Non, je n’ai pas fait une coquille. Ce n’est plus tant l’enquête sur la collusion supposée entre Donald Trump et la Russie, mais sur les aspects de plus en plus troubles des comportements de l’ex-président américain, d’Hillary Clinton, du parti Démocrate afin de faire tomber Donald Trump.
La semaine dernière, le conseiller spécial Robert Mueller a déposé plainte contre treize ressortissants russes et trois sociétés russes soupçonnés d’avoir décidé en 2014 d’interférer dans les élections de 2016, voir mon article du 16 février).
Dreuz a besoin de votre soutien financier. Cliquez sur : Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution.
2014, cette date ne vous dit rien ? Le président de l’époque était un certain Barack Obama. Et lorsqu’il a été informé par le FBI dès 2014 que les Russes tentaient d’influencer les élections, il n’a strictement rien fait. Car il ne pensait pas que Donald Trump serait un jour candidat.
La Russie peut-elle oui ou non influencer les élections ?
Obama, déclarait en août 2016 : ” Il n’existe a pas une seule personne sérieuse qui puisse suggérer qu’on peut truquer les élections américaines, il n’y a aucune preuve que cela s’est produit dans le passé ou qu’il y a des cas où cela se produira cette fois-ci,”
Lorsque Trump a déclaré sa candidature en juin 2015, Washington était certain qu’Hillary Clinton serait élue. Obama n’a pas voulu semer le doute que les élections puissent être manipulées par la Russie, car c’est sur Hillary, la gagnante prévue, que les doutes seraient retombés. Il était convaincu que malgré leurs efforts, les Russes ne pourraient pas changer l’issue du scrutin. Subitement, lorsque Trump a été élu, les Russes qui ne pouvaient pas faire dérailler l’élection étaient maintenant tout puissants. L’hypocrisie était à son maximum.
Obama, accusé par les siens : faiblesse ou complicité ?
la Maison-Blanche et les principales agences n’étaient pas disposées à agir avec force pour contrer les actions russes
Le 14 août 2017, dans un article publié sur Politico, un site internet de gauche, Ali Watkins déclare :
“Dès 2014, l’administration a reçu un rapport dans lequel une source russe bien connectée a déclaré que le Kremlin construisait une machine de désinformation qui pourrait servir à interférer dans les démocraties occidentales.
Ce rapport a été diffusé au printemps 2014 auprès du Conseil de sécurité nationale, des services de renseignement et du Département d’État par courrier électronique sécurisé et par câble, dans le cadre d’une évaluation plus large des intentions russes en Ukraine, a indiqué le responsable.
Le rapport contenait une citation d’une source russe qui disait aux responsables américains à Moscou : ” Vous n’avez aucune idée de l’ampleur de ces réseaux en Europe… et aux États-Unis, la Russie a pénétré dans les médias, les entreprises de lobbying, les partis politiques, les gouvernements et les militaires.”
Ali Watkins poursuit :
“POLITICO [c’est-à-dire Ali Watkins] s’est entretenu avec plus d’une douzaine d’anciens et actuels responsables de la Sécurité nationale, notamment des services de Renseignement, du Département d’État et du Pentagone. Presque tous ont déclaré qu’ils étaient au courant des campagnes agressives de cyberespionnage et de désinformation menées par la Russie — en particulier après la dramatique tentative russe de pirater les élections ukrainiennes en 2014 — mais estimaient que la Maison-Blanche et les principales agences n’étaient pas disposées à agir avec force pour contrer les actions russes.
Les responsables du renseignement ” avaient une liste de choses qu’ils n’ont jamais réussi à faire signer” [par le président Obama], a déclaré un responsable du renseignement. ” La vérité, c’est que personne à la Maison-Blanche ne voulait énerver les Russes.”
Les sources qui ont parlé à Politico expliquaient que ” La Maison-Blanche envoyait des messages contradictoires et frustrants : la Maison-Blanche rejetait les capacités de nuisance de Moscou, tout en invoquant la crainte d’une escalade avec Poutine.”
Durant l’été 2016, quand les agents russes ont été accusés d’avoir piraté les serveurs du Comité national démocrate et publié des centaines d’emails, dont ceux de John Podesta, le directeur de campagne d’Hillary Clinton, les services du renseignement américain et le FBI ont travaillé frénétiquement à compiler des options de représailles pour Obama. Bien qu’on lui ait présenté plusieurs stratégies — y compris surveiller de façon plus agressive les diplomates russes aux États-Unis — il a choisi de ne rien faire immédiatement.”
En octobre 2014, indique un article de CNN, les services de renseignement s’aperçurent que des hackers travaillant pour la Russie avaient piraté les ordinateurs de la Maison-Blanche et obtenu des informations sensibles sur le Président Obama.
“La Maison-Blanche a déclaré avoir remarqué des activités suspectes dans le réseau non classifié qui dessert le bureau exécutif du président” précisait Evan Perez.
Evan Perez : “Pour entrer dans les ordinateurs de la Maison-Blanche, les pirates ont d’abord pénétré par effraction dans le département d’État, selon les enquêteurs.
Le système informatique du Département d’État a été piraté en dépit des efforts déployés pour le verrouiller, et les pirates informatiques russes ont pu pénétrer le système. Un fonctionnaire des services du renseignement a déclaré que les pirates informatiques russes ont “pris possession” du système du Département d’État pendant des mois et il n’est pas clair si les pirates informatiques ont été complètement repoussés du système.”
Là encore, Obama n’a pris aucune mesure sérieuse. Il craignait Poutine.
Le Démocrate Adam B. Schiff, un virulent membre anti-Trump du Congrès, a lui-même reconnu que l’administration Obama aurait dû faire davantage lorsqu’elle a appris en 2014 que les Russes tentaient de semer le chaos dans les élections.
” Il est inexplicable que le président des États-Unis ait continué à bloquer les sanctions votées par le Congrès “, a déclaré M. Schiff à CNN.
Même Bernie Sanders, le candidat socialiste, a maintenant brisé la loi du silence et accusé Obama, dans l’émission “Meet the Press” de NBC, et a déclaré ” qu’il aurait peut-être dû faire plus.”
Après les élections, en décembre 2016, Obama a finalement annoncé l’expulsion de 35 diplomates, et ordonné aux responsables du Kremlin de fermer les deux datchas russes situées sur le sol américain.
Les expulsions et la fermeture des datchas étaient des gestes symboliques qui ont vexé le Kremlin, mais pour beaucoup dans les services de renseignement, c’était trop peu, trop tard.
Serveur d’email privé d’Hillary Clinton : Obama complice
Le site internet The Smoking Gun a signalé pour la première fois en 2013 qu’un pirate connu sous le nom de Guccifer avait pénétré par effraction sur le compte AOL de Sidney Blumenthal, un ami et conseiller des Clinton, et publié les emails que Blumenthal a envoyés au compte privé d’Hillary Clinton. Les emails contenaient des notes de service sensibles sur des questions de politique étrangère et ont constitué la première révélation publique de l’existence de l’adresse électronique privée de Hillary Clinton, qui fut au centre de la campagne électorale de 2016 : [email protected]. (Sources : cnn.com qui cite thesmokinggun.com)
Obama n’a rien dit, rien fait. Parce qu’il savait, et qu’il était complice. En septembre 2015, lors d’un point presse, Josh Earnest, porte-parole de la Maison-Blanche, a déclaré que M. Obama avait effectivement communiqué avec sa secrétaire d’État par email.
Et selon les dossiers du FBI rendus publics en 2016, le président Barack Obama a utilisé un pseudonyme dans ses communications par email avec Hillary Clinton sur son serveur privé, lequel a été piraté par la Russie et d’autres puissances étrangères.
Si Hillary Clinton avait été inculpée pour négligence, Obama serait tombé aussi. Et c’est pourquoi James Comey a reçu l’ordre de la Secrétaire d’État à la Justice d’Obama Loretta Lynch de parler de l’enquête comme “d’un sujet” et non une enquête criminelle, et que l’agent du FBI Peter Strzok, qui a fait partie de l’enquête de Mueller dans le dossier de collusion de Trump avec la Russie, a changé la description faite par Comey devant le Congrès des malversations de Clinton de “grosse négligence” qui est pénalement répréhensible, pour “extrêmement imprudent” qui n’a pas d’implication pénale.
Phase 2 : qui savait quoi et depuis quand du faux dossier russe au sein de l’administration Obama ?
Tandis que la Russie tentait d’influencer les élections, que le président Obama en était informé et qu’il ne faisait rien, et que son administration s’assurait que l’enquête du FBI contre Clinton et ses proches n’aboutirait pas, une troisième partie se déroulait en coulisse : la transmission au FBI et aux médias du dossier décrit par Comey comme “salace et non vérifié” contre Trump financé par Hillary Clinton et le parti Démocrate, fabriqué à partir d’éléments transmis par la Russie et des proches de Clinton, destinée à obtenir la destitution de Trump.
Les Républicains de la Commission d’enquête du Congrès ont lancé la “Phase 2” de leur enquête sur les origines du dossier anti-Trump : elle vise de nombreux fonctionnaires — actuels et surtout anciens — y compris l’ancien directeur du FBI James Comey.
Dans une lettre obtenue par Fox News, le président du comité, Devin Nunes (prononcer Nunès], pose une série de 10 questions relatives au dossier aux responsables des services de renseignement, du FBI et du département d’État de l’ère Obama.
Parmi les questions posées, Nunes souhaite savoir :
- quand ils ont appris que le faux dossier a été financé par des sources Démocrates,
- comment le dossier a-t-il été utilisé pour obtenir les mandats FISA de surveillance contre un collaborateur de Trump auprès de la Cour secrète de surveillance du renseignement étranger,
- comment les informations du dossier Steele ont-elles été présentées à l’administration Obama,
- avec qui, y compris des journalistes, ont-ils partagé le contenu du dossier,
- des officiels se sont-ils réunis, ont-ils pris des décisions suivant la réception du dossier,
Et par-dessus tout, Nunes a demandé si le président Barack Obama était au courant du dossier avant le 5 janvier 2017, et quand a-t-il été informé de son existence par James Comey, alors directeur du FBI.
Dans sa lettre datée du 20 février, Nunes va jusqu’à menacer de délivrer des assignations à comparaître aux dirigeants qui ne répondraient pas.
” Si vous ne fournissez pas de réponses dans un délai raisonnable, le Comité lancera un processus d’assignations “, écrit-il.
Nunes, on se souvient, a publié en début du mois un mémo démontrant que le dossier anti-Trump — compilé par l’ancien espion britannique Christopher Steele et financé par le Comité national démocrate et la campagne Hillary Clinton — a servi à la demande de mandat de surveillance et de mise sur écoute contre Carter Page, l’un des membres de la campagne de Trump, alors que le FBI savait que le dossier était faux, et qu’il était financé par le camp adverse.
Le questionnaire a été envoyé à une vingtaine de fonctionnaires actuels et anciens.
Parmi eux, James Comey, l’ancien directeur du renseignement national James Clapper et l’ancien directeur de la CIA John Brennan, qui a menti en mai 2017 en disant que le dossier Trump lui était pratiquement inconnu.
Nunes letter on Trump dossier, page one by Fox News on Scribd
Une source proche de Nunes suggère qu’un plus grand nombre de hauts fonctionnaires de l’administration Obama seront interrogés à mesure que la phase 3 de l’enquête avancera.
Sara Carter, la journaliste à l’origine de toute l’affaire avec John Solomon, a déclaré la semaine dernière que seulement 10% du scandale Démocrate est pour l’instant exposé.
Un conseiller de John Kerry sur la sellette
Sentant le vent tourner, Jonathan Winer, ex-envoyé spécial en Libye du département d’État d’Obama et conseiller de John Kerry, décrit en détail dans le Washington Post l’échange de documents qu’il eut avec Steele, son ami depuis 2009. Il explique avoir transmis ” plus de 100 rapports de Steele aux experts russes du département d’État américain” sur une période de deux ans. Ceux-ci n’étaient pas liés à la politique américaine — mais plus tard, il a transmis des informations sur le dossier Trump aux plus hauts responsables du département d’État d’Obama.
Il confirme également que les proches de Clinton étaient au courant de l’existence du dossier, ce qui rend encore moins crédibles les démentis d’Hillary Clinton qui a nié connaître le contenu du dossier. Mais venant de Clinton, personne n’est surpris qu’elle mente — encore.
Ainsi, à peu près à la même époque, Winer a rencontré Sidney Blumenthal, l’ami et conseiller de longue date des Clinton. Lui et Blumenthal ” discutèrent des rapports de Steele” autour du dossier russe — ce qui montre que Blumenthal était au courant du dossier Steele dès septembre 2016. Winer affirme qu’au cours de cette réunion, Blumenthal lui a donné des notes d’un “journaliste” qu’il “ne connaissait pas,” Cody Shearer, qui corroboraient les allégations salaces du dossier Steele.
Toutefois, si Winer dit vrai au sujet de Shearer, une simple recherche sur Google lui aurait montré un rapport de ProPublica de 2015, qui indiquait clairement que Shearer était un ami de longue date des Clinton.
Winer a ensuite transmis le “dossier” de Shearer à Steele,” pour lui demander sa réaction professionnelle”.
De plus, M. Winer reconnaît avoir transmis à Steele d’autres documents concernant Trump qu’il a reçus du proche d’Hillary Clinton. Et il a enfin indiqué que des dossiers, provenant à l’origine de Cody Shearer, ont été transmis par lui au FBI.
Winer a également préparé un résumé de deux pages du dossier Steele et l’a partagé avec Victoria Nuland, alors haut fonctionnaire du département d’État, qui lui a dit de le remettre au secrétaire d’État John Kerry. Winer ne dit pas comment Kerry a réagi, ce qu’il a fait de l’information, ni avec qui d’autre il a pu la partager.
En publiant ses “confessions”, Winer écrit qu’il soupçonne Nunes de vouloir connaître sa propre relation avec Steele alors qu’il était au département d’État d’Obama. Nunes, en réalité, commence à s’intéresser à l’implication de John Kerry, lequel a refusé de faire fermer les deux datchas russes aux États-Unis, dans le montage du dossier anti-Trump par Christopher Steele.
La confession de M. Winer arrive comme une coïncidence après la publication d’une note de service rédigée par Chuck Grassley, président du Comité sénatorial de la magistrature, et par Lindsey Graham, qui recommande un dépôt de plainte pénale contre Steele.
Dans la note de service, ils expliquent que Steele a transmis au FBI un rapport qu’il avait reçu d’un fonctionnaire du département d’État (probablement Winer), qui l’a obtenu d’un ami de Clinton (probablement Blumenthal ou Shearer), qui l’avait obtenu d’une autre personne.
Samantha Power, ancienne ambassadrice auprès des Nations unies du président Obama, visée par une plainte
Judicial Watch a décidé de poursuivre le Département d’État concernant le démasquage irrégulier de documents par Samantha Power.
Judicial Watch a annoncé le 16 février qu’il a intenté une action en justice en vertu de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act) contre le département d’État américain pour “démasquage” de nombreux noms qui avaient été caviardés par le FBI et devaient le rester, opérée de façon anormale par Samantha Power, l’ambassadrice des Nations unies du président Obama, dans le cadre de l’enquête sur l’ingérence russe dans les élections de 2016.
Le 20 septembre 2017, Fox News rapportait que Power avait exposé le nom de plus de 260 personnes au cours de sa dernière année en tant qu’ambassadrice des États-Unis auprès des Nations Unies pour tenter de compromettre des membres de l’équipe de Trump.
“Elle a démasqué des noms à un rythme si rapide au cours des derniers mois de l’administration Obama qu’elle a fait en moyenne plus d’une demande par jour de “décaviardage” en 2016, cherchant même des informations dans les jours qui ont précédé l’investiture du président Trump.”
De nouveau Peter Strzok
Selon un rapport du Wall Street Journal, l’agent du FBI Peter Strzok, dont l’enquête du Congrès a révélé qu’il échangeait avec sa maîtresse l’avocate du FBI Lisa Page, des SMS farouchement anti-Trump, et qu’il voulait tout faire pour empêcher Trump de devenir président, a essayé, à partir d’août 2016 d’agir agressivement pour enquêter sur une hypothétique collusion entre Trump et la Russie — basée sur le dossier Steele — à l’approche des élections.
Lorsque le numéro 2 du secrétariat à la Justice Rod Rosenstein nomma Robert Mueller pour enquêter sur l’implication de la Russie dans les élections de 2016, ce dernier confia à Strzok un rôle important dans sa commission d’enquête.
De l’eau dans le gaz concernant la mise en accusation par Mueller de l’ex-conseiller de Trump Michael Flynn
La première victime de l’enquête de l’avocat spécial Robert Mueller était l’ancien conseiller à la sécurité nationale Michael Flynn, qui a plaidé coupable d’avoir menti au FBI concernant ses rapports avec la Russie.
- Un juge fédéral vient de soulever des doutes sérieux au sujet de l’enquête de Mueller qui a conduit à cette inculpation, au point que certains recommandent maintenant à Flynn de retirer son plaidoyer de culpabilité.
La controverse a commencé lorsque le juge Rudolph Contreras s’est officiellement retiré de l’affaire. Il a été remplacé par le juge Emmet Sullivan. Sullivan a alors immédiatement ordonné à l’équipe de Mueller de fournir “toute preuve en leur possession qui soit favorable” à l’ancien conseiller Trump.
La demande du juge soulève de sérieuses questions :
- Mueller et son équipe ont-ils trompé les responsables américains afin d’obtenir le plaidoyer de culpabilité de Flynn ?
- Pourquoi l’équipe de Mueller a-t-elle depuis reporté la condamnation de Flynn ?
Mercredi dernier, Mueller a déposé une ordonnance “régissant la production de la découverte”, ce qui indique qu’il n’entend pas contester l’ordre qui lui a été fait par le juge Sullivan de produire des documents.
- Le journaliste d’investigation Mike Cernovich a avancé une explication concernant l’extraordinaire et inhabituelle demande du juge Sullivan : “le sous-directeur du FBI “Andrew McCabe a modifié sa version 302 de l’entrevue avec Flynn, et a ensuite supprimé toutes les preuves de ses modifications en supprimant les antécédents des révisions [du document]”, explique Cernovich, faisant référence au compte rendu de la rencontre entre Flynn et des agents du FBI à la Maison-Blanche, à l’issue de laquelle les agents ont déclaré que Flynn n’a rien déclaré d’anormal durant leur entretien, et qu’il n’a pas menti. Ce compte-rendu — ou formulaire 302 — a été modifié par McCabe, qui a depuis été écarté du FBI, et les versions antérieures ont été supprimées.
- Confirmant les soupçons que l’inculpation de Flynn pour mensonge serait entachée d’irrégularités, Byron York a déclaré le 12 février au Washington Examiner que l’ancien directeur du FBI James Comey a dit à une commission d’enquête du Congrès en mars 2017 que “Flynn n’a pas menti sous serment”.
Conclusion
La confession surprise de Jonathan Winer arrive pile après que Devin Nunes, le président de la Commission d’enquête du renseignement de la Chambre des représentants, a déclaré qu’il va bientôt dévoiler le rôle du département d’État d’Obama dans l’enquête du FBI sur la campagne de Trump.
Et pendant ce temps, les soupçons de corruption d’Hillary Clinton et de l’administration Obama dans le dossier Uranium One avancent…
William Douglas Campbell, l’agent infiltré du FBI qui a prévenu en 2010 que Poutine s’est engagé dans des opérations de corruption, de blanchiment d’argent et de chantage pour acquérir l’uranium mondial, a déclaré le département de la Justice d’Obama l’a menacé de poursuites s’il parlait, afin de ne pas empêcher que son administration vende 20% de l’uranium américain aux Russes.
Mais ceci est un autre dossier…
Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
avec ses révélations …. la merde a débuter en 2013 avec l’ordinateur de hillary lorsqu’elle a été hacker ….. + les ordinateurs de la Maison-Blanche ont aussi été hacker et obama avait rien fait ….. par ce qu’il a rien fait cela prouve que obama est le plus mauvais Président de l’histoire Américaine ….. il mérite la prison à vie pour avoir laisser faire les russes
Le plus navrant dans cette histoire : vous mettez GRATUITEMENT des informations qui valent de l’or à disposition des BFM-Le Monde-LCI-Libération-& Cie et ils ne les reprennent même pas…
Il est vrai que la sortie du pamphlet anti-Trump en France est nettement plus intéressante pour ces fainéasses.
“…Après les élections, en décembre 2016, Obama a finalement annoncé l’expulsion de 35 diplomates…”
+
“…Et pendant ce temps, les soupçons de corruption d’Hillary Clinton et de l’administration Obama dans le dossier Uranium One avancent…”
“…Mais ceci est un autre dossier…” :
Pas sûr! Avec le laxisme inexplicable d’Obama face aux piratages russes, on pourrait y voir une entente interlope entre Obama et Poutine de sabotage des élections à l’encontre des Républicains, peu importe leur candidat à venir en contre-partie d’un petit commerce d’uranium très lucratif pour la fondation Clinton… et la rage d’Obama devant le résultat catastrophique pour les Démocrates. Ça me parait évident, mais cela ne constitue pas une preuve… à venir.
P.S. : J’ai repéré hier un document Youtube qui affichait plus d’un million deux-cent-mille vue en quelques heures et qui a été supprimé avant que je puisse y consacrer du temps : Susan Rice flips on Obama, shocking secret action she took 15 mins after Trump sworn in. (traduit : Susan Rice désavoue Obama par l’action secrète choquante qu’elle a pris 15 minutes après que Trump ait prêté serment.)
https://www.youtube.com/watch?v=HBwQwYBshqg = Cette vidéo n’est plus disponible, car le compte YouTube associé a été clôturé. Opération impossible.
» Vous n’avez aucune idée de l’ampleur de ces réseaux en Europe… et aux États-Unis, la Russie a pénétré dans les médias, les entreprises de lobbying, les partis politiques, les gouvernements et les militaires. » Vousêtes à priori plutôt fiable, mai, là, etes sûr de cette info???? Car je crois que comme tout le monde j’ai vu 100% de “trump bashing” et qui continu encore! Pour les merdia: chez trump rien n’est bon, pas même la baisse du chômage ou des taxes! Donc si la russie etait intervenue, c’est vraiment de facon discrète pour ne pas dire subliminale!
Un grand bravo à Jean-Patrick qui trouve le temps de suivre cet imbroglio inépuisable, et parvient même à l’exposer de façon claire !
Au vu des résultats obtenus, il ne fait pas de doute que la Russie est intervenue de façon occulte dans la vie politique et sociale de l’Amérique depuis la fin de WWII, ne serait-ce que pour y instaurer ce que Yuri Bezmenov appelait “la subversion idéologique”.
Etant donné les succès déjà obtenus, on ne voit pas pourquoi la Russie se serait gênée pour intervenir également dans la dernière élection présidentielle, mais dans quel but?
Les magouilles, la faiblesse intellectuelle, la santé chancelante et la vénalité de la candidate gauchiste, donc de son bord, étaient bien connues de M’sieur Poutine qui en avait profité auparavant, ne serait-ce que pour l’histoire de la vente d’uranium. Etant donné le dossier qu’il avait réuni contre elle, il l’aurait manipulée à sa guise si elle avait été élue – ce qui était bien évidemment dans son intérêt.
Trump était l’élément inconnu de l’équation. Et là, juste retour des choses, les médias et tout l’appareil politique gauchisant, ces robots qui servaient sa cause en Amérique l’ont involontairement induit en erreur – ça se produit souvent lorsque l’endoctrinement remplace l’information. Ils ont convaincu le maître de la Russie que les chances de cet outsider d’entrer à la Maison Blanche étaient inexistantes. Poutine a donc négligé le candidat républicain, ce qui explique l’inanité du ‘dossier Trump’. Il ne reste plus au FSB que le silence.
Quelles leçons le tsar d’un nouveau genre aura-t-il tiré de l’affaire, c’est ce que l’avenir nous dira. La première, en tout cas, c’est que le peuple américain est plus rétif à la subversion idéologique que les peuples européens.‘
Bravo pour votre lucidité.
Je dis souvent que ce n’est pas parce que le kgb a changé d’appellation qu’il n’existe plus, au contraire.
Il a changé d’appellation mais il est toujours là… en pire !
Bravo pour un beau résumé d’une affaire qui remplira 10 tomes d’une série historique quand Obama et Clinton seront en taule. Par contre j’ai l’impression que Mueller fera tout son possible pour étouffer l’affaire pour sauver ses potes sous un imbroglio de fausses accusations qui termineront toutes en Cour Supreme !
Votre feuilleton, cher Jean Patrick, est à se tordre de rire. Je ne pensais pas qu’un remake de “l’arroseur arrosé” aurait autant de succès. Les comiques du parti démocrates sont vraiment impayables. C’est du Hollywood des années 20 !!!!
Les américains l’ont quand même échappé belle : imaginer la plus grande puissance mondiale gouvernée par des Pieds nickelés……
C’est pour ça que j’aime ce pays et ces gens !!!!
C’est un thriller politique le plus intéressant que j’aie lu depuis des années.
Mais je me demande s’ils iront jusqu’à condamner Obama ? L’autre, elle va se sortir une maladie (à moins qu’elle ne l’ait réellement) et s’évitera le pire. Encore que… les prisons dorées doivent exister en Amérique comme en France.
Mais Obama ? Cela m’étonnerait. Et pourtant, ce serait un jour de liesse plus grand encore que lorsqu’il est parti de la Maison Blanche.
Merci Jean Patrick. Vous pourriez en faire un document, en 3 ou 4 tomes, qui aurait un succès immense.
Le problème, c’est que si des demandes sont faites par les comités de la chambre des représentants, à des membres de l’administration Obama, ceux-ci invoqueront le 5ème amendment pour ne pas avoir à témoigner.
C’est ce que vient de faire l’associé du sénateur McCain qui ne répondra pas aux questions demandées.
Donc aucune inculpation possible ?
Passionnant
Je me demande si Jonathan Winer n’aurait pas quelques petites infos sur l’affaire Benghazi ?
Lu sur Real Clear Politics,
par Tammy Bruce du The Washington Times
« Il y a beaucoup de bruit ces derniers temps, et moins de signal, sur le récit “Trump est en collusion avec la Russie” maintenant démystifié.¨
Après que l’avocat spécial Robert Mueller a inculpé 13 Russes pour avoir trompé les Américains lors de l’élection de 2016, les démocrates et les mécontents sont dans un état de choc pour déplacer leurs objectifs narratifs.
“Eh bien,” insistent-ils, “Trump a dit que toute la chose russe était un canular. Maintenant, il a été prouvé que ce n’était pas le cas”, ou de telles absurdités.
Le président Trump, en fait, n’a jamais soutenu que l’ingérence russe était un canular, mais l’accusation que lui et son équipe se sont entendus avec les Russes était la fraude, et maintenant nous savons, que ce (qu’il disait) était vrai. »
(…)
Le candidat Trump a exprimé à plusieurs reprises son inquiétude quant à la sécurité du processus électoral ; allant de la fraude électorale à l’ingérence, il avait clairement indiqué que nous devions être conscients des forces qui pourraient influer sur l’élection.
Ainsi, les services de renseignement avaient identifié plusieurs nations impliquées dans des actions diverses contre les USA, y compris la Russie , la Chine et la Corée du Nord.
Dans ce contexte, toute personne raisonnable devrait savoir qu’elle est préoccupée par la sécurité du processus électoral. Pourtant, avec tout ce que le président Obama savait des intérêts étrangers et de l’ingérence, moins d’un mois avant les élections, il se sentait obligé de se moquer et de ridiculiser M. Trump et ses préoccupations.
Lors d’une conférence de presse de Rose Garden le 18 octobre 2016, Politico avait rapporté les commentaires de M. Obama: « Il n’y a pas de personne sérieuse qui pourrait suggérer que vous pourriez même organiser les élections américaines, en partie parce qu’ils sont si décentralisés et le nombre de votes impliqués », et d’ajouter : « Il n’y a aucune preuve que cela soit arrivé par le passé ou qu’il y ait des cas où cela se produira cette fois-ci ». Et il a conclu : « Et donc, je conseillerais à M. Trump d’arrêter de se plaindre et d’essayer de faire valoir ses arguments pour obtenir des votes » .
(…)
CNS a rapporté en décembre 2016 qu’une enquête bipartite avait déterminé que le département d’État de M. Obama utilisait l’argent des contribuables pour financer une organisation qui cherchait à se débarrasser du Premier ministre Benjamin Netanyahu lors de leur élection de mars 2015.
Selon le Sous-comité permanent des enquêtes du Sénat américain (PSI), le Département d’État a accordé 349 276 dollars des contribuables américains en subventions à un groupe politique en Israël pour mener une opération de campagne qui a ensuite été utilisée pour inciter les Israéliens à voter contre Benjamin Netanyahu lors de l’élection du Premier ministre en mars 2015.
En outre, le rapport du sous-comité précisait: « Dans quelques semaines [des nouvelles élections parlementaires israéliennes], une organisation internationale connue sous le nom de OneVoice absorba et finança un groupe israélien nommé Victory15 ou “V15” et lança une campagne de plusieurs millions de dollars en Israël. L’objectif de la campagne était d’élire “n’importe qui sauf Bibi [Netanyahu]” en mobilisant les électeurs de gauche … » Et qui était le conseiller de V15 ? Jeremy Bird, un homme dont le New York Times notait à l’époque qu’il « est l’architecte de la base et des efforts d’organisation en ligne qui ont alimenté les campagnes présidentielles du président Obama depuis Chicago, (et qu’il) se concentre sur l’éviction du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. »
Nous, Français, n’avons aucune critique à formuler sur la socialie Américaine, car nous avons sa soeur jumelle.
Mais comment en France ou aux USA, des cons , peuvent ils faire confiance à cette secte gauchiasse corrompue, criminelle, puante, composée de voyous prêts a tuer père et mère pour réussir ?
A quand des enquetes serieuses en france ? JAMAIS !
NATIONAL REVIEW
The Russians Colluded Massively — with Democrats
By DEROY MURDOCK February 24, 2018 11:00 AM
https://www.nationalreview.com/2018/02/the-russians-colluded-massively-with-democrats/