Publié par Rosaly le 19 février 2018

Il y a de nombreuses années, tandis que Charles De Gaulle s’exprimait lors d’un rassemblement politique, un homme dans la foule s’écria : « Mort aux cons ! », un terme utilisé en premier lieu par l’armée française pour s’adresser à l’ennemi, et qui signifiait « Mort aux idiots » ou « Mort aux andouilles ».

De Gaulle se tourna lentement vers l’endroit d’où provenait le cri et répondit d’une phrase restée depuis célèbre : «Vaste programme, Monsieur ! »

Aujourd’hui, la proposition d’Emmanuel Macron de promouvoir la «cohésion nationale» et d’écraser le «fondamentalisme islamique « en restructurant l’islam en France, mérite une réponse identique:

«Vaste programme, Monsieur !»

Le Président jupitérien Macron, ayant jusqu’à présent manifesté très peu d’inquiétude envers l’islam et encore moins à l’égard de la présence croissante de musulmans en France, semble soudainement frappé par la foudre et reconnaît qu’il y a effectivement un problème.

Et rapide comme l’éclair, l’Aigle élyséen a décrété que l’islam en France avait besoin d’être réformé – restructuré – afin de «combattre le fondamentalisme».

Le 11 février, dernier, lors d’une interview au JDD, Macron a déclaré : « Pour jeter les bases de toute la réorganisation de l’islam en France, un nouveau plan, coordonné par le ministère de l’Intérieur, sera annoncé dans les six prochains mois. Nous travaillons à la structuration de l’islam en France et sur la manière de l’expliquer. Mon but est de redécouvrir ce qui est au cœur de la laïcité – la possibilité de croire et de ne pas croire – afin de préserver la cohésion nationale et la possibilité d’avoir une conscience religieuse libre.»

« Préserver la cohésion nationale » ? Pour de nombreux observateurs, cette «cohésion» n’est déjà plus qu’un rêve pieux, cher Président jupitérien. Il aurait dû, plus précisément, parler de la nécessité de «retrouver la cohésion nationale», même si cela aurait été plus embarrassant de l’avouer.

Selon Emmanuel Macron, trois domaines principaux requièrent l’attention spéciale du gouvernement.

Vaste programme, Monsieur !

 

Premièrement :

Vu la pléthore d’institutions islamiques présentes en France, avec 2.500 mosquées, des milliers d’imams représentant les multiples sectes islamiques, les différents niveaux de coopération des musulmans, clercs et croyants avec l’Etat français et le degré d’intégration dans la société française, variant d’un groupe à l’autre, une question cruciale se pose : qui va s’exprimer au nom des musulmans en France ?

E. Macron a suggéré la création d’un poste de Grand Imam, basé sur le modèle du Grand Rabbin représentant les Juifs français. Mais le problème demeure : qui va décider du choix du “Grand Imam” de France ? Le gouvernement français ? Les chefs actuels des organisations musulmanes présentes en France – très différentes entre elles non seulement au point de vue idéologique, mais également en importance – réunis en un conclave solennel , à l’issue duquel une belle fumée verte ou noire montera vers le ciel ?

Vaste programme, Monsieur !

Actuellement, le plan de Macron est de conserver , tout en le réformant , le Conseil français du culte musulman (CFCM) qui depuis sa création en 2003 sert d’interlocuteur entre les musulmans et l’Etat dans la réglementation de l’Islam. Le CFCM a été critiqué pour son inefficacité, sa présidence tournante résultant en un changement incessant de ses politiques et pour avoir autorisé l’interférence de certains pays étrangers dont les sentiments envers leurs « frères » les koufars ne sont pas spécialement chaleureux, encore moins affectueux. L’Algérie, le Maroc et la Turquie sont des « mécènes » particulièrement agressifs : ils favorisent naturellement leurs propres intérêts et encouragent les musulmans de France à maintenir des liens étroits avec leurs pays d’origine au lieu de promouvoir l’intégration des musulmans dans la société française.

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Deuxièmement :

Qui devrait payer pour les mosquées, les imams, les madrasas et autres écoles coraniques ? Les institutions musulmanes en France ? Les contribuables français non musulmans ? Si après la réforme, les musulmans étrangers étaient encore autorisés à le faire – des centaines de mosquées sont payées par des pays du Golfe Persique et de l’Afrique du Nord – les musulmans français continueront à être influencés par l’idéologie islamique régnant au sein des généreux pays donateurs et rien ne changera à l’islamisme ambiant. Le plus grand financier de la cause d’Allah, l’Arabie Saoudite, pourrait ainsi continuer à répandre en France le wahhabisme, l’islam resté figé au VIIe siècle. Ce pays a dépensé environ 100 milliards de dollars à travers la planète pour propager ce “fondamentalisme” classique que Macron semble soudainement découvrir et déplorer. Le danger du financement étranger implique plus que la promotion d’une secte particulière de l’Islam. Un gouvernement musulman étranger peut maintenir un contrôle inacceptable sur « ses musulmans » en France, en finançant certaines mosquées, madrasas, imams et écoles coraniques.

Erdogan, par exemple, considère que son gouvernement a le droit d’influencer les Turcs partout en Europe, notamment au moment des élections comme cela s’est produit en Allemagne et aux Pays-Bas. Ainsi les Turcs en France – comme les Turcs en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas et ailleurs en Europe- sont « invités » à prêter leur allégeance non à la France, pays où ils vivent, mais à la Turquie, leur pays d’origine. Les mosquées turques en Europe contrôlent la religion de l’islam, qui constitue une partie importante de l’identité des migrants turcs.

La « loi sur la séparation des Églises et de l’État» de 1905 établit la laïcité de l’État en France et interdit le financement des cultes.

Macron osera-t-il abroger cette loi vénérable ? Est-il prêt à abandonner la laïcité, qui est un concept central de la constitution française dont l’article premier déclare formellement que la France est une république laïque :

« La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. »

S’est-il posé la question de savoir comment réagiraient les contribuables français non-musulmans à l’annonce qu’ils financeraient désormais une religion avec leurs impôts, à savoir l’Islam et seulement l’Islam ?

Pourquoi les musulmans de France ne financeraient-ils pas leurs mosquées, leurs madrasas, leurs imams , leurs écoles coraniques eux-mêmes, sans aucune aide étrangère ou gouvernementale française, à l’instar des Chrétiens, des Juifs et tout autre groupe religieux (hindous, bouddhistes, sikhs) ?

E. Macron envisagerait l’imposition d’une «Taxe Halal» qui permettrait de financer les 2.500 mosquées en France et leurs imams. C’est là une excellente idée visant à taxer exclusivement les musulmans pratiquants pour soutenir l’Islam. Reste à voir s’il aura la volonté et/ou le courage politique de faire adopter cette mesure.

Cette « suggestion » a déjà été dénoncée par les musulmans en France : ils trouvent apparemment injuste de leur faire payer leurs mosquées, madrasas, imams, écoles coraniques, sans toutefois expliquer en quoi cette décision serait inique.

Vaste et délicat programme, Monsieur !

 

Troisièmement :

E. Macron estime que le gouvernement français devrait mieux surveiller la formation des imams. À l’heure actuelle, il n’y a pas de surveillance efficace. Plusieurs centaines d’imams en France sont des fonctionnaires rétribués par des gouvernements étrangers. Le ministre de l’Intérieur, Gérard Colomb, a déclaré que le gouvernement français “devrait intervenir” dans la formation des imams afin qu’ils soient des “imams de la République française” et non des “imams de pays étrangers”. Cela signifie-t-il en pratique que le gouvernement français mettra fin au paiement des salaires des imams par les gouvernements étrangers et insistera pour que les imams soient payés par leurs fidèles ?

Quel type de formation le gouvernement français exigera-t-il des imams en France ? Devront-ils mettre l’accent sur certains versets plus édulcorés, dûment tronqués, tels que le 2: 256 : « Nulle contrainte en religion » l’arme préférée des Frères musulmans pour berner les élites occidentales?

Pour camoufler leurs ambitions de conquête, les Frères Musulmans citent fréquemment la version abrégée et trompeuse de ce verset coranique.

« Nulle contrainte en religion ! La bonne direction s’est distinguée du fourvoiement. Quiconque mécroit aux idoles et croit en Allah tient à l’attache la plus sûre et imbrisable. Allah écoute les connaisseurs. »

L’interprétation libérale du verset qu’ils présentent aux non-musulmans est aux antipodes de celle qu’en font leurs exégètes et de celle qu’ils appliquent.

« Nulle contrainte en religion » ne signifie pour aucun exégète le droit de quitter l’islam ou de ne pas pratiquer ses obligations. Les personnes nées musulmanes ont l’interdiction de quitter cette religion. L’apostasie est interdite et seule la mort peut laver cet affront à Allah !

L’écrasante majorité des exégètes estiment que le sens général du verset (liberté absolue ) a été abrogé par les versets qui prescrivent le combat contre les autres religions. La règle de l’abrogation a été imaginée pour expliquer les contradictions et les incohérences du coran.

Ou sur le verset 5:32 (version abrégée et aussi trompeuse que celle du verset précédent) :

« Quiconque tue un innocent, c’est comme s’il avait tué toute l’humanité. »

Cette citation incomplète fleurit également sur les réseaux sociaux notamment après chaque attentat islamiste terroriste.

Il est à noter une chose étonnante à propos de ce verset coranique : non seulement personne ne le cite jamais dans son intégralité, mais le verset qui suit est aussi superbement ignoré. Or il est d’une importance capitale car il révèle la véritable nature criminelle de l’idéologie islamique.

Pourquoi donc les gens qui s’empressent de dédouaner l’islam de tout crime commis en son nom, en citant ce verset (raccourci) omettent-ils de mentionner le verset qui suit ?

La raison est simple : si vous prenez la peine de lire la suite, vous vous apercevez immédiatement que le verset ordonne, en fait, toutes les attaques perpétrées par les islamistes à l’encontre des infidèles.

Coran 5 :32

Voyons la partie que les musulmans oublient de citer :

« C’est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d’Israël, que quiconque tuerait une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur la terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c’est comme s’il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu’en dépit de cela, beaucoup d’entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre »

Notez bien, il est écrit : « Nous avons prescrit aux ENFANTS d’ISRAEL »

Allah donne des ordres aux ENFANTS D’ISRAEL : ce commandement de ne pas tuer d’innocent a été prescrit aux ENFANTS D’ISRAEL !

Or, il s’agit ici d’une citation du Talmud.

Traité Sanhedrin, chapitre 5, Mishna 5 :

(…) C’est pour cela que l’homme a été créé seul, pour t’apprendre que celui qui ôte la vie à un fils d’Israël, détruit un monde entier ; et celui qui sauve la vie d’un fils d’Israël, sauve un monde en Dans coran 5:32, Allah explique ce qui a été ordonné pour les Juifs en terre musulmane.

Mais qu’à donc ordonné Allah aux musulmans dans coran 5:33 ?

« La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment. »

Ou les imams devront-ils réinterpréter et enrober de miel d’autres versets belliqueux des plus inquiétants afin d’adoucir officiellement la nature barbare et cruelle de l’islam dans le but de duper les non musulmans ?

Les nombreuses injonctions au jihad guerrier seront-elles présentées juste comme descriptives, appliquées à un ennemi, à un moment donné et en un lieu particulier ou comme un effort intérieur vers le chemin de la vertu , alors qu’il s’agit d’une prescription guerrière d’Allah adressée à tout pieux musulman partout sur la terre et ce depuis le VIIe siècle ?

Les officiels français décideront-ils quels versets dangereux pour la cohésion sociale du coran devront être omis de l’éducation des imams, par exemple celui que ordonne aux musulmans de ne pas prendre les Juifs et les Chrétiens comme amis (5:51) ou celui qui décrit les koufars comme les plus viles des créatures (96:6) ? Qui décidera quels hadiths devront être enseignés et lesquels seront qualifiés d’authenticité douteuse ? Certains imams actuels, jugés inquiétants, mais pas assez dangereux pour être bannis ou pour justifier la fermeture de leurs mosquées, seront-ils “rééduqués” par l’Etat français ?

Qui va instruire les imams et comment l’État français surveillera-t-il la formation obligatoire des futurs imams made in France? Et quid des sermons à l’échelle nationale lors de la prière du vendredi ? Ces sermons seront-ils filmés pour être examinés par des fonctionnaires français du ministère de l’Intérieur, comme étant le meilleur moyen de s’assurer que les imams ne franchissent pas dans leurs khutbas la ligne rouge de l’extrémisme: les appels réitérés à la haine des mécréants ?

Vaste et périlleux programme, Monsieur !

Même si E. Macron s’est exprimé de manière générale lors de son interview du 11 février, cela a suffi pour irriter les si délicatement susceptibles musulmans en France:

« “Chacun doit s’en tenir à son rôle », a déclaré à l’Agence Reuters Ahmet Ogras, un Français d’origine turque , proche de l’AKP et actuel président du Conseil français du culte musulman (CFCM).

« La foi musulmane est une religion et en tant que telle, elle prend soin de ses propres affaires. La dernière chose que nous souhaitons, c’est laisser l’Etat agir en tant que gardien”, a déclaré Ogras. Une manière très explicite d’exprimer son sentiment envers le projet macronien de réforme de l’islam, digne de tout bon musulman, persuadé que l’islam est la religion parfaite.

Mais qui donne à Ahmet Ogras le droit de dire à l’État français de ne pas se mêler de l’islam ? (Allah et le Sultan d’Ankara sans doute !) Sur quelles raisons Ahmet Ogras s’appuie-il pour s’arroger un tel droit ? ( L’islam est la religion parfaite et cela E. Macron devrait le savoir, nom de Zeus !)

Être admis à vivre en France, devenir citoyen français, jouir de sa civilisation avancée, n’est pas un droit, Ahmet Ogras, mais un privilège. Il doit constamment être mérité, en particulier par les adhérents d’une foi qui mène la guerre à l’Occident depuis 1400 ans.

Voici une liste non exhaustive à l’attention d’Ahmet Ogras , qui accorde à Emmanuel Macron le droit légitime de s’ingérer dans l’islam en France :

  • Charlie-Hebdo, Paris
  • Hyper-Cacher; Paris
  • Bataclan , Paris
  • Le Petit Cambodge, Paris
  • Ozar Hatorah School, Toulouse
  • Air Products factory à Saint Quentin Fallavier (Isère Nord)
  • Eglise de Saint-Étienne-du-Rouvray.
  • Promenade des Anglais, Nice
  • Montauban, Magnanville, Nantes, Dijon, Joue-les-Tours, et beaucoup d’autres.

C’est assez. C’est plus qu’assez !

Et comme De Gaulle déclara il y a longtemps : « Vaste programme, Monsieur ».

Oui, vaste programme, car l’islam représente une force rétrograde, agressive et violente.

Les autorités islamiques peuvent-elles formuler une conception de leur religion qui accorde des droits à part entière aux femmes et aux non-musulmans ainsi que la liberté de conscience aux musulmans, une conception qui accepte les principes de base de la finance et de la jurisprudence modernes et qui ne cherche ni à imposer la charia ni à établir un califat ?

Non, selon un nombre croissant d’analystes qui pensent que la foi musulmane ne peut pas s’adapter, que ces traits sont inhérents à l’islam et en forment le visage immuable.

Jupiter Fulgurator réussira-t-il à relever ce défi de Titan sans risquer de perdre son sceptre de dieu des dieux ? Il semble ignorer à qui et à quoi il s’attaque.

Sait-il que l’islamisme est le vrai visage de l’islam, Les activistes religieux musulmans d’Europe y exploitent « liberté d’expression, démocratie, laïcité pour en priver leurs coreligionnaires sur l’autre rive de la méditerranée ».

L’islamophobie est ce repoussoir machiavélique qui empêcher toute évolution, toute réforme de l’islam. Avec la bénédiction de nos belles âmes … Cette islamophobie se révèle être un véritable concept piège pour Occidental frileux, un levier puissant d’expansion d’un islam communautaire, ségrégationniste et dictatorial envers lequel le sentiment de crainte n’est pas irrationnel, mais totalement légitime et fondé.

Le masochiste Occident cède en tout au sadique islam refusant même jusqu’à la simple critique de peur de « pousser les musulmans modérés dans les bras des extrémistes ». Et pourtant, agir ainsi, éviter tout débat de peur d’offenser les musulmans, cela conduit au contraire à satisfaire les exigences des islamistes, à légitimer leur idéologie, à rentrer dans leur jeu pervers et mortel.

Une vraie réforme de l’islam, une réforme qui éradiquerait enfin l’islamisme ne pourrait se faire sans « remettre en cause le corpus islamique », considéré certes comme sacré par les islamistes mais dont la validité est aussi perçue comme éternelle par tous les musulmans. Réformer, c’est s’opposer bien sûr aux islamistes, mais aussi frontalement à la masse énorme, quasi unanime, de tous ces musulmans immobiles.

E. Macron devrait aussi se méfier des soi disant « réformistes » actuels de l’islam, encensés par les médias. Ils ne formulent jamais aucune critique sérieuse de l’islam et se limitent à dénoncer ce qu’ils pensent être des fausses interprétations de l’islam, sans jamais avoir remis en cause le fond de cette religion : et pour cause, en bons musulmans, ils estiment que l’islam est parfait.

« Il n’y a pas de paix ni de coexistence pacifique entre la religion islamique et les institutions sociales et politiques non islamiques. » déclaration de l’ex président musulman bosniaque Alija Izetbegovic.

« Le problème central de l’Occident n’est pas l’islamisme mais l’islam, une civilisation différente dont les représentants sont convaincus de la supériorité de leur culture et obsédés par l’infériorité de leur puissance », (Samuel Huttington)

 

Source: « Macron and muslims in France : « Vaste programme, Monsieur » by Hugh Fitzgerald -Jihad Watch (traduit et adapté par Rosaly)

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

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