mondialisme, son élection n’aurait pas été reçue aussi négativement. C’est parce qu’il constitue un obstacle majeur au projet mondialiste qu’autant de « résistance » s’organise contre lui.
Dès son entrée à la Maison-Blanche Trump s’est mis à la tâche de faire échec au mondialisme. Il a mis fin au projet de créer la zone de libre échange Asie-Pacifique et a fait part de sa volonté de renégocier les termes de l’accord de libre échange avec le Mexique et le Canada. Parallèlement il a proposé d’établir les accords commerciaux sur la base d’ententes bilatérales. Il envoyait ainsi un message clair à l’effet qu’il ne permettra pas que l’Amérique se fasse prendre dans la toile d’araignée d’accords commerciaux multilatéraux, qui la privent d’une partie importante de son indépendance économique et de sa liberté d’action.
Quelques mois plus tard, Trump annonçait sa décision de se retirer de l’accord de Paris sur le climat. Il s’agissait là du deuxième coup majeur assené au mondialisme. Par cette décision il libérait l’Amérique de l’obligation d’établir un plafond à sa consommation d’énergie fossile et par le fait même à sa croissance économique et à la prospérité de ses habitants. Tout frein à la création de richesse devait être levé, c’est ainsi que la décision d’alléger considérablement la réglementation a été mise en application sans délai et a permis d’éliminer plus de vingt règlements existants pour chaque règlement nouvellement mis en vigueur. Trump a de cette façon donné un sérieux coup de pouce aux petites entreprises qui, au lieu d’engager du personnel productif, consacraient une part importante de leur temps et de leur capital à se conformer aux règlements et à noircir du papier. Les milliards de dollars qu’elles dépensaient en pure perte chaque année ont été ainsi épargnés et rendus disponibles pour l’achat d’équipement et la création de nouveaux emplois. Ces mesures qui n’ont rien coûté à l’État ont produit une hausse marquée de la création d’emplois dans l’industrie manufacturière. Des mines et des usines fermées rouvraient leurs portes, d’autres ajoutaient de nouvelles lignes de montage et engageaient du nouveau personnel, le taux de chômage baissait, le salaire horaire augmentait, l’optimisme et la confiance renaissaient dans nombre de villes et de villages naguère laissés pour compte.
La hausse observée dans le niveau d’optimisme et de confiance des Américains n’a cessé de grimper, il se trouve à présent à un niveau jamais atteint auparavant. La mesure statistique de l’indice de confiance sert à prédire la croissance économique. La réforme fiscale proposée par Trump et adoptée en décembre dernier par le congrès réduit considérablement le fardeau fiscal de la classe moyenne et des entreprises. En réaction à la nouvelle loi, plusieurs compagnies ont octroyé des bonis substantiels à leurs employés et ont sensiblement augmenté les salaires. La confiance et l’optimisme se reflètent également dans les indices boursiers qui fracassent leurs propres records chaque semaine. Nul ne sait quand cette euphorie prendra fin, chose certaine elle ne repose pas sur du vent.
Le front intérieur
En termes de stratégie cet optimisme et ce regain de confiance constituent un puissant atout pour ne pas dire une arme redoutable. En effet la déprime, les divisions internes et les conflits sociaux affaiblissent les États et servent la cause du mondialisme. Dans la mesure où Trump parviendra à augmenter la prospérité et à l’étendre à toutes les régions, les tensions sociales s’atténueront et la bonne entente régnera : Les gens heureux n’ont pas d’histoires. Trump compte rétablir l’unité au sein de la nation américaine en accordant à tous les laissés pour compte de la mondialisation, la possibilité d’améliorer leur sort et de regagner la fierté perdue, principalement la fierté d’occuper un emploi rémunérateur et de qualité. Mais les efforts qu’il déploie ne ciblent pas uniquement les groupes qui ont voté pour lui, en fait les noirs et les latinos qui votent démocrates ne sont pas moins touchés par les effets délétères de la mondialisation, de la pénurie d’emplois et de la baisse de revenu. En créant les conditions favorables à l’économie et à l’emploi, Trump leur rend un immense service et leur permet de sortir du cachot identitaire où la gauche américaine les avait enfermés.
Afin de réussir son pari Trump doit nécessairement mettre un terme à l’immigration clandestine, en effet les « illégaux », du fait qu’ils travaillent à très bas salaire, font concurrence aux travailleurs américains non spécialisés et contribuent ainsi à la baisse des revenus d’emploi. La volonté de Trump se heurte aux intérêts des uns et des autres : les patrons qui s’enrichissent aux dépens des employés à bas salaire, et les démocrates qui voient dans les clandestins un futur eldorado électoral. Il doit également se confronter aux différents lobbys pro-immigrants financés par les richissimes « philanthropes » mondialistes, dont George Soros. Mais mettre un terme à l’immigration illégale c’est également faire échec au crime et en particulier à la contrebande de drogues. C’est par le fait même améliorer la sécurité à l’intérieur des grandes cités telles Chicago et Detroit, et permettre à leurs habitants de sortir du marasme économique et social qui les accable depuis des générations.
Le levier du pétrole
La renaissance que Trump est en train de réaliser repose en premier lieu sur la prospérité économique et l’unité nationale. Ces fondements sont essentiels, ils constituent à la fois sa base de lancement et sa profondeur stratégique. Le combat qui l’oppose au mondialisme est sans merci, il se déroule sur plusieurs fronts, dont celui de l’énergie. Trump a non seulement donné carte blanche aux producteurs d’énergie (charbon, pétrole et gaz) en les débarrassant des carcans réglementaires, il leur a également permis d’opérer sur toutes les terres appartenant au gouvernement fédéral, y compris en Alaska, ainsi que dans la zone économique au large des côtes américaines. Dès son entrée à la Maison-Blanche, il a donné le feu vert à deux projets majeurs de pipelines, le premier acheminera le pétrole produit en Alberta vers les raffineries du Texas, le second le pétrole de schiste extrait au Dakota. « Nous ne visons pas uniquement l’autosuffisance en énergie, nous visons la domination. » Cette déclaration Trump l’a répétée à plusieurs occasions, elle traduit sa volonté de faire des États-Unis le joueur principal sur le marché mondial du pétrole et du gaz naturel.
En novembre 2017 un article publié dans la revue Fortune fait état d’une augmentation imminente de la production américaine d’hydrocarbures. Basé sur les estimés de l’Agence Internationale de l’Énergie (AIE) à Paris, ce boom pétrolier éclipsera de loin les records du passé. Les prévisions sont à l’effet que 80% de l’augmentation mondiale de la production de pétrole au milieu des années 2020 proviendra des États-Unis, faisant d’eux des exportateurs nets de pétrole et le plus grand exportateur de gaz naturel liquéfié. « Les États-Unis à l’échelle mondiale deviendront le leader incontesté du pétrole et du gaz pour les décennies à venir, » a déclaré Fatih Birol le directeur de l’AIE, et il a renchéri en signalant qu’autour de 2030 ils devraient plus que doubler leur production de pétrole, dépassant probablement les 31 millions de barils par jour. Mais si l’on s’en tient au court terme, pour le mois de janvier 2018, l’agence Reuters a rapporté des prédictions à l’effet que la production quotidienne dépassera le seuil des 10 millions de barils, un « exploit » qu’aucun expert croyait possible il y a à peine quelques années.
Dans le champ de l’énergie Trump s’est assigné trois objectifs principaux :
- alimenter à prix raisonnable la croissance économique américaine
- augmenter l’exportation d’énergie fossile incluant le charbon.
- réduire le déficit commercial
L’atteinte de ces trois objectifs aura des conséquences stratégiques à long terme soit :
- Maintenir le faible prix du pétrole sur les marchés mondiaux
- Réduire d’une façon permanente les revenus que les pays islamiques et la Russie tirent du pétrole
- Réduire les débouchés et l’effet de levier politique du pétrole produit par ces mêmes pays
- Affaiblir l’OPEP et l’obliger à se saborder
- Permettre à l’Europe et au Japon de diversifier leurs sources d’énergie
- Forcer les pays islamiques exportateurs de pétrole à renoncer à leurs ambitions planétaires en ce qui concerne la diffusion de l’islam
- Les amener à remettre en question le type de société patriarcale et tribale qui freine leur évolution vers la modernité
- Contrôler autant que faire se peut le pétrole importé par la Chine
Il est possible de déceler d’ores et déjà les fruits de cette politique de suprématie dans le champ de l’énergie. L’Arabie Saoudite a amorcé des réformes substantielles de sa politique économique et sociale, d’exportateur de l’idéologie islamique wahhabite elle affiche à présent sa volonté de promouvoir un islam ouvert et respectueux des autres religions. Consciente qu’elle ne pourra plus contrôler le marché du pétrole, elle se place volontiers dans le giron américain, non seulement pour assurer sa sécurité face à l’Iran, mais également pour préserver ses parts de marché. Les monarchies pétrolières à l’exception du Qatar s’ajustent rapidement à la nouvelle donne ; sur le marché de l’énergie elles ne détiennent plus le gros bout du bâton, partant leur intérêt leur dicte de se placer dans l’orbite économique américaine et de peser de tout leur poids afin de résoudre le problème israélo-palestinien.
La montée en puissance de la Chine est l’un des facteurs déterminants dans le choix que font les monarchies pétrolières de se placer à l’ombre du géant américain. L’appétit immodéré de la Chine pour le pétrole et l’expansionnisme économique dont elle fait preuve en Asie et en Afrique leur ont fait prendre conscience de leur vulnérabilité. Trump y voit une occasion à ne pas manquer, celle de leur accorder la protection de l’Amérique en échange de leur coopération dans le contrôle du marché du pétrole ; le but visé étant de mettre un frein à l’expansion chinoise.
La restauration de la suprématie militaire
Les forces armées américaines ont été passablement éprouvées par seize ans de conflits en Afghanistan et en Irak. Mais c’est au niveau du moral des troupes que l’épreuve s’est avérée particulièrement pénible. Le défaut de définir des objectifs clairs et de permettre à l’armée de les atteindre sans interférence politique a fait en sorte que les militaires ont développé le sentiment d’avoir été utilisés et sacrifiés pour des résultats dérisoires. Si l’on ajoute à cela des règles d’engagement absurdes qui augmentent le risque d’être tué ou blessé, on se retrouve avec des soldats profondément mécontents et démoralisés.
Toutes les branches des forces armées américaines ont vu leurs effectifs et leur équipement réduits. Au sortir de huit ans d’Obama les États-Unis conservaient malgré tout leur suprématie sur le plan stratégique, cependant la Chine et à un moindre degré la Russie comblaient rapidement leur retard. D’aucuns voient dans la Chine la future superpuissance qui supplantera une fois pour toutes l’Amérique, ils s’en trouvent même qui se réjouissent à l’idée qu’un État non démocratique et oppressif accède au rang de leader du monde et contrôle ainsi le destin de la planète.
« La Paix par la puissance » tel est le mot d’ordre de Trump qui résume sa vision sur le plan militaire. La paix mondiale est tributaire de la puissance américaine, à l’inverse la faiblesse relative de l’Amérique est source d’incertitudes et accroît les risques de conflits. En tant que gendarme du globe, l’Amérique joue un rôle ingrat mais nécessaire, c’est par la dissuasion plutôt que par l’usage des armes qu’elle assume cette lourde responsabilité. Pour bien remplir leur rôle, les forces armées américaines doivent être abondamment pourvues d’effectifs et de matériel de qualité, mais elles doivent également se prévaloir d’une doctrine bien articulée et sans ambiguïté : l’objectif qu’on veut atteindre doit être clairement défini, les moyens nécessaires doivent être disponibles et rien n’est acceptable en dehors de la victoire. Fini le temps où les décideurs politiques se permettent de gérer quotidiennement l’effort de guerre à la place des officiers sur-le-champ de bataille. Le président et son équipe désignent l’objectif et s’en remettent aux militaires professionnels pour accomplir la mission. Fini également le temps où on défendait au soldat d’ouvrir le premier le feu sur l’ennemi, ou de lui tirer dessus s’il se trouve des civiles à proximité.
La suprématie militaire de l’Amérique vise également des objectifs secondaires dans la
Pendant ce temps, le journal de propagande l' »immonde » titre: « Où en sont les promesses de Trump? ».
Obama voulait créer le vide dans lequel se serait engouffrer les fossoyeurs de la civilisation Occidentale. Et la Clinton qui voulait lui succéder. Heureusement, Trump est arrivé avec sa casquette et son grand manteau.
Le système bancaire? C’est dans celui ci que le mondialisme prend sa source.
Surprise: les Merdialopes font de l’anti-Trump.
Même sa façon de pisser ne doit pas leur plaire: ils préféreraient peut-être qu’il lève la patte, au moins ils pourraient dire: « »vous avez vu, il n’est pas normal ».
Article magnifique qui aide à comprendre.
Hier soir, au journal de 20 heures de TF1 ils ont fait le résumé d’un an de gouvernement de Trump et ce ne fut que des critiques négatives. C’était tellement grossier que je me suis dite que les Français étaient bien manipulés par leurs médias!
Aucun mot sur le niveau de la bourse à Wall Street, la baisse du chômage, la baisse de l’immigration.
En France nous sommes manipulés tout comme en UE, c’est le soft totalitarisme, la novlangue de « 1984 » de Orwell.
Wauquiez peut s’inspirer de Trump car notre Jupiter national essaie de ressembler à Obama ni plus ni moins.
Article long mais magnifique qui aide à comprendre ce qui se joue actuellement au niveau mondial.
Hier soir, au journal de 20 heures de TF1 ils ont fait le résumé d’un an de gouvernement de Trump et ce ne fut que des critiques négatives. C’était tellement grossier que je me suis dite que les Français étaient bien manipulés par leurs médias!
Aucun mot sur le niveau de la bourse à Wall Street, la baisse du chômage, la baisse de l’immigration.
En France nous sommes manipulés tout comme en UE, c’est le soft totalitarisme, la novlangue de « 1984 » de Orwell.
Wauquiez peut et doit s’inspirer de Trump car notre Jupiter national essaie de ressembler à Obama ni plus ni moins. Macron est multiculturaliste, mondialiste, individualiste, libertaire. Il a été mis en place par la finance internationale.
L’UE telle qu’elle est aujourd’hui nous conduit au suicide et ce n’est la vision européenne de Macron qui va nous sauver bien au contraire, elle va accélérer ce suicide.
Chers électeurs américains veillez bien sur le président Trump.
Vous n’imaginez pas à quel point, nous en europe sommes en syndrome de glissement vers la mort lente.
Pour le remercier de tout ce qu’il fait pour reconstruire le pays miné par l’autre imposteur musulman, espérons que D.Trump sera réélu.
Oui-oui-oui, qu’il soit réélu. Peut-être les Européens vont-ils commencer à réfléchir et faire des comparaisons. J’ai bien dit « peut-être ».
la vision stratégique est présentement paralisé par les démocrates car ils ont bloquer les finances ( salaire ) de 850 000 employés de l’état et de 1.5 million de militaire bref Trump avait promis de sortir tout les illégaux ( dreamers ) pour ne garder uniquement ceux qui avait suivi le bon proccessus d’entré au pays pour ne pas ressembler a l’Europe et les démocrates ont un malin plaisir a prendre en ôtage toute la population
Magnifique analyse…
À faire lire et relire à tous nos proches cet éditorial qui éclaire un monde à première vue incompréhensible car on nous enfume de partout.
Merci pour cet article de qualité. Il offre une vision macro éclairante et témoigne de la cohérence de la politique de Trump.
Un véritable article de référence à conserver.
Voilà la meilleure manière de célébrer la première année de présidence Trump : un bilan exhaustif, respectueux de la réalité et visionnaire. Merci Hélios d’Alexandrie.
Après avoir entendu hier les bilans essentiellement mensongers et désespérants de médiocrité des média occidentaux on ne peut que se réjouir d’avoir lu celui-ci.
Que Dieu tout puissant veille sur Donald Trump.
Mille Bravos pour analyse claire simple, complète .
Je vous FÉLICITE
Ce serait souhaitable de le présenter dans nos Universités.
Merci Merci
Un grand merci pour cette analyse, longue, complète et ô combien intéressante.
Je m’empresse de l’archiver.
Hier, j’ai regardé C dans l’air sur France 5, consacré au un an de présidence de Donald TRUMP. Comme toujours avec les médias français, ce n’était que du dénie. Heureusement, il y avait une journaliste du Figaro, Laure Mondeville, qui contrecarrait autant qu’il lui était possible, les affirmations partisannes des autres invités.
A noter qu’elle était seule contre tous, y compris Bruce Toussaint (qui aurait dû être neutre).
Analyse parfaite et à promouvoir à tous prix… Une arme on ne peux plus efficace et imparable pour mettre KO tous ceux que nous croisons dans les diners en ville ou ailleurs (y compris la famille..) et qui nous bannanent à longueur de temps les » clowneries debiles d’un Trump malade et dangereux » Enfin des arguments en acier à faire valoir à nos contacts pro’ et politiques (s’il en est…) histoire de leur mettre le nez une bonne fois pour toutes dans leur irresponsable entêtement à ne pas vouloir voire la réalité… Cette analyse est à plaquarder sur nos murs, sur nos écrans, dans nos tweets et messages, forums préférés et autres medias habituels pour tuer cette saloperie d’ideologie qu’est le mondialisme et ce liberalisme specieux qui nous anesthésie depuis trop longtemps… « Allez et marchez de par le monde pour delivrer la verité et la parole libérée » ça a très bien marché il y a un peu plus de 2000 ans…Alors n’hesitons pas à pomper la méthode….
Qui peut me dire qu’elle substance hussein à pû faire avaler à la Nation Américaine, pour lui avoir donner Mandat , à deux reprises,
@ Namanohe
A mon avis, le deuxième mandat n’a été obtenu que grâce à une fraude électorale massive.
Merci Monsieur Helios pour votre analyse qui on ne plus pertinente.
Il serait également bon que certains Gouvernants de l’UE
( Ayants des grosses têtes ) s’en imprègne , avant qu’il ne soit trop tard, car actuellement, certains marchent sur la tête, et d’autres font l’Autruche.
Il faut espérer pour le bien de l’humanité qui s’effondre.
Le meilleur réquisitoire contre un effet de mode, un effet de manche , pour tous les bobos su monde occidental, et pendant ce temps, l’Occident s’est affaibli?enfin la vérité ressort , mais à quel prix! L’Occident a été sciemment affaibli et prendra des anéees à s’en remettre.
Alors que l’espoir suscité par l’élection d’Obama semblait amorcer une nouvelle ère, l’affaiblissement de l’Occisent , si bien décrit dans cet article, confirme et les préjugés et l’incompétence du régime précédent , et l’Occident en sort afaibli. Veci expliquant cela, la grande masse des électeurs conspue et méprise à raison la haine et les atermoiements des bobos nantis .
Le meilleur réquisitoire contre un effet de mode, un effet de manche , pour tous les bobos du monde occidental, et pendant ce temps, l’Occident s’est affaibli?enfin la vérité ressort , mais à quel prix! L’Occident a été sciemment affaibli et prendra des annéees à s’en remettre.
Alors que l’espoir suscité par l’élection d’Obama semblait amorcer une nouvelle ère, l’affaiblissement de l’Occisent , si bien décrit dans cet article, confirme et les préjugés et l’incompétence du régime précédent , et l’Occident en sort afaibli. Ceci expliquant cela, la grande masse des électeurs conspue et méprise à raison la haine et les atermoiements des bobos nantis .
Merci Hélios !
et bonne année 2018.
Merci Ayin pour vos souhaits. Bonne et Heureuse année à vous également.
Excellent article. Remarquable analyse.
Merci M. Millière, venant de vous c’est tout un honneur. Je profite de l’occasion pour rappeler aux lecteurs que vous avez été l’un des rares et sans doute le premier à prédire l’élection de Donald Trump. Vous avez également prédit la révolution qui se déroule à présent sous sa direction. Souhaitons-lui et à son équipe de réussir.
Merci Hélios pour ce texte magistral.
J’aurais aimé que vous en disiez un peu plus sur les relations Moscou/Téhéran qui posent problème . La visite du roi Salman à Moscou en octobre dernier fait entrevoir un rapprochement Moscou/Riyad, mais Poutine demeure dans une position délicate concernant les Iraniens.
@ Magali Marc,
Merci pour votre commentaire élogieux. Malgré la longueur de l’article il y a des points que je n’ai fait qu’effleurer et d’autres que j’ai passé sous silence comme celui que vous signalez.
Poutine et les mollahs poursuivaient le même objectif soit la sauvegarde du régime Assad en Syrie, ils se sont donc alliés dans ce but précis et ils y ont réussi. Mais sans être nécessairement divergents leurs intérêts en Syrie ne sont plus les mêmes. Poutine est surtout intéressé à conserver ses bases aériennes et navales sur la côte syrienne, et les mollahs veulent que la Syrie leur serve de tremplin pour attaquer Israël. Les objectifs sont différents mais pas incompatibles, cependant Poutine évite soigneusement de se laisser entraîner dans une confrontation avec Israël, d’ailleurs il ferme les yeux à chaque fois qu’Israël attaque préventivement les installations militaires iraniennes.
L’aviation russe basée en Syrie aide les forces irano-libanaises à conquérir les places fortes tenues par les factions djihadistes. En contrepartie les forces iraniennes assurent les arrières des russes. Mais il s’agit là d’un arrangement temporaire parce que la guerre civile en Syrie semble tirer à sa fin.
Il n’est pas garanti que dans l’après guerre, les russes et les iraniens seront heureux de cohabiter, en fait leurs intérêts ne seront pas nécessairement convergents: les iraniens voudront absolument garder Assad au pouvoir, tandis que les russes pourraient le laisser tomber lors des négociations sur un règlement globale de la crise syrienne.
Poutine n’éprouve pas de sympathie particulière pour les mollahs et la réciproque est vraie, mais ils s’utilisent mutuellement pour avancer leurs intérêts. Il faut dire que pour le moment Poutine n’a pas peur de l’Iran chiite, les mollahs ne cherchent pas à exporter leur idéologie en Russie pour la déstabiliser et étendre leur influence. Dans ses négociations avec Trump et le camp sunnite représenté par l’Arabie Saoudite, Poutine garde dans sa manche la carte iranienne, il ne la laissera pas tomber sans contrepartie intéressante, par exemple il pourrait en échange faire reconnaître son annexion de la Crimée.
Poutine se méfie des saoudiens et des qataris, c’est que leur argent a servi à fanatiser les musulmans de Russie et à financer le terrorisme. Toute entente avec eux devra nécessairement inclure une clause leur interdisant de financer les mosquées russes.
Merci Hélios de ces éclaircissements! le triangle Trump/Poutine/ Téhéran reste à surveiller!
« L’Histoire de l’humanité ne connaît pas d’exemple similaire où des « empires » bien établis et surpuissants, tels que les États-Unis et l’Europe occidentale, aient contribué à susciter un rival de puissance égale à la leur. »
Je me permets de reformuler — c’est la première fois dans l’histoire (à ma connaissances du moins) où des pays en développent d’autres qui leurs sont concurrents. La Chine n’est pas le seul pays et l’industrie n’est pas le seul domaine.
Aujourd’hui il y a en France plus d’algériens qu’il n’y en avait en Algérie avant 1950 : il y en a probablement une demi-douzaine de millions en France aujourd’hui contre 9 millions en Algérie en 1950. Des chiffres de l’ONU ou l’UE estiment qu’il y a 30 millions d’africains qui n’attendent que de venir en Europe alors qu’il y a un siècle il n’y avait pas plus de 100 millions d’africains dans toute l’Afrique.
En d’autres termes, si nous ne leur avions pas apporté l’électricité, l’eau courante, les médicaments, etc… — bref, tout ce qui permet l’essor démographique, alors nous ne connaitrions pas le problème d’immigration (je ne parle même pas de masse) puisque leurs démographies seraient bien trop faible pour cela.
Mais puisque depuis la Révolution Industrielle le quantitativisme est de mise et sous-tend l’ensemble des économies — et par ensemble il faut entendre libéralisme et communisme —, « nous » avons nourri notre ennemi pour lui vendre nos babioles… Et à la place de dominant « nous » avons troqué celle de (bientôt) dominé.
@ Calchas :
Excellent commentaire. Le quantitativisme est l’un des résultats les plus vicieux du « colonialisme ».
Je tiens à exprimer ma gratitude à tous les lecteurs qui ont apprécié cette analyse. Je suis de plus en plus convaincu que nous nous trouvons en ce moment à un tournant de l’Histoire, nous avons par conséquent la responsabilité d’en témoigner non comme spectateurs passifs, mais comme citoyens avisés et soucieux de transmettre cet éclairage à tous ceux qui cherchent à comprendre le sens des événements. L’information c’est le pouvoir et c’est sans doute à cause de cela que les médias font tout pour nous désinformer.
Hélios d’Alexandrie,
Quand vous parlez de la France vous incluez la Corse , qui n’est pas Française c’est un pays d’hommes des vrais ils parlent le Corse une langue comme l’Anglais l’Espagnol ou autre , mais cette ile ne se reconnaît pas comme Français et demandent leur indépendance ils ont bien raison il faut se séparer des Euro pédales
@ Mr-XX121
Mais oui, c’est ça, la Corse n’est pas française parce qu’elle a sa propre langue (sauf dans tous les endroits où domine les dialectes ligure ou autres), la Bretagne, la Provence et le Pays Basque non plus puisqu’ils ont eux aussi leurs propres langues, et puis l’Alsace, bien qu’elle n’ait qu’un dialecte, et la Catalogne n’est pas espagnole, c’est bien connu. Pourquoi s’arrêter là d’ailleurs, et ne pas revenir au morcellement de l’Europe de l’Ouest de l’an mille sous lequel elle s’est effondrée?
J’aimerais voir comment se débrouilleraient ces provinces revendicatrices si elles devenaient vraiment indépendantes, c’est-à-dire seules responsables de leur économie et de leur défense. Quelle aubaine pour les prédateurs, les pillards du type musulman par exemple, qui d’ailleurs poussent à la roue en Catalogne et pour les puissances de l’Est, toujours désireuses de placer leurs pions en Méditerranée ou ailleurs !
On dirait que vous n’avez pas plus de notions d’Histoire que de bon sens. Que croyez-vous qui soit arrivé à la Belgique nouvellement indépendante en 1914 et 1940, par exemple, bien qu’elle ait été déclarée pays neutre étant donné que sa taille ne lui permettrait pas d’assurer seule sa défense?
Il y aurait toutefois une condition préalable à toute discussion concernant l’indépendance de la Corse : qu’elle obtienne de l’Italie (puisque Gênes en fait désormais partie) le remboursement à la France les deux millions de livres déboursées pour l’acquisition de l’ île, convertis en euros et grossis des intérêts depuis 1768.
Merci Helios d’Alexandrie pour votre remarquable analyse qui se lit comme un roman!
Excellente analyse , oh , combien juste et précise, mais Trump n’a pas seulement
Contribue à ces transformations, par sa vision stratégique sur le monde en général , mais aussi sur le problème israelo-arabe en particulier !
Israël, peut remercier cet homme , pour ses vues sur ce problème au moyent-orient , et beaucoup de choses ont changé et vont encore changé, grâce à cet homme et grâce à l’ Eternel notre Dieu …..
Merci , Helios , et surtout merci , monsieur le PRESIDENT .
Bravo Helios ! Superbe article, une petite lumiére dans la nuit , encore merci , on se sent moins seul .
Synthèse très intéressante de l’action de Donald Trump, des enjeux, des moyens, merci.
Cela dit, permettez-moi d’avoir un petit doute quand vous écrivez : « L’exemple d’une Amérique prospère, jouissant du plein emploi, libérée de l’immigration illégale et du carcan des organismes supranationaux, a de quoi faire réfléchir les Européens qui souffrent et qui assistent impuissants à l’invasion programmée de leur territoire et à la mutilation de leur paysage socioculturel. »
En effet, rien de ce que nous voyons et entendons, en France, depuis l’élection de Trump, de la part des médias censés nous informer de la situation, ne nous permet – sauf évidemment à s’informer auprès des rares médias encore honnêtes, dont Dreuz – de constater que l’Amérique redevient prospère, sûre et optimiste.
Au contraire, à entendre et lire les médias, Trump est un fou dangereux qui doit absolument être destitué rapidement si le monde, mais aussi les Américains, veulent éviter la catastrophe.
Et la plupart des gens croient les médias menteurs ! – la déchéance intellectuelle, morale et spirituelle ayant atteint chez beaucoup le point de non-retour, à l’évidence –
Donc ce n’est hélas pas demain la veille que les Français, ou les Européens de l’ouest, éliront à leur tête un président partageant les vues de Donald Trump.
@ Jacques Ady,
Merci pour votre commentaire. Vous avez tout à fait raison en ce qui concerne le court terme, les gens qui prêtent une oreille plus ou moins distraite aux médias continueront de les croire; mais arrivera un moment où, malgré leur crédulité ou leur manque de curiosité, la réalité s’imposera à eux. Peu importe s’ils sont convaincus que Trump est un idiot ou un fou dangereux, la prospérité et la montée en puissance de l’Amérique leur sautera aux yeux un jour ou l’autre.
L’antiaméricanisme est bien ancré dans les mentalités mais cela n’empêche pas les gens de s’américaniser doucement. Tout en dénigrant Trump les français, les anglais, les italiens etc. se mettront à espérer que des personnalités politiques fortes et patriotiques émergent et prennent le pouvoir.
En Europe les attaques vicieuses et répétées des médias contre Trump n’ont qu’un seul but: empêcher les gens d’espérer.
Puissiez-vous avoir raison, Hélios.
Le Monde Watch are keeping up on the current wave, tidal wave is more like it, of anti-American rhetoric in advance of the June 6 commemoration. No, it’s not just anti-Trump commentary as some hypocritical French prefer to point out, it’s hate speech plain and simple.