Encore une info que seule la “fâcheuse sphère” aura la liberté de diffuser. Selon le quotidien israélien de gauche Ma’ariv, l’ancien secrétaire d’État John Kerry a dit à Abbas de “jouer le temps”, et “de ne pas céder aux exigences de l’adversaire” en parlant du président Trump, “parce qu’il ne sera pas en fonction encore longtemps”…
John Kerry a récemment rencontré à Londres Hussein Agha, un proche associé du “président” (il n’a plus cette fonction depuis 10 ans) de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, et lui a dit que le président Donald Trump serait démis de ses fonctions “d’ici un an”.
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La réunion, qui aurait immédiatement été dénoncée comme une haute trahison et aurait fait le tour du monde des médias si elle avait visé un président démocrate– alors que là, la presse mondiale s’empressera de ne pas en parler– s’est tenue pendant que le vice-président Mike Pence était en visite au Moyen-Orient.
Ma’ariv, qui est un média de gauche et pourra difficilement être accusé de servir l’extrême droite sioniste israélienne, a révélé que M. Kerry a demandé à M. Agha de transmettre un message à M. Abbas. Il lui a dit que M. Abbas devait “jouer le temps” et “ne pas céder aux exigences du président Trump parce qu’il y a de bonnes chances pour qu’il ne soit pas président encore longtemps”. On peut supposer que Kerry faisait référence à l’acharnement du Deep State pour obtenir l’impeachment de Trump sur le dossier russe, une accusation d’obstruction à la justice, ou sa santé mentale.
Il faut rappeler ici qu’Abbas a refusé de rencontrer le Vice-Président Pence pendant son voyage, citant la “déclaration sur Jérusalem”, lorsque le Président Trump a pris la décision historique de reconnaître que Jérusalem est la capitale d’Israël. Dans l’annonce, il a déclaré que cette décision était “la chose à faire attendue depuis longtemps” et “la bonne chose à faire”, ajoutant qu’Israël “comme toute autre nation souveraine a le droit de choisir sa capitale”.
Cette décision a non seulement respecté une promesse électorale du candidat Trump, mais aussi une promesse nationale vieille de 22 ans faite par tous les présidents américains précédents– mais non respectée– à l’égard du principal allié dans la région.
Les Palestiniens ont depuis déclaré qu’il n’était plus acceptable que les États-Unis agissent comme médiateurs dans le processus de paix au Moyen-Orient. M. Abbas a été élu sous le drapeau de l’aile politique du groupe terroriste Hamas, et est en réalité hostile au soutien à une solution à deux États : ce qu’il veut vraiment, c’est la disparition d’Israël, d’où son refus de reconnaître Israël comme un Etat juif, et son instance pour que 5 millions de “réfugiés” palestiniens viennent s’installer en Israël et non dans l’Etat palestinien qu’il entend créer.
Le vice-président Pence a exhorté les Palestiniens à revenir à la table des négociations et a déclaré que l’administration soutiendra une solution à deux États si les deux parties sont d’accord.
” La paix ne peut venir que par le dialogue”, a-t-il dit.
La rencontre entre Kerry et le confident d’Abbas montre que si l’Autorité palestinienne a pour l’instant coupé tout lien avec l’administration américaine, elle a gardé contact avec l’administration Obama sortante, un fait assez perturbant dans la tradition américaine où rarement ex-président ne s’est mêlé d’entraver sur la scène internationale, ou intérieure, la politique du président en fonction.
L’Administration Trump est beaucoup plus pro-israélienne que son prédécesseur, très hostile à Israël et très pro-arabe. Alors que M. Kerry et l’administration Obama collaboraient avec les Nations Unies (ONU) pour combattre ou punir notre principal allié dans la région, la Maison-Blanche Trump fait exactement le contraire.
Dans son discours à la Knesset, le Vice-Président Pence a indiqué que les Etats-Unis soutiennent Israël parce qu’il représente le bien contre le mal, une remarque que les médias n’ont pas osé imprimer, car elle confirme que le narratif d’un peuple palestinien victime est une invention de propagande : les terroristes étant musulmans, pas juifs !
En octobre, le Président Trump a annoncé qu’il avait retiré les Etats-Unis de l’UNESCO, citant des réformes indispensables et un parti pris anti-israélien persistant. L’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) est depuis longtemps critiquée pour sa corruption et son biais anti-juif que Dreuz, le seul parmi les médias francophones, ne cesse de dénoncer.
John Kerry, qui s’est présenté en 2004 à la présidentielle contre le président George W. Bush, aurait surpris M. Agha lorsqu’il a indiqué qu’il songeait à se présenter à nouveau à la présidence en 2020 et a affirmé qu’il soutenait les Palestiniens.
” Il est peut-être temps que les Palestiniens définissent leurs principes de paix et présentent un plan positif”, a suggéré M. Kerry à M. Agha.
Et selon le Jerusalem Post (2), Kerry a promis “d’utiliser tous ses contacts et toutes ses capacités pour obtenir du soutien pour un tel plan” et il a demandé que M. Abbas n’attaque pas directement les États-Unis, mais plutôt “qu’il se concentrer sur les attaques personnelles contre Trump lui-même”.
Il a également dit à M. Agha que la communauté américaine du renseignement et la classe politique de Washington étaient très insatisfaites du président Trump à la Maison-Blanche. Il n’a pas dit que Washington vote à 92% Démocrate et qu’il ne s’est pas remis que la candidate Clinton ait perdu une élection qui lui était promise. Kerry n’a pas dit non plus que la communauté du renseignement est maintenant furieuse d’avoir découvert que sa direction soit devenue politisée et agisse dans l’ombre pour détruire le président Trump.
La réunion de Londres n’est pas la première au cours de laquelle d’anciens responsables de l’administration Obama, y compris l’ancien président lui-même, ont voyagé outre-mer pour saper l’actuel président.
Mais cette réunion va encore plus loin, trop loin dans la sédition*.
Il est important ici de faire une pause et de montrer le décalage entre l’élite de gauche américaine pro-palestinienne que représentent Kerry et Obama, et l’écrasante antipathie (84% sont anti-palestiniens) des Américains pour les Arabes palestiniens, qui les mettent en phase avec le président Trump.
Selon le dernier sondage de l’institut Pew Research (3),” lorsqu’on leur pose des questions sur le différend entre Israël et les Palestiniens, 16% des Américains disent qu’ils sympathisent davantage avec les Palestiniens qu’avec les Israéliens” (19% n’ont pas d’opinion, et 46% soutiennent Israël, sans grand changement depuis les premiers sondages sur cette question en 1978).
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Conclusion
Je ne suis pas le moins du monde surpris de cette trahison par Kerry. Les semaines qui viennent vont nous révéler des faits très graves sur l’administration Obama qui auraient dû être inconnus du public si Hillary Clinton avait été élue, et bien que les médias américains soient les organes de propagande du parti Démocrate, ils ne résisteront pas longtemps à l’obligation de rapporter les faits. En France, ce sera silence total – sauf sur Dreuz.
L’affaire Kerry prend cependant toute la dimension de sa complexité si l’on veut bien ne pas ignorer les données suivantes :
Montant des dons à l’UNRWA, l’agence spéciale pour les “réfugiés” palestiniens, chiffres 2016, en million de dollars :
- US : 368
- Arabie saoudite : 148
- Allemagne : 73
- UK : 73
- Suède : 58
- Japon : 44
- Suisse : 44
- Norvège : 24
- Pays Bas : 21
- Canada : 18
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Sources :
(1) http://www.maariv.co.il/journalists/Article-619190
(2) http://www.jpost.com/Arab-Israeli-Conflict/Kerry-to-Abbas-confidante-Stay-strong-and-do-not-give-in-to-Trump-539643
(3) https://www.cnsnews.com/blog/michael-morris/46-americans-sympathize-more-israel-16-palestinians
* Le dictionnaire Larousse définit la signification du mot sédition comme suit :
- Autrefois, soulèvement concerté et préparé contre l’autorité établie. (Il s’agissait d’un crime contre la sûreté de l’État.)
- Aujourd’hui, attentat, complot, mouvement insurrectionnel.
Je savais les Européens (MACRON, MERKEL) et KERRY en tête lèche-cul des Zarabes, notamment des Palos, mais à ce point, ça défie l’entendement !
Ces gens auront à payer un jour de leur lâcheté !
Bien sûr que oui certains français ne réagissent pas et bientôt ça va faire mal
Des traitres et renégats, même au plus haut sommet. Honte à eux.
How to fight a Russian Hacker 🙂 :
https://www.youtube.com/watch?v=dmr2Ego8g-c
Le simple fait pour Obama de résider à Washington (est-ce toujours le cas?!), à l’encontre de la tradition et de l’étiquette la plus élémentaire, et de l’avoir annoncé en disant qu’il ne “restait pas loin au cas où le peuple américain aurait besoin de lui” (de mémoire) est proprement sidérant… C’est comme s’il dormait sur le paillasson de la Maison blanche en attendant que la porte s’ouvre !
Et Kerry est clairement un traître.
@ Robbie : Exact, et ça m’a choqué. Je m’étonne que personne ne l’ai soulevé dans la presse ; c’était même les derniers mots de son discours d’adieu :
“Je ne serai pas loin au cas où la démocratie serait en danger” !!! Devant Trump lui-même juste avant son discours d’investiture.
Putain! Il faut oser! Se sentir légitimé de tuer.
Obamagate=Trump en danger imminent
Lien en rapport avec mon commentaire ci-dessus :
https://www.dreuz.info/2018/01/23/obamagate-le-plus-grand-scandale-politique-de-lere-contemporaine/comment-page-1/#comment-577166
Malheureusement ce qui est “explosif” sur DREUZ ne fait souvent qu’un “Flooop” dans la géopolitique mondiale. A suivre.
Merci pour ce rappel. C’est proprement hallucinant n’est-ce pas ? En fait ses propos sont même pires que dans mes vagues souvenirs ! Dire “au cas où **la démocratie** serait en danger”, EN PRÉSENCE du nouveau président !!! (je me souvenais de cette circonstance) c’est comme lui uriner sur les chaussures — décidément je lui trouve beaucoup de points communs avec les chiens-chiens (dans leur animalité, pas leur noblesse).
Il incarne bien l’esprit gauchiste lui aussi : il a fini par croire qu’il était le Messie de sa première campagne présidentielle, celui des fameux visuels art pop, et celui à qui on a donné un prix Nobel de la paix avant qu’il ait fait quoi que ce soit (la honte). L’imposteur dans toute sa consternante arrogance (ça me rappelle un autre président). Pas étonnant qu’il se sente l’audace de déclamer de tels propos, mais il a dû décamper dans l’hélico pour laisser les adultes travailler, sorry mate.
Le problème c’est que les masses se sont tellement gauchisées et festivisées (abruties) entre temps que jouer publiquement avec l’idée de tuer le président élu — pas parce que c’est un traître à la patrie ou un incompétent notoire, non, parce que c’est… un mâle blanc conservateur avec des cojones — eh bien cette idée fonctionne ! Elle est même fun, et le projet de faire déchoir ou enfermer le président est suivi comme une intrigue de série. Les socialistes ont envahi les États-Unis ! Et Kerry, avec sa petite légende personnelle (vétéran du Vietnam, francophile), est un intrigant de première.
********
en million de dollars :
1.US : 368
*********
Ca alors !!!
Ben mon cochon, ce en fait des explosifs, tout ca.
combien donne la france ????????????????
azoi dit :
25 janvier 2018 à 10:33
combien donne la france ????????????????
des milliards à la Tunisie, l’algérie, le Maroc, la côte d’ivoire et j’en passe….
Jean Patrick, vous écrivez cette phrase terrible, terrifiante de trahison :
« L’ancien secrétaire d’État John Kerry a dit à Abbas de « jouer le temps », et « de ne pas céder aux exigences de l’adversaire » en parlant du président Trump, « parce qu’il ne sera pas en fonction encore longtemps »…
Cela me fait terriblement penser à ce que j’écrivais dans un article, il y a quelques mois, concernant le général De Gaulle. A cette époque, la France gouvernante était de gauche et elle combattait les mêmes terroristes islamiques qu’Israël.
[…] La rébellion a commencé fin 1954. René Coty est président de la République. Ses premiers ministres vont défiler comme des comètes. Mendes-France, Faure, Guy Mollet, Bourgès-Maunoury et Félix Gaillard.
De 1954 à 1958, pas un gouvernement ne résiste longtemps à la recherche d’une solution pour mater la rébellion en Algérie. Le spectre de la débâcle, en Indochine, est encore trop vivant.
De Gaulle, depuis la mise en sommeil de son parti RPF, ronge son frein à Colombey et désespère de revenir aux affaires avec son brain-trust de la rue de Solférino.
Soudain, en Août 1955, survient le massacre d’El Hallia. La rébellion qui s’essoufflait (déjà), passe la vitesse supérieure. Le FLN s’en prend massivement aux civils derrière Zighoud Youcef.
De Gaulle comprend très vite qu’il a enfin une chance de revenir au pouvoir mais, pour cela, il faut que le FLN tienne dans sa rébellion et que les négociations que mène le Pouvoir légitime français, à Tunis en particulier, échouent.
De Gaulle passe donc par Rabat, fin 1955, où il rencontre le Sultan qui vient d’être remis sur le trône et lui demande de transmettre, au FLN, cette consigne, cet espoir : «Tenez, jusqu’à ce que je revienne ! ».
En temps de guerre, cela s’appelle de la haute trahison, le savez-vous ? […]
C’est la même phrase, avec d’autres mots, qu’a prononcée Kerry à Abbas.
Oui, il a dit : “Tenez jusqu’à ce que je revienne !” N’est-ce pas le conseil le plus horrible qu’un ancien dirigeant puisse donner à des terroristes islamiques, sachant que pendant “qu’ils tiendront”, ils continueront d’assassiner des innocents français ou israéliens ?
Que peut on faire,
Il est évident que le monde préfère les arabes aux juifs.
Comment un Kerry peut se permettre d’encourager un terroriste, un de ces enfants est marié avec Iranien.
Quand est que les arabes ont apporter pour la science ?
Honte Kerry vous semez le désordre vous récoltez la tempête.
Que les juifs apportent tant d’inventions médecine , technologie, pharmaceutique
Start up , etc ,,,,,,,,,,
Chulem
les arabes croient toujours que leurs fantasmes sont des réalités!
en 1948, ils ont cru que les israéliens seraient tous jetés à la mer…
en 1967 qu’israel serait rayée de la carte
qu’il valait mieux attendre que Rabin soit assassiné (ce qui a été fait) que Barack soit remplacé (ce qui a été fait)
le plus lamentable dans cette info (fakeniouze qui me parait vraie) c’est le manque de citoyenneté de l’élite qui joue contre son propre pays
“le manque de citoyenneté de l’élite qui joue contre son propre pays”
Les “élites” occidentales, toutes confondues se cooptent entre elles et ont de plus en plus tendance à prendre les citoyens de leurs pays pour des cons.
Regardez autour de vous, de près d’abord, puis plus loin et enfin tout là-bas.
Il a la gueule de l’emploi et respire la traitrise !en espérant que pour une fois la CIA fasse son job et embastille ce bon islamogauchiste en même temps que hussein o le menteur patenté
Ont-ils prévu de l’assassiner???
Ce ne serait pas une première, aux USA quand ils veulent se débarrasser de quelqu’un, ils savent comment s’y prendre, soit comme avec Kennedy, ou Lincoln, soit comme avec Nixon, et dans ce cas-là ils font comme avec leurs chiens… Ils disent qu’il a la gale…
Pour l’instant, ils le font passer pour un galeux… mais en attendant, le peuple, lui, semble en être content…!!!
A suivre, dans ce monde de dingues!!!
Cela fait plus d’un an que je crains une tentative d’assassinat sur Trump ! Maintenant, en cas de “réussite”, cela serait un mauvais calcul, car le numéro deux n’est pas mal aussi !
Bonjour. Si une “tentative d’attaque” survient contre Donald Trump pour déstabiliser celui-ci, il est sûr et certain que cela prendra comme dessin/dessein un arbre cachant l’immense forêt à ne surtout pas dévoilée! Obama est à l’affut de certaines infos le dévoilant d’ici peu, et qui le culpabilise radicalement sans même le moindre espoir d’une contre attaque de sa part. Alors, “éliminons le”??? oui, mais, lequel des deux??? A suivre!
va te faire foutre Kerry ….. cela fait un an que toute les magouilles démocrate ont échoué donc il fait bien de dire des imbécilités a abbas ….. ils sont du même niveau
Kerry est un raté un lèche botte antisémite et mondialiste au détriment du peuple américain et d’ Israël ; comme ses chefs Obama l’ islamiste et Clinton la malhonnête qui n’ a pas digéré sa défaite ; elle qui croyait que tout ces méfaits seraient étouffés quand elle serait présidente ;ils n’ ont fait que salir Trump pour le faire partir en inventant et en reportant leurs propres fautes sur lui . maintenant les vérités sortent des tiroirs et les langues se délient ; les démarches faite par l’ équipe sortante ; Obama Clinton Kerry le trio chante faux ; est pris a son propre piège ; et commence à se rendre compte que les problèmes ce sont eux qui vont les avoir ; on va encore tenter de le faire partir ; ils faut les condamner et que Clinton rembourse les 142 millions qu’elle a reçu des russes pour le vente d’ l’ uranium ; dont une partie aurait été remise à l’ Iran et on sait pourquoi .
Ce genre de saillie doit faire plaisir au président Trump. J’espère qu’il présentera aux démon-crates la facture avec les intérêts…
Pour moi le fait de confier à babasse que Trump n’en n’aurait plus pour longtemps est soit un voeux pieux de l’idiot (in)utile ou alors une preuve supplémentaire du complot démocrate. La question que je me pose est: au point où en sont les ennemis de Trump, projetteraient-ils de l’assassiner ???? Sait-on jamais avec de telles ordures, gibier de potence ?
Ce fumier devrait être exécuté pour collaboration avec d’autres fumiers.
Puisque cette ordure se prostitue pour des terroristes , il doit être soit à Guantanamo, soit exécuté.
Je le pense vraiment .
Guantanamo coûte bien trop cher.
Ce Kerry doit être largué à poil sur Gaza.
Et sans parachute !
Bonjour,
Je n’arrive pas à y croire!
Le grand-père paternel de John Kerry, Frederick Kerry (né Fritz Köhn) est d’origine austro-hongroise. Né à Horni Benesov (en) en Autriche-Hongrie, il grandit à Mödling. Sa grand-mère paternelle, Ida Loewe, naît à Budapest en Hongrie. Tous sont deux d’origine juive.(selon wikipedia!).
Est-il frère putatif de fabius? dont le père serait Arafat!
Kerry le traître en puissance. Qu’il aille vivre en palestine auprès de son copain . I8l devrait être jugé pour trahison.
Je suis sûr que tu voulais dire: “en réalité, en fait”.
Quand les zarbis signifient à leur marmaille qu’ils mettent les mains dans des crasses, ils font “kerr, kerr !” On devrait dire :”kerr kerr Kerry !” Ce type est une saleté d’un cynisme grave !
Une enquête visant Kerry ne devrait-elle pas être déclenchée suite à ces révélations, par le Sénat US (ou autre) ?
De tels propos sont en effet très graves, et peuvent laisser croire à un un complot visant à éliminer le président régulièrement élu des USA.
Il me semble qu’il y a matière à ouvrir une enquête !
Oui mais ces derniers temps, les enquêtes (investigations)
aux USA ont tendance à bouchonner :
https://www.youtube.com/watch?v=6F0Hv9TUrfs
Espérons que Trump n’est pas dupe de cette trahison et qu’il attend le moment juste opportun pour enfermer ces trois énergumènes que sont Obama, H Clinton et J Kerry, et éventuellement L’ancien président Clinton. Ils méritent la chaise électrique!
C’est une foutue sphère, cette engeance! du complot contre l’Etat!
De Gaulle avait bien réussi , ce salaud!
Espérer redevenir président des USA en soutenant les Palestiniens, faut être vraiment dérangé!
“Maariv a revele …”: Maariv etait-il present a l’entretien ? d’ou sort son “information” sur des propos tenus par Kerry ? je precise que je ne crois pas du tout Kerry incapable d’une telle felonie: mais, pour pouvoir eventuellement faire etat de cette information, il faudrait au moins etre assure qu’une troisieme personne etait presente, ou ecoutait aux portes.
Très juste et très sensé. Cette question est importante.
Cette question est effectivement importante… Y a-t-il eu une rencontre à Londres? Déjà rien que cela est discutable en tant qu’ancien représentant du pouvoir politique américain.
Et on accuse le président Trump d’avoir collaboré avec les russes avant d’être élu…. tandis que cela est complètement normal quand c’est obama, kerry, clinton…..
Kerry est une ordure qui torpille D.Trump cad avec l’engeance démocrate Clinton , Obama et les autres (Washington Post , New York Times et CNN compris ) .
D.Trump doit dégager ce lèche-babouches car il y a un complot contre lui .
C’est très grave et je pense que les infos sur l’entretien Kerry-Abbas sont totalement vraies . Nul besoin d’être présent les écoutes existaient déjà avant le Watergate .
Exemple typique de l’esbrouffe arabe, M. Abbas a refusé de rencontrer le Vice-Président Pence – un mois après la décision de la Maison Blanche de rompre les ponts avec M. Abbas en publiant le programme de sanctions en 8 articles dont voici un extrait:
“Les relations USA-Palestiniens sont suspendues – non seulement au niveau le plus élevé, mais au niveau des échanges journaliers. L’administration [US] a signifié aux organisations tant palestiniennes qu’arabes que toute requête, politique ou économique, ne recevrait pas de réponse et qu’elles devaient par conséquent cesser d’en adresser au Consulat US de Jérusalem.”
Par ailleurs, ce que dit M. Kerry, maintenant qu’il est à titre privé la non-entité qu’il était autrefois à titre officiel, a encore moins d’importance aujourd’hui qu’hier. Entre lui et M. Abbas, le mythe palestinien est en bonne voie de disparition.
@ andre @ AlbertGam @ jam buty
Maariv est un journal sérieux, ce n’est pas une presse “jaune” et son journaliste Ben Kaspit est un journaliste connu même s’il s’agit d’un fervent gaucho.
Dailymail le relate aussi http://www.dailymail.co.uk/news/article-5308005/John-Kerry-says-run-president-2020.html
Il n’y a pas de quoi s’étonner, car le régime d’Obama+Kerry avaient œuvré durement à améliorer l’image d’Abbas et des palos aux yeux des américains. Et ce n’est pas du tout étonnant que lorsque le vrai visage du terroriste Abbas se révèle en dézinguant l’Amérique, que Kerry tire la sonnette d’alarme. Il craint que tout son travail de réhabilitation tombe à l’eau. A fortiori s’il compte se porter candidat. D’où ses “sages” conseils à Abbas de cibler uniquement Trump et pas les américains. Espérons qu’Abbas crèvera avant les prochaines élections américaines.
Merci de ces précisions. Dreuz citait ses sources en tout cas! Je pensais bien que le journal assumait les siennes également.
Durant Obama, Abbas jouait sur l’antisémitisme viscéral de l’U.E “amie” d’Israël, en exploitant ce filon un max. Il a pu exceller au niveau tactique, mais malgré tous ses succès, il n’a pas fait avancer les palos d’un mètre sur la route vers un état. Son discours de la colère souhaitant à Trump, que sa maison soit détruite a révélé sa vraie nature. Mais entre les lignes, c’est un discours de perte de sens, une stratégie qui s’achève et un leader qui démarre sa descente aux enfers.
Les 8 ans de l’antisémite Obama ont amélioré le statut des palos aux USA et en U.E. Le départ d’Obama l’a révélée, mais, a surtout démontré, ô combien les relations entre Israël&USA avaient reculé. Abbas correspondait à l’idéologie d’Obama et à celle de l’U.E. Plus il jouait le faible, plus ils avaient confiance en lui. Il était facile pour Obama d’adhérer à l’idée de soutenir un “faible”. Car Obama avait vu en Bibi un terrible opposant politique susceptible d’ébranler et de défier même son propre pouvoir aux USA. Et Bibi a fini par le faire (son discours au congrès américain sur l’accord nucléaire iranien).
La stratégie d’Abbas était de prouver qu’il était un homme bien. Pour plaire, il a mis en place une politique de lutte contre le terrorisme – la fameuse collaboration de sécurité avec Israël – (1 fois/1000, heureusement qu’on ne compte pas dessus), alors qu’il encourage et rémunère hautement les assassins des juifs. Il a instauré un dialogue de paix afin de démontrer que c’est pas lui le fautif, c’est Israël qui refuse la paix. Alors que c’est un dialogue de façade, car c’était lui qui a refusé les propositions généreuses d’Olmert et aussi celles de Ehud Barak à Camp David. Puis, il soutient à fond le BDS. Donc un homme bien afin de détériorer le statut d’Israël dans le monde. Et ça a marché.
L’arrivée de Trump enseigne que tous les succès tactiques d’Abbas ne sont pas de vraies réalisations. Toute la dynamique du Moyen-Orient a changé. Même les Qataris l’ont compris. Au cours de l’année écoulée, ils ont réduit leur politique traditionnelle d’encouragement au terrorisme et à l’extrémisme sur l’ensemble du Moyen-Orient. De hauts rangs dans les émirats lèchent des “bien placés” israéliens qui pourraient leur ouvrir des portes à Washington.
Abbas, en revanche, continue à se comporter comme si Obama était encore là. Sa tactique de Monsieur Propre ne marche pas chez Trump. Car Trump ne lie pas ses relations avec Israël exclusivement sous le prisme d’un processus de paix (pas jusqu’à présent et pourvu que ça dure). Et c’est ça la grande nouveauté avec l’arrivée de Trump. Donc l’approche d’Abbas du temps d’Obama, n’a aucune chance chez Trump.
La preuve de la perte de la tactique d’Abbas est la déclaration de Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël. Il menace de rapatrier le représentant palo de Washington et de prendre une décision unilatérale d’ôter aux ricains le rôle de médiateurs. Comme si les USA, attendaient l’approbation d’Abbas avant toute déclaration lool. Il pleure chez les européens et trouve un appui français (comme d’hab). Il ne comprend pas que Merkel et Macron l’utilisent contre Trump qu’ils détestent tant. Il est leur idiot utile pour défier Trump. Démarche inutile in fine car ni les français, ni l’U.E vont banquer des milliards pour garantir un suivi sécuritaire après une signature d’accord. Tout ce que ces antisémites pourront faire, serait de reconnaître unilatéralement un état palo. Les menaces d’Abbas étonnent aussi le monde diplomatique à l’ONU. Ce beau monde sait que même si on peut se quereller avec les USA, il est formellement déconseillé de le faire sur la place publique
La descente aux enfers d’Abbas est d’autant plus marquante, car il a également essuyé une défaite au sein du monde arabe. Sissi, les dirigeants du Golfe, (Bahreïnis, Emirats), l’Arabie Saoudite l’ont bien fait comprendre, qu’ils n’allaient pas se castagner avec Israël pour sa gueule, et encore moins aller contre Trump. Donc, vu sa situation pitoyable, il ferait mieux de prendre ce que Trump a à lui offrir. Donc même Abu Dis (aux abords de Jérusalem) serait propice pour capitale. Abbas abasourdi resta sans réponse. Lors de la dernière visite d’Abbas en Egypte, Sissi a dit qu’il n’ y avait aucune différence entre Ramallah et Jérusalem 😆 Le retournement des vestes des arabes m’épatera toujours.
Personne n’a été impressionné par les promesses de gifles et de vengeance d’Abbas. Le hochement de tête de membres de l’OLP, durant leur réunion, a surtout voulu exprimer un semblant de visage uni face caméra. Eux aussi savent ce dont tout monde en parle dans les rues de Ramallah et de Naplouse. A savoir que l’on chuchote déjà des noms de remplaçants du leader. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles, les palos ne voient aucune utilité de descendre en masse dans la rue contre la déclaration de Trump. Les palos savent aussi qu’Abbas est en train de disparaître. Le temps nous dira si c’est seulement la mort du leader ou la mort de l’idée nationale palo.
@ Shalevet
Les deux. Le mythe palestinien et M. Abbas font désormais partie du passé.
Que tout ça revienne dans la gueule d’obama! quel bonheur!