Publié par Rosaly le 6 avril 2018

La haine du mécréant est l’animus mandaté par la doctrine qui engendre le djihad, l’état d’esprit de celui qui pense de bonne foi être titulaire d’un droit, celui de haïr et/ou de tuer quiconque ne partage pas sa croyance.

Le mois dernier, après avoir tué plusieurs policiers lors d’ une attaque terroriste pour libérer un camarade djihadiste, le commandant du Hizb al-Mujahidin du Cachemire – « le Parti des Jihadis » – a justifié la tuerie en déclarant : « Nous aimons et haïssons pour l’amour d’Allah » (We love and hate for the sake of Allah). Dans cette affirmation, par ailleurs énigmatique, se trouve la racine de la lutte menée par l’islam au reste du monde. “Aimer et haïr pour l’amour d’Allah” est l’une des nombreuses traductions de la doctrine islamique d’al-wala ‘wa al-bara’, traduite par Raymond Ibrahim en 2006 par « Loyauté et inimitié ».

La partie wala – «amour » – loyauté» etc. oblige toujours les musulmans à aider et à soutenir les autres musulmans (y compris les djihadistes, par exemple grâce à la récolte de fonds ou à la zakat).

Comme l’a expliqué une autorité musulmane médiévale, le croyant « est obligé de se lier d’amitié avec un croyant – même s’il est oppresseur et violent envers vous – alors qu’il doit être hostile à l’infidèle – même s’il est libéral et gentil avec vous » (The Al-Qaïda Reader, page 64).

« Muhammad est le Messager d’Allah ; et ceux qui sont avec lui sont énergiques contre les mécréants, miséricordieux entre eux. » (Coran 48:29)

Mais c’est la bara – la «haine» – qui se manifeste si régulièrement et même ceux qui en Occident ne connaissent pas nécessairement les particularités de la doctrine musulmane le ressentent.

Par exemple, en novembre 2015, après une série de frappes terroristes meurtrières en Occident, le candidat à la présidence Donald Trump déclara :

« Je pense que l’Islam nous déteste. Il y a quelque chose là-bas, il y a une énorme haine là-bas. Il y a une énorme haine. Nous devons aller au fond des choses. Il y a une haine incroyable à notre égard. »

Cette haine immense et incroyable ne résulte pas de griefs, de facteurs politiques ou même d’une interprétation «extrémiste» de l’islam; c’est plutôt un sous-produit direct de l’enseignement islamique traditionnel.

Le verset 60: 4, la pierre angulaire de cette doctrine, est plutôt explicite.

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Comme Oussama ben Laden écrivit autrefois :

« Quant à la relation entre musulmans et infidèles, elle est résumée par la parole du Très-Haut :

Nous vous renions. Inimité et haine régneront pour toujours entre nous, jusqu’à ce que vous croyiez en Allah seul (60: 4).

Il existe donc une inimitié, attestée par une hostilité venant du plus profond du cœur. Et cette hostilité, c’est-à-dire le djihad, ne cesse que si l’infidèle se soumet à l’autorité de l’islam (dhimmi) ou si les musulmans sont faibles et inaptes à agir. Mais si la haine à un certain moment s’éteint du cœur, cela devient une grande apostasie ! Telle est donc la base et le fondement de la relation entre l’infidèle et le musulman. La lutte, l’animosité et la haine du musulman à l’égard de l’infidèle sont le fondement de notre religion. »(Le lecteur d’Al-Qaïda, page 43)

De même, l’État islamique déclara à l’Occident conformément à la sourate 60: 4 :

« Nous vous haïssons, d’abord et avant tout, parce que vous êtes des mécréants. Quant à tous les «griefs» politiques, ce sont des raisons secondaire du djihad.

Et même si vous arrêtiez de nous bombarder, de nous emprisonner, de nous torturer, de nous calomnier et d’usurper nos terres, nous continuerions à vous haïr parce que notre principale raison de vous haïr ne cessera d’exister jusqu’à ce que vous embrassiez l’Islam. Et même si vous deviez payer la jizyah et vivre sous l’autorité de l’Islam dans l’humiliation, nous continuerions à vous haïr. »

La sourate 58:22 va jusqu’à louer les musulmans qui tuent les membres de leurs famille non-musulmans:

« Tu ne trouveras personne parmi les gens qui croient en Allah et au Jour dernier qui prennent pour amis ceux qui s’opposent à Allah et à Son Messager, fussent-ils leurs pères, leurs fils, leurs frères ou les gens de leur tribu… »

Selon Ibn Kathir, grand savant et exégète de l’islam du 14e siècle, ce verset se réfère à un certain nombre de musulmans qui massacrèrent sans hésiter les membres non musulmans de leur propre famille.

Abu Bakr, le premier calife vénéré de l’histoire islamique, tenta de tuer son fils non-musulman et Omar, le deuxième calife vertueux, massacra ses proches. Ibn Kathir ajouta qu’Allah fut tellement ému par leur zèle dans la défense de sa cause, qu’il les récompensa en leur permettant d’accéder au paradis. (Le Lecteur d’Al-Qaïda, 75-76).

En fait, les versets qui soutiennent la doctrine de division d’al-wala ‘wa al-bara’ imprègnent le Coran (voir aussi 4:89, 4: 144, 5:51, 5:54, 6:40, 9:23, et 60: 1).

Il y a une mise en garde, donnée par le verset 3:28 :quand les musulmans sont dans une position de faiblesse, ils peuvent prétendre se lier d’amitié avec des non-musulmans, tant que la haine continue à inonder leurs cœurs” (cfr la taqiya) Pour d’autres formes de tromperie cautionnées par l’islam, il suffit de lire ce qui est écrit sur la tawriya, and taysir.

« Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux … »

Muhammad ibn Jarir at-Tabari (mort en 923), auteur d’un commentaire du Coran, qui fait autorité, explique ainsi le verset 3:28 :

« Si vous [les musulmans] êtes sous l’autorité de non-musulmans et craignez pour vous-mêmes, conduisez-vous avec une apparence de loyauté envers eux, par la parole, tout en conservant votre hostilité à leur égard par devers vous (…)

Sachez qu’ Allah a interdit aux croyants de se montrer amical ou intime avec les infidèles, sauf si les infidèles les dominent. Dans ce cas précis, qu’ils se comportent amicalement avec eux tout en préservant leur religion. »

Il n’est donc pas étonnant que les supposés meilleurs amis et alliés musulmans de l’Amérique et de l’UE, tels que l’Arabie saoudite et le Qatar, demandent officiellement à tous les musulmans de nous détester. Selon un site gouvernemental saoudien, les musulmans doivent « s’opposer et haïr quiconque Allah nous ordonne de le faire, y compris les Juifs, les Chrétiens et autres Mushrikin [non-Musulmans], jusqu’à ce qu’ils croient en Allah seul et respectent ses lois, qu’il a envoyé à son Prophète Muhammad, que la paix et les bénédictions soient sur lui. »

L’hostilité envers les non-musulmans est tellement ancrée dans le Coran que l’enseignement islamique traditionnel soutient que les hommes musulmans doivent même détester – et montrer qu’ils détestent – leurs femmes non-musulmanes, uniquement parce qu’elles sont des «infidèles».

Si les musulmans doivent haïr ceux qui leur sont proches – y compris les pères, fils, frères et épouses – tout simplement parce qu’ils sont non musulmans, il n’est guère surprenant que tant de musulmans détestent les «infidèles» étrangers qui vivent au-delà des océans, notamment les Américains, soupçonnés dans le monde islamique de vouloir ébranler l’islam.

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En bref, le jihad terroriste ou la guerre sainte contre les non-musulmans – pour l’unique raison qu’ils ne sont pas musulmans – n’est que la réalisation physique d’un concept métaphysique qui le précède : le commandement de l’Islam de haïr tous les infidèles.

Et au cours des siècles, ce commandement de haïr les non musulmans fut remarquablement bien respecté par les mercenaires d’Allah. Et un conquérant mahométan du passé, qui appliqua avec un zèle agréable à Allah le djihad à l’encontre des Chrétiens, semble susciter une profonde nostalgie chez Erdogan, le« sultan » d’Ankara.

Le président turc a récemment récité une prière islamique en la basilique Sainte-Sophie à Istanbul dédiée aux âmes de ceux qui laissèrent cet héritage aux Turcs, notamment le conquérant de Constantinople (aujourd’hui Istanbul) : Mehmet II «Fatih», le 7ème sultan de l’Empire ottoman, l’un des ennemis les plus féroces que les Chrétiens eurent jamais à affronter.

Sainte-Sophie est devenue un emblème historique, un symbole interconfessionnel, source de vives tensions diplomatiques.

Erdogan invoque de plus en plus fréquemment le passé ottoman de la Turquie et le glorifie. Et cela renforce l’impression ressentie par de nombreux observateurs sur son intention à peine voilée de restaurer le califat et peut-même même de se déclarer lui-même calife, la gloire suprême pour ce mégalomane fanatiquement dévoué à la cause d’Allah.

En dédiant sa prière islamique au conquérant de Constantinople en ce lieu hautement symbolique, il invite les gens à se souvenir du sultan ottoman Mehmet II le Conquérant, aussi surnommé la Terreur, son héros et peut-être son modèle à suivre …

Violence, pillages, massacres, viols, asservissement, esclavage, destruction des symboles chrétiens, voilà le programme éternel des fidèles d’Allah, endoctrinés par le coran. Après une période d’accalmie, les vieux démons islamiques se réveillent. Forts de leur nombre, de leur impunité, du soutien criminel des dirigeants occidentaux à leurs rêves d’islamisation de la planète, ils se sentent pousser des ailes, les ailes de conquête ou de la reconquête de l’Occident.

Ils auraient tort de renoncer à l’accomplissement de leur devoir de pieux musulmans puisqu’ils sont fièrement soutenus par nos collabos pro-islam au nom du respect de nos valeurs judéo-chrétiennes. Ils encensent le coran sans avoir jamais ouvert une page de ce livre « noble et sacré » objet de tout leur profond respect.

En effet, selon nos dhimmis au pouvoir, l’islam serait la religion parfaite, dont l’Occident devrait sans doute s’inspirer, voire en faire peut-être sa religion du futur.

 

Franz Timmermans, vice- président de la Commission européenne vient de déclarer : « l’islam fait partie de notre histoire, de notre présent et fera partie de notre futur. »

Timmermans a raison : l’islam a fait partie de l’histoire européenne, d’une manière dévastatrice, il fait malheureusement partie du présent et fera hélas assurément partie de notre avenir, à moins que les peuples ne se réveillent. Mais dès le début, sa présence en Europe fut un atroce cauchemar pour les Européens car il mit fin à la paix et à leurs libertés.

En 2015, Timmermans expliqua : « La diversité est vue dans certains pays européens comme un danger, une menace. Or la diversité est le destin de l’humanité… »

Il n’a pas remarqué, cet apôtre du multiculturalisme en Europe, que cette diversité qui lui est si chère est quasi inexistante dans la plupart des pays musulmans. Selon cet éminent personnage, si les peuples européens ne parviennent pas à comprendre que la diversité représente leur avenir, l’Europe ne sera plus un lieu de paix et de liberté.

En réalité, c’est l’imposition forcée de la diversité africano-arabo musulmane, qui représente un danger mortel pour la paix et la liberté en Europe. Et cette dramatique réalité ne semble guère effleurer l’esprit embué de ce technocrate de Bruxelles.

 

W. Schauble, président du Bundestag : « nous ne pouvons arrêter la marche de l’histoire. Tous doivent admettre que l’islam fait partie de notre pays. » ( Il est toujours possible de changer le cours de l’histoire, il suffit d’en avoir la volonté.)

En d’autres termes, il conseille à ses compatriotes de se résigner à devenir une minorité dans leur propre pays. Merveilleuse perspective d’avenir pour les Allemands…

Il a également ajouté que le « reste de la population », à savoir les Allemands non musulmans, doit accepter la progression inéluctable de la population musulmane dans son pays et le cortège … de violences, qui l’accompagne, je présume.

Le crime explose en Allemagne. A Leipzig, le nombre de viols et de cas de coercition sexuelle particulièrement sévère a augmenté de 670% en deux ans ! A Berlin, les crimes au couteau sont en nette hausse avec une moyenne de 7 attaques par jour. Certains parlent désormais de la « culture du couteau ». A cela s’ajoutent les agressions à l’acide à travers tout le pays.

De nombreux enfants allemands ne veulent plus aller à l’école à cause de la violence et de l’antisémitisme des élèves musulmans. Des vidéos de l’EI montrant des décapitations d’infidèles circulent dans certaines écoles primaires. Un élève musulman de CM2 a menacé de tuer sa petite camarade de classe juive car elle ne croyait pas en Allah.

Le slogan de campagne de Merkel était : « pour une Allemagne, dans laquelle nous vivons bien et heureux ! » Eh bien c’est raté. Dans l’Allemagne actuelle, le bonheur d’y vivre n’est qu’une belle utopie pour les Allemands. Flambée de crimes et de viols, harcèlement religieux de la part des « invités » musulmans, menace constante d’attentats terroristes. Les pensions seraient en danger et l’âge de la retraite pourrait être repoussé au-delà des 70 ans. De plus en plus de retraités ont recours à la collecte de bouteilles pour améliorer leurs revenus mais, dans certains cas, le gouvernement punit même ce comportement. Hausse du chômage, paupérisation des Allemands de souche, restrictions des libertés soi disant pour lutter contre l’insécurité (apportée par les migrants), situation financière précaire des jeunes couples ne leur permettant pas d’avoir plus d’ enfants, aucun soutien du gouvernement en faveur des familles allemandes, mais importation massive de migrants du Tiers Monde, de familles polygames, logés, nourris, entretenus pour certains à vie aux frais des contribuables dans le but d’accélérer le remplacement systématique des Allemands.

« L’Allemagne actuelle est la meilleure que nous ayons jamais eu » a déclaré heureux l’ex-président allemand Joachim Gauck !

« Wir schaffen das » répétait Merkel pour rassurer les Allemands. Mais qu’a-t-elle réussi ? Si c’est la déception, le désenchantement, la trahison, Sie hat sicher gut geschafft ! Elle a très bien réussi !

 

Et ils sont loin d’être les seuls dirigeants occidentaux à tenir ce genre de discours.

Theresa May, alors ministre de l’intérieur, aujourd’hui premier ministre britannique, s’empressa de déclarer lors d’une conférence de presse à propos des attentats djihadistes ayant endeuillé son pays :

« Leurs actes n’ont absolument aucune base dans le coran » (qu’elle n’a pas lu).

« Cette idéologie haineuse (de l’Etat islamique) n’a rien à voir avec l’islam.»

« Nous savons que l’islam est une religion de paix. »

George W. Bush, après les attentats du 11 septembre 2001 :

« Le visage de la terreur n’est pas le vrai visage de l’islam…L’islam c’est la paix. »

David Cameron, alors premier ministre britannique, après les attentats de Paris:

« Ces bouchers de l’Etat islamique ne représentent en rien la vraie religion de l’islam, qui est une religion de paix. »

Angela Merkel :

« Ce n’est pas l’islam lui-même qui est la source du terrorisme. »

« L’islam fait partie de l’Allemagne. »

Le Pape François lors d’un voyage en Turquie :

« Le Coran est un livre de paix, c’est un livre prophétique de paix.»

« Il n’est pas juste d’identifier l’islam avec la violence. Cela n’est pas juste et n’est pas vrai. »

Federica Mogherini, cheffe de la diplomatie de l’UE :

« L’Islam a toute sa place dans les société occidentales. L’Islam appartient à l’Europe. Il tient une grande place dans l’histoire européenne, dans notre culture, dans notre nourriture – et ce qui importe le plus – dans le Présent et l’Avenir de l’Europe. Que cela nous plaise ou non, c’est la réalité. »

 

Mais le pompon de l’émerveillement revient à Barack Hussein Obama. Son admirations sans borne de l’islam déteignit à l’époque sur les dirigeants et les médias occidentaux. Aujourd’hui, on entend certains responsables politiques, des journalistes et même certains intellectuels oser parler de terrorisme « islamiste » ce qui était impensable du temps d’Obama, car stigmatisant pour l’islam et l’Oumma.

  1. L’avenir ne doit pas appartenir à celui qui dénigre le prophète.
  2. Le son le plus doux que je connaisse est celui du muezzin appelant à la prière.
  3. Nous transmettons notre profonde admiration pour cette grande et célèbre culture islamique, qui a tellement contribué au cours des siècles à façonner le monde, y compris mon propre pays.
  4. L’islam a une fière tradition de tolérance.
  5. L’islam a toujours fait partie de l’Amérique.
  6. Nous encouragerons davantage d’Américains à étudier dans les communautés musulmanes.
  7. Ces rituels islamiques nous rappellent les principes que avons en commun, ainsi que le rôle de l’islam dans la progression de la justice, de la tolérance, du progrès et du respect de la dignité de tous les êtres humains.
  8. L’Amérique et l’islam ne sont pas exclusifs et l’un ne doit pas nécessairement empiéter sur l’autre. Bien au contraire, ils partagent les valeurs communes de justice, de progrès, de tolérance et de respect de la dignité de tous les êtres humains.
  9. Je le dis clairement, l’Amérique n’est pas et ne sera jamais en guerre avec l’islam.
  10. L’islam n’est pas le problème dans la lutte contre l’extrémisme violent, bien au contraire, l’islam contribue à la promotion de la paix.
  11. Les communautés musulmanes ont toujours été à l’avant plan de l’innovation et de l’éducation, que ce soit par le passé ou de nos jours.
  12. Tout au long de l’histoire, l’islam a prouvé en paroles et en actes sa tolérance religieuse et le respect de l’égalité raciale.
  13. Le Ramadan est la célébration d’une foi connue pour sa grande diversité et son égalité raciale.
  14. Nous avons vu les bienfaits apportés par des générations d’immigrés musulmans : les agriculteurs et les ouvriers d’usine, les travailleurs qui construisirent les chemins de fer, les maçons qui édifièrent nos villes, les musulmans innovateurs qui aidèrent à la construction de nos plus hauts gratte ciel et ceux qui contribuèrent à percer les secrets de notre univers.
  15. Cette expérience guide mes convictions que le partenariat entre l’Amérique et l’islam doit être basé sur ce qu’est l’islam et non sur ce qu’il n’est pas. Et je considère que c’est ma responsabilité, en tant que président des USA, de lutter contre tous les stéréotypes négatifs diffusés sur l’islam, peu importe où ces derniers apparaissent et se propagent.
  16. Je sais aussi que l’islam a toujours fait partie de l’histoire d’Amérique.

Et la taqiya, la ruse, le duperie font partie de l’islam conquérant. Un bel exemple est donné par un imam du New Jersey. Ce dernier a eu la brillante idée d’organiser un atelier afin de former les imams à ne pas se faire filmer par la caméra lors de leurs prières à Allah pour l’anéantissement des Juifs.

« Nos cheikhs se souviennent des supplications à Allah par cœur, et ils les récitent sans réfléchir. Alors ils commencent à dire: “Oh Allah, comptez-les un par un, dispersez-les jusqu’au dernier, et n’en laissez pas un seul”. Naturellement, les gens disent «Amen», puis on écrit [dans la presse] que les gens sont tout excités, qu’ils acquiescent à la prière et veulent qu’Allah annihile [les Juifs]. Selon la loi, l’appel à l’annihilation constitue une incitation à la violence. Naturellement, je sais que le prédicateur ne fait que réciter des supplications qu’il connaît par cœur et ne réalise pas que cela pourrait être considéré comme une incitation à la violence à l’encontre des Juifs.»

Notez l’hypocrisie de cet imam. Il ne demande pas que les prières pour l’anéantissement des Juifs soient abandonnées, certes non ! Il exhorte tout simplement les imams à faire plus attention aux caméras et aux micros lors de la récitation. Il y eut récemment de nombreux cas d’imams aux USA et au Canada appelant Allah à tuer les Juifs. Cet imam essaye d’arrêter les dégâts au niveau des relations publiques, bien qu’ils aient été minimes, car rédiger un rapport complet sur ce sujet aurait été « islamophobe ». Mais à part cela, l’islam est une religion de paix, d’amour, de tolérance, de fraternité. On nous le répète inlassablement et gare à celui qui oserait affirmer le contraire. La police du « politiquement correct » veille !

Sources :

  • « Hate for the sake of Allah. » Raymond Ibrahim (FrontPage Mag) (traduit et adapté par Rosaly)
  • « New Jersey imam starts workshop to train imams not get caught on camera praying for genocide of Jews. »
  • « Analyse du suicide européen, (7ème Partie) : la collaboration pro-islamiste à tous les niveaux », Résistance Républicaine

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

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