Notre-Dame des Landes à partir de photos soi-disant « secrètes » de la ZAD qui ne l’étaient pas du tout. Au passage – quitte à faire les bêtises, autant les faire complètement, une de ces photos était prise sans autorisation de son auteur – ValK, alias Valérie Kerleau, photographe habituelle de l’extrême-gauche nantaise, et recoupée pour que sa signature n’apparaisse pas. Le JDD a dû s’excuser du bout des lèvres auprès de ses lecteurs, prétextant une « maladresse ». Pas de risque que cette « fake news » soit dénoncée avec perte et fracas dans Le Monde.
Pas plus que celle de France 2 le 13 décembre, dans le JT, qui affirme sans rire que « dans les états-majors, les militaires parlent de herses plantées de clous géants, de boules de pétanques hérissées de lames de rasoir », mais encore de « stocks d’engins incendiaires, de pièges dans les bois et même d’armes à feu ». Des affirmations gratuites, non sourcées, dont on cherche vainement les preuves sur le terrain – bref, des « fake news » de concours, sur le service public aux heures de grande écoute qui plus est. Vite, un coup de Décodex, une pastille rouge pour France 2 !
Mais à quoi bon aller sur le terrain et présenter des preuves s’il s’agit de jouer sur la peur du public et contraindre – dans une dernière et désespérée offensive – le gouvernement à faire un projet d’aéroport auquel plus personne ne croit ?
Source : Ojim.fr
Big Brothers de Orson wells version 2018 ….. ce qui me déplait est que Face Book appartient a un Juif qui lutte contre les Juifs
Bien dit mais il n’est pas le seul: Soros est encore plus maléfique et destructeur
George Orwell, pas Or(son) Well(s), @ michel boissonneault 😀
Cela dit, bien cordialement,
Pourquoi consacrer autant d’énergie à traquer la Fake News ?
TOUT est Fake News !
Il suffirait de rechercher les vraies News, il y en a si peu…
Le reste, toutes chaînes, radios, torchons etc, c’est 98% de Fake News.
Donald Trump a réussi un véritable coup de maître en dénonçant publiquement les diffuseurs de Fake News, les CNN, NYT et les autres.
Alors laissons la médiasphère s’empêtrer dans le merdier qu’elle a elle-même créé. Laissons-les tous s’engloutir et disparaître dans les sables mouvants qu’ils affectionnent tellement.
Face de Bouc est le visage du Baphomet.
Pas d’ça chez moi.
La question qui m’intéresse est est ce que les actions de Facebook sont légales. C’est un peu l’Etat dans l’Etat ici. Non?
top cet article
L ÉLECTION DE MACRON EST UNE FAKE NEWS AUSSI LA PREUVE!!!
Macron présidentielles 2017
Beau conte de fée
Emmanuel Macron n’est pas devenu Président par hasard…
Hier, nous avons tous pu prendre connaissance des sommes engagées par les différents candidats lors des dernières élections présidentielles.
On découvre ainsi qu’Emmanuel Macron a dépensé 16,7 millions d’euros pour sa campagne.
C’est même le candidat qui a dépensé le plus.
Curieusement, aucun journaliste soulèvera la question suivante: Comment un homme inconnu du grand public un an auparavant, jamais élu, a-t-il pu, en moins d’un an, créer un parti politique, l’animer et rassembler autant
d’argent en si peu de temps.
La réponse à cette question, la genèse de l’histoire, c’est, en quelques sorte, Parker Pointu, commentateur de ce blog qui nous l’explique…
Accrochez-vous, ça décoiffe…
” Macron est remarqué par Henri de Castries, président d’AXA mais aussi président du Groupe Bilderberg, aussi appelé conférence de Bilderberg ou Club Bilderberg, un rassemblement annuel de plus d’une centaine de membres essentiellement américains et européens, et dont la plupart sont des personnalités de la diplomatie, des affaires, de
la politique et des médias.
Ils voient en Macron l’opportunité d’infléchir la politique économique et industrielle française et de contrer les syndicats, pour aller sur une politique libérale à l’anglo-saxonne.
Cependant Macron ne parvient pas, à son poste de conseiller économique à l’Elysée, à faire fléchir Hollande et son gouvernement.
Lors de la réunion du Groupe Bildelberg à Copenhague du 29 mai au 1 er juin 2014, la réunion compte de nombreux banquiers notamment de la Deutsche Bank, Christine Lagarde, Benoit Coeuré, ancien de la BCE, et Macron.
De Castries et plusieurs banquiers se voient en présence de Macron.
Il est donc décidé de faire pression sur Manuel Valls pour que Mr Macron soit ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique dans le gouvernement Valls II en remplacement d’Arnaud Montebourg trop instable.
Jean-Pierre Jouyet est contacté et influence François Hollande.
Macron est donc nommé Ministre le 26 août 2014.
De Castries voit Valls et lui suggère de faire un geste vis-à-vis du patronat, de redorer son blason, qu’il en serait récompensé.
Le 27 août Valls participe à l’université d’été du MEDEF il a prononcé un discours salué par une longue « standing ovation ».
Les financiers ont réussi leur coup.
Leur prodige est à leurs bottes, il n’y a plus qu’à manipuler la marionnette.
Le patronat est satisfait mais le trouve encore trop timide dans ses réformes, ils le poussent à faire la loi « Macron 2 ».
Mais Valls s’y oppose et donne le projet de réforme à Myriam El Khomri.
Les financiers sont furieux contre Valls et décident sa perte, Valls les a trahi.
Cependant Macron réussi à inclure dans la loi : la réécriture du licenciement économique et le plafonnement des indemnités prud’homales.
Valls rétrograde Macron dans l’ordre protocolaire du gouvernement à l’occasion du remaniement réduit de février 2016.
Le 21 mars 2016 De Castries, Gattaz (MEDEF), Mario Draghi (BCE), John Cryan DB, des financiers et les patrons des groupes de presse, Bolloré, Drahi, Bergé se réunissent à Francfort, et décident d’épauler Macron pour la création d’un parti dévoué à leur cause.
Macron sera épaulé et financé pour créer un parti politique.
La manipulation est simple la presse écrite doit lui consacrer de nombreuses unes, notamment la presse féminine, et la presse destinée aux jeunes.
La télévision doit le présenter comme le gendre idéal.
Les patrons de presse créaient des groupes de travail uniquement dédiés à l’image et à la communication Macron.
Bolloré a eu cette réflexion : « Puisque la mode est aux couguars et aux MILF mettons sa couguar à la une, c’est tendance, les jeunes vont kiffer ! ».
Les financiers vont élaborer la création du parti.
Ils créent deux associations : l’« Association pour le renouvellement de la vie politique » et l’Association de financement du parti « Association pour le renouvellement de la vie politique » La deuxième sera financée par des
fonds privés De Castries et Gattaz invitent Mr Logerot le président de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques avec Mr Dargnat qui prendra la présidence de l’association de financement du parti, un ancien de BNP Paribas Asset Management.
La machine est en marche.
Le 6 avril 2016 le parti est créé.
L’argent des groupes financiers abonde, la campagne est lancée.
Fin avril 2016 Edouard Philippe maire du Havre est invité par De Castries et Bolloré, à Paris, ces derniers lui demandent de soutenir Macron puis ils invitent le futur premier ministre à la réunion Bidelberg qui se tient du 10
au 12 juin 2016 à Dresde.
Une réunion se tient avec Christine Lagarde, Baroso et d’autres financiers.
A l’issue se tient une autre réunion à Berlin où il est décidé de faire de Macron le Président de la France.
Sont présent des financiers, le directeur de la BCE, Drahi, Bolloré, Bergé et surprise : Mr Louvel Président du Conseil supérieur de la Magistrature.
Ils sont rejoints le temps d’un dîner par Madame Merkel.
Dans le même temps, il faut penser à décrédibiliser Hollande, un débat aura lieu le 14 avril 2016 sur France 2.
Les patrons de presse font pression sur Michel Field, patron de l’info du groupe France Télévision, pour que ce soit Léa Salamé, journaliste aux dents longues, multimillionnaire par son mariage et bobo moraliste qui anime le
débat.
Le 14 avril 2016 elle fait son effet et François Hollande ne sera pas épargné.
En novembre, les primaires de droite sont ouvertes, Fillon gagne.
Jugé trop frileux dans son programme par les financiers, ils décident de l’éliminer.
L’affaire Fillon est lancée, bien d’autres élus de droite et de gauche font travailler leur conjoints ou enfants, mais Fillon doit être éliminé.
Des rendez-vous sont pris par des informateurs dépêchés par les grands groupes de presse avec des journalistes du Canard Enchaîné et de Médiapart, journaux qui ont vu leurs subventions augmenter en 2017, comme par hasard.
Gaspard Ganzter, conseiller de Hollande mais aussi camarade de promo de Macron à l’ENA, rencontrera le directeur du Canard début janvier.
Déchaînement des médias sur Fillon, les journalistes bien obéissants et soi-disant indépendants se déchaînent.
Mais surtout ils prennent soin de ne pas dénoncer les autres politiques qui commettent les mêmes délits.
L’homme à abattre c’est Fillon.
De l’autre côté, ordre est donné d’axer sur le FN, sachant que lors d’une confrontation Macron Le Pen, Macron serait élu.
La Machine médiatique est en route, les magistrats sont dans la course; peu importe si cette campagne est nauséabonde, mais Macron doit sortir vainqueur coûte que coûte.
Lors d’une entrevue, entre Macron, Drahi, et Bolloré, Drahi dit à Macron : « Ne brusque pas les français, dis leur ce qu’ils veulent entendre, ce sont des veaux, ils veulent une idole, un homme providentiel, ils sont dans le délire présidentialiste.
Ils haïssent les gens qui réussissent et gagnent de l’argent, ils veulent que tu sentes le pauvre.
Sache les séduire et les endormir et nous aurons ce que nous voulons.
Beaucoup de gens (financiers et grands patrons) comptent sur toi, ne les déçois pas !
Sers toi des gens du spectacle, du show-biz, ces arrivistes incultes, qui se disent de gauche parce que cela fait bien, qui critiquent les financiers et l’argent, mais sont les premiers à faire de l’évasion fiscale, tu verras ils viendront te lécher les fesses par intérêts, ce sont les pires, je ne les aime pas !» Bolloré lui dit : « Le Français veut de l’information instantané, du scoop, il ne réfléchit pas, du foot, des émissions débiles,
du cul, de la bière et il est heureux, il faut leur servir ce qu’ils veulent ! »
Réunion le 11 avril 2017 avec De Castrie, Drahi, Jouyet, Sarre et d’autres personnages influents avant le 1er tour des élections, la ligne médiatique est organisée, la presse est dévouée à Macron, mais Mélanchon inquiète, ainsi que le manque de confiance des français envers les politiques.
Le 23 avril 2017 ils sont rassurés, Macron est en tête avec 24%.
Drahi félicite Macron et lui dit : «Tu es président les français n’auront jamais les couilles de voter Le Pen et les autres tordus vont venir te lécher les fesses et voteront pour toi ! ».
Cela se finit à la Rotonde… Macron savait qu’il était président.
Le 24 avril la bourse prend 7 points, les places financières sont aux anges !
Ces élections présidentielles furent qu’à un seul tour, magnifiquement orchestrées par, les médias, la finance et le CAC 40, les français n’y ont vu que du feu !
Le 7 mai 2017, Macron est élu et nos patrons de presse et autres vont mettre leur terrible plan « en marche ».
Le spectacle du Louvre fut un délire narcissique dont l’analyse révèle bien des intentions que je qualifierais de « déviantes » et bien éloignées des problèmes et attentes des Français.
Reste maintenant la dernière étape: les législatives.
Faire élire 50% à l’Assemblée Nationale de personnes qui n’ont jamais touché à la politique ou eu un mandat électoral.
Cette manœuvre est organisée depuis Paris dans le cadre d’un mystérieux processus de sélection afin d’achever d’affaiblir le pouvoir législatif, le cœur de la démocratie, en mettant en place une sorte d’aréopage de personnes
désignées qui seront à la botte du régime.
Là aussi, personne ne se posera la question du financement de toutes ces investitures.
« Il faut que tout change pour que rien ne change ».
Au second tour des législatives, Macron obtiendra une très nette majorité.
Le changement est devenu le deus ex machina de la politique.
Il a suffi de le promettre pour conquérir le pouvoir.
Le peuple, par ces élections, a perdu sa souveraineté; maintenant il élit la personne que les financiers et les patrons de presse ont choisie.
Heureusement, 16 millions de personnes se sont abstenues ou ont voté blanc, signe qu’il y a des français qui font encore preuve d’intelligence, et ne se laissent pas manipuler.
Mais le réveil va être brutal, les français vont bientôt pleurer, mais ils ont les politiques qu’ils méritent !
Parker Pointu
NB: Toutes les informations citées supra peuvent être vérifiées, ce ne sont pas des affabulations, ceux qui chercheront à savoir et qui ne se laisseront pas manipuler par les médias découvriront cette triste vérité.”
NB: le lecteur averti remarquera que la quasi totalité des acteurs principaux de cette histoire sortent du même moule: Science-Po, ENA
Bonsoir Maury,
“…Comment un homme inconnu du grand public un an auparavant, jamais élu, a-t-il pu, en moins d’un an, créer un parti politique, l’animer et rassembler autant
d’argent en si peu de temps?…” est la question de l’année!
J’avais partiellement reconstitué le topo, il ne me manquait que les noms :
Fillon n’aurait pas marché dans ces combines de roublards. La France à perdu sa démocratie entre Mitterand et Hollande.
“Ah! Ça ira, ça ira, ça ira, les aristocrates à la lanterne…”
Merci de donner des sources précises et qui soient des sources premières, Maury.
Parce que depuis plusieurs mois vous êtes rigoureusement le seul à propager ce texte sur le web… et JAMAIS en citant la moindre source. Donc on ne sait même pas d’où vous tirez ces informations. Tant que ce texte ne sera pas accompagné de sources (et de sources vérifiables) je le considérerai comme un fake, et je ne serai pas le seul à le considérer comme tel.
Une information de cette nature, qui cite des personnes et des organismes DOIT être accompagnée des sources réelles et vérifiables et premières (donc pas de seconde main) pour être prise au sérieux. Surtout quand en plus vous êtes le seul sur tout le web à la propager (il y a eu deux ou trois cas de personnes qui semblent être tombées dans le piège en citant VOTRE texte, donc inutile de les citer comme sources).
On attend de votre part quelque chose de sérieux, sourcé et vérifiable. Sinon ce texte n’est pas autre chose qu’un fake… et cette répétition une fois de temps en temps pour relancer la machine n’est alors pas autre chose qu’un troll.
Merci.
Merci, excellent article Gaïa – Effectivement, comme le soulignent les premiers commentaires, on pense inévitablement à “1984” où l’armée s’appelle le Ministère de la Paix : la chasse aux fake news se change en chasse aux informations authentiques et épargne le parti unique du pouvoir aux Face(Book) multiples. “Fèces”-book?
Heureusement que Dreuz est “américain”… même si son horloge situant nos commentaires dans le temps semble plutôt européenne.
Facebook paie les voyous journaux menteurs sponsorisés par les gouvernements pour traquer les fausses nouvelles ! Mais où allons-nous ?
Pendant ce temps-là, l’on “vaporise” l’histoire.