Gilles-William Goldnadel évoque le racisme anti-blanc, dont très peu de médias ou d’associations osent parler. Selon l’avocat, c’est ce tabou qui explique le silence médiatique autour du scandale d’abus sexuels révélé à Telford.
Le racisme antiblanc est le trou le plus noir de l’information comme de la réflexion. Si vous aimez la tranquillité, évitez donc de le nommer. Ou utilisez si possible une circonlocution. Essayez plutôt «détestation anti-occidentale».
Vous éviterez ainsi le chromatisme gênant. On peut parler des noirs, davantage encore du racisme qui les frappe. Mais évoquer le blanc, sauf de manière négative, voilà qui est gênant. Et très inélégant. En parler le moins possible. J’ai connu une époque, pas très lointaine, où les organisations antiracistes autoproclamées contestaient l’existence même de l’aversion du blanc. Lorsqu’on la leur mettait juste dessous leurs yeux, elles la reconnaissaient du bout des lèvres pincées en alléguant le fait que seules des organisations «d’extrême droite» se souciaient de cette question très secondaire. Bref, une pirouette assez primaire. De nos jours, lorsque le temps est clair, certaines condescendent toutefois à se saisir de cas emblématiques, pourvu que le traitement soit discret et homéopathique.
L’actualité récente me permet, à travers deux exemples, l’un en creux, l’autre en plein, de faire sonder du doigt le trou noir maudit.
Prenez Mayotte. On a tout dit sur les dernières manifestations d’exaspération de la colère populaire des Mahorais à propos de l’immigration massive et invasive.
On a dit que cette colère était légitime. On a dit que cette immigration était insupportable pour la population autochtone. On a reconnu sans barguigner le lien entre immigration excessive, illégale et criminalité. On a convenu également qu’elle était facteur de misère sociale, médicale et d’appauvrissement. On a accepté sans pousser de hauts cris de questionner la légitimité du droit du sol. On a reconnu qu’il existait effectivement «des Français de papier» qui avaient indûment instrumentalisé le droit du sol français pour devenir nos concitoyens pour de pures questions d’opportunité financière. On a tout dit, sauf que les Mahorais qui se plaignaient légitimement mais parfois violemment seraient des racistes, des xénophobes ou des populistes extrémistes.
On voudra bien à présent se donner la peine de comparer le regard compréhensif et même empathique porté par le monde médiatique et politique à l’égard des Mahorais exaspérés avec celui qui embrasse, si l’on ose dire, la population métropolitaine qui, aujourd’hui majoritairement, considère l’immigration illégale et massive comme un facteur d’inquiétude majeure. Encore que les réactions de celle-ci soient infiniment plus calmes que celle de la population mahoraise, qui peut honnêtement nier que le jugement médiatique et politique soit dans le meilleur des cas condescendant et dans le pire haineux et méprisant? Pour ceux qui ne veulent pas comprendre ce qui explique cette différence de regard, je vais leur mettre crûment la réalité sous les yeux. La population française métropolitaine, à la différence des Comoriens musulmans de Mayotte, est majoritairement chrétienne, blanche et occidentale. Par conséquent plus facilement soupçonnable de racisme, précisément par un préjugé raciste insoupçonné et indicible.
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Les exactions contre les fermiers blancs en Afrique australe font partie des territoires occultés de l’information.
Mais que j’ose nommer et que j’ai déjà expliqué par l’Histoire.
À présent, passons au second exemple explicite et extérieur à la France.
L’excellente revue National Geographic s’est livrée récemment à une autocritique en règle en examinant de quelle manière, au siècle dernier, elle était restée indifférente à la réalité et à la souffrance noires.
D’un siècle l’autre, d’un excès l’autre, et, parfois, d’une souffrance l’autre. Je ne crains pas en effet d’appliquer cette saine autocritique au présent et à la souffrance blanche que l’on cache, que l’on tait ou que l’on ne veut pas voir.
C’est ainsi que les exactions contre les fermiers blancs en Afrique australe font partie des territoires occultés de l’information. Au Zimbabwe, la quasi-totalité des fermiers blancs ont été expulsés. De très nombreux fermiers massacrés. L’ex-dictateur Mugabe, récemment déchu, refusait de répondre à un journaliste parce qu’il était blanc. C’est dans ces conditions que la revue Jeune Afrique (et non un journal occidental) a écrit: «Les abus et les erreurs commis par Londres, les colons britanniques et leurs descendants, pour beaucoup restés fidèles à Ian Smith, ont été nombreux. Mais en répliquant avec une politique aussi inconséquente, Mugabe aura surtout ajouté de la souffrance à l’injustice.» De la souffrance blanche. Selon la BBC, cette politique a détruit l’économie du Zimbabwe basée sur l’agriculture, qui est dans une situation catastrophique avec une hyperinflation et une réapparition du choléra.
Qui pourrait prétendre honnêtement que ce racisme-là a été condamné par la classe médiatique antiraciste?
En République Sud-Africaine, la situation n’est aujourd’hui pas meilleure. De très rares articles dans la presse écrite française s’en saisissent pour décrire «le massacre oublié des fermiers blancs». Les télévisions françaises s’en désintéressent complètement.
Plus indiscutable et plus récemment encore, le 22 février 2018, l’agence Reuter, dans une indifférence totale, annonçait que «dans un souci de soigner les divisions du passé, le président sud-africain fraîchement élu Cyrille Ramaphosa avait annoncé que l’expropriation de terres sans compensation était envisagée pour accélérer leur redistribution aux Sud-Africains noirs».
Si les mots ont un sens, cette annonce aurait dû plonger tous les hommes de bonne volonté, sincèrement désireux d’harmonie entre les peuples, dans un état de consternation ou d’hébétude.
Si cette mauvaise décision est en effet menée à bien, elle tournera définitivement le dos à la politique de pardon et de réconciliation chère à Mandela et à Declercq. Elle signifiera la fin du pays «arc-en-ciel». Plus désespérément encore, elle signifiera qu’un règlement politique pacifique basé sur la concorde et non le rapport de force est une chimère. Elle donnera raison aux pessimistes et aux cyniques.
Mais il y a peut-être encore pire: l’incroyable omerta qui couvre pour l’heure en France les crimes sexuels autour des filles blanches ayant été découverts dans la commune anglaise de Telford.
Près de mille jeunes filles ont fait l’objet de viols collectifs et de trafic de proxénétisme violent de la part d’hommes issus principalement de la communauté pakistanaise. L’affaire connue depuis plusieurs mois, vient de prendre désormais une dimension extravagante et met en cause la police et les médias.
À l’époque de «Balance ton porc», où les violences faites aux femmes font l’objet d’une attention obsessionnelle permanente, le silence qui entoure ce drame immonde prend un tour invraisemblablement obscène et scandaleux.
Je renvoie notamment aux articles du Birminghammail et du Mirror du 11 mars 2018 ainsi qu’à la note Wikipédia en français issue de la note anglaise qui vient d’être complétée: «Suite aux nouvelles révélations en mars 2018 dans le Sunday Mirror, la journaliste Johanna Williams du magazine Spiked, s’émeut que ce qui semble être le pire scandale d’abus sexuels sur des enfants de Grande-Bretagne ait reçu relativement peu de couverture et ne fasse pas la une de journaux tels que le Guardian ou le Times , alors que depuis plusieurs mois, le harcèlement des femmes est dénoncé comme par exemple par le mouvement Me Too dont elle dénonce l’hypocrisie et le silence assourdissant». Comme de nombreux journalistes anglais le reconnaissent désormais, ces nouvelles révélations sont issues d’enquêtes du Daily Mirror et ont montré que l’étendue des abus était beaucoup plus vaste que ce qui avait été révélé auparavant.
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À l’époque de «Balance ton porc», le silence qui entoure ce drame immonde prend un tour invraisemblablement obscène et scandaleux.
«Comme dans les autres affaires similaires, les auteurs étaient très majoritairement d’origine pakistanaise et bangladaise et de religion musulmane. Par crainte d’être considérées comme racistes, les autorités ont longtemps refusé d’enquêter» (Steve Bird The Télégraph du 9 décembre 2017).
Pendant ce temps, les pseudo-antiracistes hystériques et les néo-féministes frénétiques à moralisme chromatiquement variable restent calmes.
La souffrance, quand elle est blanche, demeure une zone noire interdite de visite.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.
Dans la rubrique “A propos de l’auteur”, il manque le plus récent ouvrage publié par GWG, et qui a le plus de liens avec le sujet de l’article : “Réflexions sur la question blanche”.
La prochaine étape sera l’équivalent de ce qu’il se passe en Afrique du Sud.
Il est grand temps d’économiser pour s’acheter des valises… ou des planches…
Mais “Tout va très bien madame la marquise”: les Zélus sont au champagne, et la plèbe à l’eau des chiottes.
“Le racisme antiblanc est le trou le plus noir de l’information.”
Et comme le dit si bien Père Arbez : Un trou noir, c’est troublant.
Tout à fait c’est bien troublant !
Le racisme anti-blanc ont vous l’a dit et répété… “”””””ça n’existe pas!!!!”””””
En quelle langue faudra-t’il vous le dire????!!!!
Qui d’entre nous, n’a pas souffert du RACISME ANTI-BLANC….?????!!!!
Dès qu’on se trouve en contact avec ces gens-là, ne serait-ce que dans les transports…, dans le travail et dans la vie de tous les jours…!!!!
Les hommes politiques ne veulent surtout pas en entendre parler, comme le dit si bien Rico… “”””c’est le trou le plus noir de l’information…””””” et peut être également un des sujets les plus noirs dont les hommes politiques qui suivent une ligne et payés pour suivre cette ligne ne veulent surtout pas y déroger…, parce que ça les dérangent!!!
J’espère que tous les collabos, le paieront très cher, tôt ou tard, mais j’espère très franchement plutôt “”””””TÔT…!””””””””
A côté de cela, ils ont condamné les identitaires pour avoir mis une banderole sur le toit d’une mosquée en construction…
Allez voir là :
https://twitter.com/FrDesouche/status/975763280819113984/video/1
Hier la Basilique de Saint-Denis, investi par des clandestins et des militants d’extrême gauche…
Descendez un peu sur la page et vous aurez, outre la vidéo, des photos, avec la banderolle…
Il paraît que l’Evêque de Saint-Denis est un catho à babouches… “un de plus”…
Quand vous aurez regardé cela, imaginez la même chose, faite par des Français dans une mosquée………………………..!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!….
Maître je ne ferais pas de commentaires car vous le faîte très bien
comme je le dis souvent tout cela finira mal
Bravo continuez
cela se passe aussi en France !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Vous avez tout dit et très bien dit. Honte à nos journaleux, ces médias nationaux (presse télévisuelle et écrite ) qui ne font état d’aucun de ces crimes et qui sont prêts à grossir tout histoire qui fait référence à une couleur de peau autre que blanche ( Théo en est la preuve la plus répugnante). Le plan Kalergi est bien en place et si personne ne se réveille alors nos enfants seront cette future race que ces politiques souhaitent ” des sous humains” pour les dominer et rester au pouvoir. Pour arriver à leur fin , ils leurs faut encourager et protéger en violation de toute loi les minorités mêmes les plus intolérantes ( Islam/gauchiste en France ) contre ceux qui ne veulent pas devenir des esclaves, les patriotes, les amoureux de la vie. Ce sont ces patriotes qui sont jugés injustement et envoyé volontairement par leur gouvernement dans des prisons ou ils savent qu’ils peuvent être assassinés. Pour exemple Tommy Robinson a failli y laisser sa vie “mais ses jours jours son comptés, il le dit lui même”. Notons également que le responsable de Britain First” à l’origine de la dénonciation de l’horreur de telford a été passé à tabac par des islamistes en prison: va t’il pouvoir survivre encore longtemps ? Que dire ce ce jeune anglais blanc, condamné à la prison pour avoir jeté du porc sur une mosquée qui une fois entré a été assassiné par des islamistes. Aujourd’hui les gouvernements ont trouvé la parade pour éliminer tout patriote ” le juger sur interprétation de la loi et l’idéologie mondialistes fossoyeuse, fabriquer de fausses informations, preuves ( Ex Timmy Robinson) pour le faire condamner et l’envoyer dans les prisons hostiles (généralement les ailes pourries par des islamistes condamner à perpette) et l’affaire est jouée. Les coupables sont tout trouvés alors que le véritable assassin est le gouvernement. Pendant que ces gens, ces fossoyeurs nous emmerdent, se démènent à garder sur le sol européens des terroristes en raison des soit disant droit de l’homme et bien les patriotes, eux, sont envoyés directement chez leurs bourreaux sans passer par la case “droit de l’homme”. Quoi comprendre ? Je reviens sur mes idiots utiles que sont les assos (MRAP/CRAN/PIR/LICRA/SOS RACISME/UOIF/CCIF/FRERES MUSLMANS “des terroristes” etc ) véritable pain béni pour ces fascistes ( La race à Macron) du 21 ème siècles. Ces assos sont loin d’apporter des droits à leur cause mais ils sont bien les collabos du fascisme de demain. J’inviterais bien ces idiots utiles à s’abreuver des paroles de Candace Owens, charmante femme noire, qui disait que pour sortir de l’esclavage moderne d’aujourd’hui ” elle a réfléchi avec son cerveau et non avec sa couleur de peau”. Une chose et certaine, ces décérébrés n’échapperont pas aux foudres de cette crasse oligarchique, de ces riches quand ces derniers n’auront plus besoin de ces caves utiles pour déshumaniser nos sociétés, assassiner la richesse de nos diversités par leur racisme exacerbé et injustifiable.
L’idée que le racisme serait le seul fait des blancs est largement diffusée. Que ce soit au sein de la pop culture (musique, cinéma, littérature etc.) ou dans les journaux la question du racisme est traitée sous un seul et unique angle: L’homme blanc, bigot et haineux qui s’en prend au non blanc. Il y a peut-être un film, une info ou un jeux vidéo qui m’échappe mais on ne peut pas nier que c’est la tendance générale. Certains pourront me citer Die Hard 3 où l’on voit clairement que le personnage interprété par Samuel Jackson (Zeus) est raciste mais la question du racisme reste assez secondaire.
Dans un même temps on tolère plutôt bien les manifestations racistes quand elles viennent des non blancs. On peut essentialiser ou exclure les hommes blancs sans que cela ne déclenche de grosses polémiques en dehors des cercles d’extrême droite. On peut affirmer sa fierté d’être noir, et accorder à l’homme noir toutes sortes de vertus sans vraiment susciter l’indignation de l’opinion publique. Il y a bien certains esprits courageux comme Goldnadel, ou encore Raphaël Enthoven qui ose rappeler à Diallo que : “la fierté d’être noir ne vaut pas mieux que la fierté d’être blanc.” mais ça reste assez anecdotique.
Alors moi je veux bien que le gouvernement s’attaque au racisme, même si censurer et punir n’est pas une bonne méthode, mais j’ai bien peur que seule une seule population soit visée. En tout cas on a de bonnes raisons de le craindre.
À propos des mille jeunes filles qui “ont fait l’objet de viols collectifs et de trafic de proxénétisme violent de la part d’hommes issus principalement de la communauté pakistanaise”, il semble que les médias français se réveillent enfin – après 40 ans de silence ! Voir cet article de France Inter : http://www.europe-israel.org/2018/03/france-inter-aucune-feministe-pour-denoncer-le-sort-reserve-a-1000-jeunes-filles-droguees-battues-et-violees-par-des-gangs-indo-pakistanais/
Si cela pouvait servir à encourager et protéger le très courageux Tommy Robinson (sa récente interview par Brittany Pettibone est à voir absolument : https://www.youtube.com/watch?v=WnQ3pmDjfkc )
À noter également l’appel des cent intellectuels contre le totalitarisme islamique, un pas qu’il faut espérer décisif dans la prise de conscience de la situation par nos concitoyens :
http://www.europe-israel.org/2018/03/lappel-de-100-intellectuels-dont-finkielkraut-tesson-et-levy-contre-le-nouveau-totalitarisme-islamiste/
Bonjour,
Ce n’est pas forcément envers nos concitoyens que la prise de conscience doit se faire mais surtout dans nos politiques, tous ces islamo-collabos. Depuis les années 90 qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre ils ont tout fait pour se faire bien voir des islamistes en tolérant ce que l’on ne tolère pas à d’autres, les prières de rues par exemple.
Je conseille de lire “Ces maires qui courtisent l’islamisme” de Joachim Véliocas, Ed. Tatamis. C’est un pour tous et tous pourris.
Quand je verrai l’article de Golnadel diffusé sur d’autres médias que Dreuz, alors je reprendrai espoir.
Pour l’instant, le moindre commentaire critique vis à vis d’une population musulmane ou noire est sévèrement condamnée par la justice.
Je pense encore à la condamnation dont ont fait l’objet Chistine Tasin et Pierre Cassen pour avoir osé critiquer l’Islam, non pas des populations spécifiques, mais une religion que nous devons impérativement qualifier d’amour et de paix, à peine d’être qualifiés de sombres racistes appelant à la haine…
Très bon billet, GWG. Votre plume ne s’altère point. Monsieur Alzheimer n’est pas prêt de mettre la main sur vous car ce n’est guère demain que vous ferez des défauts de sémantiques.
Quant au racisme anti-blanc, n’oublions pas qu’actuellement, et si la démographie continue dans le sens où elle se développe, nous sommes, nous les blancs suprêmes, en voie de disparition et ce ne sont pas les clowns de tous bords qui nous dirigent et nous éduquent qui arrangent le problème. Même Mamy Merkel est repassée, faut le faire, non ?
Et que dire de l’étude d’une loi contre le harcèlement des femmes dans les rues, encore une fois les tenants de cette études ne précisent pas qui sont les principaux hommes harceleurs et violeurs et oui comme d’habitude il ne faut pas stigmatiser une certaine population.
Voici les paroles du poème du bien nommé Rebelle de Césaire qui remontent et résonnent :
« ( on entend dans le lointain des cris de ” Mort aux Blancs “.)
On se souvient de ces réunions ”En 2016, c’est l’organisation d’un camp d’été « décolonial » réservé « aux personnes subissant le racisme » – les non-Blancs – par les militantes Sihame Assbague et Fania Noël qui avait provoqué une polémique.
Les ateliers « en non-mixité raciale » du syndicat SUD-Education 93…
Macron achète la paix dans les banlieues.
Il ne cesse de donner des gages à ces communautés qui mosaïques notre pays. Distribution gratuite d’€ à des pays africains,( 1,4 milliards pour le métro d’Abidjan) à la Palestine La France verse 8 Millions d’euros de salaires pour les fonctionnaires. Cette aide fait partie d’une enveloppe plus large apportée par la France à l’Autorité palestinienne qui s’élève à 40 millions d’euros.
Bruno Le Maire, ministre français de l’économie s’était engagé, le 4 septembre 2017, au maintien de l’aide financière à l’Autorité palestinienne. Le 1 févr. 2018, Macron a promis une aide de 150 millions d’euros à la Tunisie.
Sur les révélations ci-après on peut constater que les journaux ne font pas du journalismes, si ce n’est que de taper sur TRUMP et actuellement sur POUTINE. On oublie tout le reste comme cette affaire objet de ces révélations. et que dire du massacre des Kurdes !!!
«Suite aux nouvelles révélations en mars 2018 dans le Sunday Mirror, la journaliste Johanna Williams du magazine Spiked, s’émeut que ce qui semble être le pire scandale d’abus sexuels sur des enfants de Grande-Bretagne ait reçu relativement peu de couverture et ne fasse pas la une de journaux tels que le Guardian ou le Times , alors que depuis plusieurs mois, le harcèlement des femmes est dénoncé comme par exemple par le mouvement Me Too dont elle dénonce l’hypocrisie et le silence assourdissant».
Racisme anti-blanc en Afrique du sud : 70000 fermiers blancs assassinés. Le peu qui reste est spolié pour répartir la terre aux blacks locaux.
La réalité est que nous sommes aujourd’hui soumis à un terrorisme intellectuel (ou chasse aux opinions mal-pensantes), une forme de néo-Inquisition d’une bande de gauchistes fanatiques, usant à la fois du lynchage médiatique et de la persécution judiciaire pour imposer leur idéologie multiculturaliste et immigrationniste, avec la complicité de la grande masse des journalistes, de nombres de juges (y compris au conseil d’Etat) et d’hommes politiques, de législateurs dont ils sont devenus les inspirateurs, voire le Surmoi, en tout cas les maîtres à penser.
Ces idéologues ont investi non seulement les médias et la Justice, mais même l’Assemblée (les Insoumis), et surtout les milieux universitaires où ils se cooptent et font la chasse aux enseignants et aux chercheurs qui ne sont pas dans la ligne, contrôlant également le recrutement, devenu sélectif idéologiquement, suivant en cela à la lettre la doctrine de l’entrisme chère aux groupuscules gauchistes.
Ces idéologues fanatiques ont inventé des croquemitaines, des périls imaginaires, comme la fachosphère (dont vous faites bien sûr partie, cher Gilles-William, selon leurs critères), l’extrême-droite, la “lepénisation des esprits”, le racisme et autres fantasmes absurdes…
Ces phénomènes existent sans doute, mais ils sont de plus en plus marginaux (même les racistes ne croient plus en une vraie inégalité des races ils sont devenus au pire des xénophobes), et ne représentent certainement pas la menace la plus préoccupante et la plus grande de nos jours pour notre société…
Le moins que l’on puisse dire est qu’il exagèrent massivement ces “périls” – pour mieux en dissimuler d’autres, et surtout promouvoir leurs lubies : la défense des immigrés et conséquemment la promotion de l’immigration massive, via le discours antiraciste.
C’est au nom de ces idées, ces théories immigrationnistes simplistes , bêtassones, stupides et surtout toxiques qu’ils exercent leur empire intellectuel et leur malfaisance , en pratiquant un véritable terrorisme de plus en plus agressif par le biais de la persécution universitaire, médiatique et judiciaire sur le modèle de l’Inquisition, inventant comme elle des crimes imaginaires comme le disait Le Peletier de Saint-Fargeau , des crimepensées comme le décrivait Orwell dans “1984” : les anathèmes modernes que sont l’islamophobie, le fascisme, le racisme ont ainsi remplacé l’hérésie, le schisme, le satanisme, la sorcellerie, la relapse…
(suite de mon propos, j’ai coupé pour que ce soit un peu plus digeste)
Il faut dire que la gauche traditionnelle, socialiste et ouvriériste, s’est écroulée, a fait naufrage corps et âme, et n’a pas trouvé de vrai modèle de société de substitution, son corpus d’idée est désespérément vide, elle n’a plus rien en boutique.
Aussi s’est-elle rabattue sur un ersatz d’idéologie appauvrie, l’antiracisme, vite tourné en islamophilie et en immigrationnisme échevelé, prônant l’amour inconditionnel des immigrés ou de leurs descendants (pourvu qu’il ne soit pas francisé ou européanisé), de “l’Autre”, comme ils disent, et conséquemment à la haine de l’Européen, du Français, du Blanc (par nature mauvais, incarnation du Mal), bref la haine de soi.
Tout aussi logiquement, cet amour des immigrés est devenu une défense et une promotion de l’immigration comme étant un bien en soi, inconditionnellement. Y compris l’immigration d’islamistes et de djihadistes décidés à nous éliminer(ce qui est au fond une bonne chose dans leur optique folle, vu que cela correspond à leur désir secret de destruction de notre civilisation)…
Ce qui les mène enfin infailliblement au “syndrome du sauveur” : ces gens se sont auto-investis d’une mission “humanitaire”, celui-ci constituant une sorte de modèle “de gauche” idéal pour eux: aider, “sauver” les migrants, “, se prenant ainsi pour des french doctors, des membres cachés de “Médecins sans Frontières”. (cf les activistes comme Herrou ou les ahuris de l’Aquarius), car il s’agit de la seule forme d’action politique possible dans cette sous-idéologie.
Le migrant est ainsi paré de toutes les vertus, c’est un ange, à tous les sens du terme (un ange est d’abord un messager divin, il apporte la bonne parole et la bonne nouvelle). Le migrant nous apporte ainsi le Souverain Bien. L’immigré hier, le migrant aujourd’hui (futur immigré) sont nos Rédempteurs, nos Sauveurs.
L’immigration est alors selon eux la solution à tous nos problèmes : les retraites, le chômage (il va apporter la croissance), la chute démographique (alors qu’il en est peut-être une des causes). En bref, le (forcément) bon migrant nous sauvera de nous-mêmes! [En éliminant éventuellement physiquement le problème…nous?]
Migrant rebaptisé “réfugié” puis “exilé”, ce qui est assez dire qu’il ne vient plus pour s’installer et s’intégrer à une nouvelle patrie, changer de vie, il ne fait que passer, ou il entend garder son quant-à-soi , il doit impérativement conserver sa culture, son être d’origine (comme l’islam) et ignorer, rejeter et fuir celle du pays de merde (de koufars, cf Black M) où il “s’exile”, et en aucune manière chercher à s’adapter, à apprendre à connaître sa population et sa culture, voire sa langue: c’est aux pays d’accueil de s’adapter à eux et de changer – cf les délires qui se passent en Suède et au Royaume-Uni. Bref, il doit un à tout jamais demeurer un Etranger.
En inventant ce nouvel “élément de langage” en lieu et place du quelque peu démonétisé “réfugié”, qui ne prend plus, je ne suis pas sûr que nos Saints-Bernards gauchistes se rendent compte de ce qu’il révèle comme mépris et comme haine de leur part pour l’Europe, sa culture, sa civilisation et son histoire.
Je viens de regarder cette vidéo ou chloé cette gourde d’étudiante ose dire que les peuples blancs n’ont jamais été opprimés! Le peuple grec pendant près de 400 ans par les musulmans de l’empire ottoman c’était quoi d’autre, et tous les peuples opprimés par le communisme c’était quoi d’autre! Le discours gaucho/facho/goulag ne doit plus être accepté! Je me suis fait traité de sale blancs/sale suisse par des toxicos dealer noirs qui en plus sont entretenus par les citoyens!