« Car, en le premier temps de la révolte, il faut tuer : abattre un Européen c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre ; le survivant, pour la première fois, sent un sol national sous la plante de ses pieds. » JP Sartre
Vous souvenez-vous de ce fameux « Manifeste des 121 » ?
- Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie
Dans les faits, c’étaient 121 « intellectuels de gauche » qui signaient un appel pour soutenir la révolution algérienne au prétexte que « chaque peuple est en droit de disposer de lui-même ».
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Sauf que… cette révolution algérienne était, déjà, faite au nom du djihad : la guerre de l’islam contre les croisés chrétiens.
C’était le 6 septembre 1960. Un an plus tard, la préface de JP Sartre dans le livre de Fanon légitimait le meurtre des Européens dans ces départements de France et n’avait rien de philosophique. C’était un acte de guerre déclaré à la nation France.
Depuis, 58 ans ont passé.
A force de bontés envers ce “peuple” qui avait droit à disposer de lui-même, depuis De Gaulle, la France l’a laissé s’implanter chez nous, dans l’hexagone, où il entend bien disposer de nous-mêmes, islam oblige, comme il l’a fait jadis de l’autre côté de la Méditerranée.
Et ces gens de gauche, tous, le savent mais ne veulent pas le reconnaître. Idem pour ceux de droite qui leur disputent « le monopole du cœur ». Tous unis à des fins exclusivement électoralistes, ils mettent en danger la République française. La République qui a mis fin aux privilèges en France.
Aujourd’hui, ce sont 100 intellectuels, de gauche et de droite, qui publient un manifeste « contre le séparatisme islamiste ».
Si l’effort est louable, nous aurions préféré des mots plus directs, plus proches de la réalité dans cette déclaration. La vérité sans fard, sans la censure qui nous est imposée, toujours, dans le souci de ne pas “stigmatiser” les musulmans.
Parce qu’il n’y a pas de « séparatisme islamiste », en France. Au mieux, nous connaissons le séparatisme islamique propre à cette religion. Libre à chaque musulman de se reconnaître selon qu’il est ou non fidèle aux préceptes du coran, ce n’est pas notre problème. Notre problème, c’est l’islam. Et son pouvoir hégémonique.
Nous ne voulons pas que notre République devienne une république islamique. Et dire ou écrire que l’islam est sectaire et tend à imposer son dogme à tous les Français est une évidence.
C’est ce que nous constatons, chaque jour, dans notre pays. Et la faute en revient à ces politiques de tous bords. Politiques et idiots utiles, comme Sartre et consorts à leur époque, qui favorisent ce « séparatisme » en présentant l’islam comme une religion stigmatisée dans notre pays. Islamophobie, stigmatisation, apartheid, désavantagé, défavorisé… autant de mots dont les musulmans font leur leitmotiv, aujourd’hui, à tous propos. Et les élus du peuple corrigent et changent notre Constitution au gré des revendications incessantes des musulmans.
C’est ce que nous ne cessons de dénoncer depuis des années.
Parce qu’il s’agit bien de l’islamisation de la France dont ils parlent mais ils n’ont pas osé employer le mot sans détour
Aujourd’hui, ces 100 personnalités s’inquiètent d’un séparatisme “islamiste” alors qu’un président de la République, François Hollande, avouait il y a six ans, que seule la « partition de la France » restait envisageable pour satisfaire les musulmans. Il y avait de quoi faire hurler tous les partisans républicains.
Mais, les avez-vous entendus à ce moment-là ? Non.
Ni Juppé ni Sarkozy ni Fillon ni Le Pen ni aucun autre politique de droite ne s’est ému de cette innommable et traîtresse déclaration. Bien sûr, aucun représentant de gauche et encore bien moins Valls ni l’actuel président, Macron, n’ont ressenti d’outrage dans ce propos. Peut-être l’envisagent-ils, eux aussi ? Qui ne dit mot consent.
Ainsi, selon eux et d’autres plus actifs et plus virulents, encore, comme les organisations islamiques en place, nous devrions avoir, d’un côté l’islam et, de l’autre, tous les autres, c’est-à-dire, les non-musulmans.
Et ce n’est qu’après six années pendant lesquelles nos dirigeants ont laissé la bride sur le cou aux musulmans (qui se reconnaîtront), que s’élèvent enfin les petites voix de cent Français sur 66 millions, pour dénoncer l’islamisation de notre pays.
Parce qu’il s’agit bien de l’islamisation de la France dont ils parlent mais ils n’ont pas osé employer le mot sans détour.
Cent personnalités qui, finalement, répugnent à appeler par son nom le vrai mal qui ronge la société française. Car ce n’est pas « l’islamisme » qui menace la liberté en général, c’est l’islam, tout court, qui menace la République.
Et, dans la majorité présidentielle, on s’émeut de la teneur de ce manifeste.
Qui ose dénier le mot apartheid ? Les socialistes ? Ce sont les propres mots de Manuel Valls lui-même, quand il s’exprimait, alors premier ministre, sur l’impériosité de la mixité que nous rejetons de toutes nos forces, aujourd’hui. Mixité suicidaire pour tout Français normalement constitué et sensé.
Oui, il existe bien, cet apartheid. Mais il n’est pas de notre fait. Les musulmans se le sont créé eux-mêmes. Et nous refusons d’en porter la responsabilité.
Quand Benjamin Griveaux, secrétaire d’Etat au premier ministre, reconnait qu’aujourd’hui il existe « des quartiers de la République où le salafisme a pris le pouvoir », il ne dit pas la vérité. Parce qu’il était déjà impossible à un Européen, il y a 40 ans, de vivre au milieu de ces clans musulmans qui se sont créés dans les cités, dans les quartiers, sans que pour cela le « salafisme » en ait été responsable. C’était déjà – et ça le reste – la délinquance, le grand banditisme, les incivilités qui nous empêchaient de vivre près d’eux.
La preuve nous est donnée dans un rapport de la Gendarmerie nationale publié en février dernier et repris par le criminologue Xavier Raufer, expert de l’IPJ, qui l’a résumé ainsi dans le magazine L’Incorrect :
« […] en France métropolitaine, les bandits autochtones ont quasi-disparu […] il est désormais incarné par des malfaiteurs d’origine nord-africaine […] Groupes criminels issus des cités dont les membres, dit le rapport, sont des “ immigrés maghrébins ou africains “ […] des groupes criminels “ issus des pays de l’Est “, ” les albanophones “, “ les Géorgiens ”, “ les gens du voyage “… » .
Et cet individu, macro-socialiste, Griveaux, ose prétendre que : « […] la reconquête, elle ne se fait pas dans les tribunes, en stigmatisant, en expliquant que c’est des zones d’apartheid, elle se fait avec la police de sécurité du quotidien, elle se fait en dédoublant les classes et en ayant deux fois moins d’élèves dans les quartiers difficiles ».
De qui se moque-t-il ?
Parce que Macron et toute sa clique veulent “reconquérir” les territoires perdus de la France en répondant aux kalachnikovs et aux cocktails Molotov dans ces cités par des classes allégées en nombre d’élèves ? Ils croient pouvoir endiguer la criminalité galopante dans ces secteurs en extrayant les jeunes musulmans de leurs cités pendant quatre ou cinq heures par jour de présence à l’école ?
Il faut arrêter de prendre les Français pour des demeurés mentaux.
Nous avons vécu en parfaite harmonie avec l’islam tant que ses adeptes respectaient les lois et le principe de la République. Ce n’est plus le cas, depuis des années. Que le salafisme ait trouvé un terreau riche, propice à l’endoctrinement, dans ces zones de non-droit ne fait pas de nous des coupables de cette réalité. Cela ne date pas d’hier. Il y a plus de 40 ans que nous sommes confrontés à la radicalisation des musulmans. La complicité de l’Etat et des municipalités dans la multiplication des mosquées sur notre territoire a favorisé cette radicalisation. Et l’on entend par “radicalisation” qu’ils rejettent toute forme d’occidentalisation et non pas, seulement, leurs actes terroristes comme le veulent faire croire les idiots utiles.
Et ces musulmans ne veulent pas de notre République. Ils rejettent la France et le disent. Nous ne sommes même plus les « odieux colons », nous sommes devenus les « croisés ». C’est en référence à l’islam qu’ils s’expriment par ces mots et non pas comme des « citoyens français » mécontents de leur sort. C’est l’islam qui parle.
Et les idiots utiles persistent à accuser l’islamisme, l’intégrisme, le wahhabisme, le chiisme ou le salafisme. On a même eu droit au pléonasme, « islam politique » ! Non. Tout ça, c’est l’islam. Seulement, l’islam.
L’islamisme EST la religion musulmane. Si celle-ci est pratiquée par les musulmans, elle leur commande l’application des droits islamiques dans la loi et toutes les institutions desquelles ils dépendent. Il y a ceux qui la pratiquent à la lettre et ceux qui la contournent plus ou moins. C’est à ces derniers de se battre pour leur liberté. C’est à eux qu’il appartient de secouer le joug de la tyrannie islamique. Et, vous l’avez remarqué, ils sont les plus silencieux.
C’est leur silence qui donne cette force à l’islam. C’est leur silence qui laisse croire à nos dirigeants qu’il faut tout accepter de cette religion et, à chaque fois, ils cèdent à son diktat.
Il est impératif que la religion islamique, dans un pays non-islamique, respecte la loi du pays qui la tolère. Qu’elle y reste à sa place de religion comme les autres religions : une croyance. En aucun cas, elle ne peut être une loi – sa loi – qui devrait s’imposer à tous.
La République française ne peut pas, ne doit pas admettre qu’une autre loi vienne interférer dans la sienne. C’est à cette seule condition que la France restera la République de la Liberté, l’Egalité et la Fraternité.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Danièle Lopez pour Dreuz.info.
“…La reconquête, elle ne se fait pas dans les tribunes, en stigmatisant, en expliquant que c’est des zones d’apartheid, elle se fait avec la police de sécurité du quotidien…»
(B.Griveaux)
Justement. Parlez à un policier ou à un gendarme. Il vous expliquera comment l’Etat leur a retiré toute possibilité de “répondre” à ces petits voyous importés.
En ce sens, la Traitor Class dirigeante a transformé la France en une zone d’insécurité, et les Français sont effectivement pris pour des demeurés mentaux.
Il me semble que Sarkozy, en qui nous avions placé tous nos espoirs, avait dit, à propos de l’immigration et du grand remplacement: ” c’est irréversible “.
Pire : Ce guignol hors-sol voulait rendre le métissage obligatoire (ce qu’il s’est bien gardé d’appliquer à lui-même) en ajoutant que “si ça ne fonctionnait pas, la République devra passer à des méthodes plus contraignantes”.
Rien que ça !
https://www.youtube.com/watch?v=1XIhTG6JyW0
Un véritable eugénisme d’Etat. En gros, dans sa tête, si vous êtes un petit blond d’Ardèche ou de Gascogne, vous aurez L’OBLIGATION – par les méthodes “contraignantes” de la République – de vous reproduire avec une Sri-Lankaise, une Ivoirienne, une Perse, une Malienne, une Érythréenne ou une Rohingya . Au choix.
je suis bien sûr contre cet eugénisme d’état mais je connais quelques dames perses, maliennes, etc…absolument magnifique et surtout très grandes cuisinières.
Gourmand, va ! 🙂
Tant qu;on appelera pas un chat , un chat , on en sortira pas …
il peuvent écrire tous les manifestes qu,ils veulent , cela ne sert a rien si on ne pointe pas l,ennemi , et qu ‘on ne l’appelle pas par son nom : l,islam !
Oui, rien que nous ne sachions pas déjà.
Mais que pouvons nous faire? Les grand médias sont totalement verrouillés, aux ordres du pouvoir.
Les élections? Nous avons vu avec l’élimination d’un candidat gênant l’élection de Macron de quoi il retourne. Le front National? Création de François Mitterrand pour siphonner des voies de droites, ces dirigeants (une famille) sont aux ordres du pouvoir et se sabordent par des propos débiles dés que leur chance d’être élu à des postes clef se présente.
Pour les médias qui osent encore aborder le sujet, des lois “antiracistes” sont en préparations pour permettre un verrouillage encore plus efficace de l’information. Et surtout pour pouvoir s’attaquer à tout patriote qui exprimerais son opinion.
J’avoue que je ne vois plus trop d’issues possibles.
Une chose est certaine, économiquement nous ne pourront pas continuer notre politique de redistribution indéfiniment, la faillite économique du système serait elle notre libération? Rien n’est moins sûr…
Tant que la gôchiasse n’aura pas réussi à envoyer 60 et quelques millions de propriétaires vivre dans la rue pour laisser la place à ses chéris, elle continuera son programme de destruction.
Qu’ils n’oublient quand même pas qu’une fois que leurs “ennemis” auront été abattus, ils seront en tête de liste.
Economiquement, je crois que nous pouvons déjà remercier Saint dicat d’avoir fait détruire tout ce qui faisait notre force.
Excellent article Danièle Lopez, et plein de vérités. C’est tellement dommage que les Français ne comprennent pas que l’Islam n’est pas une religion comme les autres, mais une entité criminelle et dangereuse, habilement déguisée en religion pour tromper son monde. Le seul but de l’Islam est de d’asservir par la ruse, le mensonge ou la force, l’Humanité toute entière. Ce n’est pas ” l’Islamisme “, ou ” les Islamistes ” qui sont des menaces. Notre ennemi mortel, c’est simplement l’Islam. Merci de le souligner une fois encore. Il faut continuer à le dire jusqu’à que les Français le comprennent.
Trop cons pour comprendre, et trop déformés par leurs tablettes.
Vous avez raison Danièle, évidemment.
Néanmoins je pense que ce texte est important, en ce qu’il met le problème de l’islam/isme/isation au premier plan, au moins dans un grand quotidien, au moins pour quelques jours.
Et je pense que beaucoup de Français savent très bien, au moins inconsciemment, que lorsqu’il est question d’islamisme, il est question d’islam.
Je vois cette tribune comme un premier pas, et également, implicitement, l’expression de la volonté de ces personnalités de rappeler que la liberté d’expression sur l’islam/isme/isation doit être sauvegardée, au moment où à l’évidence le crypto-socialiste Macron voudrait supprimer cette liberté d’expression. Cette tribune doit en appeler d’autres, plus audacieuses, plus directes. Les Français doivent absolument comprendre que l’islam est un projet politique, et que PARTOUT où il devient majoritaire, les libertés reculent dramatiquement, et la société fait un bond de 1.500 ans en arrière, pour ne pas dire 20.000 ans, sur le plan des libertés, des droits des et relations humaines. Une fois qu’on a compris ça, on a tout compris : l’islam est intrinsèquement mauvais, mortifère, destructeur.
Quant aux musulmans qui se taisent, ils sont soit terrifiés – l’islam repose sur la terreur – soit schizophrènes, ne voyant pas que cette religion dont ils pensent qu’elle fait partie de leur identité même est aussi ce qui les freine voire les opprime et qui, pratiquée à la lettre, tue toute forme de civilisation et d’humanité.
On nous dit : mais les musulmans modérés sont la majorité ! Pour ma part, je pense que les musulmans “modérés” sont également majoritaires dans des pays comme l’Arabie saoudite ou l’Iran, il n’empêche que la minorité de musulmans fondamentalistes y impose la charia, tant il est vrai que “le monde est dangereux à vivre, non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.”.
@ Jacques Ady
Les “musulmans modérés” existent, mais ils n’ont aucune espèce d’incidence sur la finalité de l’idéologie politique islamique quant à la destruction de l’occident :
https://www.youtube.com/watch?v=28d04OHyhwU
Sous-titres en français.
Je pensais justement à Brigitte Gabriel et à cette intervention en écrivant mon commentaire.
Bien sûr, ce texte est important.
Il est un premier pas vers cette liberté d’expression qui nous est peu à peu interdite lorsqu’il s’agit de l’islam. Mais j’aurais tant voulu que les “mots” soient dits, enfin. C’était une occasion en or. Se représentera-t-elle ?
Il est aussi important de rabâcher que ce ne sont pas seulement les musulmanes qui risquent d’être privées de liberté. Au train où vont les choses, ce sont tous les Français qui se verront bâillonnés et interdits de vivre leur vie d’occidental évolué. En tout cas, dans certains quartiers pour commencer.
C’est pour cela que j’ai écrit cet article. Non pas que je condamne cette tribune. Loin s’en faut. Mais je les ai trouvés timorés dans leur façon restrictive de présenter le danger qui nous menace. L’islam !
Quant aux musulmans modérés, vous avez absolument raison, vous et Rico. Ceux-là n’ont pas voix au chapitre. Et, justement, ils attendent que nous montions au créneau à leur place. Mais ils doivent apprendre à se considérer avant tout comme des citoyens français avant que d’être des musulmans. C’est à cette seule condition qu’ils arriveront à faire entendre leur voix.
Et, alors, peut-être, nos législateurs cesseront d’avantager les musulmans vindicatifs pour les considérer comme des citoyens lambdas.
“Il est impératif que la religion islamique, dans un pays non-islamique, respecte la loi du pays qui la tolère. Qu’elle y reste à sa place de religion comme les autres religions : une croyance. En aucun cas, elle ne peut être une loi – sa loi – qui devrait s’imposer à tous.”
Il faut probablement – non, sûrement – aller avec le raisonnement correct jusqu’au bout. L’islam n’est pas une “religion” dans le contexte conceptuel occidental. Tant qu’il sera considéré, erronément, comme telle, rien ne sera possible, le pouvoir lui ainsi étant conféré de s’abriter derrière nos lois généreuses sur la liberté de croyance (confession, culte, tout ce qu vous voulez). Il suffit d’aller jeter un coup d’œil sur les sites musulmans.
L’islam bénéficiant de la protection spéciale légale en tant que “religion”, c’est exactement la même chose que la possibilité de voter démocratiquement pour Adolf Hitler.
Ce n’est pas aux musulmans de décider de l’orientation et de la nature de l’islam en Europe. L’Europe n’est pas une plaque de gélose dans une boîte de Petri où l’on inocule l’islam et l’on attend ce qui en sort. Ni un cobaye de laboratoire des tests sur les degrés et les doses hypothétiques de l’islam, dont l’Etat islamique (un équivalent moderne de la Terreur médinoise de Mahomet) est une variante parfaitement théologiquement légitime dans le cadre de la doctrine mahométane. C’est aux Européens d’énoncer clairement et sans concessions les limites de quelque chose qui pourrait s’appeler l’islam en Europe. Et tout musulman à qui ça ne plairait pas est parfaitement libre d’émigrer vers l’un des 57 pays islamiquement paradisiaques de l’OCI. Mais tout cela suppose qu’on cesse de jouer avec les mots, en appelant le totalitarisme islamique “religion”.
JP Sartre soutenait l’ayattollah.
Les suprématistes musulmans sont des gens intelligents: ils ont compris que pour faire avancer leur cause – l’islamisation consentie ou forcée de toute l’Humanité – ils doivent retourner notre façon de penser contre nous. C’est d’ailleurs la doctrine des Frères Musulmans telle que théorisée par al-Qardawi ou Sayyid Qutb
Ils ont ainsi étudié notre société, notre fonctionnement politique pour comprendre comment ils devaient procéder pour promouvoir chez nous une idéologie, un système de pensée – en l’occurrence l’islam – et ont finalement opté pour les méthodes des activistes des groupuscules de type gauchistes pour faire de l’entrisme, et diaboliser leurs adversaires, tout en se posant en victimes pour s’attirer les faveurs des dits gauchistes et se les allier, car ils ont vu que ceux-ci tenaient les milieux intellectuels et de l’information.
Ils ont repris à leur compte les méthodes des lobbys minoritaires, tel que les lobbys féministes, LGBT ou – il faut le dire – juifs (genre CRIF*), ainsi que des organisations droitsdelhommistes ou antiracistes. Ils ont vu que ceux-ci ont obtenu de criminaliser les pensées et les idées sous prétexte qu’elles offensent, insultent ou stigmatisent tel ou tel groupe racial, social ou religieux – le tout dans la plus parfaite subjectivité**.
Ils ont vu qu’en se posant en victime “blessée” ou “offensée” par des propos (comme la négation de la Shoah vis-à-vis des juifs***), on pouvait obtenir des politiques, des juges et des médias qu’ils répriment la liberté de parole et même de pensée sur certains sujets.
Ils ont ainsi réussi à diaboliser toute critique de l’islam et des musulmans, en assimilant celle-ci à l’antisémitisme et au racisme par une coupable confusion, un amalgame douteux entre religions d’une part (établissant une équivalence entre islam et judaïsme pour l’aspect victimaire, et islam et christianisme pour le contenu), et entre race et religion d’autre part (musulman = “race” arabo-maghrébine, critiquer l’islam c’est être raciste), les deux rendus par le terme “islamophobie” (aversion envers la race-religion arabo-musulmane), qui serait selon eux l’équivalent pour les arabo-musulmans de l’antisémitisme pour les juifs.
Alors que seul le judaïsme est identifié à une race – même si elle est en fait imaginaire – et alors que le ressort de l’antisémitisme ne se résume pas à un pur problème religieux, de divergence de croyance.
Ce qui en passant ressortirait en fait de l’idéologie et de la politique (de la conception de la société), non de la xénophobie ou du racisme. Dit autrement, les guerres “internes” de religion classiques sont avant tout des luttes politiques internes entre groupes constitutifs de la société, des guerres “civiles” – alors que la guerre avec l’islam, religion importée d’un corps resté étranger à la société, est une guerre de conquête, une guerre coloniale, et même une guerre de civilisation – ce qui n’est vraiment pas la même chose.
Les guerres de religion, comme les guerres civiles dont elles sont une forme, se font entre groupes qui ont des divergences à l’intérieur d’un même cadre de pensée : par exemple entre protestants et catholiques, se réclamant tous deux du christianisme, ou entre sunnites et chiites (ou à l’intérieur du sunnisme, ou du chiisme), se réclamant tous deux de l’islam.
Remarquons d’ailleurs qu’il n’y a jamais eu de guerre de religion entre juifs et chrétiens – les juifs n’ayant tout simplement jamais pris les armes contre les chrétiens pour les convertir – “seulement” des persécutions (dans un seul sens)
Rien de tel aujourd’hui: il s’agit bel et bien d’un choc, et même de guerre de civilisation, entre deux systèmes, deux cadres de pensée distincts, différents, incommensurables et en fait incompatibles.
*[Le CCIF est directement inspiré à la fois du CRIF – notez la similitude des sigles, certainement volontaire – et de la LICRA. Le CFCM – comme le CRAN – copie aussi le CRIF]
**[en Grande-Bretagne, les membres des minorités “discriminées” (c’est-à-dire officiellement estampillées comme telles, être discriminé cela se mérite et n’est pas donné à tout le monde – surtout pas aux occidentaux blancs et chrétiens – de facto il faut être noir et/ou musulman, à la rigueur juif, mais ces derniers de moins en moins, ils sont renvoyés dans le camp des “blancs”) peuvent maintenant porter plainte s’ils ressentent, ont “l’impression” de ou “soupçonnent” un regard discriminant ou “de haine”. Nous voilà revenus aux plus belles heures de l’intolérance, du totalitarisme idéologique où il suffit d’accuser sans preuves quelqu’un de mal penser – même pas de mal agir – pour le faire condamner…]
***Je précise que je désapprouve naturellement le négationnisme – mais en adepte de la pensée scientifique et philosophique, de même qu’en science on n’interdit pas l’expression de théories alternatives, y compris fausses (comme les adeptes de la Terre plate) je pense aussi qu’on ne le combat pas en interdisant et criminalisant son expression, mais en argumentant, en critiquant de façon plus rigoureuse et plus convaincante, en en montrant l’inanité et la stupidité, bref en discutant pied à pied. Et en sachant qu’on ne convainc jamais les sots et les ignorants incultes inaccessibles au raisonnement, au bon sens et à la connaissance.
Je suis donc comme beaucoup de contributeurs de Dreuz, comme GW Goldnadel il me semble, hostile aux lois mémorielles et à la loi Pleven en raison de leurs effets pervers encore plus dommageables que ce qu’elles prétendent éviter, car elles sont instrumentalisées par des gens malveillants pour bâillonner la liberté d’expression et imposer leur idéologie en faisant taire toute critique.
De Gaulle a signé les Accords d’Evian, qui ont permis aux Algériens de s’implanter en France: ils sont actuellement au moins 7 millions, merci mon Général…………..