« Plus l’on tue on nom d’Allah, plus l’Occident combat ‘l’islamophobie’ et plus on parle en bien de l’islam pour ne ‘pas faire l’amalgame’ ».
Tel est le paradoxe de « l’islamiquement correct » selon lequel, loin de déclencher dans nos sociétés culpabilisées une mise à l’index des préceptes sacrés qui justifient la violence au nom de l’islam, la médiatisation des attentats terroristes renforce en fait l’attractivité de cette religion, qui bénéficie en fait d’une publicité dont aucune autre religion ne peut même rêver d’avoir.
Dans “La Stratégie de l’intimidation
L’auteur explique ce paradoxe par le constat que la lutte obsessionnelle contre « l’islamophobie », exigée par les pôles de l’islamisme mondial qui feignent de condamner le terrorisme jihadiste tout en niant sa nature islamique, aboutit en fin de compte à faire de l’islam une religion intouchable, au-dessus de toutes les autres.
En s’appuyant sur de nombreux exemples – depuis la fatwa de mort contre Salman Rushdie dans les années 1990 jusqu’aux récents attentats jihadistes en Europe, sans oublier les menaces du néo-sultan ottoman Erdogan -, l’auteur décrit la stratégie de conquête et d’intimidation non seulement des islamo-terroristes – qui font parler de l’islam plus que n’importe qui grâce au double marketing négatif (médiatisation de la terreur) et positif (refus de « l’amalgame ») – mais aussi des pôles « institutionnels » de l’islamisme international : Ligue islamique mondiale, Organisation de la Coopération islamique, ISESCO, Frères musulmans, Turquie « national-islamiste ». Ces derniers prônent en effet la « désassimilation » des musulmans et leur stratégie d’intimidation, plus complémentaire qu’opposée à celle des jihadistes, vise en fait, sous couvert de criminalisation de « l’islamophobie », à soumettre les démocraties occidentales à l’exceptionnalisme musulman. Le résultat de cette stratégie aboutit à faire baisser les gardes face à la progression du totalitarisme islamiste et à discréditer comme « intolérants » ceux qui tentent de tirer la sonnette d’alarme.
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La dangerosité des mythes de la « tolérance d’Al-Andalous » et de la « dette occidentale vis-à-vis de la science musulmane
De cet exceptionnalisme islamique inhérent au mythe de l’âge d’or des califats arabo-musulmans du passé découle également le postulat de la supposée « supériorité » morale, philosophique et scientifique de l’islam (Al-Andalus, « science arabo-musulmane »), envers lequel l’Occident serait « redevable ». En vertu de cette forme théocratique de suprémacisme, les musulmans sont présentés comme l’équivalent d’un peuple « sans tâche », victime par essence de l’intolérance et de « l’ingratitude » des « mécréants », comme une communauté innocente par nature et « persécuté » par les non-musulmans, en particulier les Occidentaux qui tombent dans le piège mortel de l’intimidation psychologique et de culpabilisation.
En s’appuyant sur les meilleures recherches historiques, Del Valle dégonfle ce lieu commun fondateur de l’islamiquement correct, commun à la fois aux bien-pensants islamophiles et aux adeptes du Califat totalitaire. Ce mythe n’est en effet ni historiquement fondé ni innocent, puisqu’il agit surtout comme un processus mental de justification de l’irrédentisme et de l’impérialisme islamiques. Qu’ils s’agisse des « pôles « institutionnels » de l’islamisme mondial, qui ont pignon sur rue en Occident, ou des jihadistes adeptes du nouveau Califat universel, qui semblent opposés en tous points au premiers, l’appartenance passé de l’Espagne, du Portugal, de la Sicile ou des Balkans aux empires musulmans glorieux justifierait l’islamisation de l’Europe sommée d’expier ses « fautes » coloniales passées en acceptant elle-même sa propre conquête par l’islamisme revanchard.
En démontrant la complicité entre les « coupeurs de têtes » (islamo-terroristes) et les « coupeurs de langues » (lobbies islamophiles et ligues de vertu anti-islamophobes ), Del Valle réalise une démonstration jamais produite à ce jour, apportant la preuve que les protagonistes du jihadisme et les acteurs de l’islamiquement correct fonctionnent de concert : l’hyper-médiatisation de la violence jihadiste sidérante par les sociétés « mécréantes » sommées de refuser l’amalgame en vantant les mérites de l’islam et en plaignant les musulmans « stigmatisés » procure en effet aux requêtes des pôles prosélytes islamistes plus « respectables » un incroyable pouvoir de persuasion ».
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Jupiter Suprêêême va sauver le monde, penser printemps ?
: http://www.atlantico.fr/decryptage/comment-emmanuel-macron-est-en-train-imposer-comme-meilleur-president-que-on-ait-eu-depuis-longtemps-en-matiere-politique-3221879.html
ne pas oublier une association pakistanaise Ahmadiya qui s’occupe des territoire et départements d’outre mer; son slogan: l’islam religion d’amour, contre la haine
Les occidentaux sont c0ns et pusillanimes et les musulmans le savent… C’est dur à admettre dans une démocratie mais il faut n’avoir aucune pitié pour ces gens-là !
https://actu.orange.fr/societe/fait-divers/paris-trois-enfants-pousses-dans-le-canal-de-l-ourcq-sur-fond-de-vols-magic-CNT000000ZDpbn.html
Phéqueniouze ou pas ?
Combien de victimes ?
Brillant résumé. L’élément ironique, dans la marée noire islamique actuelle, est que ce culte guerrier et sanguinaire se soit approprié les concepts publicitaires occidentaux d’amour et de paix !
En effet, le Peace & Love, ce n’est pas la paix et l’amour — deux notions éternellement profondes et complexes — mais ce sont bel et bien des concepts, et même un seul formidable concept publicitaire né des mouvements protestataires de la Guerre froide (du mouvement antinucléaire d’abord, d’où le symbole visuel provient —avec d’ailleurs un très fort relent antichrétien).
Des mouvements contestataires aux organisations internationales, en passant par l’économie (campagnes publicitaires industrielles, le peace and love consumériste…), de la contreculture à la culture média-marketing, en squattant le discours publique : le Peace&Love a infecté tous les esprits, il court-circuite désormais toute réflexion.
C’est d’ailleurs la version raffinée de cette supercherie discursive qui est actuellement en cours d’implémentation dans le fameux « Hate speech » que l’on retrouve jusque dans les règlements juridiques ! Tout est « discours de haine » aujourd’hui ! Une critique, une simple remarque devient très facilement un « discours de haine » qui vous mettra au ban de la société de Paix et d’Amour en plastique. Un trait acide dans le sirop, un ingrédient oublié (tel qu’un argument rationnel ou un exemple historique…), peut vous coûter votre participation à un forum de discussion, votre emploi ou même vous conduire au tribunal. C’est la censure de l’Amour, pour la Paix ! Mais on ne sait toujours pas à quoi correspondent cet Amour et cette Paix : la pensée occidentale a abdiqué sa richesse et sa profondeur pour le simplisme et le flou despotique. Ce qui arrange bien les arriérés de tous bords.
Parmi eux, les mahométans ont (enfin) compris la chanson et se mettent sans grande subtilité à la chanter. « Religion de paix et d’amour, religion d’amour et de paix, rhâââââh…» Les deux mots magiques qui ne correspondent à RIEN dans la réalité mahométane font leur effet incantatoire chez des Occidentaux déjà endoctrinés et profondément conditionnés au slogan ultime. Si tu t’élèves contre la Paix et l’Amour, tu es un ennemi de l’Humanité !
Tout est sophisme de bas étage dans le discours des mahométans qui, assaisonné d’intimidations diverses, nous fait revenir dans ce qu’il y avait de pire au Moyen-Âge.
Moi, je vois qu’une solution, “vitrifier” l’Iran, l’Irak, la Syrie, l’Afghanistan, le Pakistan… Après ça, les autres seront doux comme des agneaux. Ah! J’oubliais… La Tchétchénie et autres républiques sovi… pardon, russes, musulmanes, juste pour sauver le monde, pas Poutine, le monde. Là, on peut être plus serein… Il y a le péril jaune, mais surtout, il y a le péril… gris?… Islamique. C’est le mot juste. Merde! Il n’y a personne pour réagir? Depuis les années 80 je tappe du pied, je n’avais pas LR web à époque, j’étais à Beyrouth en septembre 82 quand les Phalangistes sont entrés dans Sanbra et Chatila, j’ai protégé 1500 palestiniens en octobre 82 lors de leur évacuation sur la Tunisie et le Yémen… Ça fait mal aux …, croyez moi. C’est à gerber… J’ai été en opération au Zaïre, au Tchad, en RCA, au Liban, en Somalie, au Koweït, en Irak et ailleurs… Franchement, ça me dégoute, donner les rênes de la France à des Mitterrand, Chirac, Hollande, Sarkozy, Hollande et, cerise sur le gâteau, Macron! Celui là, il est hors catégorie ! Quand on est parti pour Kolwezi, heureusement qu’on avait un président avec une grosse paire de c…. , sinon… Je n’ose même pas imaginer ce qui ce serait passé là-bas. Un président doit être un chef de guerre, pas une c……e molle comme Macron!
Superiorite morale et scientifique ? Ca c`est l`Islam ? peut etre pour les dingues aux hospice du padamalgame
Les rosbifs les plus fous de tous ?
Sans doute pour prendre le contre-pied de Trump et son “muslim ban”, le Royaume-uni adopte le anti-muslim ban : trois militants anti-islam viennent d’être interdits d’entrée dans le pays dirigé par Theresa May :
http://www.europe-israel.org/2018/03/les-militants-identitaires-martin-sellner-brittany-pettibone-et-lauren-southern-detenus-dans-des-centres-de-retention-et-bannis-du-royaume-uni-pour-leurs-opinions-politiques/
Connaissant A. del Valle voilà un livre, ou plutôt un document, qui vaut certainement le détour. Déconstruire les mensonges de l’islam soi-disant porteur de civilisation est la base du combat contre ce destructeur de civilisations.
Voilà un angle d’attaque essentiel pour dénoncer l’arnaque à momo…
Quand on me parle de la grandeur de l’islam en Espagne, je réponds que cette grandeur s’est exprimée dès le départ par l’incendie de la bibliothèque d’Alexandrie…
l’ouvrage de Del Valle est indéniablement intéressant et à lire.
Mais après, on fait quoi pour empêcher la montée de l’islam radical et de l’slamisme?
il nous faut de l’action, aussi