Les résultats des élections italiennes donnent la migraine aux gauchistes. La plupart des médias s’empressent d’associer Matteo Salvini, chef de la Ligue, avec le Front National de Marine Le Pen afin de mieux le diaboliser. Parce que le populaire Salvini est souverainiste et identitaire, les gauchistes veulent que les Français (et tous les francophones) le considèrent comme un homme d’extrême droite «populiste», fasciste et infréquentable.
Déjà, 20 Minutes titre : « Italie : Découvrez les amitiés très à droite de Matteo Salvini, le chef de la Ligue qui a terrassé Berlusconi » en ajoutant une photo de Salvini tenant la main de Marine Le Pen.
Dans Le Figaro, Mme Le Pen s’est portée à sa défense alléguant que la Liga « est simplement «un mouvement qui s’oppose à l’Union européenne» et «qui souhaite que les aides sociales, la solidarité nationale s’effectue auprès des Italiens d’abord.»
Les résultats sont assez clairs : les Italiens ont voulu se débarrasser de la gauche européiste qui est en faveur de l’immigration massive.
Tandis qu’à gauche, le Parti démocrate de Matteo Renzi, s’est effondré avec moins de 20% des voix et fait le plus mauvais score du parti depuis ses débuts en 2007, l’alliance entre la droite de Forza Italia de Silvio Berlusconi, et la Ligue (Liga) menée par Matteo Salvini et le parti nationaliste, conservateur et eurosceptique, Fratelli d’Italia («Frères d’Italie») prend la tête du scrutin avec environ 35% des suffrages.
De son côté, le Mouvement 5 Etoiles, un parti «populiste» dirigé par Luigi Di Maio, obtient un score qui dépasse 30% des voix (environ 31% à la Chambre des députés comme au Sénat).
Avec un vote marqué à la fois par le rejet des partis traditionnels, l’exaspération face au marasme économique et les tensions autour des migrants et de l’Union européenne, l’Italie s’inscrit dans la lignée du Brexit, de la victoire de Donald Trump aux États-Unis et de la poussée de la droite ailleurs en Europe. «Pour la première fois en Europe, les forces antisystème l’emportent», a résumé l’éditorialiste du quotidien La Stampa.
Ce résultat s’explique non seulement par la «forte pression migratoire» pesant sur l’Italie, qui s’est sentie seule face aux près de 700.000 migrants débarqués depuis 2013, comme le prétend le Président Français, Emmanuel Macron, mais aussi par le ras le bol des Italiens.
La formation d’un gouvernement à l’allemande est exclue puisque le parti de Matteo Renzi a été battu à plate couture.
Matteo Salvini a réussi le pari de devancer de quatre points le parti de son principal allié, Silvio Berlusconi. En vertu de l’accord scellé avec ce dernier, si les deux hommes ont les moyens de former un gouvernement, celui qui a obtenu le plus de voix désignera le futur président du Conseil.
C’est à suivre …
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Salvini et Berlusconi n’ont pas de majorité. Ils vont récupérer quelques dizaines de traîtres pour pouvoir survivre. Ils n’ont pas le choix.
Les Italiens, manipulés par leurs médias, ont eu peur de voter en masse pour les candidats propres et honnêtes se situant au dessus de la division obsolète droite-gauche. Ils ont raté le train M5S. Juncker et ses complices, dont le projet est de détruire une à une les Nations européennes se frottent les mains.
le pire ennemi de l’europe c’est juncker
Les peuples d’Europe se réveillent !
Et les media gauchistes freinent des quatre fers pour reconnaître la réalité. Mais comme plus personne n’écoute ce qu’ils racontent, ils savent venir chercher (ici !) la vérité sur les sites qui, comme eux, vomissent cette Europe qu’on leur a imposé.
Reste que dans ce Sud, les espagnols sont des béni-oui-oui. Les grecs ont montré de quoi ils étaient incapables. Et pour ne pas nous épargner, cette France ahurie, droguée aux vacances, sécurité sociale, RTT et autres gracieusetés qui montre à quel point elle n’est plus celle que l’Histoire nous a enseigné.
Le Sud de l’Europe a un sacré boulot à faire dans ses rangs pour rejoindre des pays aussi pauvres mais tellement plus fiers comme ceux de Visegrad !
@Daniele Lopez Tout à fait d’accord avec vous surtout pour le Sud de l’Europe .
C’est une question de mentalité les pays du Visegrad ont une fierté et un courage qui manquent ailleurs et en France en particulier .
Eux comme les Italiens ne sont pas lâches quand il y a les élections et ne s’écrasent pas devant l’UE et la mère Merkel.
Bien cordialement .
Il y a quelques jours , j’ai vu : “” ….. fait une déclaration d’amour à ISRAEL “” !!
je ne me souviens pas du nom … qui pourrait me renseigner ?
Salvini, je crois (de memoire) : a verifier
Si la majorité des italiens en a ras-le-bol des migrants, je ne suis pas sûr qu’ils en ont ras-le-bol d’un système de gauche ni de l’Europe. Ils en ont marre des socialistes qui pratiquent des politiques de droite (Renzi et consorts) et qui soutiennent la dictature politique et économique de Bruxelles. Le premier parti (Cinque Stelle) est plutôt marqué idéologiquement à gauche (je dirais national-socialiste?) et rassemble tous les déçus des gauches traditionnelles. Une bonne part du “petit peuple”. La droite regroupe les tenants de l’économie réelle et les aspirations d’une Italie unie retrouvant la maîtrise de sa destinée. Et l’ensemble s’oppose à l’ordre établi par les diktats de Bruxelles. Bref, à ce stade, restons prudents dans nos analyses … Même si Renzi ET Bruxelles ont reçus un coup de botte mérité au cul. Une majorité d’italiens ne sont pas opposés à une certaine idéologie socialiste ni aux principes fondateurs de l’Europe des débuts. La construction européenne n’a pas eu que des aspects négatifs et donc prenons garde à ne pas balancer le bébé avec l’eau du bain. Le bébé c’est l’Europe et l’eau du bain les sbires autoproclamés de Bruxelles. Meilleures salutations depuis l’Italie du sud.
Pas d’accord avec vous gigobleu, pour une fois.
La “construction européenne” ne pouvait aboutir qu’à ce que nous voyons aujourd’hui ; pour une raison simple : la supranationalité, qui en est un des principes, sinon le principe majeur.
Soit les pays prennent des accords bilatéraux, ou multilatéraux, mais en conservant leur entière souveraineté, soit ils acceptent le principe de la supranationalité.
Ce qui est de plus en plus rejeté par les citoyens européens de nos jours, c’est justement la supranationalité : le fait d’être dirigé, dans les faits, par des étrangers ; des gens qui bien souvent ne connaissent pas les us et coutumes des peuples qu’ils gouvernent, et qui en plus ne leur rendent pas de comptes.
Que ces gens soient des élus (députés européens), ou des eurocrates non élus ne change pas fondamentalement ce sentiment.
Evidemment, quand ce sont des eurocrates, personnes non élues, nommées de façon très opaque, ne rendant aucun compte à personne, payées très grassement, souvent corrompues et méprisant presque ouvertement les gens du peuple, cela ajoute au sentiment d’être incompris et à l’exaspération.
Mais fondamentalement, c’est la supranationalité qui pose problème.
On le voit bien avec des pays comme la Hongrie, la Pologne… ou encore les USA et le retour au sain patriotisme, ou encore Israël qui ne s’en laisse compter par personne… etc.
Le patriotisme, n’en déplaise aux européistes et autres mondialistes, n’est pas synonyme de guerre et de racisme ; beaucoup de pays pacifiques (la Suisse en est un exemple) sont attachés à leur identité et à leur souveraineté : pas de contradiction de principe.
Il est évident à mes yeux que l’européisme est le laboratoire du mondialisme sans-frontiériste soutenu par Soros et consorts. Pas pour rien que ces gens s’entendent si bien entre eux !
@ Jacques Ady. Désolé, mais je crois que nous sommes fondamentalement d’accord. Puisque j’approuve totalement votre commentaire! Ceci dit, je n’ai aucun problème avec ceux qui ne sont pas d’accord avec moi. Lorsque j’évoque la construction européenne, il faut comprendre l’idée initiale qui la soutient, à savoir, plus jamais de guerre entre nous. En ce sens, une certaine unité européenne oui, une uniformité NON. Donc, revoir complètement de A à Z les fondements de cette Europe. Il faut distinguer le plan machiavélique qui a été mis en place par certains de l’idée que se font monsieur et madame toulemonde de l’Europe. C’est-à-dire une région pacifiée qui travaille au bien commun.
Revoir de fond en comble cette Europe, certes. Mais comment, concrètement ?
Personnellement, j’ai eu beau lire, réfléchir à cette question depuis pas mal d’années, je n’ai jamais vu de proposition concrète qui ne comprenne une dose de supranationalité.
Et la supranationalité, c’est cela le problème, c’est pour moi une évidence…
D’ailleurs en France on le voit bien, plus il y a eu d’Europe, et plus les choses ont empiré… l’Europe, c’est le moyen commode de tous nos dirigeants successifs de dire : c’est pas ma faute, c’est la faute à Bruxelles – bref la faute des autres, et personne n’est jamais responsable finalement…
Et la supranationalité, n’est-ce pas d’une certaine façon la Tour de Babel recommencée ?…
Bonjour Gigobleu: je suis également d’accord avec Jacque Ady.
Je crois cependant que l’argument selon lequel l’unité européenne était nécessaire pour éviter les guerres n’était qu’un prétexte qui permettait de «vendre» l’idée de l’UE aux peuples lassés par deux grandes guerres. Ainsi leurrés, les peuples n’ont pas réalisé qu’il s’agissait de permettre à une élite technocrate de prendre les contrôle des pays européens.
Les Britanniques n’ont pas marché qui ont refusé l’Euro et ont fini par faire le Brexit pour conserver leur indépendance. Les Français étaient sceptiques mais on leur a forcé la main. Les Allemands savaient qu’ils auraient le dessus et réussiraient avec l’UE ce qu’ils n’avaient pas pu faire avec deux guerres. Les Italiens ont sans doute cru qu’ils s’en sortiraient assez bien (aussi se sentant responsables du désastre de la Deuxième Guerre mondiale alors qu’ils étaient alliés avec les Allemands. On n’a pas cessé de vouloir leur faire expier le fascisme de Mussolini et de les culpabiliser comme on a culpabilisé les Français en diabolisant le nationalisme. Aujourd’hui c’est la Hongrie et la Pologne qu’on cherche à culpabiliser …
@ Magali et Jacques Ady. En fait, nous sommes fondamentalement d’accord. J’essayais juste de tenter de glisser quelques nuances en opposant l’aspiration de nos peuples (une Europe forte, unie et pacifiée) aux manœuvres du programme machiavélique de ceux qui la gouvernent (une population métissée, soumise et lobotomisée). Le vote italien ouvre peut-être une (petite) fenêtre vers l’idéal? Si vous êtes inquiets à mon sujet, rassurez-vous, je milite pour la fin de la dictature Juncker, Merkel, Macron, Soros et autres malfaiteurs de l’humanité.
Que voici une belle passe d’armes qui se termine bien !
Merci à vous Magali, Gigobleu, Jacques Adi. Et au plaisir de vous lire .
@ BABA :
+ 1
(problème d’internet actuellement…)
J’ai de la famille en Sicile à Catane, là où les envahisseurs débarquent pour la plupart…
Si vous allez en Italie ou en Sicile et que vous voulez manger de la cuisine Itallienne… pizza ou autres…, choisissez bien votre restaurant, car la plupart sont des restos arabes, n’ont pas racheté par eux, mais rackettés par eux…
Si on vous met un couteau sous la gorge et que vous refusez… Vous perdez votre resto et la vie…!
Voilà comment ça se passe en Sicile et en Italie maintenant…
Il faut savoir comment ça se passe, et c’est comme ici, en fait , rien n’est révélé, on l’apprend par les gens qui les subissent…
En France, actuellement, une église par jour est totalement vandalisée…
Le saviez-vous de source journalistique???
Non, ils la ferment tous, et c’est comme ça pour tout…
En Italie, une jeune fille a été tuée et démembrée, par celui qui se disait un ami très proche… la famille est complètement démolie…!
Voilà pourquoi les Italiens en ont marre…
si les migrants foute la merde en France , en Allemagne , en Belgique ….. l’Italie aussi a son lot de malheur avec vol , viol et meurtre donc le Peuple veulent du changement
Avant, la gauche, c’était la lutte contre les injustices sociales et économiques, pour un partage plus équitable de la production, pour augmenter les revenus des “travailleurs” et des “prolétaires”, pour assurer à tous l’accès aux études, à la santé, etc..
Aujourd’hui, la “gauche” ce n’est plus que “l’antiracisme”, le “multiculturalisme” et le soutien hystérique, agressif et intolérant aux revendications nombrilistes des “minorités” marginales (LGBT, “racisés”…) et autres “communautés”, à l’islam et aux musulmans, et à une immigration sans limites, au nom d’une idéologie folle, d’un “humanisme” mal compris poussé jusqu’à l’absurde.
L’exemple de Mayotte devrait pourtant leur montrer que l’immigration massive (de préférence musulmane, ils ont une étrange fascination pour l’islam) qu’ils appellent de leurs vœux et dont ils vantent les “bienfaits” (jamais prouvés) aboutit au chaos.
Et à Mayotte, les immigrants sont des Comoriens musulmans, comme les Mahorais, ils partagent la même culture et sont de la même ethnie!
Aujourd’hui on a une gauche bobo soixante-huitarde plus préoccupée du bien-être des immigrés (d’autant plus appréciés s’ils sont clandestins et illégaux), des musulmans, des marginaux et des délinquants et criminels que des honnêtes gens de la classe populaire, bref plus préoccupé de “l’autre” lointain que de ses concitoyens, et même au détriment de ces derniers qu’ils sont prêts à sacrifier (c’est toujours plus facile d’imposer des sacrifices aux autres qu’à soi)
Etre “de gauche” aujourd’hui s’est réduit à manifester ce que j’appelle le “syndrome du Saint-Bernard”: c’est secourir et sauver “l’autre”, présumé victime inconditionnelle du méchant Occident. D’où aussi ce tropisme pour les ONG et l’idéologie “humanitaire”, confondue avec l’humanisme. Etre “de gauche”, c’est finalement se prendre pour un membre d’une ONG “humanitaire” genre MSF.
Et la victime suprême à sauver, dans le comble de l’abnégation, c’est le terroriste musulman, qui cumule toutes les qualités (immigré, musulman et criminel); cf leurs gesticulations pour faire revenir les djihadistes pour qu’ils bénéficient d’une justice “équitable” (et surtout de sa mansuétude), au mépris du droit international.
Ce n’est pas la gauche au sens traditionnel que le peuple rejette, c’est l’idéologie immigrationniste et islamophile folle à laquelle elle s’est convertie, oubliant ses principes originels.
+ 1
Merci, Magali, pour votre article.
Les Italiens se sont montrés, à leur tour ( après les Anglais, les Autrichiens)…
capables d’un sursaut salutaire que nous serions bien inspirés d’imiter,
à toutes les prochaines élections — je pense surtout aux européennes, de 2019—.
Les commentateurs et gens de médias, à la radio, ne cessent de glapir
contre le retour du populisme, de la “bête immonde”; par exemple, un invité-culture
roumain, hier soir, dans l” émission d’infos de P. Poivre d’Arvor alertait,
simulant aussi bien qu’il le pouvait, contre la reproduction du scénario des
années 30: il nous fallait donc recevoir à bras ouverts tous les migrants
qui se pressaient à nos frontières, nous dont les aïeux n’avaient pas eu le coeur
de sauver les Juifs de l’extermination programmée par le Chancelier de
l’époque.
Povre d’Arvor est conformiste.Il ne trouve rien à objecter à un amalgame,
pour le coup, aussi grossier.
C’est ainsi que, jour après jour, la population française actuelle, sommée
d’accueillir tjrs plus de migrants pour expier LA faute de ses ancêtres, est
désarmée, au sens propre.
Les immigrants illégaux (ou non, d’ailleurs) ne sont pas des juifs fuyant les pogroms ou l’antisémitisme, mais des gens tenant l’aventure dans l’espoir de vivre à nos crochets des oboles dispensées par les systèmes sociaux.
Quant aux musulmans, ce sont des “réfugiés” au même titre que les criminels nazis fuyant en 1945 en Amérique du Sud ou dans les pays arabes pour échapper aux Alliés.
Il ne faudrait effectivement pas confondre victimes et criminels.
Les musulmans ne sont pas des “réfugiés”, mais des envahisseurs.
faute de frappe: “tentant l’aventure”
La qualification mensongère d’extrémisme de droite est un des piliers de la gauche pour diaboliser ceux qui ne pensent pas comme eux, pour faire peur aux électeurs et les dissuader de voter pour eux.
Tout comme l’utilisation du mot populisme à connotation dégradante pour s’attaquer à la démocratie.
Enfin, la gauche soutient voire manipule les milices fascistes gauchistes chargée de s’imposer par la violence.
Tout cela est très cohérent.
L’argumentation gauchiste s’est finalement toujours résumée à qualifier ceux qui s’opposaient à leurs desseins et à leur idéologie fumeuse de salauds…
Terme décliné sous de multiples avatars: bourgeois, contre-révolutionnaire, anticommuniste (forcément) primaire, social-traître hier, fasciste, nazi, raciste, populiste, fhaineux, islamophobe aujourd’hui.
Une fois qu’on a compris cela, on voit que l’argumentaire gauchiste est d’une indigence intellectuelle totale: vide. Il se résume à opposer les uns aux autres, à un manichéisme infantile.
Ces gens sont des paranoïaques qui considèrent tous ceux qui les contredisent comme des ennemis à abattre, à éliminer, y compris physiquement. Ils portent la haine en eux. Cela remonte au moins à la Terreur: Robespierre, Saint-Just, Fouquier-Tinville…
D’ailleurs le deux premiers sont les modèles de Mélenchon (cf son blog)
Les Italiens n’ont pas voté traditionnel (sauf les Italiens de Belgique qui ne connaissent pas l’Italie et qui ont encore voté PD!). Mais une alliance M5S avec le PD est plus que probable.
Il faut s’attendre à ce que la banque européenne et les sbires de l’uerss , vont faire du chantage à la dette, afin que les affreux populistes méchants pas beaux rentrent dans le rang.
Souhaitons que la Lega et et les autres partis en tête , trouvent un accord.
“…La plupart des médias s’empressent d’associer Matteo Salvini, chef de la Ligue, avec le Front National de Marine Le Pen afin de mieux le diaboliser…/…en ajoutant une photo de Salvini tenant la main de Marine Le Pen…”
Cette présentation pervertie de l’information, coutumière des gauches européennes, est a double tranchant, car ces raccourcis sémantiques banalisent en même temps le vote à droite et indiquent la direction à prendre pour faire comme les italiens que tout le monde plaint d’être le seuil d’entrée des migrants.
Macron en use avec une audace qui relève de l’irresponsabilité la plus crasse : “la Guerre d’Algérie fut un crime contre l’humanité” ; “Dire que l’islam s’est propagé par la violence c’est vous trahir” et entendu hier au sujet du (protectionnisme) américain : “… et le nationalisme c’est la guerre…” (il est dangereux ce petit con) alors que, bien sûr, l’à-plat-ventrisme européen c’est la paix… dans la dissolution des identités constitutives de ces nations, de leurs richesses culturelles et économiques au profit d’une guerre civile avec des envahisseurs.
Sous un gouvernement mondial de gauche, il n’y aura que des médailles en toc pour tous les athlètes dont les meilleurs seront sanctionnés, une monnaie de singe internationale pour la populace et des monnaies nationales dans les paradis fiscaux pour ces truands de l’humanité…
Les manipulations de l’info par les grands média occidentaux donnaient le tournis, maintenant, elles donnent la nausée.
Les italiens veulent être respecté point barre!
Je me suis toujours posé la question , et pour un Rital , ça à été
DUR….
Pourquoi l’Italie vue du ciel , ressemble étrangement à une Botte..
Maintenant , j’ai la réponse…..
les français , les italiens , etc … en ont marre des muz & racailles , meme les siamois en on marre
lire les commentaires dans les articles ( long , mais instructif sur ce qu ‘en pense les gens , pas 1 sondage truqué )
SVP , Gaulois garder vos racailles que vous choyez
https://zonesamui.com/2018/03/7-francais-arretes-pour-lenlevement-crapuleux-dune-jeune-femme-de-21-ans/
7 Français arrêtés pour l’enlèvement crapuleux d’une jeune femme de 21 ans
C’est tellement mieux quand on a les noms de ces ” chances pour la France “;
mais ça, les torchons français omettent systématiquement de les écrire
Heureusement les canards thaïlandais sont moins frileux
http://www.leparisien.fr/faits-divers/thailande-sept-jeunes-francais-arretes-en-thailande-pour-sequestration-08-03-2018-7597248.php
oui des jeunes , pas de noms pour le parisien et Europe 1
Tous sont originaires de Villeneuve la Garenne (Hauts-de-Seine, 92).
« C’est une histoire de jeunes de quartier transportée à Phuket » a expliqué une responsable de l’ambassade de France au Parisien.
pour les représentants de la ripoublic francoarabe ce sont des JEUNES
« Tous les sept sont en détention alors que la police procède à des vérifications des antécédents criminels » … « La police française nous a informés que certains des suspects ont des casiers judiciaires impliquant des stupéfiants » …
Les dossiers d’immigration montrent qu’ils entraient et sortaient régulièrement de Thaïlande en tant que touristes.
en TH il y a traces des entrées sorties ,pas comme en espace schengen
si plus de 3 mois il faut 1 visa , justifier de revenus importants et il faut aller pointer tous les 3 mois
« Une histoire de jeunes de quartier transportée à Phuket »…comme si un enlèvement avec séquestration suivi de coups et de menaces de mort était quelque chose de banal. En 2006, l’affaire du gang des barbares (composé aussi de cafards de banlieue), s’était pourtant terminée tragiquement…
on va vite voir si la droite molle va s’allier avec la droite nationaliste en italie!
et ensuite donner des idées à wauquiez!