Publié par François Sweydan le 2 mars 2018

 

« La conception coranique de la politique n’est pas irénique. Elle est d’affrontement, ou plutôt manichéenne, met l’accent sur la rectitude opposée à l’erreur et sur un affrontement armé entre les deux. » Panayiotis Jerasimof Vatikiotis (trad. Odette Guitard), l’Islam et l’État, Gallimard, coll. « le Débat », 1992, p. 39.

 

Dans le royaume des aveugles, les borgnes sont rois

On titularise Tariq Ramadan « professeur », « islamologue », « théologien » et j’en passe des titres pompeux qu’il ne possède pas en réalité. On feint d’oublie que cela fut possible grâce aux millions de pétrodollars du Qatar.

L’offensive des Frères musulmans, bras armé de cette imposture désordonnée, a été déterminante afin d’imposer en Europe un simili-intellectuel petit-fils de son grand-père Hassan el-Banna, fondateur de la confrérie jihadiste et terroriste des Frères musulmans. Celle-ci fut dissoute en Égypte, pays des origines de Tariq Ramadan, pour des raisons sécuritaires évidentes et pour les grands dangers que véhiculent les idées subversives de cette organisation dangereuse. On voit bien les dégâts considérables causés dans l’esprit de millions d’Égyptiens au bout d’une génération de matraquage frériste et d’endoctrinement (sous Sadate qui avait intentionnellement relâché la meute frériste, puis sous Moubarak). Tariq Ramadan, agitateur en sourdine de double nationalité égypto-suisse, a été rapidement repéré depuis des années et sommé de ne pas mettre les pieds sur le sol égyptien[1].

Mais la France qui lutte, paraît-il, contre l’islam radical a laissé libre court et toute liberté à cette secte et son mentor néo-frériste sous couvert de l’UOIF, CCIF, Parti des indigènes de la République (PIR), et autres officines d’islamistes fanatiques déguisées en associations culturelles ou antiracistes. Cet « islam militant » (désignation gentillette de notre presse soixante-huitarde angélique ou compromise) a pourri progressivement les musulmans de nos banlieues au risque du pire dans un futur proche.

C’est que la France, comme le Royaume uni et l’Allemagne, entre autres pays de l’Europe occidentale, s’employait depuis bien plus de deux décades et continue de promouvoir le radicalisme islamique en Europe comme en Orient ; laisser faire, même si on nie catégoriquement cette politique machiavélique qui tue des êtres humains innocents, ici et ailleurs.

Cela dit : mais où sont les vrais travaux académiques en islamologie et en théologie islamique de cet universitaire virtuel qui attesteraient qu’il soit un vrai « théologien/islamologue » ? Est-ce parce qu’il est un habile conférencier beau parleur manichéen ? Ou est-ce son don de binarité, inversant sournoisement tout concept ou notion qui ne cadre pas avec l’idéologie frériste ? C’est tout au plus un orateur, un prédicateur et gourou d’une secte islamiste habitué surtout des projecteurs, des plateaux télés et des studios radios. Et c’est également grâce aux journaleux, particulièrement de Suisse, de Belgique et de France, et à leur complicité stupide et dangereuse qu’il est devenu « islamologue » et supposé « théologien ».

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Beaucoup d’intellectuels ne l’ignorent pas – surtout parmi les universitaires musulmans éclairés et progressistes – sauf les confrères fréristes de Tariq Ramadan en France qui feignent et tentent de se convaincre qu’il soit un intellectuel de taille. Lorsqu’on vient fanatisé d’Orient ou du Maghreb avec son lourd héritage décadent et arriéré[2], on accroche son bagage d’ignorance endémique et crasse à la première bouée de sauvetage, quitte à celle d’un mirage dénommé Tariq Ramadan.

Ce n’est pas avec des ouvrages de vulgarisation essentiellement publiés dans la maison d’Édition Tawhid (siège à Lyon), vitrine attitrée des Frères musulmans, ou à deux mains avec Edgard Morin (qui a assurément montré sa naïveté et sa grande méconnaissance de l’idéologie dangereuse que véhicule son ami néo-frériste), ou autre opportunité qu’on devient un « islamologue », un « penseur de l’islam », un « théologien » ou un « philosophe ».

Au plan intellectuel, on considère en Égypte, par exemple Nasr Hamid Abû Zayd (mort en 2010), Mohammed Abdallah Nasr, Leila Ahmed ou le fameux Sayyed Al-Qimni comme islamologues, Islam Behery comme chercheur brillant dans ce domaine, et même l’essayiste et historienne Bat Ye’or (Gisèle Littman-Orebi), introduisant dans ses ouvrages le concept et réalité de dhimmitude[3], mais aussi le prêtre copte égyptien Zakaria Botros et ses critiques du Coran. En Suisse, Sami Aldeeb fait figure de pionnier pour avoir le premier réédité le Coran en langue arabe par ordre chronologique, et traduit celui-ci en plusieurs langues (français, anglais et italien). Ailleurs il y en a beaucoup d’autres[4], comme l’excellent prédicateur d’origine marocaine, apostat de l’islam, Frère Rachid, ou l’universitaire égypto-allemand Hamed Abdel-Samad (auteur de l’ouvrage Le fascisme islamique: Une analyse), le soudanais Mahmoud Mohamed Taha (exécuté en 1985 par le président Gaafar Nimeiry pour apostasie[5], précisément sur instigation des Frères musulmans et d’al-Azhar).

Mais Tariq Ramadan ? Tout au plus un polémiste de rassemblements islamistes contestataires, féru des bains de foules et des one man shows dans des Forums de fréristes d’un obscurantisme misérable mais qui se prennent au sérieux. Ils ont eu pignon sur rue grâce à une classe politique française fort inculte au sujet de l’islam-isme frériste ; ces politicards ont laissé proliférer ce cancer en métastase avec beaucoup de légèreté et de méprisable dhimmitude.

 

De la propagande goebbels-orwellienne et des complicités

Curieusement sur Google, lorsqu’on procède à une recherche à partir de deux mots « islamologue égyptien » on tombe en tête de page (et suivantes) sur « Tariq Ramadan », bien qu’il soit et se réclame de nationalité helvétique. Tous ces précédents vrais islamologues et intellectuels égyptiens de naissance pour la plupart (et de nombreux autres aussi importants et d’ailleurs) sont systématiquement absents de la censure manipulatrice ‟googleienne”. Curieux, non ? Même Wikipédia se trompe sévèrement et met abusivement ce néo-frériste réactionnaire d’un islam politique hyper conservateur paradoxalement (et sans rire de l’absurdité) dans la catégorie des « intellectuels liés à l’islam libéral » (d’autres dans cette liste de l’encyclopédie douteuse Wikipédia ne devraient pas y figurer, étant donné leur obscurantisme affiché ou dissimulé) !

La responsabilité en second lieu après nos politicards incombe à nos médias, le Net et les réseaux sociaux[6] qui soutenaient – et soutiennent encore – le fascisme islamique depuis fort longtemps. Ils ont fabriqué un « Tariq Ramadan© » de toute pièce et ont fait de lui une icône falsifiée, un mythe menteur[7].

On a laissé faire et il a eu son emprise sur nos banlieues incultes et sur les musulmans méconnaissant même leur religion. Que d’ignorance rencontrée !… C’est effrayant le pourcentage de musulmans dans nos banlieues à l’esprit tordu et désinformé par tant de mensonges importés des pays arabes d’origines, pourtant peuples arabisés aujourd’hui arriérés et en perdition principalement à cause de l’islam frériste et wahhabite.

 

De l’action para-politique des Frères musulmans

Le pire, à titre d’exemple, est que le recteur de la Grande mosquée de Lyon (Kamel Kabtane) et son homologue de Villeurbanne (Azzedine Gaci) auraient dû garder le silence au moins par décence pour les victimes de Tariq Ramadan. Mais n’ayant pas froid aux yeux et armés de leur effronterie coutumière ils chevauchent leurs grands chevaux arabes pour réclamer non moins la « libération immédiate » de Tariq Ramadan. Mais qui sont-ils pour donner des ordres à la justice française et, insultants, sous-entendre son impartialité ? Si pour ces néo-conquérants islamistes, Tariq Ramadan est un « intellectuel de renom, reconnu et respecté au sein des musulmans de France », cela en dit long sur l’effondrement moral de la communauté islamique en France.

Mais lesquels des musulmans qui n’auraient pas de la considération pour Tariq Ramadan ? Sûrement pas ceux qui appartiennent à la Oumma politique, la communauté universelle des Frères musulmans, indépendamment de leur nationalité, de leurs liens sanguins et des pouvoirs politiques qui les gouvernent : « musulmans EN France »[8], et non « citoyens Français » DE France, de confession musulmane. On voit bien que ces deux-là n’appartiennent au final, comme leur icône ramadanienne, à aucune nation sauf à celle d’un islam radical supranational.

Je connais de nombreux musulmans (croyants et agnostiques) qui considèrent Tariq Ramadan comme un séditieux subversif et ne se réclament pas de ce propagandiste de l’idéologie néo-frériste, ni d’ailleurs de la mouvance de ces deux recteurs-là. Il est vrai aussi que dans les pays maghrébins de leur naissance, un personnage comme Tariq Ramadan serait au-dessus des lois, plutôt protégé par la justice, les victimes forcées au mariage avec leur violeur, comme c’est malheureusement le cas dans de nombreux pays arabo-musulmans.

Personnellement, j’ai fait l’expérience et entendu de mes propres oreilles les mensonges conférenciers méprisables, les manipulations publiques viles et la perversité du double langage de ces deux recteurs-là, eux-mêmes à rectifier. Mais c’est la République française – devenue bananière – qui a donné le droit de parole à des charlatans islamistes qui passent leur temps à la propagande mensongère, à induire en erreur et à manipuler les non-musulmans avec un discours faussé et à la taqiya systématique à chaque occasion.

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Cela n’étonne pas au demeurant qu’ils prennent la défense de Tariq Ramadan à leurs yeux « victime d’un lynchage médiatico-politique où les convictions personnelles et les rancœurs prennent souvent le pas sur la sacro-sainte présomption d’innocence à laquelle on ne songe pas un instant »[9]. Ces deux recteurs-là, proches des Frères musulmans, n’expriment que leur convictions religieuses personnelles et ne font que leur devoir vis-à-vis d’un confrère dans le jihad, qui englobe celui du nikah (la copulation/coït ; le viol) des mécréantes infidèles non-musulmanes ou pseudo musulmanes à leurs yeux. À leurs yeux, Tariq Ramadan est déjà innocent car la charia ne reconnait pas de toute façon sa culpabilité face au témoignage d’une femme (qui n’est pas accepté en islam), ni celui d’infidèles mécréants[10].

Comme son frère Hani Ramadan, alors qu’il prônait la lapidation en cas d’adultère, maintenant innocente totalement son frère Tariq des accusations de viols et va jusqu’à crier au « complot sioniste », comme d’ailleurs le frériste Yamin Makri, directeur de la maison d’Édition Tawhid à Lyon. Et comme d’habitude, à l’instar de la confrérie mère en Égypte, les complotistes des Frères musulmans en France à inverser systématiquement les réalités et de crier eux-mêmes au complot adverse. Ils sont de surcroît hypocrites du problème endémique du harcèlement sexuel et du viol dans le monde arabo-musulman, épidémie ‟importée” en Europe et qu’on voit d’ailleurs régulièrement sous nos yeux avec les migrants (sans compter en 2017-2018 des centaines de filles chrétiennes coptes d’Égypte kidnappées, forcées à se convertir et à épouser leurs ravisseurs).

Poursuivant dans le discours démagogique habituel de victimisation Kamel Kabtane et Azzedine Gaci écrivent en « novlangue »[11] : « Le régime d’exception et la sévérité appliquée (…) alimente sans cesse le sentiment d’une justice à double vitesse et nourrit l’idée selon laquelle Tariq Ramadan est plus jugé pour ses idées et ses engagements que pour les faits qui lui sont reprochés, et sur lesquels la justice doit pouvoir travailler en toute sérénité ».

Le comble du culot et de la langue de bois islamique de ces deux-là – comme pour les amis du club de Médiapart – est qu’ils omettent dans leur double langage et leur justice à sens unique le fait que la République devrait juger Tariq Ramadan ÉGALEMENT pour ses idées fréristes, toxiques et hautement subversives (voir en 2012 : Tariq Ramadan prie pour le jihad contre les juifs et les chrétiens). Après tout, il venait depuis plus de vingt ans en France déverser son fiel et inciter les jeunes musulmans à la dissidence et à la non-intégration, voire à l’insurrection (prononcé à demi-mot en français et en arabe dans les Forums UOIF au Bourget !).

Je rappelle à ces deux recteurs-là que leur frère Tariq – qui semble être leur référence idéologique – est formellement interdit de séjour dans de nombreux pays y compris celui de son grand-père. Cet agitateur frériste aurait dû être définitivement interdit de séjour en France, comme en 1995 ; interdiction qui fut levée on ne sait ni pourquoi, ni comment ?

 

Des porteurs de valises piégées de l’islamisme et de la stratégie frériste

Que les amis du club Médiapart[12] signataires de la pétition (Tariq Ramadan : pour une justice impartiale et égalitaire | Le Club de …) demandant la libération de leur protégé Tariq Ramadan n’oublient pas les dégâts du fanatisme frériste de son grand-père en Égypte et en Orient. Ils feignent d’oublier que le petit-fils se réclame explicitement dans ses écrits de filiation directe de l’idéologie jihadiste d’el-Banna. Et c’est précisément à cause de « ses idées et ses engagements » que des pays arabes ne veulent pas de ce discours séditieux. Sauf pour les islamistes fréristes de France et leurs sympathisants ? Au moins, nous savons maintenant qu’en France il y a des dizaines de milliers de ses partisans ou de sympathisants fréristes (Petition · LibérezTariq Ramadan/Free Tariq Ramadan · Change.org).

Et comme toujours, dans leur réflexe pavlovien communautariste, les Frères musulmans en France dans un bras de fer pervers tentent d’engager leur combat religieux (jihad) sur le terrain politique. Et dans leur stratégie victimaire, ils prennent en otage toute la communauté des musulmans qui n’appartiennent pas à leur mouvance : tenter de donner au processus de contestation frériste le profil d’une pression communautaire généralisée ! Ainsi, par exemple, Kamel Kebtane de renchérir : « Lorsqu’un chrétien est malmené, il est normal que la population chrétienne s’en émeuve ». Faisant abstraction de la laïcité (qui fait souvent défaut chez cette catégorie d’islamistes), c’est le communautarisme islamique qui met systématiquement en avant la dimension confessionnelle dans le but de faire pression sur la justice et la politique.

D’ailleurs, en ce qui concerne la cagnotte pour payer les frais de justice de Tariq Ramadan[13], cette collecte de fonds n’est rien d’autre qu’une offensive de plus pour mobiliser tous les musulmans derrière les Frères Musulmans en France, en Suisse et en Europe ; stratégie de légitimation martelée et, au défi, affichée. Il s’agit également d’occuper le paysage, saturer les médias et rester coûte que coûte sur le devant de la scène, faire pression par du chantage, voire des menaces, comme procédait la secte terroriste mère en Égypte depuis plus d’un demi siècle et, maintenant en difficulté, continue de le faire régulièrement par des attentats.

Car, on ne va pas nous faire croire que le Qatar qui avait acheté le titre de « professeur » et la chaire « d’Études islamiques contemporaines » ainsi que celle « de théologie islamique » créées à Oxford de toute pièce et sur mesure pour Tariq Ramadan ne vont pas allouer – comme d’autres ‟princes” d’Arabie et des pétromonarchies – des millions de pétrodollars pour innocenter leur protégé.

Ces Frères musulmans qui se mobilisent en France pour un personnage tel que Tariq Ramadan, incarnant l’islam politique frériste dangereux le sont tout autant que lui.

Heureusement que la justice française a montré son indépendance et démontre que ce ne sont pas les pressions des officines fréristes et leur charia qui décident en France ! Ce n’est pas la justice française qui serait « à double vitesse » ce sont tous ces fanatiques islamistes qu’on devrait interdire du double discours toxique et destructeur, historiquement amnésique, culturellement et religieusement schizophrène.

Progressivement, les Français découvrent le vrai visage de ces loups et vipères islamistes entrés dans la bergerie pour inciter à la dissidence et à l’ « insurrection » que réclame déjà l’un de leur confrère frériste[14].

Dans certains pays arabes dans lesquels les Frères musulmans sont désormais majoritairement et définitivement exécrés, tous ces petits agitateurs hystériques, Français par accident, raseraient les murs et s’abstiendraient de se gargariser de gros mots : « complot/lynchage politico-médiatique », « machination », « sionisme », « islamophobie », et autres surenchères fréristes. Et en Égypte, beaucoup d’intellectuels musulmans et de vraies islamologues, les ridiculiseraient en public, eux et Tariq Ramadan, marque déposée burlesque des politicards et des médias français et européens complices des Frères musulmans depuis plus d’un quart de siècle.

On récolte ce que l’on a semé…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © François Sweydan pour Dreuz.info.

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[1] Depuis des années, le Service de renseignement général égyptien avait mis en garde plus d’une fois et en vain la France et autres pays européens contre les dangers des Frères musulmans.

[2] Sayyed Al-Qimni : « nous sommes des peuples arriérés; celui qui prétend le contraire est stupide » (ajoutée le 18 févr. 2018 ; sous-titrage en français).

[3] Bat Ye’or, Le Dhimmi. Profil de l’opprimé en Orient et en Afrique du nord depuis la conquête arabe. Préface Jacques Ellul. Les Provinciales, 2017 (1ère éd. Éditions Anthropos, 1980).

[4] Critiques de l’islam : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Critique_de_l%27islam.

[5] Sami A. Aldeeb Abu-Sahlieh, Mahmud Muhammad Taha: Mahmud Muhammad Taha entre le Coran mecquois et le Coran médinois, Createspace (Amazon), Charleston, 2018, 146 pages (Amazon.fr).

[6] Par exemple, Magdi Khalil, 20 février 2018, Facebook “Intellectually Terrorizes” A Human Rights Activist (Facebook ‟terrorise intellectuellement” un activiste des droits de l’homme).

[7] François Sweydan, Dreuz.info, 10 février 2018, Tariq Ramadan, le mythe et la réalité.

[8] Marc Le Stahler, 26 février 2018, « DEMAIN, L’ISLAM EN FRANCE » (Bernard Chupin) ; STRATÉGIE ISLAMIQUE CULTURELLE EXTÉRIEURE (OCI−ISESCO, 2009), stratégie adoptée par la neuvième Conférence islamique au Sommet tenue à Doha, État du Qatar, 2000, Organisation islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture.

[9] Gaia – Dreuz, 22 février 2018, Des responsables musulmans réclament la libération de Tariq Ramadan ; Observatoire de l’islamisation, 23 février 2018, Les notables de l’islam lyonnais réputés « modérés » au secours de Tariq Ramadan : « Les deux hommes n’hésitent pas à dire que l’islamiste est « reconnu et respecté par les musulmans de France », et non pas par les seuls islamistes des Frères Musulmans » ».

[10] Bernard Dick, Riposte Laïque, 8 août 2012, Charia : le châtiment de l’adultère.

[11] François Sweydan, Dreuz.info, 26 janvier 2018, Le spectre effrayant du totalitarisme rampant… .

[12] Gaia – Dreuz, 23 février 2018, La justice décide de maintenir en détention Tariq Ramadan, mis en examen pour viols.

[13] Gaia – Dreuz, 24 février 2018, Tariq Ramadan: une cagnotte pour payer ses frais de justice atteint des sommets.

[14] Jean Sobieski, 18 février 2018, Yasser Louati, ex porte-parole du CCIF, appelle les musulmans à l’insurrection.

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