Le règne de Patrick Cohen sur la Matinale de France Inter s’affichait comme clairement idéologique. L’auditeur connaissait le discours qu’il trouverait en mettant ses oreillettes. L’Ojim le remarquait il y a peu, cet axe militant s’est encore accentué avec la nomination de Nicolas Demorand. La revue de presse caricaturale de Claude Askolovitch en est une sorte de symbole.
Diplômé du CFJ en 1985, Claude Askolovitch n’est pas un journaliste perdreau de l’année. Il a fait le tour des médias mainstream et politiquement corrects, de L’Obs à Slate, où il officie de façon régulière actuellement, en passant par Le Point, Marianne ou Europe 1. Les habitués d’Arte écoutent sa voix dans l’émission 28 Minutes. Sur France Inter, cette même voix emplit les habitacles des automobiles coincées dans les bouchons vers 8h30.
Pour mémoire, Claude Askolovitch est ce journaliste qui, au moment de l’affaire Mehdi Meklat, considérait qu’il y avait beaucoup d’exagération à s’en prendre à un jeune homme et journaliste issu de la diversité twittant à tort et à travers des insultes et appels antisémites. Il prit d’ailleurs la défense du jeune trublion antisémite des banlieues sur Twitter en ces termes : « Un gamin qui tweetait des blagues Nazes pour tester sa provo est moins immonde que ceux qui utilisent ses conneries passées ». Un tweet qui résume toute l’idéologie d’Asko, lequel voit le danger extrémiste partout sauf quand il l’a sous les yeux.
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Journaliste ? Un peu. Militant ? À 100 %
Cette caractéristique est justement ce qui se développe dans sa revue de presse sur France Inter. Parfois surnommé « le justicier du PAF », Claude Askolovitch pratique un journalisme qui ne se préoccupe des faits qu’aux fins d’opinion – et de défense d’opinions toutes personnelles. Rien de bien neuf, la pratique est même normale : cela s’appelle un « éditorial ». Ainsi, la Matinale de France Inter propose-t-elle depuis de longues années des éditoriaux, comme l’édito politique de Thomas Legrand. En soi, la pratique de l’éditorial n’est pas critiquable. Elle permet souvent d’éclairer des faits de manière différente. Tout au plus pourrait-on regretter que sur France Inter cet éclairage différent soit toujours lumière de gauche caviar.
Mais c’est chipoter : personne ne croit plus que la radio publique est ouverte à la diversité idéologique. Du coup, le journaliste militant Claude Askolovitch trouve tout naturellement de quoi faire son nid dans les studios de Radio France. La voix et la plume de Claude viennent ainsi tranquillement chaque jour, matin et soir, à nos oreilles et sous nos yeux. Cela s’appelle le pluralisme de la presse. Sauf qu’Asko est payé pour donner une « revue de presse », exercice plutôt neutre, à ses auditeurs — et non un « éditorial ». Il est alors surprenant, voire choquant, d’entendre le journaliste utiliser chaque matin cette « revue de presse » à des fins de diffusion de ses propres idées politiques. France Inter et sa Matinale ne sont-ils pas la radio de tous les Français ?
Ce Matin brun qu’Asko nous envoie dans les oreilles quand même….
Pour Claude Askolovitch, nous ne sommes pas vraiment en 2017. Plutôt égarés dans les années 30 du siècle passé. Ce qui peut sembler étrange à nombre d’auditeurs, s’attendant à écouter une « revue de presse » évoquant les événements du jour. Bien sûr, Asko parle de ce que disent les médias au sujet des dits événements. Du moins en apparence, en réalité, le journaliste utilise la parole des médias ainsi que les événements dont ces derniers parlent à des fins personnelles. S’il créait sa petite entreprise, ce ne serait en rien choquant. Là, l’opération est financée par l’argent des citoyens et contribuables. Un exemple ? Le 25 septembre 2017, la « revue de presse » évoque les élections allemandes, et donc la percée de l’AfD. Étrangement, Claude Askolovitch ne commence pas par cette victoire mais par ce que Le Figaro dit de Jens Spahn, l’un des secrétaires d’État de Merkel et son probable « successeur ». Asko a eu de la chance en ce 25 septembre, Le Figaro lui offrant un obscur ministre qui serait islamophobe. Pire : c’est celui qui « est opposé à Merkel sur la question des migrants ». Islamophobe, donc, dans l’esprit d’Asko. Mais aussi xénophobe, dans la même tête.
Dans le « journalisme » d’Asklovitch toute pensée critique au sujet de l’Islam ou des migrations, toute pensée autre, est par nature pensée de droite radicale. C’est le sens de la revue de presse de ce matin-là. L’heure est grave : « Spahn critique l’hégémonie de la gauche et vante les vertus d’un hypothétique ministère de la patrie, Heimat en allemand ». L’auditeur voit très bien les uniformes noirs se dirigeant de nouveau vers la Tour Eiffel. Il comprend aussi sans peine ce que Claude Askolovitch veut dire : que le danger nationaliste et raciste, si prégnant en France, se développe même en Allemagne, et même au sein du parti de madame Merkel. Le matin brun est aux portes de l’Europe, et « le justicier du PAF » enfourche son destrier : Le Figaro ferait le jeu de l’extrême droite en traçant le portrait d’un jeune ministre favorable « à une direction identitaire au moment où l’extrême droite progresse ». Complicité de toutes les droites. Pour Asko la « fachosphère » commence dès que le mot « droite » est prononcé. Asko enchaîne évidemment sur l’AfD et son « obsession » anti-migrants. Il n’oublie pas de saluer Libération qui ce même jour donne la parole à un célèbre avocat confondant pourtant protection de la population par la législation et « loi des suspects ». Les terroristes ne seraient pas ceux que l’on croit, l’auditeur devine que le journaliste n’a pas mis les pieds au Bataclan depuis longtemps.
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Pourtant, le terrorisme véritable s’invite dans le studio
Le 2 octobre 2017, une « actualité tissée de sang, le sang de Marseille ». Plus le procès Merah. L’essentiel de la partie de la « revue de presse » consacrée à ce vrai matin brun là, celui du terrorisme islamiste, l’est à l’attentat de Merah et à ses victimes. Enfants de l’école visée et soldat musulman assassiné. Claude Askolovitch indique par ce biais que les parents du malheureux soldat viendront « témoigner de l’Islam paisible au procès ». Une façon de ne pas oublier, vers 8h30, d’indiquer où sont les ennemis véritables, par exemple ces islamophobes qui mettraient de l’huile sur le feu. D’ailleurs, il n’y a pas procès autour de l’Islam, parvient à placer Asko, mais « procès du salafisme ». Le journaliste a lu cela dans La Dépêche et cela tombe bien. Suit l’attentat de Marseille. Askolovitch est choqué (à juste titre) que la vie reprenne son fil à peine les deux jeunes femmes tuées, que la presse parle de football ou des trains en retard. Mais nous n’apprendrons rien sur le plus important, de la bouche du chroniqueur qui parvient, au sujet de l’attentat islamiste de Marseille, à ne jamais prononcer l’un de ces mots : Islam, islamisme. Par contre, il ponctue ses propos avec le mot « résister », à la Une de La Provence du jour, « résister à la peur, résister à la polémique ».
La peur ? La polémique ? Un ministre allemand ? Merkel ? L’AfD ? Le retour du nazisme ? Tout cela, Asko le voit ou pense le voir — dans sa « revue de presse » idéologique. Mais l’Islam et l’islamisme comme raison pour laquelle un terroriste sort un couteau et égorge des gens innocents, il ne les voit pas, n’en parle pas… Alors France Inter, à quand une revue de presse ? Une vraie revue de presse ?
Source : Ojim.fr
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asko est une grosse MERDE que j’ai connu en 185 au C F J rue du Louvre et il n’a pas changé!!!!!!!!!!!
ASKOLOVITCH ne se rapprocherait-il pas dangereusement de ce que Macron appelle les « fake news » mais sous une autre forme ? Et pour lequel notre grand timonier président bien aimé est en train de faire pondre une loi ! La propaganda staffel a donc de beaux jours devant elle !
Dans sa guerre contre la médiasphère, Macron tente d’emboîter le pas à Donald Trump, à la différence que ce gamin ne déteste que les Fake News touchant à sa politique ou sa petite personne. Le reste, il s’en fout. Sinon il ferait fermer boutique à tous les torchons comme Libé et Le Monde, et dégommerait les 3/4 du Service Public, comme il essaie de le faire actuellement contre internet.
Mais le petit maqueron rouge a au bas mot 10 ou 12 mandats à faire avant d’arriver à la cheville de Trump.
très bonne analyse.
Askovitch est passé de l’état de fétus à celui de gauchiste sans jamais être confronté au savoir… Les petits traîtres de son espèce seront bientôt balayés de la surface de la terre, et très violemment. Un peu de patience…
C’est un islamo-collabo , une vendu-pourri , un lèche-babouches . Quand je le voyais ( je regarde plus la TV marre de leur intox ) à la TV(BFM et les autres) je ne le supportais pas .
Pour France Inter il y a de plus en plus de gens qui n’écoutent plus et c’est pas lui qui fera remonter l’audimat .
Il ne dit pas ce qu’on lui dit de ne pas dire cad islam et islamisme cad djihad et qui est la cause de tous les problèmes . Il est là pour endormir bref le somnifère c’est mieux quand il écrit car il faut acheter le journal pour le subir .
Comme revue de presse rien ne vaut internet le matin on est informé et on se fait une opinion . En écoutant de la musique à la radio à la place de ce vendu .
Je plains ceux qui l’écoutent .
J’écoutais Europe1 jusqu’à l’arrivée de P. Cohen, que je ne peux supporter.
Je regardais 28 Minutes mais ai décroché car je n’en pouvais plus de Elisabeth Quin et ses amis. Idem pour C’à vous car Lapix & Co (dont Cohen) me tapaient sur les nerfs.
Bref, il est bien difficile de trouver une radio ou une chaîne faisant preuve d’objectivité. Heureusement, il existe quelques alternatives.
Alkolovitch, prototype du juif antisémite (ou honteux de l’être) – en tout cas antisioniste, cf son soutien sans faille à la « cause » palestinienne et islamiste- voulait sans doute dire: «Mehdi Meklat, un gamin qui tweetait des blagues Nazis»
octave, je vous suis totalement.
Il y en plein de comme lui. Ils constituent la majorité de la « profession ». Entendez par là au moins 80% d’entre eux.Parce qu’ils ont on droit de parole que la très grande majorité de la population n’a pas et qu’ils vivent dans un milieu très endogame, ils finissent par croire que ce qu’ils racontent est la Vérité. Ou s’ils mentent c’est moins important parce que c’est sensé être au service la cause qu’ils estiment défendre. Pendant l’ancienne campagne présidentielle, les étudiants de deux écoles de journalisme avaient été interrogés sur leur intention de vote. Plus de 80% avaient l’intention de voter pour Hollande. Ça en dit assez long ce sur ce qui nous attend…
Si vous êtes à science Po, à l’ E.N.A, dans une école de journalisme ou bien dans une faculté en sociologie vous ne serez jamais diplômé ou alors très difficilement si vous affichez des opinions ouvertement de droite (je parle simplement de droite et non d’extreme-droite). Voilà où nous en sommes et ce n’est pas près de changer tant la mainmise des gauchistes de salon est puissante dans le milieu universitaire et cela depuis des décennies.
Cestmoi, très juste. Quand au fait d’être de droite dans une école de journaliste, il suffit de relire ce que disait Eric Brunet à ce propos.
« Eric Brunet explique avoir dû mentir sur ses idées pour pouvoir faire ses études de journalisme et qu’il a du le faire aussi sous la pression de ses confrères de gauche à ses débuts. » splendide, non!
IL n’ y a plus rien d’audible en France.
Si j’ai assez le moral j’écoute parfois en « contre écoute » …mais la ligne rouge est passée depuis longtemps entre information …même un peu orientée « bons sentiments » et propagande pure et dure.
C’est un ancien très gros auditeur de F.Culture qui vous le dit.
Quand à la télé ……….oubliez !
Entre France Inter, Asko, Cohen et les autres, BFM, etc… ras le bol, orientés à gauche toujours et tout le temps.
Je n’écoute plus, je ne regarde plus.
Ce sont eux qui ont fait élire macron en rabaissant les autres comme des moins que rien.
Résultat : on a un chef ……. no c omment !
Il paraîtrait que le regretté Roger Ascot, père du Claude, est surnommé « Roger-ventilateur », à force de se tourner, de se retourner, et de se tourner, et de se retourner, et de se tourner, et de se retourner sans cesse dans sa tombe en observant les prouesses de son rejeton.
Rappelons que Roger Ascot, longtemps directeur de l’Arche, journaliste intègre, était un honnête homme – un Mensch – dans toute l’acception du terme.
C’est pas le seul . Maintenant il existe malheureusement des juifs soumis aux arabes au point d’être complices d’un crime antisémite contre quelqu’un de leur famille .
C’est à savoir car on ne peut pas tomber plus bas .
Les Cohen Askolovitch et les autres : ils ne devraient pas être juifs . Et ils font monter l’antisémitisme en plus .
HONTE à eux c’est la HONTE des juifs pareils .
Patrick Cohen, Nicolas Demorand, Claude Askolovitch …
question : est-ce que rance inter peut tomber plus bas ?
… sans doute oui.
Attendons.
Asko,le dégueu,et Cohen, le visqueux, m’ont fait abandonner France Ínter.
C’est pareil quand le collabo Ascoco fait son speach sur les plateaux des communards de ARTE…my God, quelle mauvaise foi…d’ailleurs de foi, il n’en a pas ! C’est la caricature même du Juif de gôôôche, honteux, contraint et forcé de bannir Israël !
avec ou sans askolovitch, je n’ecoute plus France Inter depuis 20 ans
Entre cohen, askolevitch , domorand (sans majuscules car ceux sont des ordures = et autres journaleux merdiques de gauche, il ya longtemps que j’ai écarté de mes oreilles
France info, france inter , europe 1
Don ne perdez pas votre temps à analyser les commentaires de ces 3 antisioniste et anti juifs pour le pas dire pour les 2 premiers » juifs honteux