Mercredi 7 mars, le président français Macron a déclaré que son gouvernement ne déplacera pas son ambassade à Jérusalem. Il a donné comme explication que selon lui, “la reconnaissance des Etats-Unis à Jérusalem est une erreur”.
Ce que dit Macron est aligné sur la politique étrangère de ses prédécesseurs. C’est la ligne constante, psycho-rigide dirais-je même, de la France vis-à-vis d’Israël : Macron n’apporte aucune valeur ajoutée, aucune intelligence, aucune réflexion nouvelle à la façon de régler un problème complexe pour lequel les pistes proposées par la France, et auxquelles il s’accroche, ont toutes lamentablement échoué.
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Cela a de quoi interpeller l’observateur politique auteur de ces lignes.
Un Moyen-Orient transformé, une politique étrangère française du passé
Le Moyen-Orient est en totale reconstruction. Les alliances ont profondément changé. L’Europe contemple en tapant du pied, impuissante, les 500 000 morts de Syrie.
Le Premier ministre Netanyahu, dont personne ne doutera qu’il a une meilleure connaissance de la situation locale que Macron, déclarait hier au Club Economique de Washington :
“Je pense qu’il y a un nouvel espoir à l’horizon que je n’ai jamais vu de mon vivant, et qui n’est pas lié aux Palestiniens, mais au monde arabe. En raison du danger croissant de l’Iran, de plus en plus, je dirais presque tous les pays arabes, ne voient plus Israël comme leur ennemi, mais comme leur allié vital pour contrer la menace de l’islam militant.
… l’autre chose que les Arabes voient, c’est que nous sommes unis pour mettre un terme à la plus grande menace de guerre islamique radicale que l’Iran représente.
De cette malédiction découle une bénédiction. La bénédiction, c’est cette relation extraordinaire entre nous, et je pense qu’en fin de compte, nous pourrions peut-être faire bouger les choses.
Nous avions l’habitude de dire que si nous faisons la paix avec les Palestiniens, nous allons sortir et normaliser nos relations avec le monde arabe. Je pense qu’en fait, cela pourrait plutôt fonctionner dans le sens inverse. Nous normalisons nos relations avec le monde arabe pour aider à changer la perception des Palestiniens.”
Qu’on aime ou pas ce Premier ministre, ce qu’il dit est factuellement indiscutable.
Et pourtant Macron chante toujours la même rengaine… vieille de 30 ans. Et je vous explique bientôt pourquoi.
Avec la nouvelle alliance contre les Etats qui sponsorisent le terrorisme, établie par Trump entre les pays sunnites du statu quo lors de son historique visite en Arabie saoudite en mai 2017, les rapports de force se modifient, et étrangement, la position de la France est comme figée, rigidifiée par les événements : la France n’a pas digéré que les pays arabes aient perdu la Guerre des 6 jours, elle s’est étranglée quand ils ont perdu la guerre de Kippour en 73, elle est tombée dans les pommes lorsqu’ils se sont vengés sur l’Occident en déclenchant la crise du pétrole.
Quel que soit le président élu en France et en Israël ; quel que soit le dirigeant palestinien au pouvoir ; quelles que soient les agressions des terroristes du Hamas à Gaza ; quelle que soit la violence du conflit qui dure depuis 13 ans entre le Hamas et le Fatah et la politique des uns et des autres, le Quai d’Orsay est incapable d’évoluer. Son raisonnement est bloqué. Récemment, les jurés du concours de l’ENA disaient que les concurrents sont totalement incapables de penser par eux-mêmes. Imaginez bien qu’une fois hauts-fonctionnaires au Quai d’Orsay, cela ne s’améliore pas. Ils continuent d’appliquer des règles du passé qui n’ont jamais marché sans même comprendre qu’elles ne donneront pas de meilleurs résultats demain, parce qu’ils ne peuvent pas penser par eux-mêmes, donc réfléchir, donc analyser et innover, ou tout simplement comprendre la situation présente.
Mais tout cela a peu d’importance, la France a perdu sa centralité dans le monde, et son influence géopolitique est réduite à néant, malgré son poste clé dans le club fermé des membres du Conseil de sécurité de l’ONU.
Quand les Etats-Unis ne se retirent pas de la scène internationale par la volonté d’un président Obama alter-mondialiste, il se produit ce que nous observons depuis l’élection du président Trump : Nikki Haley, l’ambassadrice américaine de choc auprès des Nations Unies, a envoyé le représentant palestinien dans les cordes il y a encore 10 jours, en lui disant que ses appels pour qu’elle se taise, il peut se les garder, et qu’elle n’a pas l’intention de cesser de dénoncer les mensonges du camp arabe, ce qu’elle fait à chaque cession. A coté, les propos de Macron sur la scène moyen-orientale ont, comment dire, à peu près autant d’impact que ceux que pourraient tenir la Principauté de Monaco, avec l’immense respect que j’ai pour le paradis fiscal qu’elle représente.
En Iran, Macron se prend un soufflet mémorable
Macron vient d’essuyer un humiliant revers, en Iran, dont vos médias n’ont pas parlé.
Il avait pensé pouvoir hausser le ton, avec l’Iran. Il a eu la maladresse d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Il a dénoncé bille en tête et à leur face les tentations hégémoniques du régime, et “exigé” l’abandon des programmes de missiles balistiques. Pour transmettre ce message, il a envoyé son ministre des Affaires étrangères, et ça s’est très mal passé.
Le voyage de Jean-Yves Le Drian à Téhéran s’est en effet soldé par l’échec cuisant des discussions sur les deux sujets principaux : la Syrie, et les missiles balistiques. Sur les deux dossiers, l’Iran a répondu non, et non, à la France qui est repartie penaude la queue entre les jambes.
- Ali Larijani, le président du parlement iranien a refusé de rencontrer le représentant français.
- Javad Zarif, ministre des Affaires étrangères iranien, a annulé la réunion prévue.
- Le voyage d’Emmanuel Macron a été annulé.
- Le président Rouhani a envoyé paître Macron en lui déclarant : “pas question d’abandonner Assad, nous allons au contraire renforcer son pouvoir”, et “aucune concession sur les missiles balistiques”.
C’est dans ce contexte de faiblesse et d’humiliation d’un Quai d’Orsay toujours déchiré entre le camp de l’esprit colonialiste et celui de la repentance, qu’il faut entendre Emmanuel Macron se poser en donneur de leçon au président Trump. Et ce n’est pas glorieux.
Macron se prend un râteau avec l’Iran, alors il montre les muscles avec Trump, ça redore son blason. C’est typique.
Bien entendu, la télévision ne vous a pas dit que Macron s’est ramassé en Iran : les médias sont sans doute peu indépendants, mais en ce qui concerne la politique étrangère, les journalistes obéissent strictement au Quai d’Orsay, de l’aveu public de journalistes spécialisés.
L’interdiction de déplacer l’ambassade remonte à 1981
Si le président Macron ne déplace pas son ambassade, c’est parce que les pays arabes ont fait un chantage à la France, et que la France s’est couchée faute d’alternative.
Lors de la 3e conférence du sommet islamique qui s’est tenu à La Mecque du 25 au 28 janvier 1981 (Source), la résolution n°2 sur “Al-Quds Al-Sharif” (le nom arabe pour Jérusalem) menace de sanctions économiques, c’est à dire pétrolière, tout Etat qui installe une ambassade à Jérusalem :
“confirmer l’engagement des États musulmans à utiliser toutes leurs potentialités de s’opposer à la décision israélienne d’annexer Al-Quds, l’adhésion à la décision d’imposer un boycott politique et économique [NDLR : pétrolier] aux États qui reconnaissent la décision israélienne, contribuent à son application ou établissent des ambassades à Al-Quds Al-Sharif”
Voilà pourquoi la France accepte la demande faite depuis 10 ans de reconnaître Jérusalem-Est comme capitale d’un Etat palestinien (qui n’existera pas), et refuse celle faite depuis 1948 par Israël, alors qu’elle se dit prête à la division de Jérusalem.
La France ne peut même pas, sans aller jusqu’au courage de Trump (qui a fait les choses dans l’ordre, et s’est assuré, avant cette reconnaissance, que les Etats-Unis puissent subvenir à leurs besoins énergétiques), faire comme la Russie qui a déclaré Jérusalem Ouest capitale d’Israël. Sa crainte d’une crise énergétique fait d’elle l’otage de la politique arabe. Le résultat est aussi dans les rues des villes françaises.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
C’est l’éternelle attitude débile des zélites à la française , ils aboient contre Donald Trump pour obéir aux mahométans.
Les décideurs français ont toujours pris de mauvaises décisions, se rangent systématiquement du côté des dictatures, et ils continuent de se gourer encore aujourd’hui.
les hommes politiques Français sont des lâches, comme Macron
Je me souviens que, a l’occasion d’un entretien avec un journaliste de haut niveau, dont j’ai malheureusement oublie le nom, le president Mitterrand avait fait comprendre qu’il n’etait pas en position de changer la politique moyenne-orientale de la France: sa mimique, et le theme de la discussion qui precedait immediatement, rendait clair ce qu’il voulait dire: “Ils ne le permettraient pas”. “Ils”, c’etait le Quai d’Orsay. Le Quai, et plus specialement les ambassades, constituent le frein principal qui, dans le domaine des relations internationales, empeche la France de sortir de l’Ancien Regime. La facon dont ces fonctionnaires sont choisis explique parfaitement la chose.
Bravo! Macron est un paltoquet hautain et suffisant. Comme tous les autres, il n’a rien compris au Moyen-Orient ! Et pour Jérusalem, qu’il ouvre une bible! Et pour l’Afrique, ce n’est pas mieux. Parole d’expatrié.
Pourquoi n’a-t-on pas un Trump à la Présidence française ?
parce que des abrutis et des abstentionnistes ont élu un minable
Peut-être aussi parce qu’un Trump à la française, ça n’existe pas. En tout cas moi j’ai beau regarder, je n’en vois pas.
Parce que les Français ont rejeté Dieu depuis au minimum 1968 et que les Chrétiens (qui intercèdent pour la nation) sont en voie de disparition dans ce pays.
Donald Trump est la solution de Dieu pour ce temps aux USA et il a mobilisé son peuple pour le faire élire.
En un mot, France repens-toi de ton orgueil, toi la fille rebelle !
Et la France, ce ne sont pas les responsables politiques mais toi et moi en premier…
“la France n’a pas digéré que les pays arabes aient perdu la Guerre des 6 jours”
La France n’a retourné sa veste concernant Israël qu’en 1973, sous l’influence de l’APCEA (Association Parlementaire pour la Coopération Euro-Arabe) soutenue par la Commission européenne, qui a mis en marche le formidable lavage de cerveau ‘Eurabia’ poursuivi par l’UE.
Mais en 1967, en un temps où les Français avaient encore la tête sur les épaules et le droit de penser pour eux-mêmes, la France était on ne peut plus pro-Israël, comme en témoigne ce film Pathé ci-dessous:
https://www.britishpathe.com/video/mass-rally
On reconnaît dans la foule exultante qui vient d’apprendre la victoire israélienne, le général Koenig, Claude Lelouch et Johnny Halliday.
J’étais encore en France à l’époque, et je me souviens très bien que mon père, socialiste convaincu, m’avait téléphoné au bureau, sachant combien je me rongeais les sangs pour Israël, pour m’annoncer la bonne nouvelle – et lui aussi exultait!
moi j’étais a la manif.
il me semble que le changement s’est produit en 67 car de gaulle avait été vexé car Israël avait attaqué le premier contre ce qu’il avait dit.
cela dit depuis tout temps les ministère des affaires étrangères ont toujours été pro arabes, les militaires non
Il faut distinguer deux changements. La population francaise est sans doute restee majoritairement pro-israelienne plusieurs annees apres la Guerre des Six Jours, voire celle de Kippour. Un basculement dans l’autre sens a eu lieu en 1982 (guerre du Liban). Pour ce qui concerne le pouvoir, c’est different. Le general de Gaulle avait dit a Ben Gourion “nous ne vous laisserons pas detruire” et aurait considere comme naturel que, forts de cette affirmation, les Israeliens se rangent sous son ombrelle protectrice. Je me souviens que, pendant les semaines precedant la Guerre des Six Jours, le journal Le Monde s’interrogeait deja sur la question de savoir si la possibilite de croiser en Mer Rouge etait vraiment indispensable aux Israeliens. Mais Giscard d’Estaing fut celui qui, par tous les moyens possibles, dechaina en Europe la haine anti-israelienne qui continue a sevir aujourd’hui. Son education antisemite (son pere fut le dernier a publier en France un livre tendant, trente ans apres la rehabilitation de Dreyfus, a prouver sa culpabilite) y etait-elle pour quelque chose ?
A propos du père de Giscard il faut voir le documentaire “Le” chagrin et la pitié” qui évoque la vie sous l’occupation à Clermont Ferrand et ses alentours. On y voir Mendès France parler du père pétainiste de Giscard. Tout s’explique et ce documentaire remarquable a été interdit de télé pendant des années. Giscard a suivi la politique antisémite de De Gaulle et Pompidou (qui ne voulait plus que l’on parle du passé, en clair de ceux qui ont laissé les Juifs être déportés vers les cmaps de la mort).
Je veux bien croire que la famille de Giscard d’Estaing était antisémite ainsi que de Gaule et un tas d’autres politiciens français de l’époque d’ailleurs.
Mais ils n’auraient pas pu à eux seuls faire basculer l’opinion publique, qui n’avait pas 40 ans de matraquage médiatique à sens unique derrière elle, comme c’est le cas à présent. Il y avait une certaine diversité dans la presse qui pouvait encore informer et même critiquer librement le gouvernement sans crainte d’être traînée en justice. Surtout que Moscou, qui téléguidait le PCF, lui-même contrôlant l’ancienne gauche française, était pro-Israël dans les années 1948-1965.
Non, le musellement de la presse en France qui a complètement retourné l’opinion publique n’a commencé que dans les années 70s.
@ Atikva
Il n’y a pas besoin de 40 ans de matraquage médiatique pour retourner la cervelle de toute une population. Quelques jours suffisent, et ils ont de gros moyens techniques pour y parvenir.
Regardez le cas François Fillon : Quelques lignes dans le Canard Enchaîné, et 2 jours plus tard tous les Français étaient totalement convaincus qu’ils avaient à faire à un des pires gangsters mafieux, pour à peine 3 costumes offerts et les emplois de son épouse Pénélope. Quelques jours à peine ont suffi pour l’écarter de la course à la présidentielle, au profit d’un quidam Perlimpinpin chouchou des médias, et sorti de nulle part.
Ça a marché contre Fillon, alors ils essaient d’en repasser une couche contre Trump, mais là ils sont tombés sur un os ! 🙂
À l’opposé, la Taubira n’a jamais eu besoin de se méfier des médias. La médiasphère souffle le chaud et le froid, et ils ont de gros moyens techniques pour y parvenir.
Dans les années 60 et 70, quand les médias montraient les belles oranges qui poussent au soleil des Kiboutz, tout le monde était béat d’admiration et pro-Israël.
Puis quand cette médiasphère a retourné sa veste pour de sombres considérations pétrolières après 1973, tout le monde – à l’exception de ceux qui ont la faculté de penser par eux-mêmes – a retourné sa veste avec.
Tous les journalistes un tant soit peu chevronnés vous diront que les médias sont devenus le premier pouvoir en Europe.
Tout à fait, j’étais à Beyrouth en octobre 82, je faisais partie du contingent français (2eme REP) qui a évacué 1500 palestiniens vers la Tunisie et le Yémen sur ordre de Mitterrand. J’en ai honte, encore aujourd’hui, même si je ne faisais que mon boulot. Ça “fout les boules” de voir ce que devient ce pays. C’est pour ça que je n’y vis plus…
La France, via sa Mosquée d’Orsay, c’est quand-même le little shitty country qui a eu le culot et la disgrâce de placer des ambassadeurs et diplomates antisionistes pour sa représentation diplomatique en Israël même. Alors d’ici qu’elle aie le courage d’installer son ambassade à Jérusalem, les poules auront des dents.
“Jérusalem a été, est, et sera toujours la capitale d’Israël.”
L’Ambassadrice américaine Nikki Haley a même ajouté que la désignation de la capitale d’un pays n’est aucunement liée à l’emplacement d’une ambassade :
https://www.youtube.com/watch?v=FrchXFSaO0g
(à partir de 12:00″)
Elle a également eu l’immense courage de préciser qu’il y a au moins 10 conflits sanglants majeurs au Proche-Orient (Iran, Yémen, Syrie, Hezbollah, etc.) qui ne concernent en rien l’Etat d’Israël.
Je traduis en français :
“La désignation de la capitale d’un pays n’est aucunement liée à l’emplacement d’une ambassade.”
“Ce n’est pas quelque chose qui fait suite à une décision américaine.
Ce n’est pas l’Amérique qui a fait de Jérusalem la capitale d’Israël.”
« Jérusalem a été, est, et sera toujours la capitale d’Israël. »
Nikki Haley est l’actuelle Ambassadrice américaine auprès des Nations-Unies.
Elle répond ainsi à la perfection aux bobards de la merdiasphère torchonistique qui vous claironne que “le milliardaire Donald Trump met le feu toute la planète en reconnaissant Jérusalem bla-bla-bla…”
Bravo Nikki. Le monde a besoin de gens comme vous.
God bless America.
Les États-Unis sont le premier pays pétrolier du monde, avec une production moyenne de 14,86 millions de barils par jour, soit 15,3 % de la production mondiale. La Russie est en 3eme place et le Canada, en 5eme.
La France a donc de nombreuses ‘alternatives’ pour se procurer du pétrole.
A moins que les raffineries françaises ne soient conçues que pour raffiner la catégorie particulière de brut en provenance des pays arabes?
Is that the problem? Anybody knows?
(A part le pro-arabisme de la France comme l’indique JP).
Le problème, chère Annika, c’est qu’il n’est pas sûr du tout que les USA aient assez de pétrole pour fournir les pays européens – je dis cela sans vérifier le niveau des exportations de pétrole américaines, mais je serais très surpris du contraire.
Le problème de la dépendance de l’Occident, en particulier l’Europe, au pétrole arabe est un vrai problème.
Je peux me tromper, mais je crois que nous avons été beaucoup trop complaisants, d’une façon générale, avec les pays arabes, lorsqu’ils ont nationalisé les installations pétrolières que NOUS avions créées sur place, et quand ils nous ont fait le chantage au pétrole en 73.
On me répondra : mais que faire ? Notre économie se serait écroulée, les Français auraient été dans la rue, etc.
A-t-on exploré alors toutes les options militaires ?
Les Arabes ne se gênent pas, depuis 14 siècles, pour conquérir et soumettre les pays et les peuples qu’ils convoitent. Pourquoi ne pas leur parler le seul langage qu’ils comprennent, quand ils vont trop loin, qu’ils font un chantage inadmissible ?
Peut-être, finalement, nos dirigeants ne sont-ils pas allés jusque là parce qu’ils aimaient les Arabes et l’alliance avec les Arabes ; parce qu’ils croyaient (croient encore) qu’une alliance avec les Arabes est forcément bonne, vu le grand nombre qu’ils représentent ? Et cela, au mépris de l’élémentaire justice (défendre l’Astérix israélien) ?
Je ne suis pas loin de le penser.
Mais je reste persuadé qu’avec un minimum de volonté et de courage, nous pouvions rabattre le caquet de ces minables crapules prétentieuses arabo-musulmanes.
Comme le dit Annika, il n’y a pas qu’auprès de l’Amérique, mais également de la Russie et du Canada, que les pays européens peuvent désormais se fournir en pétrole – et c’est déjà ce qu’ils font, du moins en ce qui concerne la Russie.
S’ils les pays d’Europe de l’Ouest n’ont pas encore compris, après 14 siècles de tueries et le déferlement de sauvagerie sur leur propre sol pendant les 6 ou 7 dernières décennies, qu’il n’y a jamais eu rien, absolument rien, à espérer de leurs pseudos partenaires musulmans, c’est tant pis pour eux.
Les dirigeants actuels de l’Arabie saoudite ont compris, eux, que la nième tentative de créer un caliphat européen s’est soldée par un échec et que le mieux qu’ils puissent faire, c’est de ramasser leurs billes et de laisser tomber le jihad.
Mais les dictateurs de l’UE n’ont pas encore réalisé la situation, ou ne savent pas comment se dépêtrer du bourbier Eurabia où ils ont fourvoyé les populations européennes. J’espère bien qu’ils recevront un jour le châtiment de la trahison qu’ils ont cent fois mérité.
Je ne suis pas sûr que ce soit si simple que ça, Atikva.
Par exemple, les cinq pays que sont l’Allemagne, la France, la GB, l’Italie et l’Espagne consomment environ 8 millions de barils par jour (2016).
Les USA quant à eux produisent nettement moins que leur consommation : 9,3 Mbarils vs 19,6.
Le Canada produit 4,46 Mbarils et consomme 2,34 Mbarils.
Ce que je veux dire, c’est que si tous les pays européens voulaient éviter d’acheter auprès des pays arabes, il y aurait un hic.
Cela dit, mon propos de départ était plutôt de dire que si nous avions voulu, en 73 – là où tout, ou du moins beaucoup de choses commencent : Eurabia, etc. – je suis persuadé que nous aurions pu refuser le chantage, et en tout cas y opposer la diplomatie des canons. Ces crapules n’ont pas hésité à nationaliser des installations que NOUS avions mises en place, il fallait leur répondre sur le même terrain.
Qu’ont-ils inventé, ces bédouins incultes ? Rien.
Qu’ont-ils produit par leurs recherches, par leur travail ? Rien. Ils ne font que profiter d’une incroyable rente de situation, étant juste nés au bon endroit au bon moment, et étant doués pour l’esbroufe et la tromperie ; et parce que nos dirigeants ont cédé devant leur chantage, comme des minables carpettes.
“Les dirigeants actuels de l’Arabie saoudite ont compris, eux, que la nième tentative de créer un caliphat européen s’est soldée par un échec et que le mieux qu’ils puissent faire, c’est de ramasser leurs billes et de laisser tomber le jihad.”
Puissiez-vous avoir raison, parce qu’en matière de financement du djihad silencieux, ils se posent – ou du moins se sont posés – les Saoudiens… les mosquées et autres “centres culturels islamiques” qui ont poussé comme des champignons sur le sol français leur doivent beaucoup.
J’ai lu avec grand intérêt les interventions de Jacques Ady et Atikva ! Oui, c’est vrai Jacques Ady que les U.S. consomment 19,7 millions de barils par jour, mais ils en produisent 13,5 si l’on tient compte du gaz d’hydrocarbures, et des biocarburants. https://www.eia.gov/tools/faqs/faq.php?id=268&t=6 On sait aussi que les États-Unis exportent environ 5,2 millions de barils de pétrole par jour – vers 101 pays – https://www.eia.gov/tools/faqs/faq.php?id=727&t=6 Dont l’Allemagne et … la Suisse via… Marseille !! https://www.wsj.com/articles/u-s-exports-first-freely-traded-oil-in-40-years-1452643962
Alors pourquoi la France devrait-elle maintenir un commerce élevé avec du brut arabe ? Serait-ce une question de raffineries européennes adaptées uniquement au brut arabe ? Ou serait-ce, ainsi que le dit Atikva, «qu’ils recevront un jour le châtiment de la trahison qu’ils ont cent fois mérité».
On estime que les États-Unis seront indépendants [energy independent] dans environ deux ou trois ans. Les U.S. produisent moins de pétrole qu’ils ne consomment car l’administration obama avait tout fait pour freiner cette production. La fracturation hydraulique a révélé des réserves presque-infinies de pétrole et gaz qui ne sont pas [ou peu] exploitées.
«L’Amérique a maintenant plus de pétrole inexploité que n’importe quel autre pays de la planète. Selon un nouveau rapport de Rystad Energy, on considère que les États-Unis disposent de réserves de pétrole estimées à 264 milliards de barils ; y compris le brut dans les gisements connus, les nouveaux puits/travaux, les découvertes [de gisements] récentes, et les projections dans des réserves jusqu’ici inconnues.»
De plus, «Il y a des multitudes de gisements de pétrole qui attendent d’être exploités une fois que le prix du pétrole se redressera. Le Texas, où se trouvent les gisements de schiste bitumineux Eagle Ford, Permian et Barnett, à lui seul cet état contient plus de 60 milliards de barils de schiste bitumineux, estime Rystad. C’est plus que le pétrole inexploité de toute la Chine. Il y a aussi d’énormes quantités de pétrole sous terre dans le Dakota du Nord, où se trouve le gisement de schiste bitumineux de Bakken.»
http://money.cnn.com/2016/07/05/investing/us-untapped-oil/index.html
@ Annika : que les USA exportent du pétrole ne change pas le fond du problème : globalement, les pays occidentaux sont très déficitaires en hydrocarbures, et les pays musulmans très excédentaires – avec en parallèle des pays exportateurs comme la Russie ou le Vénézuela qui ne peuvent vraiment être classés ni dans une catégorie ni dans l’autre.
Cf https://mecanoblog.files.wordpress.com/2009/10/production-et-consommation-de-petrole.jpg?w=580
Ce graphique est de 2009 et la situation a un peu changé avec l’augmentation de la production américaine, mais il montre l’énorme déséquilibre…
Et tout changement de pays d’approvisionnement entraîne obligatoirement un jeu de chaises musicales !
Il ne suffit pas de dire : nous allons désormais nous approvisionner auprès des USA pour que cela puisse se faire… du reste, si les USA exportent 5 millions de barils/jour, cela signifie mécaniquement qu’ils en importent près de 10 millions ! (production + importations = consommation + exportations, au stockage près)
Je persiste à croire que nous avons été beaucoup trop gentils avec les pays arabes en 1973 et après ; nous n’avons cessé de céder à leurs exigences, alors que nous pouvions, j’en suis persuadé, leur rabattre le caquet ; car à moyen terme au moins, ils ont plus besoin de nous que l’inverse.
Nos dirigeants ont été, et sont encore, d’une irresponsabilité criminelle, à en juger par le résultat.
Tristes tropiques…
Mais je reste persuadé qu’avec un minimum de volonté et de courage, nous pouvions rabattre le caquet de ces minables crapules prétentieuses arabo-musulmanes.
Je l’espère
certains ont le courage de leurs opinions, défense du pays contre la mondialisation sauvage, du chomage, de l’immigration, de leurs religions et de leurs coutumes, (usa, hongrie, pologne etc.)
d’autres continuent à se revêtir d’une bourqa
La gifle des pays arabo-musulmans à Emmanuel MACRON
Emmanuel MACRON leur tend l’autre joue !, … Tel un maso !
Actuellement, il n’y a plus que l’Europe, la France et le Parlement Européen “Islamo-gauchiste” qui soutiennent ces “Pov’Palestiniens”
Article relevé dans “Institut Gatestone” par: Khaled Abu Toameh
Le monde arabe ne se soucie plus des Palestiniens.
Tout en menaçant de contrecarrer le plan de paix de Trump, les Palestiniens découvrent qu’ils sont les seuls dans le monde arabe à s’y opposer.
L’Autorité palestinienne (AP) a travaillé dur pour persuader les pays arabes de soutenir sa position dans l’impasse avec l’administration américaine.
La direction de l’Autorité Palestinienne à Ramallah craint que sans le soutien des pays arabes, l’administration américaine “impose” le “traité du siècle” du président Donald Trump – le plan de paix au Moyen-Orient qui reste à être annoncé.
Les pays arabes, cependant, semblent être préoccupés par d’autres questions. Pour l’instant, les Palestiniens obtiennent beaucoup d’éloges de la part de leurs frères arabes, y compris des promesses de faire pression sur l’administration Trump pour éventuellement «modifier» son plan afin de le rendre moins «nuisible» aux exigences et aux aspirations palestiniennes.
Ce qui se passe réellement, c’est que les dirigeants de l’AP sont terrifiés à l’idée que beaucoup de pays arabes soutiendront le plan Trump, abandonnant ainsi leurs frères palestiniens et les exposant à la pression internationale pour accepter «l’affaire du siècle». être injustifié.
Les responsables palestiniens ont déjà exprimé leur inquiétude que l’Arabie Saoudite, l’Egypte, la Jordanie et certains pays du Golfe soient en collusion avec l’administration Trump pour “imposer” le plan de paix, dont les détails doivent encore être rendus publics.
Ces pays arabes, soulignent les Palestiniens, ont adopté une approche plus pragmatique et conciliante envers le plan de paix réputé et ne manifestent plus d’opposition forte, malgré les affirmations palestiniennes selon lesquelles les points principaux de “l’accord du siècle” endossent les positions. du gouvernement israélien.
Contrairement aux Palestiniens, les pays arabes ne sont évidemment pas intéressés à ruiner leurs relations avec l’administration américaine. Leurs commentaires sont plus susceptibles de préserver de bonnes relations avec Washington que de soutenir les politiques du gouvernement israélien.
…
Au cours des dernières semaines, la direction de l’AP a fait campagne pour rassembler le soutien arabe pour son opposition au plan Trump. Jusqu’à présent, cependant, l’effort palestinien n’a été que partiellement réussi, voire pas du tout.
Lors d’une récente réunion à Bruxelles des ministres arabes des Affaires étrangères avec leurs homologues de l’UE, les Palestiniens ont exigé que les pays arabes approuvent leur position vis-à-vis du plan Trump. Les Palestiniens réclament également un plus grand rôle de l’UE dans le processus de paix avec Israël afin que les Etats-Unis n’aient plus d’exclusivité sur le rétablissement de la paix.
Cependant, la réponse arabe à la campagne palestinienne a été décevante pour les Palestiniens.
Les ministres arabes ont rejeté la demande palestinienne de diminuer le rôle des États-Unis dans le processus de paix. “Nous ne voulons pas exclure le rôle américain, qui reste majeur”, auraient dit les ministres arabes aux Palestiniens.
Les pays arabes ont également refusé de soutenir la rhétorique anti-américaine des Palestiniens. A en juger par le ton des dirigeants de l’Arabie saoudite, de l’Egypte, de la Jordanie et du Maroc, ils semblent adopter une approche douce vis-à-vis de l’administration américaine et de son plan de paix qui reste à être annoncé. Contrairement aux Palestiniens, les pays arabes ne considèrent pas le plan comme une “conspiration visant à liquider la cause palestinienne et les droits nationaux”.
…
De plus, on dit à Ramallah que certains pays arabes ont fait pression sur les dirigeants de l’AP pour qu’ils acceptent le plan Trump.
“Plusieurs pays arabes pro-américains exercent toujours des pressions sur les dirigeants palestiniens pour qu’ils ne rejettent pas le plan américain”, a déclaré l’analyste politique Rasem Obeidat. “Ils demandent même à la direction palestinienne de traiter le plan d’une manière positive.” Il a appelé les Palestiniens à cesser de compter sur les Arabes et à unir leurs rangs et à renforcer leur front intérieur.
Les Palestiniens espéraient que la réponse des pays arabes et islamiques à la décision de Trump du 6 décembre de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël serait beaucoup plus difficile. Le minimum que les Palestiniens attendaient était que ces pays répondent en expulsant les ambassadeurs américains ou en fermant les ambassades américaines dans les capitales arabes et islamiques. Ceci, bien sûr, ne s’est pas produit, au grand dam des Palestiniens, qui se sentent encore une fois abandonnés par leurs frères arabes et musulmans.
La question palestinienne n’est plus au sommet de la liste des Arabes
Les pays arabes semblent en avoir marre des Palestiniens. Tout au plus, ils sont prêts à offrir aux Palestiniens des déclarations publiques de soutien et des promesses pour les aider à réaliser leurs droits. Chacun de ces pays a ses propres problèmes et la question palestinienne n’est plus au sommet de la liste des priorités des Arabes.
…
https://www.gatestoneinstitute.org/11995/palestinians-arabs-apathy
Vous l’aurez compris, … L’UE, l’Europe, le Parlement Européen avec la France sont actuellement les principaux pourvoyeurs de fonds aux “groupes terroristes” qui veulent anéantir Israël.
L’UE, l’Europe, le Parlement Européen avec la France sont “nuisibles” même responsables à toute résolution de “Paix” au proche Orient, et notamment en Israël.
L’entité terroriste “palestinienne” a concrètement eu plusieurs opportunités d’obtenir un Etat, des frontières et une autonomie définitive. Notamment dans les Accords de Camp David, puis d’Oslo.
Mais ces imposteurs corrompus n’ont jamais rien voulu de tel : Quitte à tuer au couteau et à commettre des attentats à l’explosif, la manne annuelle en provenance de l’ONU et de l’UE est bien plus attrayante.
La tache jaune de ce site: son aveuglement sur le Président de la République, Emmanuel Macron.
@ Loco Sur Dreuz, Guy Millière avait vu juste , à temps, et dit
que Macron était un imposteur. Ce que nous savions.
Il n’a jamais varié.
vers la reconnaissance de l’Etat d’Israel
le 14 mai 1948 Paris ne reconnait pas Israel, en dépit de la décision américaine. Le lendemain, Alexandre Parodi, à la tête du Conseil de Sécurité, ne condamne pas l’invasion du nouvel Etat par cinq armées arabes. Et le 19 mai, le gouvernement de Robert Schuman décide…..de ne rien décider (“la reconnaissance n’est pas à l’ordre du jour”). En réalité la reconnaissance est actée mais Schuman hésite “la France puissance musulmane, doit s’en tenir à une position prudente”. Il faudra attendre le 24 janvier 1949 pour que la France reconnaisse de facto l’Etat d’Israel.
Tiré de “Dans les archives secrêtes du quai d’Orsay”
secotine
Les français et le gouvernement ont toujours été pro arabe.
Macron se plie en quatre pour plaire a ces barbares qui envahissent le monde.
Chulem
Je sais, c’est pour cela que nos dirigeants continuent de les accueillir à bras ouverts et leur servent tout sur un plateau sans même qu’ils aient besoin de demander.
Vous êtes vous posé la question de savoir pourquoi en France on nous rebat les oreilles avec le problème d’une démographie vieillissante et en perte de vitesse, alors que l’on procède bon an mal an à quelques 100 mille avortements ? Pour pouvoir nous endormir avec la nécessité de faire rentrer toujours plus d’exogènes.
Peut-être siérait-il plus justement d´écrire:… d´un (état palestinien) qui n´existera pas…
car il n´y a ni état, ni frontières, ni Président, ni peuple palestinien…c´est un mirage
Les fakelestiniens savent pertinemment qu’un état fakelestinien n’est en aucun cas viable sans aucune ressource de son sol, sans cerveaux capables d’inventer quoi que se soit il ne peut vivre qu’avec l’aide de milliards des pays Européens,arabes, et autres.
Voila pourquoi babasse ne signera aucune paix avec les Israéliens dans l’espoir de continuer à recevoir la mendicité des pays et pour voyager ,faire le tour du monde dans son jet tout neuf à 50 millions. MERCI LES CONS.
tout à fait d’accord avec ce que vous venez de dire.
Cependant, les accords avec l’OPEP, suite au choc pétrolier après la guerre de Kippour, ne pourraient-ils pas être révisés dans la perspective des menaces iraniennes à l’égard des pays sunnites comme l’Arabie Saoudite?
La France peut quand même décider de son indépendance énergétique sans être scotchée à ces vieux accords qui n’ont plus lieu d’être. Elle aurait de quoi s’alimenter ailleurs, remodeler ses alliances. Elle n’est pas obligée de respecter aussi scrupuleusement des accords que l’autre partie ne respecte pas toujours ‘l’Algérie par exemple. Il y a chez certains français un goût, une attirance, pour l'”orientalisme et son exotisme” qu’on a un peu de mal à s’expliquer.
Mais profondément, la France reste scotchée à l’Europe, qu’elle a commencé à construire avec l’Allemagne, et qui dit Europe, dit accords désastreux avec les pays arabes pour islamiser les pays européens depuis début des années 70, comme l’explique Bat Ye’Or. l’Europe est en ruine économique et les Pays arabes transfusent à coups de petrodollars, pour éviter sa faillite.
Trump a à faire: sortir in petto la Turquie de l’OTAN; elle met l’Europe en danger avec ses menaces de conquérir et d’islamiser des îles grecques, et ses flux ininterrompus de migrants.
la solution risque de venir surtout du désir des peuples européens de transformer la donne.
@ Soliloque
“La France peut quand même décider de son indépendance énergétique sans être scotchée à ces vieux accords qui n’ont plus lieu d’être.”
Oui c’est exact. Mais la diplomatie 100% pro-arabe de la Mosquée d’Orsay a ses raisons que la raison ne connaît pas. Cette obscure officine prend des décisions et empoisonne toute la France depuis 1973. Comme à Bruxelles, ce sont des non-élus qui pensent et agissent à la place des Français.
Sortir la Turquie de l’OTAN est une priorité absolue. Comment faire alliance avec un régime anti-occidental, dictatorial, facho islamiste. Un pays qui menace d’envahir plusieurs îles grecques, comptant sur l’inertie de l’occident. L’invasion d’une partie de Chypre, il y a plusieurs décennies, lui ayant si bien réussi, Herr Dogan sait qu’il peut nous cracher dessus et que nous apercevrons qu’il pleut.
Pour diriger un pays il faut des couilles d’airain et Macron n’en a pas plus que ses prédécesseurs. Au lieu de revoir sa stratégie en mat!ère d’approvisionnements pétroliers et de mater la guerre civile de basse intensité qui s’est emparée de la plupart des banlieues françaises pour étouffer dans l’oeuf toute velléité d’intifada “à la française”, il tergiverse, il temporise, il regarde ailleurs, il vide les prisons… Voilà pourquoi notre embassade n’ira pas à Jérusalem et la voix de la France n’est plus entendue !
Citoyen
Vos paroles sont claires et nettes,
Malheureusement cela n’apportera aucun changement, tout est trop tard.
Espérons que D.Trump, ouvrira certains horizons et que d’autres pays suivront.
Chulem
Cette fois c’est 70 millions de vichystes avec le crif comme excuse.
La France est gouvernée par un roquet issu de la culotte des mafieux comme soros, les Français n’ont pas compris que macron est une lavette de cuvette de chiotte, il n’a aucune autorité sur le plan national et ne peut donc l’avoir sur le plan international.
Pour tenir debout ce minable petit Président a heureusement toute la presse gauchiasse à sa botte.
Les Français avaient été en majorité pro-israéliens pendant les années 50 et 60 lorsque la France combattait contre les Arabes en Algérie . Cela a commencé à changer d’abord à cause de la position prise par le Général de Gaulle contre Israël après la guerre des 6 jours en 1967 et dans les années ’70 avec Giscard d’Estaing . Les Présidents français suivants ont eu une politique plutôt pro-Arabe pour des raisons commercialo- économiques et politiques (liées) .
L’immigration de populations maghrébines et africaines de religion musulmane et la diffusion de propagande “anti-sioniste” ou/et antisémite sur Internet par des extrémistes musulmans ou néo-nazis ont contribué à augmenter de façon importante ces sentiments et les agressions contre les Juifs en France.
Un jeune homme victime d’une attaque pédophile a inévitablement intégré cet évènement dans son psychisme, et réagit en fonction de son expérience.
La question aurait dû être posée en avril / ami 2017.
Mais, bon, vous connaissez le sérieux et l’objectivité des journalistes français….
messieurs la decision de TRUMP au sujet de JERUSALEM avait ete prise avec l accord de l EGYPTE et de L ARABIE !!!!donc rien na voir avec le petrole !!!!mais plutot la peur de l iran de ces pays árabe !!!! HADDAD BRESIL
Bref, bon et concis… pfff encore une présidence nulle et sans surprise à se farcir…