Dans vingt ou trente ans, les historiens et les penseurs désigneront l’Obamagate comme l’évènement déclencheur d’une remise en question profonde sur le plan moral.
Quand la poussière retombera et que la cacophonie cessera, les sociétés occidentales se retrouveront face à elles-mêmes à s’interroger, non seulement sur le pourquoi et le comment de ce scandale qui frappe les élites et les institutions, mais principalement sur le Tchernobyl moral qui l’a rendu possible.
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Le camp du bien
L’Obamagate est juché sur une montagne de fausses valeurs et de mensonges. À la base se trouve la conviction d’appartenir au camp du bien, celui qui est appelé à décider de l’avenir du pays, voire de l’Occident. Rien ne doit entraver sa mission salvatrice, et rien ne doit empêcher ses chefs et leurs lieutenants d’opérer en toute liberté. C’est pourquoi il leur était important de se saisir du pouvoir moral et de le garder, ce pouvoir est celui de désigner ce qui est bon et ce qui est mauvais pour la société, et il autorise d’élever ceux qui sont vertueux et de rabaisser ceux qui à leurs yeux ne le sont pas.
Parce que le camp du bien incarne la vertu, rien ni personne ne doit l’ébranler. Certes il ne s’appuie pas sur une philosophie ou sur un dogme religieux, car étant lui-même sa propre norme, il ne peut être autre chose que ce qu’il pense et dit de lui-même. Cependant l’autorité morale qu’il revendique ne s’impose pas d’elle-même, il lui faut les moyens puissants que procurent les médias, l’enseignement ou plutôt l’endoctrinement et la censure. Formater les esprits et éliminer la concurrence sont de nature à asseoir solidement son pouvoir moral.
Du moment que le camp du bien se manifeste dans un lieu ou dans un pays, il fait valoir son autorité morale pour attirer des adhérents; cependant pour mériter d’en faire partie il convient en premier lieu de se départir de son esprit critique, le reste se fera sans effort. Les nouveaux convertis ne tardent pas à entrer dans l’enclos, désormais rien ne pourra les amener à regarder ailleurs. Parti-pris et intolérance vont de pair, ils permettent au sentiment de supériorité morale de s’exprimer et à l’esprit de corps de se manifester partout et à chaque fois que la cause commune rencontre un obstacle.
Il est gratifiant et rassurant d’appartenir au camp du bien, assurance et confort moral vont de pair avec tout un catalogue de certitudes et de fausses valeurs. Il en résulte un dualisme qui divise arbitrairement la société et qui ordonne le silence aux réfractaires: ceux qui s’opposent ouvertement à la pensée unique, comme ceux qui cèdent à l’intimidation.
Totalitarisme et perversion morale
Il suffit d’appartenir au camp du bien pour que tout péché soit absout d’avance. Distinction est faite entre la morale et la pratique, en fait la supériorité morale accorde un blanc-seing qui autorise de prendre les moyens nécessaires y compris les plus contestables:
Selon divers besoins, il est une science
D’étendre les liens de notre conscience,
Et de rectifier le mal de l’action
Avec la pureté de notre intention. (Molière, le Tartuffe acte IV, scène 5)
Comme on peut le constater il ne s’agit nullement d’une nouveauté. Ce qui est nouveau par contre est l’aspect systématique de la chose et la corruption des esprits qu’elle génère. Le camp du bien engendre la pensée unique et s’attribue la suprématie morale, pour imposer sa dictature sur les esprits, et se mettre au-dessus des lois.
Le camp du bien se doit de pervertir la démocratie et de la mettre à son service, tout en faisant croire aux électeurs que leur volonté s’exprime et que leur choix s’impose. La machine médiatique joue le rôle du chien-berger, elle rabat le troupeau et le conduit à l’enclos. L’art de la propagande a beaucoup évolué, il a gagné en subtilité sans rien perdre de sa puissance; les idées et les opinions ne sont plus imposées par en haut, elles découlent naturellement de la désinformation. Les faits sont présentés de telle façon que les conclusions logiques ne peuvent être tirées:
… Et je l’ai mis au point de voir tout, sans rien croire. (Molière, le Tartuffe acte IV, scène 5)
La calomnie et la destruction systématique des valeurs
De la même façon que la démocratie est pervertie, les acquis de la civilisation occidentale sont systématiquement attaqués: la liberté de pensée, l’esprit critique, la liberté d’expression, la responsabilité individuelle, la valorisation de l’excellence, la sacralité de la vie, la famille et la communauté, le judaïsme et le christianisme, les traditions et les coutumes, l’art, la culture, la fierté et l’identité nationale, le patriotisme, le sens de l’honneur et du devoir, la loyauté et le courage, le respect de soi-même et des autres, la décence et la bienséance etc. L’objectif est d’en arriver à une société éclatée et sans repères facile à manipuler et à conduire.
L’arme redoutable du dénigrement et de la calomnie sert à culpabiliser les gens et à faire taire la dissidence. Réécriture de l’Histoire, dénigrement du passé, culpabilisation systématique, repentance etc. le but est de faire en sorte que les gens aient honte d’eux-mêmes et se résignent à expier les fautes imaginaires qu’on leur attribue. Le but est également de les contraindre à subir sans résistance une immigration de masse qui les rendra étrangers dans leur propre pays. Et pour qui ose s’élever contre cette entreprise d’effacement national et de fragmentation de la société, l’arme de la calomnie est aussitôt mise à contribution: accusations sans fondement, procès d’intention, condamnations sans jugement ni preuves, attaques vicieuses et injures, assassinat de caractère, poursuites judiciaires et j’en passe; le but étant de détruire moralement le dissident et d’intimider tous ceux qui seraient tentés de l’imiter.
Donald Trump ou l’abcès de fixation
Les élections américaines de 2016 ont élevé au pouvoir l’antithèse par excellence du camp du bien, un homme bien décidé de mettre fin à cette entreprise perverse de transformation radicale de la société. Ceux qui l’ont élu sentaient confusément le besoin de mettre un terme à la déchéance et à l’hypocrisie, c’est pourquoi ils se sont reconnus en lui et ont applaudi à son rejet de la rectitude politique et à son intention d’inverser le cours des évènements pour rendre à la nation sa grandeur et son unité.
Dès l’annonce de sa candidature le système immunitaire du camp du bien s’est mis en marche pour le détruire, tout a été mis à contribution et rien n’a été négligé. La quasi unanimité qui s’est constituée contre lui est un indice qui ne trompe pas de la largeur et de la profondeur des assises du camp du bien, capable en cela de mobiliser la totalité de la gauche, les médias, les élites et une partie non négligeable de la droite. Mais malgré son ampleur et sa diversité, ce mouvement de résistance souffrait d’une tare fondamentale, soit le peu de crédit qu’il détenait auprès de la majorité silencieuse.
Malgré l’élection de Trump le camp du bien a refusé de jeter la serviette, alors qu’il feignait de respecter les règles et les conventions du jeu démocratique, il avait même avant les élections, entrepris des manœuvres à la fois immorales et illégales. À cet effet l’État profond, son bras armé, a été instrumentalisé mais sans succès. Ayant échoué dans son entreprise, le seul choix qui s’est offert à lui fut le coup d’État. Les haut-fonctionnaires, responsables de la justice et de la répression du crime, se sont placés au-dessus de la loi dont ils étaient pourtant les principaux garants. Confiants de leur “bon droit” et sûrs de leur impunité, ils ont usé de calomnies avérées et abusé de leur pouvoir pour espionner et prendre en faute le nouveau président. Ils n’auraient sans doute jamais pris de tels risques s’ils n’étaient soutenus par le camp du bien. Pris en flagrant délit de complicité criminelle avec le parti opposé, ils risquent de jouer le rôle peu enviable de boucs émissaires.
En se portant candidat à la présidence Trump a attiré à lui tous les coups, son élection toutefois aurait dû mettre un terme aux attaques mais celles-ci ont redoublé. Toute l’énergie du camp du bien a été mobilisée pour faire échec à sa présidence. Un véritable abcès de fixation s’est formé, c’est comme si la survie du camp du bien ne dépendait que de la chute de Trump. L’abcès finira bien par crever et le président semble en bonne position pour en drainer tout le pus.
Le point tournant de l’Obamagate
Avec L’Obamagate le camp du bien à joué son va tout. L’enjeu était d’importance autrement il n’aurait pas eu recours à la dissimulation, à la calomnie, à l’abus de pouvoir et au coup d’État, aux fins d’invalider le processus démocratique et destituer un président légitime.
Trump sans le vouloir a forcé le camp du bien à jeter le masque et à se montrer dans toute sa laideur. Mais au lieu de garder le silence, faire son examen de conscience et tirer les leçons de l’évènement, le camp du bien a choisi la fuite en avant, refusant d’admettre ses égarements, persistant dans ses attaques vicieuses et faisant flèche de tout bois. En tentant par tous les moyens de cacher ses crimes derrière des écrans de fumée, il aggrave son cas et achève de perdre toute crédibilité.
Il y a un avant l’Obamagate et il y aura sans doute un après. L’avant malgré les zones d’ombre est bien connu, mais les contours de l’après sont flous et il est encore tôt pour prédire ce qui va se passer en Amérique et ailleurs en Occident suite à ce scandale. D’ailleurs seul le premier voile vient d’être levé et l’essentiel reste à venir; mais quelles que soient ses ramifications, son impact sur nos sociétés restera le même. C’est comme si le sortilège des imposteurs et des hypocrites était en train de s’évaporer, mais nos sociétés ne seront pas pour autant tirées d’affaire, le mal dont elles souffrent ne s’éliminera pas comme par enchantement et seul l’avenir dira si elles n’en garderont pas des séquelles permanentes.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hélios d’Alexandrie pour Dreuz.info.
Let my people go ….
What do you mean?
Le camp du bien, ou l’autre nom pour désigner l’union soviétique…
Vous décrivez les mécanismes du système soviétique couplé à des méthodes mafieuses.
Des têtes tombent mais c’est de la prison pour les gros caïds qu’il faut.
On dira que je radote mais c’est Israël qui a mis un ancien premier ministre et un ancien président en prison, ce n’est pas rien quand même.
Mon cher Hélios
Le ver est dans le fruit…
Une gauche pervertie, qui excelle et prospère dans le conflit binaire, qui a perverti la morale et s’est employée à la destruction systématique des valeurs, qui a instauré durablement un totalitarisme sans complexe, ne peut laisser derrière elle que des ruines et séquelles permanentes.
Pour reconstruire il faudra du temps et des hommes de bonne volonté.
En Europe de l’Ouest c’est à présent la dictature des hommes politiques sans charisme, sans envergure, petits, mesquins, sans vision géopolitique claire et stratégique visionnaire, médiocres technocrates et bureaucrates dans l’âme.
Une « élite » qui se délite…
Bien à toi
FS
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En Europe de l’Ouest c’est à présent la dictature des hommes politiques sans charisme, sans envergure, petits, mesquins, sans vision géopolitique claire et stratégique visionnaire, ………..
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Heureusement, pour la plupart, ils sont aussi sans descendance.
Sans descendance physique peut-être, mais pas intellectuelle, loin, très loin de là.
Mon cher François,
Nous naviguons depuis longtemps entre l’espoir et la déprime. Force est de constater que la partie s’avère de plus en plus difficile, à cause du succès de la propagande du camp du bien et du refus des gens de prendre acte de la réalité.
Le salut viendra-t-il de l’autre rive de l’Atlantique? Compte tenu des derniers événements la question mérite d’être posée.
Plus de soixante-dix ans de paix sous le parapluie américain ont atrophié la combativité des européens. La quasi disparition du patriotisme, le matérialisme, le relativisme, la confusion morale et le matraquage médiatique leur ont fait perdre le Nord et affaibli leur instinct de conservation.
Il en va de même pour les canadiens et à un bien moindre degré pour les américains, mais ces derniers ont quand même relevé le défi et sont en voie d’inverser la tendance.
Les européens, paradoxalement peuvent compter sur la déferlante islamique et la complicité de leurs dirigeants pour enfin se réveiller. Le confort que procure le déni de la réalité n’en a plus pour très longtemps, la souffrance salvatrice prendra le relaie et c’est elle qui réveillera l’instinct de conservation.
Amitiés,
Hélios
Merci pour cet article.
On ne peut lire tous ces articles à propos de l’Obamagate sans penser à ce qui s’est passé pour F Fillon et sans penser à Macron mis en place par la finance internationale et Bilderberg.
Les Français ont été bien naïfs et manipulés et ils continuent de l’être. Car Macron fait beaucoup de communication pendant qu’il fait le contraire de ce qu’il proclame.
Combien de temps les Français vont ils se laisser “bercer”, anesthésier par ces discours, par ces médias, journaux et journalistes?
Avons nous atteint un tel degré de décadence que finalement nous nous contentons de “pain et des jeux”, tout le reste dont les valeurs étant accessoires? Je suis très inquiète.
Néanmoins, Fillon n’est pas très propre.
Macron non plus, me direz-vous.
Mais lorsque ce guignol nous aura emmenés au fond du puits, peut-être donnerons-nous le coup de pied salvateur.
Le plus tôt sera le mieux.
Encore moi:
Avez-vous pris la mesure du niveau intellectuel du Français moyen, dont je fais partie. Sauf que moi je me targue de réfléchir, d’analyser. Et pourtant, je n’ai pas de descendance. A 75 ans, je pourrais me dire que je n’en ai rien à foutre. Mais au contraire, je me démolis la cervelle pendant que des mères et pères de famille regardent Plus Belle La Vie en attendant des jours meilleurs, tout en me disant que je suis casse-bonbons
@ Ralphe
Bien vu , bien dit concernant le niveau intellectuel du Français moyen, voire d’un
nombre important de plus que moyen. C’est un désert d’objectivité et d’analyse de la réalité. Il se trouve une quantité de gens, qui quand bien même se trouvant socialement à un niveau supérieur du quidam moyen, sont complètement à coté de la plaque. C’est d’une lamentable réalité, et décevant à l’ extrème.
Comme vous à 74 ans je pourrais dire que j’en ai rien à foutre. Mais en plus du contraire de me démolir la cervelle, souvent pour être incompris et voué aux gémonies, j’ai un regard très peu idyllique sur l’avenir de mes enfants et petits enfants et bien sûr, de la société.
L’espoir faisant vivre, souhaitons un sursaut des mentalités et par la même une réaction en masse, face à cette situation, qui actuellement nous amène tout droit à l’abattoir.
Pour le film qui ne manquera pas d’être réalisé sur cette affaire, il me semble évident que Tom Hanks devra interpréter Peter Strzok. Il lui ressemble et vu sa couleur politique, ce ne sera pas à proprement parler un rôle de composition.
@ Ralphe
Tom Hank a 61 ans, il est bien trop vieux pour ce rôle, d’autant plus qu’il s’écoulera plusieurs années avant que l’affaire Obamagate soit terminée.
Erreur de casting de ma part !
Pour le moment, savourons le plaisir de voir leurs tronches se raviner d’hystérie molle et incurable. Ils en tireront peut-être une leçon. Illusion ?
Cette analyse critique de ce qu’est devenu notre monde dit libre et des dérives qui le parcourent de long en large me fait irrésistiblement penser, en étroite corrélation avec la description qu’en fait Hélios d’Alexandrie, a l’image destructrice des valeurs judéo-chrétiennes qui fondent l’Occident et dont se prévaut l’offensive islamique mondialisée en cours : finalement, les Lumières et l'(I)islam même combat !
“Le monde doit être considéré comme un système harmonieux de conflits limités” (Alan Watts) : c’est de moins en moins le cas pour le “limité”, mais on peut espérer la continuité de cette dichotomie universelle entre les pouvoirs et les contre-pouvoirs et qu’il en sortira quelque chose de bon, comme des pouvoirs qui surveillent des pouvoirs qui surveillent des pouvoirs… Sinon ce sera l’Enfer.
C’est toujours un plaisirs de vous lire.
Le désavantage asymétrique des libéraux consiste en leur incapacité fondamentale de ne pas être fanatiques (sans renier leurs principes).
Un Trump n’arrêtera pas la progression inéluctable du Camp de l’Enfer du Bien et de ses millions de serviteurs zélés acquis aveuglement à la cause.
Si le choses doivent un jour (dans un futur inconnu lointain) changer, ce ne sera, de nouveau, qu’après une période suffisamment longue d’indicibles souffrances et de destructions profondes. On n’en pas encore vu qu’une esquisse des débuts.
@ Phiphi
Pas Sieyès, Talleyrand.
Merci, Hélios, pour ce superbe article. J’aurais quant à moi, mis “le camp du bien” = la gauche telle qu’après sa mutation, entre guillemets.
Le fossé est profond entre les deux camps (du moins en Amérique, car en Europe la ligne de séparation est beaucoup plus floue puisque la droite n’existe plus) et peut se résumer ainsi:
Extraits du Guide des différences fondamentales entre la gauche et la droite américaines (Dennis Prager, Frontpage Mag, Jan 19, 2017):
Origine des Droits de l’Homme
La gauche : le gouvernement – La droite : le Créateur
Nature humaine
La gauche : fondamentalement bonne – la société est donc essentiellement responsable du mal – La droite : pas totalement bonne – l’individu est donc essentiellement responsable du mal
Rôle essentiel de l’Etat
La gauche : accroître et protéger l’égalité – La droite : accroître et protéger la liberté
Gouvernement
La gauche : aussi étendu que possible – La droite : aussi réduit que possible
Famille idéale
La gauche : tout groupe d’individus liés par l’affection – La droite : un père et une mère mariés et leurs enfants
Le bien et le mal
La gauche : variables suivant les individus et/ou la société – La droite : basés sur des principes universels
Principales catégories humaines
La gauche : les riches et les pauvres, les forts et les faibles – La droite : les bons et les mauvais
Genre
La gauche : une invention sociale – La droite : mâle et femelle
Valeur du fœtus humain
La gauche : déterminé par la mère – La droite : déterminé par la société sur la base des critères judéo-chrétiens
But de l’Art
La gauche : défier le statut-quo et les sensibilités bourgeoises – La droite : créer des œuvres célébrant la beauté propres à élever l’âme des individus
Race
La gauche : essentiellement importante – La droite : essentiellement insignifiante
Haine
La gauche : indéfendable, sauf en politique – La droite : indéfendable, sauf contre le mal
Cultures
La gauche : toutes sont équivalentes – La droite : certaines sont meilleures que d’autres
Rôle des juges
La gauche : servir la justice sociale – La droite : servir la justice
Frontières nationales
La gauche : vestige du passé – La droite : indispensable à la survie de la nation
Article qu’aurait pu écrire Éric ZEMMOUR.
Tout ce scénario me fait penser exactement à ce qui s’est produit en France quand ils ont liquidé Fillon et après en culpabilisant le peuple s’il votait FN, la différence c’est que le peuple français est de loin plus naïf que les américains .
Concernant les coupables aux USA, il faut leur appliquer la peine capitale.
Ecellent article qui pose bien les problèmes, mais qui évidemment ne peut donner les solutions. Pour la France c’est le déclin économique et l’invasion assurés. Je suis peut-être pessimiste, mais l’on ne gagne que les combats que l’on engage. Les Français ont baissé les bras et la tête depuis longtemps. Ceux qui essaient de lutter sont cloués au pilori du politiquement correct. E. Zemmour en est un exemple.