Plusieurs ex-cadres et agents du régime racontent comment, dès 2011, Damas a utilisé le viol comme arme de guerre pour mater et terroriser l’opposition.
Sept ans après le début de la révolution syrienne, Bachar al-Assad apparaît en position de force. Sept années de combats meurtriers – avec les soutiens russe et iranien – et d’attaques féroces contre les civils ont forcé près d’un Syrien sur deux à quitter son domicile. La stratégie du régime s’est avérée gagnante. Au cœur de cette stratégie, une tactique aussi efficace que secrète : le viol. Les membres des forces de sécurité syriennes ont à dessein agressé sexuellement des opposantes, ou des proches d’opposants. «Un officier des services de renseignement militaire m’a dit : “Ces gens doivent être tués. Nous devons violer les femmes. Nous devons tout faire pour les arrêter”», se souvient ainsi un ancien lieutenant de l’armée syrienne en poste à Idlib.
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A l’automne 2011, le régime commence à craindre pour sa survie et durcit sa répression, attestent les témoignages d’anciens fonctionnaires et militaires que nous avons pu recueillir. Haut fonctionnaire à Homs en 2011-2012, Mahmoud (1) participait régulièrement à des réunions avec officiers et responsables de services de renseignement, les redoutés moukhabarat. Il a vu alors les forces de sécurité employer une violence inédite contre l’opposition, comme si un verrou avait sauté. «Un membre des moukhabarat m’a dit : “Nous avons reçu l’ordre de notre chef de faire tout ce que l’on veut. Cela veut dire que les filles sont en danger maintenant”» se souvient-il, désormais réfugié en Turquie. Il raconte encore comment le directeur des services de renseignement de l’armée de l’air à Homs a lancé à un autre officier : «Allez baiser les femmes de leurs familles ! Faites tout ce que vous voulez ! Personne n’aura à rendre de comptes.»
«Faites tout ce que vous voulez.» Comme un leitmotiv aussi implicite que pernicieux, levant tout interdit et encourageant les forces de sécurité à la violence la plus sauvage. Les menaces proférées à l’encontre des détenues font écho à cette politique répressive. Accusée de participer aux manifestations, Safa, une photographe de 34 ans aujourd’hui réfugiée en Turquie, a été emprisonnée dans un centre des renseignements de l’armée de l’air début 2012. «Les gardes entraient dans ma cellule et me menaçaient : “Tu es une fille de la côte, là où les gens ont commencé la révolution. On va te violer !» Et ils décrivaient différents actes sexuels”», raconte-t-elle la gorge serrée.
«Ils s’en vantaient»
A cette époque, Fadel Tlass travaille à Homs comme agent de renseignement – ces agents chargés d’arrêter et de détenir les prisonniers politiques. Un jour de l’automne 2011, son directeur, le colonel Okab Abbas, le convoque avec ses collègues. «Notre grand chef vous remercie pour vos efforts, leur dit-il d’un ton solennel, faisant allusion à Bachar al-Assad. Il veut que vous employiez tous les moyens nécessaires pour garantir la puissance du régime et pour résister à la révolution. Donc vous pouvez faire tout ce que vous voulez. Vous pouvez arrêter les habitants de Baba Amr et de Khalidye [quartiers pro-opposition de Homs, ndlr].» «Une fois que l’on a arrêté une femme, que fait-on ?» demande un agent. «Prends-la et couche avec elle», répond Okab Abbas sans hésiter.
Okab Abbas et ses proches collaborateurs – choisis parce qu’ils étaient alaouites, la minorité chiite à laquelle appartient la famille Al-Assad – conduisaient les interrogatoires d’opposants ou des membres de leur famille à huis clos. «Un jour, ils ont arrêté une lycéenne de 17 ans pour l’interroger sur son frère qui faisait partie de l’opposition. Je l’ai aperçue, dans la salle des interrogatoires. Elle était toute nue et elle pleurait, se souvient Fadel Tlass. Elle a ensuite été emmenée dans le bureau d’Okab Abbas et il l’a violée, m’a dit un de mes collègues.» Peu de temps après, un des proches collaborateurs d’Okab Abbas lance à Fadel Tlass : «Tu penses qu’on va laisser le régime tomber ? On va baiser toutes les femmes pour les punir !» Fadel Tlass fait défection peu de temps après.
«Le régime utilise le viol comme punition parce que c’est extrême. Il n’y a rien de pire dans notre culture», souligne Mahmoud. Les autorités ont sciemment utilisé les violences sexuelles comme une tactique de guerre redoutable pour humilier et punir les Syriennes – et à travers elles les Syriens – qui ont osé se rebeller contre le régime, mais aussi pour les terroriser. Ces viols leur ont permis d’atteindre leurs objectifs politiques. «Ils voulaient effrayer les gens pour qu’ils arrêtent d’aller aux manifestations et qu’ils abandonnent la révolution», explique Fadel Tlass. «Ils s’en vantaient. Ils se sentaient fiers», ajoute Mahmoud.
Ces viols sont loin d’être le fait d’agents incontrôlables dans des centres de détention isolés. Des dizaines de témoignages concordants de victimes indiquent que les forces pro-Al-Assad ont violé des femmes, ainsi que des hommes, dans la quasi-totalité des gouvernorats, tout au long du conflit. Selon le Réseau syrien des droits de l’homme, 7 700 femmes ont été victimes de violences sexuelles ou de harcèlement aux mains des forces pro-régime, dont plus de 800 cas en prison. La honte éprouvée lorsqu’il s’agit de révéler ces crimes et la difficulté d’accès aux victimes laissent penser que le nombre réel est plus élevé. La majorité des ex-prisonnières racontent qu’elles ont vu ou parlé avec d’autres femmes violées pendant leur détention.
Impossible d’imaginer que les plus hauts dignitaires ignoraient ces pratiques, tant l’appareil sécuritaire syrien est hiérarchisé et organisé autour d’une stricte chaîne de commandement. Des crimes aussi répandus ne peuvent qu’être tolérés, a minima, au sommet de l’Etat. Un faisceau d’indices indique plutôt une pratique systématique, organisée, préméditée. «Les viols et autres actes de violence sexuelle […] font partie d’une agression répandue et systématique visant la population civile, et s’apparentent à des crimes contre l’humanité», conclut un rapport de la Commission internationale d’enquête sur la Syrie publié le 15 mars.
La préméditation est apparue flagrante à Oum Ahmad, gardienne de prison dans l’est du pays. «Dès que les manifestations ont commencé, en mars 2011, les agents ont distribué une pilule contraceptive aux détenues, tous les jours avec leur repas, raconte-t-elle. Je réceptionnais l’approvisionnement. Chaque semaine, je recevais douze boîtes. Les gardes m’envoyaient aussi vérifier si les femmes avaient leurs règles ou pas.» La voix ferme, les mots précis, Oum Ahmad, qui, à 57 ans, n’a jamais travaillé ailleurs qu’en prison, se souvient des hurlements des opposantes la nuit, des tortures et du viol de deux adolescents sous ses yeux. «J’ai vu des choses horribles. Tellement horribles que je ne peux pas les décrire. En trois mois, mes cheveux sont devenus blancs», souffle-t-elle. Pour avoir dénoncé ces crimes, elle est à son tour enfermée et violée.
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Pilules abortives
Les gardiens ont distribué la pilule aux détenues dans au moins quatre centres de détention à travers le pays en 2012-2013, selon plusieurs témoignages. Parmi les femmes violées qui ne prenaient pas la pilule, certaines sont tombées enceintes. C’est le cas de Maya. Violée à trois reprises, elle finit par être transférée à l’hôpital militaire de Mezze à la suite d’une hémorragie vaginale sévère. Pendant qu’il la soigne, le docteur la supplie : «S’il te plaît, si tu as quelque chose à avouer, dis-le. De nombreuses femmes sont mortes à cause des viols. Tu risques aussi de tomber enceinte. Alors dis ce que tu sais !» Quelques semaines plus tard, Maya se rend compte qu’elle est enceinte et confie ses craintes à un gardien. Un médecin lui fait une prise de sang et lui dit qu’elle est juste faible car elle a perdu beaucoup de sang. Il lui donne des pilules «pour la fortifier». Après avoir avalé deux pilules, Maya ressent une douleur aiguë au ventre et perd beaucoup de sang. Elle comprend alors que les comprimés étaient en fait des pilules abortives et qu’elle a subi un avortement forcé.
L’implication de médecins, conscients des crimes subis par les détenues, et la distribution de médicaments laissent peu de doutes quant au degré d’organisation des autorités pour couvrir ces viols ou au moins en limiter les conséquences. Des éléments accablants, dont se saisira peut-être un jour la justice internationale.
Source : Liberation.fr
La guerre s’accompagne toujours de viols,c’est honteux,mais c’est comme ça.
Et le viol est souvent associé à l’islam qui considère la femme comme un sillon à labourer.
Alors bon,il n’y a pas vraiment de surprise.
Ni guerre ni islam,ça ira déja mieux.
S’appuyer sur un article de ce torchon de gauche anti-syrien, imigrationniste qu’est Libération, m’a immédiatement donné envie de…….
Le viol a toujours été considéré comme arme de guerre, partout et de tout temps. Ça a de plus l’avantage de permettre aux soldats de se défouler en toute impunité. Cela fait passer la pilule des tueries! N’oublions pas non plus le viol perpétré par certains soldats américains sur des femmes françaises en Normandie lors du débarquement. Nous étions pourtant censés être alliés!
Entièrement d’accord avec vous Sophia..;
Pour ma part, je dirai qu’à chaque époque et en fonction des viols organisés par certains groupe ethnique contre d’autres…,
Par exemple… en France :
Les peuples devraient faire la liste de tous les hommes politiques pro-Islam…!
Une fois cette liste faite, ne surtout pas la changer, en effaçant un nom, mais plutôt en rajoutant en fonction de ce que chacun des hommes politiques font… c’est à dire, pour les pro-Islam, rajouter des croix à chaque fois qu’ils se soumettent et par conséquent, nous soumettent…
Lorsque des enfants, jeunes filles, femmes sont violées, à chaque viol, prendre l’homme politique qui sera le plus pro-Islam, en constituant, sans faire de bruits, un bon bataillon, et lui couper tout ce qui dépasse…
Je pense qu’au bout de quelques uns qui seront passés à la serpe,je crois très fort, que les autres hommes politiques videront la France de nos “amis les islamistes violeurs et autres”…
C’est peut être violent, Messieurs, mais que croyez-vous qu’un viol soit pour une femme, une jeune fille et encore plus pour une enfant…??????
Source: Libération? Pas fiable.
Et l’article suivant vient du Monde. Dreuz a avalé le decodex?
“Ils” s’entraînent pour le paradis …. me semble-t-il !!!
(enfin …. ” leurs paradis” …… apparemment !!!)
Cela ne m’étonne pas ….. la “même” chose s’est passée de l’autre côté …..pour les Chrétiens , Chrétiennes et les Yézidis ….. (mais là, c’est (peut-être) moins grave pour nos “bien-pensants” !!!!)
( et pour les femmes “capturées” par le sympathique “FIS” en Algérie ou “boko haram” (livre interdit !) …… dans l’afrique sub-saharienne !!!
C’est intolérable ….. et cela nous montre combien on doit être “prudent” avant d’accepter “n’importe qui” ….. sous nos latitudes !!!
C’est pourquoi … nos élus ont une responsabilité considérable … on le voit en Allemagne, Suède, Danemark….. etc …. où les agressions se multiplient exponentiellement ( et même “démentiellement” !!!)…. dans l’indifférence criminelle de nos “bien-pensants” ….. qui sont, d’ailleurs de singulier ……”bien-dissimulant” voire des “biens-mentant” ou des “bien-minimisant” devant les crimes des fameux “enrichissants” ….
Voyez ce qui s’est passé en Angleterre …. dissimulé (pendant des années !!!!) par la “bien-pensance” ……. pour ne pas être taxée d’islamophobie ou de racisme ….
Espérons que la “bien-pensance” se ressaisira vite…..très vite ….. car il est temps d’appliquer le principe de “précaution” et de fermer nos frontières ….
Il est temps…. plus que temps !!!
Ne vous trompez plus jamais en votant …. il y va de votre survie !!!
Et surtout ne vous abstenez plus jamais !!!!
La France a manqué une occasion unique …. et elle va le regretter … hélas !!!!
En cas de rupture de la normalité, comme en temps de guerre, l’ordre moral est entre les mains de chacun : on peut aider ou profiter. Donc les viols existent, mais dans une civilisation chrétienne ils ne sont pas censés être une arme de guerre et encore moins institutionnalisés.
Je crois qu’il y avait des appels à violer les Allemandes fuyant l’avancée de l’Armée rouge, mais il s’agissait des Soviétiques…pas vraiment en osmose avec la morale chrétienne…
je remarque la phrase : «Le régime utilise le viol comme punition parce que c’est extrême. Il n’y a rien de pire dans notre culture», souligne Mahmoud.
Quel aveu : un viol est terrible pour toutes les femmes, quelle que soit sa culture. C’est une humiliation, une violence physique et psychologique et une destruction intérieure.
C’est tout aussi terrible en Occident et pour les Occidentales.
En filigrane, je vois qu’un viol est le signe pour une musulmane qu’elle ne s’est pas protégée du regard des hommes et qu’elle sera considérée comme impure et rejetée.
Et que si c’est si terrible dans leur culture, les viols des occidentales sont encore plus dans leur esprit une marque d’infamie qui leur est imposée, soi-disant par leur faute.
Rien de nouveau sous le soleil d’Allah. Momo le prophète recourait lui-même aux mêmes pratiques et se servir des femmes comme des objets (sexuels) fait partie du butin légitim du bon moudjahid.
Les Alaouites font ce que tous les musulmans font, en particulier ceux proches de l’EI sunnite. Il se pourrait même – c’est une hypothèse – que cela choque plus un Alaouite qu’un salafiste et que c’est la raison pour avoir politiquement et militairement instrumentalisé cette pratique. Il n’y a pas de doute qui ont subi de nombreux pogroms avant de prendre le pouvoir au cours de l’histoire de la part des autres musumans qu’ils ont dû également être les victimes de ses pratiques et s’en souviennent. Mais, je le répète, c’est ici de ma part des suputations.
Un petit récit, éclairant, ci-après, lors de l’arrivée du corps expéditionnaire français à Constantine au XIXème siècle, lors de la conquête de l’Algérie.
1976
Ce jour là Mohamed M est venu me faire une visite à Constantine.
Avec cet ancien moudjahid (note : djihadiste et non résistant comme on le traduit dans nos journaux), nous avons été prendre un café “turc” dans la casbah en bordure du célèbre canyon de l’oued Rhumel.
Originaire de Sedrata, Mohamed a fait son lycée à Constantine avant son engagement dans le FLN et est féru d’histoires et d’anecdotes sur son pays. Il me parle alors de la prise de Constantine par Lamoricière.
Avec des trémolos dans la voix il me fit alors le récit d’un haut fait d’arme des habitants de la Casbah qui l’exaltait particulièrement.
Les grandes familles de la Kasba (Casbah) craignant que leurs filles en âge pubère ne soient convoitées par la soldatesque française, et ne pouvant souffrir pareil déshonneur collectif, avaient pris grand soin de faire le ménage avant l’assaut. Ils avaient alors réunis toutes ces jeunes vierges au bord du canyon où, pour qui connaît le site, le franchit aujourd’hui le spectaculaire pont suspendu d’El Kantara. La bataille tournant à l’avantage des troupes française, Les notables de la Kasba avaient alors enfermé leurs enfants par deux ou trois dans de grands sacs de jutes et les avaient jetés dans l’abîme au cri d’Allahou akbar.
Il conclut son récit en me disant la fierté et l’émotion qui l’étreignent chaque fois à l’évocation de ce glorieux événement.
Il me regarde. Je suis horrifié.
le 8 mars dernier … journée international de la femme il y avait des manifestations dans 50 villes au USA contre le Président Trump ….. 12 jours plus tard il y a aucune manifestation féministe pour soutien a ses femmes violé avec l’accord de damas , moscou et de Téhéran
la bêtise humaine de ces terroristes est insondable ! en violant leurs victimes , ils prennent le risque d’engendrer leurs propres enfants pour ensuite les tuer ; même les bêtes féroces ne commettent pas ce genre de crimes sur leur progéniture ! comment peu-on accueillir en France des individus de cette espèce sauvage comme “réfugiés” ?
Les Romains étaient plus intelligents que nous ; ils avaient tracé une ligne rouge pour séparer le monde civilisé des barbares et ceux qui s’aventuraient au-delà de cette ligne étaient exécutés ; les barbares restaient chez eux et la “pax romana” a régné des siècles.
Faire ce que l’on veut ce n’est pas craindre Elohim, ceux qui violent des femmes seront dans le trouble et l’angoisse parce qu’ils violent la Torah et son maudit par a Shem.
J’apprécie beaucoup et toujours les articles de Dreuz, mais celui-ci me laisse dubitatif. C’est uniquement un dossier à charge destiné à diaboliser encore un peu plus Assad. Et la source est Libé, la plus pure déjection à s’appeler “journal d’information”. ( N’oublions pas que Serge July, quand il était à la tete de Libé, défendait mordicus le régime génocidaire de Pol Pot, entre autres…)… Libé pue depuis toujours.
Bien sur que les partisans d’Assad ne sont pas des anges, et qu’il y a assurément eu des viols. Mais, comme des commentateurs le soulignent, le viol fait partie de la guerre: entre deux et trois millions de femmes Allemandes violées par la soldatesque Soviétique en 1944/45 après l’entrée de l’Armée Rouge en Allemagne, par exemple.
Quand à ces torchons que sont Libé et Le Monde, pourquoi ne parlent-ils pas d’un dossier de viols absolument tragique et plus proche de nous, celui de toutes ces fillettes Anglaises violées par des gangs de Pakistanais et de Bangladeshis pendant des annés, dans les villes de Rotherham et de Telford.
Et pour en revenir à Assad, bien que la presse Occcidentale l’accuse unaniment, mais sans preuves, de ” gazer son peuple”, un rapport d’experts de l’ONU le dédouane et estime que rien de factuel ne permet de le condamner pour ce crime, et que les auteurs pourraient etre n’importe qui
L’acharnement contre Assad vient en partie de fait que des intérets très puissants cherchent depuis des années à éliminer Assad pour obtenir d’un régime plus complaisant l’autorisation de faire passer un ou des oléoducs à travers la Syrie. Les évènements tragiques en Syrie sont , entre autres, une nième ” guerre du pétrole.”
Le démocratie est le cache sexe des ploutocrates
les mauvais amassent pour eux-meme la colere dans le jour de la colere et de la revelation du juste jugement de Elohm, 6 qui rendra à chacun selon ses oeuvres: 7 à ceux qui, en perseverant dans les bonnes oeuvres, cherchent la gloire et l’honneur et l’incorruptibilite, -la vie eternelle; 8 mais à ceux qui sont disputeurs et qui desobeissent à la verite, et obeissent à l’iniquite, -la colere et l’indignation; 9tribulation et angoisse sur toute ame d’homme qui fait le mal, et du Juif premierement, et du Grec; 10 mais gloire et honneur et paix à tout homme qui fait le bien, et au Juif premierement, et au Grec; 11 car il n’y a pas d’acception de personnes auprès de Elohim.”
Selon les textes de la Bible version révisé Darby, interdit par les gogol franc maçons, puisque mon collègue est franc-maçon et il me raconte ce qu’ils ses disent entre eux, la bible est laïque, il suffit de lire ce texte de; 1 Corinthiens 11/3 “Mais je veux que vous sachiez que le chef de tout homme, c’est le Messie, et que le chef de la femme, c’est l’homme, et que le chef du Messie, c’est Elohim. ”
Tiens, il est où le chef religieux?
Donc selon ce livre, toute personne qui viole une femme, quelque soit sa nationalité et son appartenance politique ou religieuse, chrétienne ou non chrétienne, ou sa race juif ou pas juif, est maudite, elle reçoit trouble et angoisse de la Source de toute vie qui s’abat sur elle. Bon courage les violeurs.