Encore un merveilleux discours du Premier ministre hongrois prononcé ce jeudi 15 mars lors de la commémoration de la révolution hongroise pour l’Indépendance et publié en français par Visegrád Post.
Croisons les doigts pour que ce défenseur de notre Europe, celle que nous aimons, soit réélu le 8 avril prochain en dépit des manigances machiavéliques de son ennemi acharné, le diabolique G. Soros.
Entendrons-nous un jour de telles paroles de la bouche d’un dirigeant occidental ? Je l’espère de tout coeur afin que l’avenir de nos enfants et de nos petits enfants ne soit pas celui de l’esclavage islamique dans leur propre pays.
À l’occasion de la fête nationale hongroise et à trois semaines des élections, Viktor Orbán démontre sa popularité et sa détermination à lutter contre « un réseau international organisé ».
Le 15 mars, la Hongrie célèbre la révolution pour l’indépendance de 1848-1849. C’est un jour éminemment politique pour les Hongrois et, traditionnellement, chaque parti organise un événement avec ses sympathisants.
Les différents partis d’opposition ont réuni chacun quelques milliers de participants. Mais l’événement du jour fut incontestablement la « marche de la paix ».
Le Fidesz, le parti de Viktor Orbán, a organisé entre 2012 et 2014 ces « marches de la paix » pour démontrer sa popularité et sa capacité de mobilisation hors du commun. La première marche avait été faite pour démontrer à l’Union européenne le soutien dont Viktor Orbán jouissait en Hongrie, alors même qu’il devait négocier sur sa nouvelle constitution. Mais depuis 2014, aucune marche de la paix n’avait été organisée.
Et cette année fut un record : environ 500.000 personnes, malgré la pluie, ont défilé dans Budapest pour exprimer leur soutien à Viktor Orbán. Véritable démonstration de force à destination des indécis, de l’opposition et de l’étranger, la marche des partisans de Viktor Orbán – réunis à l’appel du polémiste et présentateur Zsolt Bayer – s’est achevé sur la place du parlement où le Premier ministre hongrois a tenu son discours du 15 mars.
Avant le départ de la marche, Zsolt Bayer, figure historique du Fidesz et de la télévision hongroise, a déclaré que les participants sont ceux qui savent encore ce que signifient « Dieu, la nation et la patrie, ceux qui savent ce qu’est la famille et ce que représentent les enfants, et reconnaissons les deux genres, la femme et l’homme »
Voici les points principaux du discours de Viktor Orbán du 15 mars 2018
Dès l’ouverture de son discours, Viktor Orbán a salué les participants, en particulier les centaines de Polonais présents, rappelant les liens forts et anciens qui unissent la Pologne et la Hongrie. Pour le Premier ministre hongrois, la force de chaque pays est une garantie pour l’autre. Et en ce sens, « la marche de la paix de cette année n’est pas qu’une affaire nationale, c’est également un soutien à la Pologne ».
« Lors des élections dans trois semaines, il ne s’agit pas de voter pour les quatre années à venir : l’enjeu est l’avenir du pays ». Pour Viktor Orbán, ses partisans sont les héritiers des combattants de la liberté de 1848-49. Rappelant que depuis trente ans, ses partisans, unis derrière lui, ont mené des luttes nombreuses et importantes, Viktor Orbán a annoncé que « le principal combat reste à venir » car selon lui, « on veut nous enlever notre pays ».
« Ils veulent qu’en quelques décennies, de notre propre gré, nous donnions notre pays à d’autres. Des étrangers venus d’autres coins du monde qui ne parlent pas notre langue, ne respectent pas notre culture, nos lois et nos modes de vie. Qui veulent remplacer les nôtres par les leurs. Ils veulent qu’à l’avenir, ce ne soit plus nous et nos descendants qui vivions ici, mais d’autres. Et il n’y a aucune exagération [dans mes propos], » a déclaré le Premier ministre hongrois, expliquant par la suite la situation de l’Ouest de l’Europe et le présentant comme un contre-exemple.
« Ceux qui n’arrêtent pas l’immigration à leurs frontières disparaissent ». Selon Viktor Orbán, « cela essaye de nous être imposé par des forces extérieures et des puissances internationales ». Et les élections du 8 avril sont selon lui une bonne occasion pour ces forces de faire valoir leur plan. « Nous ne voulons donc pas juste gagner une élection mais notre futur ».
« L’Europe et, en son sein, la Hongrie, est arrivée à un point critique : jamais les forces patriotes et internationalistes ne se sont opposées de la sorte ». Pour l’homme fort de Budapest, l’opposition se fait entre les millions de patriotes et de démocrates, et les élites mondialistes et anti-démocratiques.
« Nous devons faire face à un déplacement de population, qui menace notre mode de vie. […] Ce n’est pas les faibles petits partis d’opposition que nous avons à combattre mais un réseau international organisé en véritable empire. Des médias soutenus par des consortiums étrangers et des oligarques d’ici, des activistes rémunérés, des agitateurs, les ONG financées par les spéculateurs internationaux, ce que le nom de George Soros représente et incarne. C’est ce monde que nous devons combattre pour préserver le nôtre ».
Dans une rhétorique martiale, Viktor Orbán considère l’opposition dans son ensemble comme un allié objectif de George Soros et de ses intérêts.
« L’Europe est envahie. Si l’on ne fait rien, ce sont des dizaines et des dizaines de millions qui d’Afrique et du Moyen-Orient viendront en Europe ». Rejetant la passivité de l’Europe occidentale, Viktor Orbán a mis en garde l’Europe face à la démographie africaine à venir. « Bruxelles ne défend pas l’Europe » a asséné M. Orbán, insistant sur la volonté de Bruxelles de vouloir au contraire soutenir cette immigration.
« Après les élections, nous demanderons réparation. Moralement, politiquement, et juridiquement ». Pour l’opposition, cette phrase a sonné comme une menace.
« Comme le disait avec justesse nos aïeux, un peuple lâche n’a pas de patrie. […] Nous avons toujours combattu et nous avons toujours gagné à la fin. Nous avons renvoyé le sultan et ses janissaires, nous avons renvoyé l’Empereur Habsbourg et ses soldats, les Soviets et leurs camarades, et maintenant nous allons renvoyer George Soros et ses réseaux. »
Revenant à l’immigration, Viktor Orbán explique qu’une erreur suffit, « si le barrage cède, l’invasion se produira, et l’occupation culturelle sera irréversible».
En conclusion, le Premier ministre hongrois a fait appel aux jeunes, pour leur dire l’importance d’avoir une patrie. « Jeunes, la patrie a besoin de vous, venez combattre avec nous pour elle, pour que le jour où vous aurez besoin de la patrie, elle soit toujours là pour vous ! »
Le discours s’est terminé par la récitation – et non le chant – de l’hymne national – qui est une prière – ainsi que par un appel à la lutte.
Bénis les Hongrois, ô Seigneur,
Fais qu’ils soient heureux et prospères,
Tends vers eux ton bras protecteur
Quand ils affrontent l’adversaire !
Donne à qui fut longtemps broyé,
Des jours paisibles et sans peine ;
Ce peuple a largement payé
Pour les temps passés ou à venir.
Aux Carpates, sur Ton conseil,
Nos aïeux osèrent s’étendre.
Quelle belle place au soleil
Tu aidas nos pères (fils de Bendegúz) à prendre !
Aussi loin que de la Tisza
Et du Danube le flot danse,
Aux fils héroïques d’Arpad,
Tu as prodigué l’abondance.
u fis onduler, à l’instar
Des mers, les épis dans nos plaines,
Et Tu permis que du nectar
De Tokay, nos coupes soient pleines.
Grâce à toi, nos drapeaux ont pu
Flotter chez le Turc en déroute,
Les murs de Vienne être rompus
Par Matthias et ses noires troupes.
Hélas! nos fautes, trop souvent
Ont fait éclater Ta colère,
Et de Tes nuages ardents
Tu as fait jaillir le tonnerre.
Alors ce furent les Mongols,
Leurs dards sifflants et leurs pillages,
Puis le Turc qui sur notre col
Posa le joug de l’esclavage.
Que de fois, sur l’amas sanglant
Des cadavres de nos armées,
Par les cris orgueilleux d’Osman
La victoire fut proclamée !
Que de fois, ô patrie, enfin,
Tes propres enfants t’attaquèrent!
Et par leurs crimes, tu devins
L’urne funèbre de leurs frères.
Fuir ! Mais d’asile il n’est point
Contre le fer et sa furie.
Dans son propre pays, en vain
Le fuyard cherchait sa patrie.
Il allait par monts et par vaux,
Pour compagnon, douleur et doute,
Pour horizon du sang à flots,
Et des flammes pour clef de voûte.
Là, ces ruines furent un fort,
Autrefois y régnait la joie.
À sa place, un râle de mort
Et des plaintes de cœurs qu’on broie.
La liberté ne fleurit point,
Hélas dans le sang des victimes !
Les yeux de l’orphelin sont pleins
Des pleurs de ceux que l’on opprime.
Prends pitié du Hongrois, Seigneur !
Si souvent il fut dans les transes !
Tends vers lui un bras protecteur
Dans l’océan de ses souffrances !
Donne à qui fut longtemps broyé
Des jours paisibles et sans peines.
Ce peuple a largement payé
Pour les temps passés ou qui viennent.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Quand la Patrie n’est plus que Matrice… C’est ainsi que nous sommes prisonniers de la bien-pensance….
merci à V Orban et aux autres dirigeants de VISEGRAD de rappeler cela aux autres gouvernants d’europe de l’ouest
Il est malheureusement le seul à vouloir sauver son pays en Europe, les autres n’en ont rien à faire si leur pays sombre, ils savent qu’ils seront ailleurs sous d’autres cieux et que ceux qui s’en sortiront du peuple ne seront que des esclaves…
Tant que tout le monde ne l’aura pas compris, nous sommes morts d’avance!!!
Et je retiendrais ceci :
« Comme le disait avec justesse nos aïeux, un peuple lâche n’a pas de patrie. […] »
une erreur suffit, « si le barrage cède, l’invasion se produira, et l’occupation culturelle sera irréversible».
La menace en France est encore plus grande, puisque les Français ne voient rien venir, ne veulent rien voir venir, certains pensent à leurs vacances d’été, comme si tout allait bien Madame la Marquise…
Monsieur Viktor Orbán, la France a besoin d’un Chef d’Etat comme vous…!!! sinon, nous sommes morts!!!!!!
En effet Hellen et l’histoire est là pour en attester, l’histoire se venge de ceux qui oubli.
Je suis d’accord avec vous
Il devrait étre le modéle pour toute notre Europe de l’ouest déjà envahie par la déferlante organisée et en voie de rapide soumission!
Vive ORBAN,et qu’il soit réélu!!!
Que d’admiration j’ai pour cet HOMME, Victor ORBAN celui qui aime son pays, qui le défend contre l’envahissement et la dé-culturation européenne! NOUS devrions TOUS nous EUROPEENS le suivre dans son combat magnifique. SINON nous serons balayés comme le fait un tsunami sur une plage… car là il sera trop tard: nous serons définitivement PERDUS!
Voilà un discours réconfortant.
Où est le temps où la France était le guide des peuples d’Europe?
N’en doutons pas nos merdias vos qualifier ce discours de “populiste” avec ce qu’ils savent y mettre comme morgue et comme arrogance.
Merci pour votre article, Rosaly.
Il nous fait sentir encore plus cruellement, cependant,
à quel point il nous manque , en France, un Viktor Orban,
et une “figure historique” patriote, à la télévision, comme
M. Zsolt Bayer.
Malgré cela, l’exemple hongrois doit être , pour nous Français,
Italiens, Belges, Néerlandais, etc… un exemple à suivre, de
toute urgence.
Viktor Orbán a tout compris avant tout le monde… Notre salut viendra de l’Est parce qu’en dehors du groupe de Visegrad toute l’U.E. est complètement à l’Ouest sur les questions d’immigration incontrôlée !
Un seul Président pour l’Europe: Viktor Orban!
Que c’est rafraîchissant, que du bonheur!!!
Quelle chance ce ils ont par rapport à nous pauvres français!
On nous lave encore trop le cerveau tous les soirs aux 20 h sur toutes les chaînes ….. c’est honteux de critiquer ainsi des peuples qui veulent garder leurs spécificités …. pourquoi alors nos pères et grands-pères se sont battu aussi durement ? pour que nous restions français et fiers de l’être ….. aujourd’hui c’est devenu HONTEUX ! Aujourd’hui les braves sont les hongrois ….. merci à eux de nous montrer l’exemple !
Dieu bénit la Hongrie!
Orban est magnifique de droiture, de bonté et d’attention pour son peuple, il faut le suivre l’aider même si on n’est pas hongrois : résistons nom d’un chien, où sont les descendants de ceux qui ont fait que nous soyons libres, instruits et courageux ? (peut-être pas pour très longtemps).
Ils sont devant leur télé, et/ou ils font “la fête”, et/ou ils manifestent contre “la haine” avec force fleurs et bougies, aux cris de “nous ne voulons pas mourir pour Dantzig !” et “plutôt rouges que morts !” ou quelque chose comme ça.
Ça fait un bon moment maintenant que les “descendants de ceux qui ont fait que nous soyons libres, instruits et courageux [hum]” sont devenus des mauviettes. Même sous l’Occupation, il n’étaient pas bézef à se mouiller pour véritablement Résister.
Chez nous, les dhimmis en place, diabolisent chaque dirigeant qui tient un discours cohérent comme V.Orban ! On ne parle que du danger du “nationalisme”, du “protectionnisme”, du “repli sur soi”, de l'”islamophobie”, etc…là où il n’y a que la légitimité d’un peuple à se prémunir contre les maux dont nous sommes perclus à l’Ouest ! Et, cerise sur le gâteau, pour prouver leur mauvaise foi, ils trouvent légitime que les pays muzz ne soient pas “contaminés” par nos idées, notre manière de vivre et nos valeurs !!! Par conséquent, les musulmans ont le droit de se prémunir et de protéger leur identité…PAS NOUS !
Très beau discours qui devrait être entendu partout, mais surtout à Bruxelles et sa clique non-élue!
Magnifique, Il faut le même homme au pouvoir , partout en UE pour chasser l’envahisseur et c’est urgent
enfin il y a un qui a compris …. il faut qu’il soit Président de UE … il est le seul qui peux sauver l’Europe
Pour avoir la paix dans ce Monde,
Une seule chose, faire sauter les verrous de l’ UE . Seul Responsable de tout ce qui se passe autour de toutes les Nations . Avec la participation de tous les Gouvernants….
Pourquoi devons nous subir ceux qui se prennent pour les Maîtres du Monde , jusqu’à vouloir nous retirer notre soi même,
Notre Identité
Notre Culture
Notre Civilisation
Nos. Frontières
Nos. Croyances
Jusqu’à faire effacer notre Race.
Il faut que notre Civilisation se dresse et barre le chemin à ces nouveaux ” Collabos ” des temps modernes….
Les dirigeants non élus de Bruxelles sont corrompu jusqu’à l”os….
Corruption …corruption
Enfin un politique hongrois qui est contre le métissage “obligatoire”, et ne veut pas que le sang pourri des envahisseurs infecte les citoyens lucides.
Mon père est Hongrois et quand j’écoute l’hymne de ce pays cela me fait plus d’effet sur le corps que la marseillaise.
Notre génération va disparaitre très bientôt pour laisser la place a des générations d’incultes n’ayant jamais connus que la facilité, n’ayant jamais combattus pour leur liberté des générations qui croient que tout le monde il est beau et tout le monde il est gentil ; quelle ERREUR D.ieu a créé la terre et le ciel et des races qu’il a placés sur différents continents avec langues et dialectes des modes de vie différents, CE QUI ÉTAIT BIEN et qu’en avons nous fait, et bien des guerres des massacres et des CONQUÊTES, PRENDRE A L’AUTRE CE QU’IL A ET LE DOMINER SI POSSIBLE. Rien ne change au fil du temps car aujourd’hui au lieu de faire la guerre directement on la fait SOFT sans armes mais il y aura des conséquences GRAVES d’ici quelques temps si nous ne nous sommes pas ATOMISÉS avant cette échéance plus que probable. Je regarde évoluer la jeunesse d’aujourd’hui et je crains énormément pour eux, il sera tr;es facile a ceux venant d’Afrique et du proche et moyen-orient de prendre leur vengeance pour ce que les pays dominateurs d’autrefois leurs ont fait subir, le retours du bâton. Les jeunes générations d’occidentaux ne sont aucunement préparé pour le grand CLASH ou le TSUNAMI que cela va provoqué. Bien triste fin pour l’avancement dans tous les domaines des sciences car je n’ai pas encore vu de prix Nobel chez bien des cultures. On appelle cela par chez nous des PAYS DE CUL n’en déplaise aux âmes sensible.
A lire:
https://ripostelaique.com/sans-complexe-la-pologne-affirme-ne-pas-vouloir-des-musulmans.html