Déradicaliser un croyant revient à lui faire apostasier sa foi. Autant lui ôter la vie.
Et encore car il est tellement pris dans le tourbillon de ses fantasmes graveleux et le lucre de la vie éternelle qu’il n’a qu’une obsession : en finir avec son existence terrestre le plus tôt sera le mieux pour rejoindre les doux rivages de son lupanar bordélique.
Mentalement et idéologiquement, les croyants musulmans sont à 100% connecté avec les préceptes de sa religion. Mourir en martyr pour eux est la garantie de toucher leur Graal. Ils ne sont pas morts, ils vivent la vraie vie auprès de leur commanditaire et maître où ils pourrons assouvir leur libido et leur soif insatiable des plaisirs de la vie auxquels ils ont renoncé sur terre pour mieux les savourer dans l’au-delà.
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Un individu qui se radicalise est celui qui ne transige pas avec la loi de sa religion. Il n’a aucune conscience de la gravité de ses actes et leurs conséquences tragiques sur autrui. Il a agi ou projette de le faire car c’est Allah lui-même qui le lui a enjoint et, cerise sur le gâteau, lui a promis les plus belles des gratifications, le sexe et l’alcool et les beaux éphèbes pour l’éternité.
Il est sur le droit chemin selon les principes de la loi de sa religion. Le mal est l’autre avec ses mœurs et sa culture en inadéquation avec les commandements d’Allah.
Il tue non pas pour tuer mais pour châtier celui et ceux qui se sont égarés du tarik, chemin, tracé par Allah. Il n’est ni responsable ni coupable. Un soldat en mission sacrée de purification de la terre des égarés et des insolents.
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La radicalisation n’est est qu’une application stricte de la loi de l’islam et que le croyant vit en cohérence avec elle. Il n’a que faire des valeurs qui ne sont pas les siennes, elles sont pour lui impures, viles et dérisoires.
Les respecter c’est violer les siennes. Il n’y a de loi que celle de l’islam qui doit avoir la primauté sur les lois humaines. Seul Allah légifère et d’homme n’a de choix que dans la soumission à sa loi.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
Ok pour moi aucun problème, pour tout ce qui est croyant, quelque soit sa Religion.
Mais là où ça me fait
chier , c’est de vouloir m’imposer, sa merde.
Tout un chacun à le devoir de le faire chez lui, sans l’imposer à autrui.
Surtout de l’exporter et de vouloir la partager par la force, avec l’aide de l’assistance d’autres malades mentaux…..
Chacun chez soi , et les vaches , seraient mieux gardés.
Faire l’enfer sur Terre … dans le but d’aller au paradis !
La pire, la plus abjecte, la plus scandaleuse des spéculations !
Tout cela au nom d’un « texte » du 7ème siècle, cette « irruption » du passé dans notre Présent doit cesser immédiatement !
J’écoute ….. silence assourdissant de la « bien-pensance », silence assourdissant des « féministes », silence assourdissant des « défenseur LGBT » ….. le « bon sens » reprendra-t-il sa place dans notre Société ?!
Dans le Judaïsme aussi on ne transige pas – du moins on est sensé ne pas transiger – mais il y a une différence fondamentale : on se doit d’être extrêmement sévère pour soi même mais quasiment infiniment patient et indulgent pour les autres qu’ils soient juifs, non juifs, idolâtres ! Bien sûr ceci a une limite : qu’ils n’agissent pas (ils peuvent penser ce qu’ils veulent) en destructeurs du genre humain !
Que c’est bien résumé!
Comment peut-on prendre au sérieux, de l’extérieur, une « religion » qui postule que la récompense suprême pour un homme, c’est de s’accoupler avec des vierges ?
S’ils veulent mourir en martyrs, je veux bien faire un don en cyanure.
Tous mes amis ou connaissance musulmanes « modérés » disent toujours : « Ah, moi je ne suis pas un bon musulman! ». En effet le bon musulman est celui qui se soumet complètement au diktat du Coran autrement dit l’islamiste. Ils sont tous d’accord.
arrêtons de discuter et foutons les dehors !!!
Mobilisons-nous pour forcer notre gouvernement à consulter en permanence le lucide SALEM BENAMAR pour bien paufiner sa politique de déradicalisation. Il. aura des conseils édifiants et solides. Qu’on donne l’occasion dans les médias publics à ceux qui ont souffert de l’islam et l’ont fui pour être libres et jouir de leur droit à la différence, d’exposer et d’analyser la barbrie de cette croyance indigne de l’humanité au 21ème siècle. Qu’on arrête de se laisser tromper par les charlatans, qui veulent nous forcer à voir le blanc noir, à accepter le viol des non voiles comme châtiment divin, à réclamer la libération des criminels musulmans qui se trouvent dans les prisons des « mécréants ».
les bizounours n’écoutent même pas ce qu’ils disent.