Comme la mémoire est une faculté qui oublie, les médias américains presque tous sympathisants des Démocrates (à l’exception de Fox, Breitbart, le New York Post et le Washington Times) se sont empressés de reprocher à Trump et à Nunes (et son mémo) de salir les institutions américaines telles que le FBI et le Ministère de la Justice, sans jamais reconnaître la responsabilité ou les torts de l’ex-président Obama.
À part Guy Millière, J.P. Grumberg et moi-même sur Dreuz-Info, personne n’a cru bon dans les médias francophones de souligner le rôle qu’a joué Obama dans cette sombre histoire d’enquêteurs du FBI et de membres du Ministère de la Justice sous son Administration, utilisant un dossier concocté par les Démocrates pour obtenir frauduleusement des mises sur écoute d’un opposant politique et lancer des accusations d’espionnage sans fondements.
Voici qu’enfin, le quotidien The Hill publie dans la page d’opinion des lecteurs un article de Monica Crowley* publié le 12 février.
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Les abus de pouvoir commis par l’Administration Obama risquent de ruiner son héritage
Dans toutes les discussions sur l’utilisation du Ministère de la Justice et du FBI comme bras armés politiques, la corruption présumée aux plus hauts échelons de ces agences et l’abus en série du processus secret du tribunal de la FISA lors des élections de 2016, un nom a été remarquablement absent : celui du président Barack Obama.
Des hauts fonctionnaires et d’autres acteurs majeurs de ces agences – qu’Obama supervisait – sont de plus en plus mêlés au scandale grandissant : James Comey, Loretta Lynch, Andrew McCabe, Andrew Weissmann, Sally Yates, Peter Strzok, Lisa Page, Bruce Ohr.
Étant donné le contrôle serré exercé par Obama sur chaque partie de son Administration et de son agenda, l’idée que l’un de ces loyaux fonctionnaires ait pu exercer ses activités sans au moins son approbation tacite ou celle de sa Maison Blanche nous laisse incrédules.
Ces cas d’abus de pouvoir n’ont rien de nouveaux, étant donné la longue histoire de ce type d’inconduite de la part de l’Administration Obama. De l’attaque terroriste de Benghazi à l’abus politique de l’IRS, ils ont utilisé les organismes gouvernementaux les plus redoutables pour cibler, surveiller et probablement démasquer illégalement leurs opposants politiques, y compris des membres du Congrès, des journalistes écrivant des reportages défavorables, des alliés de Trump et des Américains moyens.
Ces obscures infractions institutionnelles ne se sont pas matérialisées à partir de rien. L’une des critiques faites au président Nixon était que même s’il n’était pas au courant de l’effraction du Watergate, il avait créé un environnement dans lequel une telle action était possible.
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Des décennies plus tard, Obama a créé un climat dans lequel les actions illégales posées par le Ministère de la Justice et le FBI, actuellement mises à jour, étaient non seulement considérées comme acceptables mais peut-être même encouragées, donnant lieu à ce qui pourrait être le scandale le plus dangereux de l’histoire américaine.
Il est de plus en plus évident que ces abus de pouvoir récemment exposés avaient deux objectifs ostensibles: 1) asseoir la candidature d’Hillary Clinton en la protégeant des poursuites découlant de son utilisation d’un serveur privé non autorisé et 2) faire dérailler la candidature et la présidence de Donald Trump.
Mais quelque chose d’autre, quelque chose de plus profond, était à l’origine de leurs efforts : l’urgence de préserver ce qu’Obama avait appelé «la transformation fondamentale de la nation» – un grand projet beaucoup plus grand qu’Obama lui-même ou que toute autre figure politique.
Il a largement accompli le projet de longue date des gauchistes de changer l’orientation de la nation, seulement pour voir Trump menacer de la changer une fois de plus : non pas pour la ramener là où elle était avant Obama, mais afin de détruire l’ordre corrompu existant qui a permis aux gauchistes de faire avancer leur projet.
Obama et le mouvement de gauche qu’il a présidé ne pouvaient tolérer un tel renversement de leurs efforts (par Trump, en plus !). Alors ils se sont mis au travail.
Sur le plan offensif, ces fonctionnaires d’Obama – qui manifestement détestent Trump, comme en témoigne l’antipathie flagrante dans les textes de Strzok-Page et les communications des autres – ont entrepris de le démolir.
Trump, pensaient-ils, leur donnait beaucoup de matériel avec lequel travailler, en plus ils jouissaient de la complaisance des médias sympathisants qui se tenaient prêt à amplifier les moindres récits dont ils pouvaient les alimenter sans que leur véracité soit mise en cause.
L’acquisition de plusieurs mandats du tribunal secret de la FISA – on sait maintenant qu’ils étaient basés sur un dossier non vérifié préparé par un espion étranger, utilisant des associés russes anonymes et des proches de Clinton et payés par sa campagne et le Comité National Démocratique – afin de faire obstacle et d’empêcher la candidature de Trump, a réussi au-delà de leurs rêves les plus fous.
Sur le plan défensif, des efforts herculéens ont été déployés par le Ministère de la Justice et le FBI pour bloquer l’enquête Clinton, non par amour pour Hillary, mais parce qu’ils devaient assurer la victoire des Démocrates et la poursuite de leur programme «transformateur». De plus, avec Clinton à la barre, la preuve de tous leurs méfaits antérieurs ne verrait jamais le jour.
D’où la marche en avant pour la protéger.
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En octobre 2015, Obama a déclaré à l’émission «60 Minutes» que, tandis que Clinton avait commis une «erreur» en utilisant un serveur privé, « on n’était pas dans une situation où la sécurité nationale américaine était menacée.» Le signal envoyé à ses lieutenants chargés de d’application de la loi qu’ils devaient reculer ne pouvait être plus clair.
Comme Andrew McCarthy, de la National Review, l’a rapporté, Obama a sciemment et à plusieurs reprises envoyé des communications à Hillary Clinton par l’intermédiaire de son service de courriels et de son serveur non sécurisés.
On suppose que ces courriels contenaient des informations classifiées, pas des horaires de cours de yoga.
Cela signifiait que si Clinton était coupable d’avoir commis des crimes, Obama l’était aussi.
Parce qu’ils étaient étroitement liés concernant cette controverse et d’autres controverses toxiques, tels que Benghazi, elle avait besoin de protection afin de le protéger aussi.
Aujourd’hui, ils vont survivre ou tomber ensemble.
D’où le soutien d’Obama pour sa candidature plutôt que pour son favori, Joe Biden, et le «cover-up» de l’affaire des emails.
Obama et ses alliés n’ont jamais perdu de vue le véritable enjeu. Ils ne pouvaient pas permettre que leurs avancées «progressistes» soient effacées (et remplacées par des politiques économiques et de sécurité nationale bien plus efficaces) et que leurs méfaits antécédents soient exposés. N’ayant jamais prévu une victoire de Trump, les équipes d’Obama et de Clinton lui ont tout jeté à la tête, y compris l’évier de la cuisine dans le but de se protéger – et d’essayer de soutenir leurs réussites «transformatrices» durement obtenues.
La restauration de cette « révolution progressiste » est aussi la raison pour laquelle les loyaux soldats d’Obama, tels que Biden et Eric Holder, envisagent de se présenter aux présidentielles de 2020 afin de reprendre la Maison Blanche.
En attendant, ils doivent essayer de détruire Trump, son agenda et les enquêtes qui sont en train de se retourner contre eux.
Après tout, si Trump ne se contente pas de durer, mais en plus réussit, Obama, Clinton, leurs brigades et le mouvement gauchiste auraient perdu des décennies d’efforts.
*Monica Crowley, ex-commentatrice de Fox, est chercheuse senior au London Centre for Policy Research, un groupe de réflexion de New York.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Il a tellement de saloperies à son actif le Obama qu’il devrait être poursuivi par la justice et éplucher toutes ses malversations. HONTE Obama !
Dans un monde victime du gauchisme qui a vérolé les medias, l’éducation, les organisations internationales, les cerveaux et le systeme il est très difficile de faire éclater la vérité !
Pour cela il faut descendre dans l’arène idéologique et porter des coups fatals à leurs idées pseudos humanistes qui ont remplacé “droits de l’homme” par “droit de l’hommisme” ou tout le monde peut prétendre être victime de discrimination et exiger une reconnaissance ou des droits particuliers sans fondement.
C’est le règne de L’INDIVIDU ROI et la porte ouverte à toutes les dérives, les minorites imposent leur vision du monde à la majorité qui travaille et mène sa vie comme elle le peut sans ennuyer personne.
Tout ces démocrates derrière le Gourou Obama et la vielle rombière Clinton doivent se retrouver devant les tribunaux, être jugés pour haute trahison et condamnés à perpette dans des geôles bien glauque. Mon souhait est que les mêmes pourritures qui dirigent l’Europe et la France (Macronétron, Junker, Merkel, Attali) subissent le même sors et disparaissent à jamais dans les poubelles de l’enfer.Vive M. Trump et qu’un président de sa classe vienne prendre France en charge et élimine ces vermines politiciennes et ces islamistes barbares.
Je partage entièrement ce texte
http://www.terrepromise.fr/2018/02/05/une-connexion-messianique-entre-trump-et-cyrus-revelee-par-le-code-secret-de-la-torah/
Rien ne se fait au hasard l D. eu veille!!!!
Allard … ne t’en fait pas car l’étaut ce ressert sur les démocrates car lorsque le sénat a demander le rapport ………. alors le FBI a pris 6 mois pour leurs donner + le FBI avait supposément perdu 10 000 courriels ( incompétence ou connivance ) … présentement les démocrates ne font que gagner du temp et lorsque le vrai système de justice sera juste alors pour éviter de faire de la prison … certain complotistes démocrate vont avouer leurs crimes
La vérité rien que la vérité. Elle finira bien par éclater. L’Italie est en train de sombrer avec la Suède . Si les USA ne se redresse pas on peut préparer sa valise ,mais pour aller ou .? Alors mort a Obama ,Clinton démocrates et Soros et surtout protéger Trump qui me semble le seul assez solide pour démolir ces malades . Le sort d’Obama m’indiffère totalement Il veut démolir notre civilisation alors qu’il paye
Le vent tourne et la pestilence marécageuse recouvre de plus en plus le tandem Obama/Clinton. Que du bonheur !
Merci à vous Magali Marc et à la dream team Dreuz dont vous faites partie
… ne pas oublier Soros et sa Open Society et sa galaxie de petites ONGs qui sont derrière tout ça. Si on arrive à le faire tomber ce serait un grand pas en avant vers la moralisation de la vie publique dans le monde.
Pour être juste il ne faut pas oublier d’être vigilant car il y aura toujours des zozos qui vont se croire investis de la vérité (une idéologie) qu’ils voudront imposer à d’autres quel que soit le prix (Staline, Pol Pot, Erdogan, Kim un quelque chose etc …. sans oublier tous les fans de l’islam).
Il faudrait l’équivalent du serment d’Hippocrate en politique : “Ne jamais faire de mal” et surtout pas du style “….. mais c’est pour votre bien….”
Comme beaucoup de vos articles celui-ci a l’air très intéressant, mais je vais devoir une fois de plus me rabattre sur les médias américains non-gauchisés, ceux que vous citez et tant d’autres (The Gatewaypundit, The Dailycaller, The Dayliwire et, surtout, Theconservativetreehouse) pour en savoir plus (en fait c’est déjà fait mais ç’aurait été agréable de le lire en français).
En effet, le défilement en haut de l’écran qu’impose votre site rend toute lecture si désagréable que je vais, une fois de plus, fuir cette page aussi rapidement que possible.
Non sans vous avoir, pour une fois et ce sera la seule, fait part de cette observation: ce défilement, par son mouvement incessant, provoque en effet chez tout lecteur l’activation du cerveau reptilien qui, par réflexe incontrôlable, rend impossible de ne pas tenir compte de ce qui bouge autour ne, et encore plus devant, nous.
C’est par exemple pourquoi il est impossible de ne pas de temps en temps jeter un oeil à un écran de télévision allumé et, n’ayant pour cette raison pas de télé et évitant de fréquenter les endroits qui utilisent cette même tactique, j’évite votre site comme la peste.
Dommage, car si son contenu parait des plus éclairé, ses responsables ne semblent nullement tenir compte du plus mince respect pour leurs lecteurs.
À bon entendeur, salut!
Foutez la paix à Staline.
Staline était coco mais nationaliste, contrairement au mondialiste Trotsky. L’ordre mondial qu’on nous annonce à grands cris est de cette même obédience, et la ploutocratie des Soros, Morgan, Rockfeller et consorts est du même tonneau.