Publié par Danièle Lopez le 27 mars 2018

Après ce énième attentat musulman sur notre territoire, aveugles seraient les Français sensés qui ne se poseraient pas la question :

L’État français est-il capable de nous protéger de la barbarie islamique ?

Les Français en ont marre ! Il n’y a qu’à lire, sur les réseaux sociaux, les réactions violentes contre l’islam, certes mais, contre nos dirigeants, plus encore.

Pendant que les forces de l’ordre sont occupées à les traquer sur les routes, voire, pendant des manifestations ouvrières ou de retraités, les terroristes musulmans poursuivent leur petit bonhomme de chemin qui les mène à massacrer un maximum de citoyens français non-musulmans, en toute quiétude.

Ils reprochent à ce président-par-défaut, de trouver plus important de procéder aux réformes exigées par Bruxelles et ses commanditaires – qui étranglent toujours plus le citoyen lambda – que de les protéger des musulmans terroristes.

Et que, pendant ce temps-là, dans les cités, les petits villages ou les grandes villes françaises, ces musulmans s’arment sur les conseils avisés des ennemis de la France et de l’Occident, sans que la police n’ait le droit de pénétrer dans ces zones pour procéder, légalement, aux fouilles des logements de caves et autres box, qui devraient être obligatoires en temps de guerre (dixit Hollande) pour débusquer les terroristes en attente de passage à l’acte.

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Après chaque attentat, le très emblématique préfet, François Molins, premier fusible coupe-circuit entre l’État et la population, s’empresse de déclarer que « le caractère terroriste n’est pas avéré pour l’instant ». Et ce, même quand les victimes des tueries islamiques l’ont été au cri de Allah Akbar. Pour corriger quelques heures ou quelques jours, plus tard, qu’effectivement, il s’agit bien d’un attentat terroriste musulman.

Pendant ces heures ou jours qui suivent cette première déclaration conventionnelle, la grogne des Français – la colère ou la haine ! – monte d’un cran supplémentaire. Et elle prend une plus grande ampleur quand il reconnait avoir été trop prudent ou protecteur… Pas d’amalgame, oblige !

Mais cette colère, il sait qu’elle existe et qu’elle se manifeste de plus en plus fort après chaque attentat.

Est-ce pour cela qu’il vient d’avouer, publiquement, ce 26 mars, qu’il était impossible, à nos services de police, de suivre les individus radicalisés fichés S ?

Aveu impardonnable de l’État français.

Impardonnable, parce que chaque Français sait qu’il y a la possibilité de les stopper avant les attentats.

En même temps (pour plagier Macron), il reconnait, preuve de cette incompétence impardonnable, que le terroriste ayant commis les tueries de Trèbes et Carcassonne « était encore suivi en mars ».  Mais, nous sommes en mars !

 

Donc, les services de police et de renseignement savaient que ce musulman passerait à l’acte à un moment ou à un autre. Mais ils ne sont pas intervenus en amont pour éviter ce dernier massacre.

S’il était « suivi », comme le prétend F. Molins, comment ce radicalisé s’est-il procuré l’arsenal qu’il détenait et les « ingrédients » pour fabriquer les bombes artisanales retrouvées, sans que les services de renseignement ne s’en aperçoivent ?

Sachant qu’il avait « une petite amie convertie à l’islam », dont il nous apprend qu’elle était également « radicalisée », pour quelle raison n’ont-ils pas pris les mesures qui s’imposaient en sachant qu’ils « formaient, à eux seuls, une cellule terroriste » suffisamment endoctrinée et armée pour passer à l’acte ?

« Il faisait l’objet de la part des services de renseignement d’un suivi effectif toujours en cours en mars 2018 mais qui n’avait pas permis, je le répète, de mettre en évidence des signes précurseurs d’un passage à l’acte, ni des velléités de départ sur la zone irako-syrienne ». F. Molins

Mais que vient donc faire la « zone irako-syrienne » chez nous, en France ?

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Les Kouachi, Merah, Coulibali et les autres à Nice, à Saint-Etienne en Rouvray, à Paris, à Marseille ou chez ces pauvres femmes juives trucidées par des musulmans, les services de renseignements attendaient, aussi, qu’ils prennent un aller-retour pour Bagdad ou Damas pour décider s’ils devenaient des terroristes prêts à passer à l’acte ?

Il faut arrêter de prendre les Français pour des imbéciles !

Hollande et Valls, aujourd’hui, Macron, ne cessent de dire que le risque d’attentat est élevé et inévitable, en France. Bien sûr ! Parce que nous avons les terroristes bien en place, chez nous, en France ! Et ce sont eux qui nous déclarent la guerre. Pas les terroristes d’Irak ou de Syrie.

Des mesures simples pourraient être prises comme l’emprisonnement immédiat dès l’instant où il y a un doute sur l’idéologie mortifère antioccidentale d’un musulman. Dès qu’il se connecte à un réseau terroriste. Dès qu’il fréquente assidûment une mosquée où il est prouvé qu’elle appartient à un réseau salafiste.

Mais ces mesures ne sont pas appliquées. Sur l’ordre du plus haut niveau de l’État ?

Les liens étroits qui lient, aujourd’hui, la France avec l’Iran, l’Irak, le Qatar, l’Arabie Séoudite et tant d’autres pays arabes nous empêchent-ils d’emprisonner les musulmans “radicalisés” qui vivent en France ? Certainement.

Ne surtout pas contrarier les relations avec ces pays arabes dont nous savons qu’ils fomentent plus de guerre que de paix reste le principal souci de notre président actuel et ceux d’avant, aussi !

Que vaut, donc, la vie d’un Français ?

Pas grand-chose ! Mais assurément, bien moins qu’un puits de pétrole et bien moins qu’une centrale nucléaire. En tous cas, bien moins qu’un bon contrat commercial qui engraissera les multinationales.

Amis Français, nos victimes des attentats islamiques ne seront jamais, pour ceux qui nous dirigent, que des victimes collatérales à déplorer dans la guerre du sacro-saint marché économique que se livrent les magnats de la finance.

Jusqu’à quand ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Danièle Lopez pour Dreuz.info.

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