La Marche pour la Vie aura lieu le dimanche 21 Janvier 2018 à Paris.
Le rendez-vous est donné Porte Dauphine à 14 h 30.
Ce sera la 12e édition de ce rendez-vous annuel des défenseurs de la vie humaine.
La Marche pour la Vie rassemble sous le même sigle un collectif d’associations pour certaines engagées depuis plus de 20 ans dans la défense de la vie : la Fondation Jérôme Lejeune, Renaissance Catholique, Choisir La Vie, les Eveilleurs d’Espérance et les Survivants.
La Marche pour la Vie lance une nouvelle vidéo choc. Elle présente la situation de Lucie, un personnage fictif mais une situation malheureusement trop réelle.
L’avortement ou le choix irrémédiable : une thématique au cœur de la 12e Marche pour la Vie du 21 janvier 2018.
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La légalisation de l’avortement a introduit une nouvelle interrogation dans le cheminement psychologique des femmes enceintes.
Aux questions : quelle sera la vie de mon enfant ? Serai-je une bonne mère ? Comment sera-t-il ?, précède désormais l’unique interrogation qui efface toutes les autres pendant de longues semaines : est-ce que je vais le garder ?
Que les grossesses soient ou non désirées, garder son enfant devient un choix non évident. Car, en un sens, existe-t-il un « bon » moment pour l’arrivée d’un enfant ? La découverte d’une vie nouvelle en soi est toujours un choc émotionnel qui nous bouleverse et détruit notre ordre établi. L’inquiétude de l’avenir, la peur de n’être pas à la hauteur, la conscience de la fragilité du bébé… sont des sentiments qui se mêlent instinctivement à la joie quand l’enfant est attendu comme aux larmes devant le bébé non désiré. Les futures mamans d’aujourd’hui sont devenues des femmes placées automatiquement devant la perspective de l’IVG possible.
Lucie a longtemps hésité à avorter.
Lucie n’était pas sûre de vouloir poursuivre cette grossesse qui l’effrayait.
Aujourd’hui, en regardant son fils, Lucie songe, comme beaucoup, que la vie de Théo n’a tenu qu’à un fil. Cent fois avorté dans ses hésitations, elle ne sait pas elle-même quelle raison a finalement emporté le choix de le laisser vivre. Maintenant, Lucie contemple le bonheur qu’elle aurait pu perdre ; et se réveille souvent en sursaut, d’un rêve où, pour toujours, elle avorte. Cette culpabilité reste lancinante et elle ne parvient pas à se pardonner d’avoir ne serait-ce qu’envisagé l’avortement. Nombreuses sont les femmes qui réalisent plus tard combien le choix qui leur était proposé était vertigineux et aurait été irrémédiable.
Pourquoi proposer ce film ?
Pour montrer la situation de la maternité dans notre pays. Devenir maman aujourd’hui n’a plus rien d’une évidence. Aux femmes en détresse, à celles qui sont trop jeunes, trop seules, souffrantes ou prises par la panique, l’alternative vite proposée est un avortement, la suppression de leur enfant.Sommes-nous encore dans une société où l’on croit préférable d’être mère plutôt que d’avorter ? Au vu des faits, il est légitime d’en douter.Nous voulons proposer ce film pour dire que l’avortement n’est pas un libre choix. La possibilité de donner la mort n’est pas une liberté. L’avortement n’est pas un choix mais, pour beaucoup, une contrainte.
Face à la logique du projet qui conduit aux doutes, à l’angoisse et aux larmes, nous voulons proposer une logique de l’accueil. Parce que la vie qui naît ne nous appartient pas et que le bonheur qu’elle promet ne se calcule pas.
Nous voulons proposer ce film pour dire à toutes les femmes que, à travers les épreuves à venir, leur enfant sera leur plus grande joie. Nous voulons dire à celles qui ont vécu l’épreuve de l’avortement qu’elles ne sont pas seules.
Nous marcherons le dimanche 21 janvier au nom de toutes les femmes qui n’ont pas eu la chance de Lucie et qui ont été laissées dans le silence de cet acte manqué, de cette vie manquée.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Olivier Ruisseau pour Dreuz.info.
https://www.enmarchepourlavie.fr/
Si vous ne voulez pas d’enfants, utilisez tous les moyens physiques à votre portée, y compris l’abstention… (ni le stérilet, ni le coït interrompu…) mais ne vous infligez pas la responsabilité devant Dieu d’avoir interrompu une vie. ” Tu ne tueras point”.
L’invasion actuelle est-elle la rançon de l’IVG? Cela aurait coûté tellement moins cher à nos sociétés occidentales de glorifier la grossesse en déroulant un pont d’or aux femmes enceintes de nos pays plutôt que d’investir dans des cliniques mortifères… Un véritable génocide occidental!
“… Et pis toi, ma p’tite fille, tu changes de partenaire tout l’temps
Quand tu fais des conneries, tu t’en sauves en avortant
Mais y’a des matins, tu te réveilles en pleurant
Quand tu rêves la nuit d’une grande table entourée d’enfants…”
Groupe Mes aïeux : Dégénérations
Bravo 👏 à Dreuz de parler de la marche pour la vie.
Ca part d’un bon sentiment…
Mais les marches n’ont jamais rien fait avancer.
Quand on me demande de marcher pour une cause, même pour une juste cause, je ne marche pas. Parce que ça ne sert strictement à rien. Ce n’est pas en marchant même à plusieurs milliers de personnes qu’on progresse dans une cause. C’est en y travaillant.
Les marches ne font même pas connaître une cause. Elles ne touchent qu’à peine les gens des quartiers où elles se passent. Et ce n’est pas un entrefilet dans un journal ou par une chance exceptionnelle une relation de quelques secondes par le présentateur lors du JT du soir entre la poire et le fromage qui vont sensibiliser qui que ce soit dans la population.
Il faut être réaliste.
Même les grandes marches syndicales nationales n’ont jamais rien changé à quoi que ce soit lors des grèves pour ceci ou cela… ce qui fait l’efficacité de certaines grandes grèves nationales , ce sont les grèves elles-mêmes, pas les marches qui les illustrent dans la rue, quand bien même sous des caméras montrant des milliers de personnes. Ca ne fait parler que de la marche… mais pas du tout réfléchir à la cause de la marche. Ou tout juste le temps que ça dure lors du JT (pendant quelques secondes on se dit “Ah tiens, une marche pour ceci ou cela) et puis quand le journaliste passe au sujet suivant on a déjà complètement oublié la marche et son sujet et on n’y pensera plus du tout ni de la soirée ni de la vie.
Et les marches pour telle ou telle raison même autre que syndicale, c’est exactement la même chose : de l’énergie dépensée inutilement.
Avez-vous déjà vu une marche changer quelque chose ? Moi jamais.
Et pourtant je la défends, la vie humaine ! Je pense que beaucoup l’ont remarqué, d’ailleurs.
Je suis convaincu que ce que j’écris parfois sur Dreuz ou ailleurs depuis plusieurs décennies a bien plus d’impact sur des consciences que des marches. Sans compter des contributions actives à de nombreuses associations (développement d’écoles dans des pays du tiers-monde, parrainage de deux enfants handicapés de guerre, études pédologiques de terrain pour des creusements de puits dans plusieurs pays du Sahel dans les années 80, articles professionnels dans des revues de biologie pour sensibiliser des confrères, longue carrière à l’ORSTOM puis à l’IRD) au long de ma vie. Et je le fais depuis l’âge de 15 ans, et j’arrive bientôt à 60. Et avec certainement infiniment plus d’efficacité sur le long terme que des marches dans la rue.
Bien d’accord.
De plus ces marches ont une allure festive ( musique anglaise, chars, ballons), sourires, joie… contents de se retrouver d’années en années….
Cela est contre productif et doit bien faire rire le ministre de l’intérieur.
Il faut des milliers de personnes, vêtus de sombre et marchant dans un silence complet et des slogans percutants sur banderoles…Cela aurait une autre dimension et cela inspirerait une perplexité à l’Elysée…
Ce n’est pas interdit , la marche, pour les cerveaux embrumés, paraît que ça, aére , l’esprit.
Je soutiens à 100 pour cent. Les judéo-chrétiens ne doivent plus être les suivieurs d’une société qui fait toujours des choix de nnivellement par le bas . Ils doivnet devenir les leaders de ceux qui y résistent
Pas D’accord du tout!
La marche de 84 pour la sauvegarde de l’école libre à été suivi d’effet.
Le projet de loi liberticide à été retiré !