De nombreuses spéculations puisées dans le corpus des Hadiths notamment d’Abu Huraira, compagnon de Mahomet, affirment que le Jésus musulman, ʿĪsā, combattra les juifs et les chrétiens, tuera les porcs, brisera la croix, détruira les synagogues et les églises.
Le retour d’ʿĪsā, dont la vie connaît actuellement une suspension, est annoncé comme Le signe d’une période de troubles divers et l’agent exterminateur. Cela tranche avec la «tendre prévenance» de Mahomet envers les icônes [1] de Jésus et Marie décorant la Ka’ba.
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Alors oui ou non, l’islam aurait-il dès son origine, sombré dans l’iconoclasme le plus rigoriste et pourquoi ʿĪsā est-il réquisitionné pour détruire les lieux de culte ? Face à cette contradiction, Henri Lammens cherchait et peinait à trouver des prémices de l’iconoclasme coranique, il déclarait, dubitatif : «Cet abondant et infatigable prédicateur [Mahomet] du plus rogue monothéisme se montre d’une sécheresse, d’une apathie déconcertante au sujet des idoles. C’est tout juste si le Coran condescend à les mentionner une dizaine de fois. Dans ces brèves mentions, pas la moindre allusion au paganisme arabe ; tout se réduit à des réminiscences de l’Ancien Testament, de l’histoire d’Abraham, un de ses modèles préférés». De plus, cette image d’Épinal d’une icône d’ʿĪsā, protégée de la purification artistique iconoclaste de Mahomet se confronte à celle d’un ʿĪsā en furie contre la Croix. [2]
ʿĪsā privé de toute mission salvatrice par la doctrine islamique et empêché de pénétrer à Jérusalem par le scellement de la Porte du Messie est cantonné dans l’imaginaire islamique à sa mission de saccage de la «Croix». Cependant, au vu de l’omniprésence de ce symbole durant soixante ans de règne califal de 630 à 685 sur les pièces de monnaie (Doc. C), cette rage subite ne peut se comprendre que comme un rejet progressif –et bien après la mort de Mahomet en 632– du symbole victorieux de l’Empire byzantin. Cette destruction du signe de la Victoire de Byzance ne peut se saisir qu’avec le choix de l’empereur byzantin Tibère II (v. 520/535 –582) de frapper ce signe sur les pièces en 582 puis le rapt de la Croix en 614 par les Perses.
Il faut savoir en outre, que l’image d’Edesse [3] a constamment été reconnue comme efficace contre les Perses au point que le calife Mu’awiya (602-680) la ramena de Constantinople à Edesse. De même la requête de l’empereur byzantin Justinien II (v. 668 -711) d’un tribut payable en pièces portant cette effigie fut violemment rejetée par le Calife Abd Al-Malik (646-705). Le signe cruciforme présent sur le palladium des armées byzantines aux côtés de la Vierge Nicopéïa (la Victorieuse) avec des fragments reliques de la Croix, avait été considéré à vertus guerrières. La Croix gage de la victoire est clairement présente dans les textes byzantins sur la guerre contre les Perses. Dans la liturgie byzantine, l’exaltation de la Croix fut intégrée vers 630 et cette épopée est avant tout le récit d’une victoire militaire.[4]
La croix est avant tout un signe de triomphe de l’Empire byzantin car elle assurait la victoire contre les ennemis de l’Empire. L’empereur byzantin Léon III le Syrien (717), l’iconoclaste nomme son fils Constantin V ou «nouveau Constantin». L’icône du Christ de Chalcé sur la façade de la porte principale de Bronze du Grand Palais à Constantinople fut détruite sur l’ordre de Léon III : «l’Empereur ne peut admettre une image du Christ sans voix, sans souffle… voilà pourquoi Léon et son fils le nouveau Constantin tracent sur la porte du palais le signe trois fois heureux de la croix, gloire des fidèles». Une consubstantialité entre l’icône et son modèle est admise dans la pensée de Léon III, il épouse une conception parfaitement mésopotamienne de l’image, conception propagée par les Arabes. Les califes vont entretenir une relation trouble vis-à-vis de l’image et de leur image propre : mimétisme des modèles byzantins initiaux, accommodations de ceux-ci, foisonnement des motifs puis rejet brutal (Doc. C).
La conception coranique de l’homme est liée à la régence de la terre : «Je vais établir sur la terre un vicaire.» Cette proclamation est celle qui est frappée sur les pièces de monnaie lors de la réforme mise en place par le calife omeyyade Abd Al-Malik (695). En pahlavi, langue persane qui est frappée sur les premières pièces des Califes, Yzd se rapporte au divin («’pst’n L yzd» signifie «Dépendant de Dieu») et c’est le nom du second calife omeyyade, Yazīd Ier. C’est une conception antithétique de celle de la Bible où l’homme est fait à l’image de Dieu ou dans Son ombre et n’est pas créé pour régenter. Dieu [’ělȏhȋm] dit [’ȃmar] : «Faisons [jȃśȃh] l’homme [» ȃdȃm] à notre image [ṣělěm]». Ce mot signifie «idole», «image» mais aussi «ombre».
Or la translittération arabe de la racine ṣělěm est ZLM qui est utilisée plus de trois cents fois dans le Coran avec le curieux sens des ténèbres, notamment morales, des perversités et des injustices à combattre. C’est donc ʿĪsā, le justicier eschatologique contre les ténèbres qui est désormais appelé à poser des actes d’une violence inouïe : à la fin des temps tuer le Faux-Messie, intercéder en vue de la mort de deux autres ennemis, les Juifs et les Chrétiens, massacrer les porcs, briser la Croix. Dans la tradition islamique son Royaume est bien de ce monde, il déploie le tapis rouge à son sosie, Mahomet et aux califes après lui. Il est le bras vengeur du Calife. Il perd pour le coup sa divinité inaccessible à son double.
Si durant soixante ans (entre 630 et 685), un foisonnement extraordinaire de motifs se déploie dans l’espace califal numismatique, l’émergence de nouvelles conceptions du rôle de l’homme, du pouvoir et de Dieu s’impose par de nouveaux modèles. Cette recherche iconique se nourrit et se heurte en outre, aux conceptions sur l’image en présence : la Grecque, la Mésopotamienne et la Judaïque. Dans ces conceptions il faut distinguer la sphère privée de la sphère sacrée. Si la sphère publique de la monnaie subit des réformes, la vie des lieutenants d’Allah, elle, est étalée sur les murs des Qsars de Jordanie il n’y a aucune restriction ni pudeur. Aucun Basileus n’aurait affiché ainsi sa vie privée (Doc. B). Aussi la représentation du domaine privé n’obéit pas au même code que la sphère cultuelle.
Le ʿĪsā islamique fabriqué a posteriori, saccageur des Arts, s’oppose au doux ʿĪsā du texte coranique qui fabrique des objets qu’il anime. L’image vivante est respectée, ainsi le Coran ne blâme pas Jésus qui a le pouvoir d’animer les images. Tandis que le ʿĪsā historique des Omeyyades est un personnage violent, justicier et vengeur mis au service de leurs conceptions califales. Il est le bras armé d’une théocratie absolue qui craint le pouvoir des images et celui de la Croix. A l’instar de tout musulman, ʿĪsā devient le soumis parfait et il ne vient que pour appliquer la volonté d’Allah (et des califes). Il est réquisitionné au jihad et détruit le signe de la Victoire aux vertus nicéphores, porteuses de victoires. Corollaire à cette soumission islamique, tout ce qui est fait est directement attribué à Allah, car l’affirmation d’une quelconque autonomie des causes secondes ferait injure à Son omnipotence. ʿĪsā est, et agi selon la stricte volonté d’Allah et surtout celle de Mahomet.
Cette unité de volonté Messie-Allah est conforme à l’hérésie monothélite (dogme qui confessa la pleine humanité du Christ en lui reconnaissant une volonté humaine subordonnée et distincte de sa volonté divine) édictée par l’empereur romain d’Orient Héraclius en 622. Mais se pose alors la question de la responsabilité de la violence de Dieu : si l’homme ne peut agir que sous la motion explicite d’Allah, cela signifie que l’auteur de la violence est initialement Allah lui-même. Un tel Dieu n’est tenu à aucune loi, aucune rationalité, aucune limite. Les violences perpétrées par ʿĪsā mettent dès lors directement en cause Dieu et l’homme.
Quand Mahomet rêve de ʿĪsā
En suspension dans l’au-delà, ʿĪsā ne quitte pas la scène islamique pour autant. Non seulement sa vie, sa suspension, sa fausse mort sont amplement décrites dans les hadiths truqués mais aussi sa vie céleste ! Dans un récit du voyage céleste prêté à Mahomet, ʿĪsā est là au Paradis. Un recueil de hadiths rapporte un rêve du prophète : «Aujourd’hui, je me suis vu en rêve près de la Ka’ba. J’y ai vu un homme pâle et brun, le plus beau de tous les hommes bruns qu’il se puisse voir. Il avait les cheveux les plus beaux qui retombaient derrière ses oreilles. [] et de l’eau en dégoulinait. Il accomplissait le tour de la Ka’ba. [] «C’est le Messie, fils de Marie». Soudain, je vis un homme aux cheveux bouclés, aveugle de l’œil droit qui ressemblait à un grain de raisin proéminent. [] «C’est le Daajjal» [5], «le Trompeur» ou «l’Imposteur», al-Masîh al-Daajjâl, le Faux Messie ou le Christ imposteur.
Le Dôme du Rocher, de vocation eschatologique, se focalise sur la définition d’ʿĪsā. Il n’évoque aucunement l’événement du survol fantastique de Mahomet au-dessus du mont du Temple. Ce n’est que plus tard que ce lieu (devenu Al-Aqsa) sera associé à la piste d’atterrissage d’Al Buraq, sa monture ailée à tête de femme et queue de paon (voir François Sweydan : Où sont les sites archéologiques arabes palestiniens ?) Qui plus est, le Dôme escamote totalement tout éloge du nouveau prédicateur. Le seul prophète qu’il se complaît à décrire est ʿĪsā, ibn Mariam. Logique, car dans le Coran c’est le seul intervenant au Jugement dernier, le seul à se battre violemment contre le Daajjal, le Faux Messie. Il était alors logique que le Dôme s’empare et célèbre ʿĪsā. Certes sa «parousie» est à peine affleurée par le Coran –juste à la sourate 43– mais c’est uniquement le fait des traductions forcées et faussées.
Quand Mahomet se substitue à ʿĪsā et à Jésus des Évangiles
La création d’une nouvelle communauté islamique, réceptacle de la Terre Sainte devait aboutir à la création d’un nouveau héros charismatique recevant une grande partie des attributs et cristallisant toutes les fonctions du Messie. Cette création a nécessité des glissements idéologiques et des falsifications textuelles dans le temps, celui des premiers califes omeyyades. Le hadith 5834 de Muslim (v. 821– 875 ; auteur perse de recueil d’hadiths) revendique la proximité inégalée du prédicateur Mahomet au fils de Marie. Mais Jésus devait être abaissé, dépouillé de sa Personne et de sa divinité, dissocié de Byzance et de son symbole de pouvoir. ʿĪsā fut mis en suspension, en pointillé et ainsi il devint l’ombre de Mahomet.
L’insistance même du Coran sur sa filiation à sa mère est déjà un rejet polémique de la croyance christique en sa divinité. Sa ‟nouvelle» fonction construite a posteriori de briseur de Croix et de dénonciateur des juifs est toute politique et trahit la peur de ce Signe. Le rejet progressif –bien après la mort de Mahomet– de ce symbole clef du pouvoir du Basileus est de surcroît intimement lié à la victoire byzantine sur les Perses. Lorsque ces derniers furent intégrés à l’Empire ce signe leur devint odieux. Il était impossible au nouvel Empire perse de reprendre les symboles byzantins qui les avaient anéantis. Des motifs persans, étoiles et lune et une conception théocratique du pouvoir de droit divin s’imposèrent ; le calife consubstantiel à Allah impose son image omnipotente et exige l’obéissance de tous ses sujets. La couronne de l’empereur sassanide d’Iran Chosroès II (règne de 590 à 628) fut suspendue au Dôme du Rocher et y est figurée (Doc. A), les signes perses arborés. Les pièces de monnaie sont devenues des proclamations omniprésentes des titres politiques et religieux absolus du calife.
En fait, l’iconoclasme islamique est l’ultime avatar, il absorbe goulûment la conception mésopotamienne «magique» des images sans âme et la mêle avec l’interdit mosaïque. Le personnage de ʿĪsā saccageur de Croix et exterminateur final des opposants juifs et chrétiens au Califat islamique est une pure création politique omeyyade. Le «ʿĪsā» historique est venu amplifier plus encore la tradition coranique primitive et il ne doit jamais être confondu avec Jésus des Évangiles [6], ni même rapproché d’aucune manière au Christ de la fin des temps.
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[1] Selon les hadiths, recensions des actes et des paroles attribués à Mahomet et ses compagnons.
[2] BUKKHĀRĪ Muḥammad b. Ismāʿīl, Le Ṣaḥīḥ d’al-Bukhāry. Les hadīth authentiques établis par le grand traditionniste l’ímam Abu Abdullah Muhammad ben Ismail Al-Bukhāry (m. 256. h), Beyrouth, Saida, al-Maktaba al –ʿaṣṣryyah, 2011, vol. 3, n° 2222.
[3] Image d’Edesse : relique consistant en une pièce de tissu rectangulaire sur laquelle l’image du Christ ou Sainte Face a été miraculeusement imprimée de son vivant.
[4] John HALTON, Money, Power and Politics in Early Islamic Syria: A Review of Current Debates. Ashgate Publishing, Ltd., 28 juin 2013.
[5] Imam MUSLIM, Sahih Muslim, Al-Hadith, 2013, vol. 1, n° 425 [169], p. 183.
[6] Abbé Alain Arbez, Essentiel : «pourquoi Issa n’est pas Jésus», par l’Abbé Arbez, publié dans Dreuz.info le 7 septembre 2017.
D’ailleurs les chrétiens arabes appellent Jésus-Christ Yassua ( prononcer Yassoua )
al massih.
Issa ne veut rien dire pour eux.
Yassua a la meme parenté linguistique que le nom araméen de Jésus: Yeshua
( ou de son nom hébraique: Yehoshua )
Oui cette déformation sur le nom montre ce désir de ce fabriquer un Jésus islamo-compatible.
Ce profil d’Allah violent est dans la logique du coran qui en fait l’auteur du bien comme du mal. Aucun libre-arbitre humain en face de cette omnipotence, uniquement de la soumission avec fatalisme. C’est ce que signifie “inch Allah”, que beaucoup répètent naïvement sans savoir qu’ils se font un auto-goal…
Petit Rappel :
Aucun manuscrit hébreux de Jean n’a put être retrouvé. Le codex vaticanus a donc introduit ces écrits à partir de sa transcription grecque. Ce « nombre » se lit « Ki ZI Zigma » soit 600+60+6. Le Symbole grec « ZI » est doté d’une barre étrange (d’origine non grecque) et le symbole « Zigma » est prolongé d’un point (d’origine non grecque) ; Il semble plus cohérent que ce soit un symbole et non un nombre grec (voir la représentation du nombre 666 dans le codex vaticanus) Notez aussi que le « nombre » 666 présent dans d’autres codex indépendants du codex vaticanus se lit également 616, 614 ou 646. Tout indique qu’il ne s’agit pas d’un nombre mais d’un symbole, un symbole d’allégeance à la bête. voilà pourquoi ce code n’a jamais put être déchiffré. Les 4 videos ci-dessus expliquent pourquoi l’interpretation et la traduction depuis le grecque est erronée. Imaginez un instant que le nombre [le symbole d’allégeance] de la bête soit clairement identifiable et interpretable dans une autre langue… le mystère serait tout de suite levée et les prophéties sur la fin des temps n’auraient plus lieu d’être… Dieu dans sa sagesse savait que ce symbole complexe occasionnerait des erreurs de traductions et de copies à travers le temps.
Jean a écrit sa vision apocalyptique sur l’ile de Patmos qui un siècle avant l’empire romain, était sous contrôle grec. Les traducteurs de l’époque en ont déduit que le symbole de la bête que Jean a vu et représenté était probablement d’origine grec. Il semble pourtant que le symbole originel ne soit pas grecque. En effet les symboles de differents codex vaticanus montrent plusieurs similitudes avec des symboles arabes. Le premier symbole représentent les 2 épées entrecroisées, emblème de l’Arabie Saoudite et du jihad islamique. Le second symbole signifie « Allah », enfin le dernier signifierait « Bismi » (au nom de). Ces trois symboles lus en langue arabe, de la droite vers la gauche, se lisent [jihad] [Bismi] [Allah] soit [Guerre au nom d’Allah] ;
Compte tenu des études précédentes sur la bête [lire chapitre 1] ainsi que des multiples traductions incluant des erreurs d’interpretations depuis le grec antique, les derniers versets du livre Apocalypse 13 pourraient signifier ceci :
Apocalypse 13:18 Et la bête [l’empire islamique] fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque [physique] sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre [effondrement de la finance mondiale via la finance islamique], sans avoir la marque [ en grec « chargama », symbole visible de servitude (ex : brassard nazi) ], le nom de la bête [Déclinaison islamique], ou le nombre de son nom. [sans appartenir à la multitude lui prêtant allégeance] c’est un nombre d’homme [une multitude d’homme], et son nombre [les serviteurs qui preteront allégeance à la bête] est six cent soixante-six [soutiendront l’armageddon au nom de satan].
A titre informatif, le Jihad islamique n’est pas une simple vengeance politique, c’est un ordre explicitement inscrit dans le coran pour faire avancer la cause de l’islam dans le monde ; tout musulman voulant s’assurer une place au paradis d’Allah à l’obligation de faire la guerre sainte, particulièrement quand viendra l’heure du combat final (Lire Sourate 4:74, 8:17, 9:29-39, …) ; l’interpretation du symbole d’allégeance à la bête [bismi allah] est donc tout est fait probable compte tenu du fait que la bête de l’apocalypse est lié au ressurgissement d’un califat réunissant de nouveau les pays musulmans sous l’étendard du noir du jihad [voir Chapitre 1]. Notez aussi que le mot Armageddon vient de l’hébreux Har Méguidon, c’est une vallée existant en Israel, vallee ou se reunieront des nations pour detruire Israel; aujourd’hui quelles nations et religion vouent une telle haine envers Israel ?
Cette expression arabe est souvent présent sur le front des groupes jihadistes tels que Hamas, Fatah, Hezbollah ainsi que leurs sympatisants. On retrouve l’expression « bismi allah » dans la bouche de tous musulmans pratiquants. Par ailleurs il est intéressant de remarquer cette surprenante traduction : « Lucifer », se traduit par « hilal » en hébreux et « hilal » veut dire « croissant de lune » en arabe, le symbole de l’islam. Compte tenu des nombreux versets du coran et des hadiths sunites appelant à la violence , à la destruction des juifs, des chrétiens, des polythéistes et des apostats de l’islam, « Allah » n’est rien d’autre qu’une entitée destructrice qui émane d’un esprit possédé, celui de Mahomet. Si vous regardez la caligraphie arabique du mot Allah, elle ressemble etrangement a celle d’un serpent, le pseudonyme de lucifer.
Les militants du hamas, hezbollah, fatah et tous leurs militants dans le monde portent sur leur front des bandeaux sur lesquelles sont écrits des noms blasphématoires.
L’islam est une releigion antichrist et destructrice :
Je suis désolé mon Père, j’ai du mal à vous suivre et comprendre tellement votre réponse est courte et mériterait des développements du prêtre et de l’intellectuel éclairé que vous êtes !
Pour le Catholique pratiquant que je suis, Dieu est amour!
Il est Tout! Il ne demande à l’homme que de vouloir l’aimer comme il nous aime, sauf que nous, pauvres mortels sommes incapables de l’aimer avec un tel feu!
Jésus est son fils donné à l’humanité pour lui délivrer son message d’amour, son pardon et lui apporter la paix et l’espoir!
Jésus par Marie nous donne une proximité humaine qui va vers le Tres Haut!
Pour moi, Jésus est parfait, il nous donne l’amour!
Isa lui est l’antéchrist, cette saloperie qui est l’envers de notre Seigneur Roy Jésus, Tout les opposent !
Merci de votre réponse éclairée mon Père, si vous en avez le temps!
Que Dieu vous bénisse et bonne et merveilleuse année à vous et tous nos amis de Dreuz qui nous lisent!
Avec tout mon respect et mon amitié,
RODRIGUE
Bien sûr je ne parlais pas d’Allah la charogne du Coran mais de la confusion entre Isa et Jésus!
Le déterminisme absolu. L’inexistence du temps sauf pour l’heure des prières, l’inexistence du choix individuel, l’inexistence de la responsabilité de chacun dans ses actes. Tout est écrit d’avance (mektoub), et l’homme n’est qu’un exécutant sans aucune cervelle, sans aucun libre-arbitre, il n’est qu’un corps, une machine vivante et la seule pensée existante dans sa tête est nécessairement produite par Allah. Comme dit le verset “Ce que tu fais, c’est Allah qui le fait”.
Le musulman n’est donc capable de rien créer, puisque tout est censé préexister. Il ne peut pas non plus “décider” de changer quoi que ce soit puisque c’est Allah qui a décidé que tout ce qui est soit ainsi. Le musulman n’a pas d’autre rôle dans l’univers que celui d’agir de façon mécanique selon ce que lui dicte la voix dans sa tête et les mots du Coran (qui signifie tout bonnement “récitation”) qu’il a répétés depuis sa naissance, qu’il répète encore aujourd’hui, et qu’il répétera jusqu’à sa mort.
On y retrouve le même hiatus qui existe entre le monde réel et celui qui est imagé dans la tête d’un schizophrène.
Le Isa du Coran est l’antithèse du Jésus de la Bible. Tout comme le Allah du Coran est l’antithèse de l’Adonaï de la Bible. Mais pour mieux tromper le naïf il faut absolument faire passer Allah pour Adonaï, Isa pour Jésus, le mal pour le bien, le déterminisme pour le libre-arbitre, les ténèbres pour la lumière.
Allah n’est autre que la pire des créations du sheitan, Satan, l’ange déchu, le démon tombé du ciel, l’éternel tentateur, condamné à passer l’éternité dans l’enfer. Pas étonnant que ce sheitan soit le chef des djinns… les esprits maléfiques du désert le plus brûlant d’Arabie, eux-même tentateurs et qui passent leur temps à tromper les caravaniers dans le tempêtes de sables, les conduisant irrémédiablement à la mort. Allah, plus grosse création du sheitan, est le plus grand mensonger de l’histoire, le pire des djinns, celui qui se fait passer pour Adonaï et veut bien évidemment prendre sa place. Plus le mensonge est gros plus il passe. La preuve… ça dure déjà depuis 1400 ans.
@ AlbertGam, j’accroche a vos pensées
Cher Monsieur je vous suis et la société actuelle est là avec nos politiques pour le démontrer, remplacer le vrai par du faux, l’original par la copie, un peuple par un autre, une culture par une autre, une religion par une autre, la vérité par le mensonge, au final, Tout est relatif et peut se remplacer, un homme par une femme, une femme par un homme, demain un homme par un robot et demain, plus rien car Tout cela est l’œuvre de Satan qui veut se faire passer pour Dieu mais n’est pas Dieu!
oui AlbertGam la conception du temps est totalement différente. Le temps coranique est cyclique pour dire que Isa est comme les autres et le temps islamique est linéaire pour pouvoir accueillir Mahomet et le combat eschatologique. Ces deux conceptions donnent un chaos incroyable!
M. A . Gam, ce diagnostic est aussi celui de quelques islamologues , mais absolument pas celui des décideurs de notre avenir , qui se joue à Bruxelles et à Strasbourg à l’ initiative des dirigeants de U.E. dont il me semble inutile de rappeler les noms.
À ce jour , rien n’à changer au comportement primitif de ces gens, assoiffés de posséder par n’importe quel moyen , ce que l’autre possède, pour la simple raison qu’ils sont incapables de penser, de créer, de donner, de partager, de soulager, si ce n’est le devoir de la Spoliation tout Azimut
au détriment , de la bonté, le soutien, le partage, l’assistance, à tous ceux qui ont en besoins, et D…..seul sait , s’il y en a sur cette Terre Meurtrie par leurs fautes
Donc rien n’à changé , si ce n’est la Soumission Totale, contre les Petros Dollars,
L’être Humain est devenu VIL jusqu’à réfuter ses Racines.
Le “Isa” du Coran n’a rien à voir avec Jésus dans l’Évangile et il faudrait faire cesser cette comparaison mensongère. Jésus, le Fils de Dieu, né de la Vierge Marie, est bien mort sur la croix pour le rachat de l’humanité, est ressuscité, est remonté au ciel et trône auprès du Père jusqu’à son retour annoncé.
Pas le Mahomet , mais ou il est mort ??????????????????????????
Dans une grotte ou le désert ou les rapaces on du dévorer son corps, bref pas un saint homme
Oui Gigobleu il faut faire cesser ces confusions mentales qui ne convertissent aucun musulman mais trompent beaucoup de chrétiens.
Il y en a un peu marre d’entendre que cet ectoplasme au comportement bizarre puisse seulement être comparé à Jésus.
Issa n’est pas Jésus comme le plomb radioactif n’est pas de l’or 24 carats.
oui parfaitement juste il suffit de regarder la série débile du centre zarah “Jésus”
c’est tellement pitoyable, un Isa roux et mal dégrossi qui n’a rien à dire sauf
non je ne suis pas le messie mais Mahomet l’est, les soldats romains en compagnie du sanhedrin tombent en extase et se convertissent à l’islam
https://www.youtube.com/watch?v=4ckHf0DiqTc
A Lire
http://prophetie-biblique.com/forum-religion/propheties-fin-des-temps/islam-marque-diable-666-t1416.html
Désolé mais Issa le faux Jésus du Coran n’est pas Yeshoua le vrai Jésus de la Bible d’ailleurs dans le Coran il n’y a aucun enseignement de Jésus aucune de ses paraboles et aucun de ses messages d’amour
Mohamed est un faux prophète un imposteur et le dieu du Coran et le Dieu du Coran disent des choses contraire donc l’un des deux est forcément un imposteur qui veut prendre la place du vrai Dieu
Un seul être dans ce monde veut prendre la place de Dieu être semblable à lui et être adoré et c même pour sa qu’il a été chassé du paradis
Mais là il reste peut de temps à ce faux dieu avant qu’il aille brûler en enfer vous savez bien de qui je parles non ?
Comment peut on inciter autant de haine de nos jours et surtout par le biais des religions ,heureusement le dénouement est proche et nous délivrera de ce monde animal créé par nos gouvernements corrompus et indigne de se présenter comme être humain, décidément, notre divin a totalement raison quand il nous a transmis par les écritures qu’ils ” nous ” ne sommes pas capables de diriger nos pas sans son aide divine .
Bien triste réalité.
Bien écrit gigobleu,
c’est même plus radical que cela, Jésus et le Père ne faisant qu’un et de plus parfaitement observateur de la Loi de Elohim qui n’a jamais été réformée pour Israël hors mis le fait que Jésus autorise Pierre à manger des viandes impures en sanctifiant ces dernières, alors que d’habitude ces viandes sont mauvaises.
Hors le coran s’oppose grandement à la Torah qui est dans le Coeur de Yhvh et bien évidement de Jésus aussi qui était en accord avec ce texte sacré de son Père qui dit;
Exemple un des 9 commandements de Exode 20 où Elohim rappel ceci;
“16Les enfants d’Israël observeront le sabbat, en le célébrant, eux et leurs descendants, comme une alliance perpétuelle. 17Ce sera entre moi et les enfants d’Israël un signe qui devra durer à perpétuité; car en six jours l’Eternel a fait les cieux et la terre, et le septième jour il a cessé son oeuvre et il s’est reposé.” Exode 31/16.
Le Shabbat a toujours été dans la Bible un jour sacré pour tous les saints, il n’est pas fait mention nul part d’un dominus déus, (dimanche) si ce n’est que par une ignorance concernant le décalage entre le calendrier que Jésus observé et qui était le vrais calendrier solaire révélé à Enoch et confirmé par Moïse dans le livre du Jubilée retiré du canon officiel de la Bible par Rome mais aussi l’Orthodoxie Juive qui elle observe un calendrier lunaire issu de Babylone suite à la déportation.
Dans la Bible, les mois tel que Elohim les a donné à Israël ne portent pas de nom de divinité Babylonienne, mais simplement un numéro, 1er, 2éme, 3éme, etc…
Dans la Torah Le premier mois de l’année a lieu au solstice du printemps, il est appelé aussi “le printemps “aviv”, ou aussi mois de Nissan, le mois de l’Orge.
Le calendrier lunaire suivit par certain Juifs aujourd’hui est un calendrier qui a été changé et transformé au fil de l’histoire.
Des érudits ayant étudié l’histoire du calendrier hébraïque s’accordent à penser (sur base du Talmud lui-même et d’autres sources rabbiniques) qu’en pratique, l’évolution du calendrier jusqu’à sa forme présente fut un processus graduel étalé sur plusieurs siècles, du Ier siècle au 8e siècle, sinon au 9e siècle après EC.
Nous savons aussi pertinemment que le calendrier lunaire est le calendrier qui vient de babylone et que des Juifs revenus de babylone ont par la suite institués ce calendrier au détriment de celui prescrit par Elohim à Moïse pour son peuple. Le terme “Hodeshim” signifiant en hébreu “tête du mois” fut malencontreusement traduit “nouvelle lune” dans bien des Bibles françaises. La bible utilise un calendrier rigoureusement précis et simple à utiliser permettant de parfaitement être en accord avec le calendrier céleste et ainsi de n’avoir jamais un des 14 moadim rendez vous qui ont lieu sur les 52 semaines de l’année qui dure 364 jours exactement, le décalage étant rattrapé à chaque nouveau solstice permettait ainsi de toujours commencer l’année un mercredi = 4 éme jour soit le jour où Elohim plaça le soleil et la lune pour marquer les mois, les années et les saisons.
C’est choses sont aujourd’hui oublié, mais les manuscrits de Qumran réveil et révèle des mystères oubliés, ils permettent de boucher des trous de l’histoire et surtout le regroupement avec la Septante traduite en Grec par des Lévites 3 siècles avant EC à une époque où le pharisaïsme n’existait pas, ces Lévites ne connaissaient pas Jésus, ils ne pouvaient être contre Lui, il est fort intéressant de comparer la traduction de la Septante avec Qumran écrit vers la même époque, et la Massorète orthodoxe datant de l’an 940 utilisée en grand nombre.
Pour preuve, tous les noms du calendrier Juif aujourd’hui proviennent des noms des mois babyloniens qui sont liés à des divinités de babylone.
Le calendrier babylonien était un calendrier lunaire avec des années constituées de 12 mois lunaires, chacun commençant lorsqu’une nouvelle lune croissante était pour la première fois visible bas sur l’horizon Ouest au coucher du Soleil. Selon nécessité, l’émission d’un décret les augmentait par l’insertion d’un mois intercalaire.
Voici ci-dessous les noms des mois comparés entre le calendrier Juif actuel et le calendrier babylonien :
1- Nisan – Nissanou
2- Iyyar – Ayarou
3- Sivan – Simanou
4- Tammouz – Tammouzu
5- Ab – Abbou
6- Elloul – Eloulou
7- Tishri – Tasritou
8- Heshvan – Arahsamna
9- Kislev – Kislimou
10- Tébeth – Tebetou
11- Shebath – Sabatou
12- Adar – Addarou
les noms de ces mois sont bien sûr totalement absents du calendrier de YHWH donné dans la Torah à Moïse. Nous avons dans la Torah le mois d’Aviv pour le premier mois puis les autres mois se nomment simplement comme les jours hébraïques, mois 1, mois 2, mois 3, ect…
En tant que laïque je constate que dans les Livres Bibliques concernant l’après exil de Juda à babylone, ces Livres vont s’exprimer dans le langage que les nouvelles générations du peuple qui n’avaient pas connu le calendrier de YHWH donné au Mont Sinaï, peuvent comprendre en disant par exemple comme ci-dessous :
Zacharie 7:1
La quatrième année du roi Darius, la parole de YHWH fut adressée à Zacharie, le quatrième jour du neuvième mois, qui est le mois de Kisleu.
en effet, comprendre que cela revient à dire par exemple aujourd’hui aux profanes que le premier mois est le mois de mars ou que le neuvième mois est le mois de novembre. Il faut bien traduire car les gens sont tellement imprégnés du calendrier étranger grégorien qu’ils ne peuvent se situer que par comparaison. Il en était de même après l’exil de Juda d’où ces précisions dans ces Livres post exil de Juda.
La réforme protestante ne réformera pas complétement vers un retour à la Bible, elle conservera des coutumes romaines encore aujourd’hui avec le Dimanche et d’autres étrangetés qui ne sont pas mentionnées dans la Bible.
Vivre comme Jésus en observant le Torah n’est pas recommandable en bien des lieux, et cela n’est pas du tout compatible avec le coran qui nie totalement la mort et la résurrection de Jésus, c’est à dire un violent enseignement anti-Messie, anti-vie, vraiment le contraire de Elohim.
Lorsqu’une personne me dit “inch allah”, je lui répond “inch Ha Chem”, car Ha Shem est l’ennemie qui a vaincu allah.
Aujourd’hui beaucoup de français répètent bêtement “inch allah” sans savoir que c’est le diable, je leur dit; “inch ha Shem” Ha Shem c’est la Parole de Vie, le Nom sacré de Celui qui c’est révélé à Moïse qui n’est évidement pas alla.
Lorsqu’une branche de l’olivier sauvage est entée au milieu des branches de l’olivier franc par sa foi, accepte t elle de vivre comme l’assemblée d’Israël en respectant la Sainte Torah?
Ou doit-elle continuer de vivre comme les étrangers aux alliances saintes d’Israël avec Elohim et respecter les coutume du monde étranger tel une idolâtre?
J’expérimente la grâce de Yeshoua comme des vitamines bienfaisantes pour ma santé, il est difficile de vivre au milieu des étrangers de l’alliance d’Israël avec Elohim son vrai calendrier et tout ce que la Bible enseigne de faire pour vivre heureux et sainement au milieu d’une génération en décadence journalière.
@ Argile. Merci Argile pour ces explications. J’ai l’impression que tu es transformé entre les mains du potier? … En tout cas, cela fait toujours plaisir de croiser des gens qui réfléchissent à l’essentiel. Et de voir aussi le chemin de Dieu dans le cœur de ses créatures. C’est au travers du protestantisme que j’ai été amené à la foi. Mais je partage pleinement ton avis aussi. Le protestantisme n’est pas retourné complètement à la Bible et véhicule aussi bien des erreurs. Généralement plus subtiles et moins grossières que celles que l’on peut observer au sein du catholicisme. Mais elles n’en sont pas moins dangereuses. Bon, j’arrête ici au risque de me faire gronder … Bien cordialement,
@Argile
Merci pour cette mise au point , se référant au Tanakh.
Cela fait plaisir de voir encore des Érudits,.
Bonnes études.
Cordialement
L’image d’Edesse, selon certaines interprétations, serait le Suaire de Turin. Caché par Taddéi à Edesse, il était plié de telle sorte que seule la face du Christ était visible.
Oui Photini Mitrou, j’ai lu cette piste. Le plus remarquable est cette reconstruction d’église à Edesse par Mu’awiya, l’image non faite de main d’homme d’Edesse devait impressionner fortement les esprits, les byzantins l’utilisaient pour vaincre les Perses.
Satan , ce grand singe …
Lisez plutôt ceci :
http://saintebible.com/luke/17-23.htm