” Qu’on nous fiche la paix !
Cette manie de chercher à interpréter tout ce que dit Donald Trump de la façon la plus malveillante possible doit cesser.
Cela ne profite à personne.”
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit cet article d’Anthony Furey du Toronto Sun, paru le 12 janvier.
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C’était une chose de déformer ses paroles pendant la campagne présidentielle, comme beaucoup d’agents politiques et d’ennemis dans les médias l’ont fait si allègrement. Mais l’incident du «shithole» est différent.
Cette démonstration d’à quel point les ennemis de Trump ont perdu la boule arrive alors qu’il est question d’un débat très sérieux de politique publique.
Mardi (9 janvier), le président a rencontré des législateurs démocrates et républicains lors d’une réunion télévisée d’une heure afin de discuter d’un accord bi-partisan sur l’immigration.
Même si certains Républicains purs et durs ont été accablés par le fait que Trump semblait près d’accéder aux demandes des Démocrates qu’ils haïssent, la réunion a été généralement considérée comme un succès.
Et c’est la raison pour laquelle vous n’en avez pas beaucoup entendu parler : il s’agissait de l’un des nombreux exemples de Trump faisant exactement ce qu’un président doit faire.
Regardez cette réunion plénière si vous le pouvez. Il s’agit d’une rencontre ordinaire, comme il s’en produit quotidiennement en politique, plutôt ennuyeuse sans divertissement «trumpien».
Étant donné qu’elle n’apporte pas d’eau au moulin de ceux qui se délectent du récit perpétuel selon lequel le président est tellement inepte qu’il ne peut même pas lacer lui-même ses souliers, les médias ne l’ont mentionné que brièvement.
«La réunion a été un soulagement pour ses conseillers, une chance de redéfinir la présidence de Trump et de montrer qu’il est semblable à un président traditionnel», a écrit un analyste du New York Times. «Ses détracteurs (…) ont noté que la rencontre constituait un changement pour le mieux, d’un moment d’engagement constructif qui, espéraient-ils, en entraînerait d’autres».
Venant du Times, c’est un éloge de dimension épique.
Et nous ne pouvons pas simplement jouir de ce répit ?
Le battage médiatique incessant et hystérique des anti-Trumps ne doit jamais s’arrêter à en croire les tenants de la «Résistance» ou peu importe le nouveau nom dont ils s’affublent ces temps-ci.
La nouvelle selon laquelle Trump, lors d’une rencontre bi-partisane sur l’immigration, se serait référé à Haïti et à plusieurs autres pays comme étant des «pays de merde», arrivait juste au bon moment.
Nul besoin d’engager une discussion sérieuse au sujet des questions abordées par les législateurs. Nous pouvons revenir à l’obsession de la personne de Trump plutôt qu’à sa politique.
Tandis que les législateurs et ceux qui assistaient à la réunion ont confirmé des remarques allant dans ce sens, vendredi matin, Trump a tweeté quelque chose comme un démenti : «Je n’ai jamais rien dit de péjoratif sur les Haïtiens à part le fait qu’Haïti est, évidemment, un pays très pauvre qui a des problèmes».
Mais supposons qu’il ait vraiment utilisé des termes offensants. Où est le scandale ?
Est-il dans le fait qu’il a utilisé un langage impoli ?
Certes, il aurait pu choisir ses mots avec plus de doigté, mais les propos truculents de Trump ne sont pas nouveaux.
Trump est Trump et ne changera pas, alors arrêtons de feindre la surprise.
Ce n’est pas ce qui a de pire. D’après la brigade des fruits faciles à cueillir, les propos de Trump étaient racistes. «Le président des États-Unis est raciste», a déclaré Don Lemon, l’animateur de CNN, qui a choisi de commencer ainsi son émission le jeudi suivant.
Cette stupidité fait penser à une des fameuses citations du défunt Christopher Hitchens (NDT : un écrivain britannique qui a dénoncé «la machine à excuses» de la gauche) : «Il y a une tendance à gauche à penser que si quelqu’un, d’une manière ou d’une autre, est en désaccord avec la gauche, cela doit être pour la raison la plus mauvaise possible. Si vous avez trouvé le motif le plus vil imaginable, vous pouvez être sûr que c’est le bon».
Jetons un coup d’œil sur la façon dont on parle d’Haïti sur la scène internationale. Est-ce une nation développée ? Non.
La Banque mondiale la classe comme pays «en voie de développement».
Prenez cette expression, traduisez-la en vocabulaire de tous les jours et vous obtiendrez essentiellement ce que Trump a dit. Ce n’est pas particulièrement agréable, surtout pour ceux qui vivent en Haïti, mais ça correspond à la réalité.
La vie des gens ordinaires en Haïti est loin d’être idéale, c’est bien le moins que l’on puisse dire. Tant et si bien que le Canada, symbole lumineux du progressisme, vous conseille d’y penser deux fois avant d’y aller.
Le gouvernement fédéral met en garde les Canadiens dans ses «avis aux voyageurs» et conseille de «faire preuve d’une grande prudence» en Haïti «en raison du taux élevé de criminalité dans diverses régions du pays et des tensions politiques persistantes». Il vous conseille d’éviter les déplacements non essentiels. La région de Port-au-Prince est considérée comme étant «particulièrement instable et dangereuse».
Alors, est-ce que quelqu’un pense sérieusement que le gouvernement canadien présente les Haïtiens eux-mêmes comme étant instables et dangereux ? Bien sûr que non.
Il y avait une très bonne raison pour laquelle la crise à la frontière canadienne de l’année dernière a impliqué de nombreux Haïtiens qui tentaient d’entrer illégalement dans notre pays. Ils ne voulaient pas retourner en Haïti.
Bien sûr, nous avons des Haïtiens canadiens qui ont très bien réussi, notamment l’ex-gouverneure générale Michaelle Jean. Mais cela ne change rien au fait que les institutions et les infrastructures de ce pays sont en proie à des problèmes persistants.
Ceux qui ont fait une crise de nerfs à propos des remarques présumées de Trump pourraient faire plaisir à tout le monde, se retrousser les manches afin d’aider réellement le peuple haïtien ou au moins à faire en sorte de mieux comprendre leur situation, au lieu de se draper dans leur soi-disant vertu «anti-raciste».
En fait, s’ils faisaient des recherches, ils apprendraient que les vertueux gauchistes ont fait beaucoup de mal au pays.
Après le tremblement de terre de 2010 en Haïti, Raoul Peck, un documentariste haïtien qui a reçu une nomination aux Oscars en 2017, a présenté un film en 2013 intitulé Fatal Assistance. Comme le décrit le distributeur, «le film est une mise en accusation dévastatrice de l’idéalisme post-catastrophe de la communauté internationale».
Il n’y a aucune mention de Trump, bien sûr, mais on y trouve une critique de Bill Clinton et de sa fondation. «La frontière entre intrusion, soutien et aide est très mince», explique dans le film, Jean-Max Bellerive, ancien Premier ministre haïtien.
Il semble que le moment soit venu d’avoir une conversation d’adultes concernant ces questions importantes telles que l’immigration et l’aide internationale.
Dommage, que nous vivions une époque où de telles discussions ne sont plus possibles.
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TRUMP EST UN LIBERATEUR – SHEETHOLE EST UN CRI POUR LES OPPRIMES
Je lis ça et là même par les partisans que Trump a été peut être maladroit ou qu’il devrait être prudent. NON ! Ou alors on n’a pas compris ce qu’est Trump. Si on est d’accord pour dire que la propagande gauchiste des médias en Occident a pris une telle importance au point d’avoir modelé les cerveaux, on ne peut pas éviter la contre provoc pour réveiller. Mais ce qui est le plus positif c’est que sans doute les Haïtiens et autres sont dans leur for intérieur contents que l’homme le plus puissant du monde lance ce cri de “Sheethole”. Dans ces pays ils sont pauvres, mal soignés, ils sont tributaires de l’aide internationale (c’est vexant cela), sans abri souvent, mal nourris, il règne la violence des bandes, du trafic, des dirigeants (répression) et on en passe.
Alors il faut positiver “SheetHole”
A l’Elysée on a des dirigeants qui transforment la France en Sheethole: L’Elysée= Sheethole.
Au Ministère de l’Intérieur, on connait la situation dégradante de la Police, des gardiens de prison; c’est “SheetHole”.
La propagande stalinienne des médias français , c’st “Shetthole”, vous écoutez qq fois “On n’est pas couché” ?
Les migrants qui souffrent selon le chef d’Etat du Vatican , c’est “sheethole”
Avec toute cela vous ferez émerger la bonne civilisation.
J’ai oublié juste une remarque importante; seul ISRAEL ne peut être qualifiée de Sheethole dans le contexte régional du Moyen-Orient . Alors ? Pourquoi ?
En fait c’est SHITHOLE. J’ai essayé de comprendre comment était indexé Google. Voir si on peut tromper le moteur pour faire sortir directement un commentaire Dreuz et en quelle position.
Mission accomplie.
ce n’est pas “sheethole” mais “shithole”
Pour le texte qui suit j’ai été censuré quatre fois sur le site franceinfo.
à méditer : Quand on veut tuer son chien on l’accuse de la rage …
Celui qui dit la vérité doit être exécuté …
Donald Trump a raison il a répondu NON à trois questions :
1) y aurait-il des émigrés sans pays en guerre (ici étonnamment musulmans.
2) Y aurait-il des émigrés économiques sans pays où les dirigeants s’en foutent plein les poches et dont la fortune personnelle est égale à la dette extérieure de leur pays.
3) Y aurait-il des réfugiés politiques sans pays où le mode de gouvernance est la dictature et où le citoyen lambda est persécuté pour ses idées politiques ou religieuses.
Pays où il y a des dirigeants de merde comme nous en avons aussi chez nous.
Le “modérateur” m’a paru être un tantinet déficient intellectuel.
“Le « modérateur » m’a paru être un tantinet déficient intellectuel.”
Ou très orienté idéologiquement… ce qui est le cas de la (quasi) totalité des modérateurs sur les sites des médias mainstream. Vous avez le droit de vous exprimer, à condition que cela soit en accord avec leur idéologie. Mouarf !
C’est assez vrai, c’est pour cela que je ne suis plus sur Le Figaro parce que je disais sans doute des choses qui ne plaisaient pas aux suppôts du “politiquement correct” du coup il a perdu un client.
Voilà des propos sensés ; le problème, c’est que les propos sensés ne touchent pas les gauchistes, ils y sont inaccessibles. Les anti-Trump sont dans une démarche totalement irrationnelle, comme des gens en transe.
C’est fou, et c’est grave, car c’est ce genre de comportement qui entraîne les guerres, y compris les guerres civiles.
mon opinion est simple …. je connaît beaucoup de gens qui ont visiter la République Républicaine qui est attaché a Haiti ….. mais je connaît personne qui a visiter Haiti ….. bref tout les gens qui voyage vont visiter des pays bien et constructif …. Haiti est pas dans ce groupe et Trump veut simplement instaurer une politique de migrant basé sur la compétence comme le Canada au lieu de prendre toute les vidanges pour ne pas ressembler a l’Europe actuellement
trump est un menteur, un raciste, un misogyne, un fou, etc.
>
> Malraux, 1948, postface des “conquérants”
> les techniques discursives du stalinisme, c’est d’abord de déshonorer l’adversaire, rendre impossible la discussion, attaquer surtout sur le plan moral, il faut que l’adversaire soit un scélérat.
> le son unique de cette propagande c’est l’indignation, la fin qui justifie les moyens…
on y est, non?
les médias français ont fait la même chose avec mme thatcher, ronald reagan, que des gens anormaux qui disaient ce qu’il pensaient et faisaient ce qu’ils avaient dit!
Et oui! Ça existe des “pays de merde”. La liste est facile à établir. Il n’y a qu’à dénombrer les pays où l’ONU a envoyé des “missions de paix”! Haïti fait partie de la liste mais pas le pays voisin sur la même île. Trouvez l’erreur!
L’hystérie anti Trump est à son comble, la Télé va diffuser un “reportage” Trump est-il fou ? Ça me laisse sans voix.
Les Français, notamment les journalistes et politiques, qui s’indignent de ce propos (pas très élégant mais réaliste) de Donald Trump ont du pain sur la planche avec les insultes sorties de la bouche de jupiter. Mais curieusement, on lui pardonne tout, on excuse tout.
Trump aurait pu être plus diplomate mais sur le fond il a raison. Il n’y a qu’a voir l’Afrique où tous les pays sont indépendants depuis des lustres. Pays qui n’ont jamais été foutu d’avoir un développement minimum telle la corruption et grande. D’ici quelque temps, nous aussi serons un pays de merde, c’est dur à admettre mais ce sera ainsi.
Décidément la défaite de la très hilarante Hillary ne passe toujours pas.
L’aide humanitaire a pour principal contributeur la Corée du Nord: C’est une évidence.
Trump est quelqu’un de providentiel car il bouscule l’ordre établi par des années de “gauchitude”, cette idéologie mortifère et liberticide, communisme dilué , apparemment disparu pour se transformer en islamo gauchisme ce qui est encore plus dangereux car deux idéologies jumelles luttent contre nos libertés et nous imposent leur dictature; Macron étant un spécimen de ce n.o.m imposé !!
La meilleure preuve que Donald Trump est dans le vrai ,est qu’il génére contre lui tous les ennemis des peuples!!BENETH ARE THOU MISTER TRUMP!!!!!!!!!!
Et si Donald Trump était le Messie ? 😃😃😃😃
Il n’est pas le Messie, mais pour l’instant il est la main de Dieu , au moins un instrument !!
Je suis en train de regarder la 8 , tous les médias et psychiatres gauchistes qui le traitent de fous !!!! allez j’éteins cette télé de merde ( comme il dit ….)
Le Messie peut-il être non-juif ?
Non pas le Messie mais envoyé pour répandre un peu de sagesse …..
C’est curieux mais ce qu’a dit D. Trump, c’est ce qui se dit dans les bistrots. Le peuple soutient D. Trump. Mais cela est caché par les médias de la gauchoshère.
Je conteste ce mot “gauchosphère” je dirais “fachosphère de gauche”
Décembre 2001 : un peu plus de 3 mois après 9/11, S. E. Daniel Bernard, «les yeux et les oreilles du président Chirac en Grande-Bretagne», Ambassadeur de France en ce pays, explique aux invités d’un dîner organisé à Kensington par Lord Black, propriétaire du journal The Telegraph, et son épouse, qu’Israël « ce petit pays de m…e » est la cause de tous les problèmes de la planète, et en particulier de l’ombre de la Troisième Guerre mondiale qui se profile à l’horizon.
C’est l’hôtesse de la soirée, Barbara Amiel, journaliste au Telegraph, qui publia le lendemain les termes de l’insulte dont elle avait été témoin.
M. Bernard, pas le moins du monde repentant, se borna à affirmer qu’il n’avait jamais prononcé ces paroles, ou bien qu’il ne se rappelait pas exactement des propos qu’il avait tenu lors de la soirée, en se prétendant outré qu’on ose l’accuser d’être antisémite ou anti-Israël. Il accusa Barbara Amiel d’abus de confiance concernant des propos échangés lors d’une soirée privée.
Daniel Bernard n’a jamais présenté la moindre excuse concernant ce scandale – et pourquoi l’aurait-il fait ? La presse française tout entière s’était précipitée à sa défense, les demandes exigeant sa démission émanant de la communauté juive de Grande Bretagne, de l’Ambassade d’Israël et de plusieurs députés travaillistes furent ignorées, et le Quai d’Orsay eut même l’effronterie de prétendre qu’il s’agissait d’un lapsus dû à sa connaissance imparfaite de la langue anglaise!
Ce n’est que 9 mois plus tard que le gouvernement français finit par déplacer son Ambassadeur en Grande Bretagne, et pour l’affecter dans quel autre pays ? L’Algérie, comme par hasard. Deux ans plus tard, il était mort et sa carrière s’arrêtait net – heureusement pour la France.
Franchement, la presse française aujourd’hui ferait mieux d’y mettre une sourdine à propos du Président Trump. Elle s’est déjà irrémédiablement déshonorée depuis des décennies, d’accord, mais pourquoi est-elle tellement désireuse de se ridiculiser ?
Ma chère Atikva , la France est devenue la honte de l’occident !
Je pense que les dirigeants français et surtout la Quai d’horreur Say , n’est pas seulement anti-israéliens, mais carrément antijuif …..
Les juifs de France , ont beaucoup de soucis à se faire , car cela ne s’arrange pas !
Il semblerait que Trump n’a jamais tenu de tels propos :
http://capitolconservative.com/2018/01/15/sen-dick-durbin-just-revealed-lied-trump-saying-shole/
http://edition.cnn.com/2018/01/13/politics/trump-remark-reaction/index.html
“HAÏTI :
Un trou de merde par la splendeur merdique de ses dirigeants et de ses élites”
– Un président toxicomane inculpé, qui revendiquant la délinquance comme une vertu, qui déverse ses insultes sur les femmes et les journalistes à travers une femme journaliste qui a commis le crime de s’être opposée à lui, et qui nomme des juges corrompus
– Un sénateur trafiquant de drogue
– Des universitaires qui se prêtent à des jeux immondes en conseil de gouvernement, pour conserver leurs postes
– Scandales de corruption (PetroCaribe, etc.)
https://www.legrandsoir.info/un-cri-merdique-pour-dire-la-colere-venant-d-un-trou-a-rats.html
(Attention… c’est un site par ailleurs très Mélenchonique 🙁 )