Les organisations islamistes qui s’attaquent à Israël ont toujours eu le sens du vocabulaire dans leur communication avec l’Occident.
Convaincus à juste titre que peu parmi nous sont capables, ou même intéressés, de décrypter leurs discours d’origine révélateur de leurs véritables intentions, ils nous arrosent depuis des décennies de concepts erronés, tout en puisant à la source de notre propre histoire les termes qui nous feront réagir dans le sens qui leur sera favorable. C’est ainsi que sont nés, au fil des ans, des terminologies acceptées par tous, y compris, il faut le dire, en Israël même.
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Prenons par exemple le mot « occupation »
Le Hamas, organisation terroriste qui règne sur la bande de Gaza depuis qu’Israël a retiré ses troupes et déraciné plus de 10.000 Juifs tout en laissant les infrastructures qui auraient permis aux Gazaouites de développer une véritable économie indépendante, continue à se lamenter du « fait » que l’Etat juif occupe des terres appartenant « de toute éternité au Peuple palestinien ». Il s’agit là, évidemment d’un faux car les droits éventuels des Palestiniens ne sauraient être réalisés en niant ceux des Juifs sur leur terre ancestrale.
Le terme « occupation » étant associé de triste mémoire à l’Histoire européenne, lorsqu’un lecteur, mal informé, se le voit asséner à longueur d’année par les médias les ONG et les politiciens, la première image qu’il lui vient est évidemment celle de la botte allemande martelant au pas de l’oie le pavé parisien ou bruxellois.
Mais a-t-on vu durant l’occupation allemande des gamins jeter des pierres sur les soldats de la Wehrmacht ou les SS, tandis qu’une douzaine de photographes d’agence se seraient disputé le meilleur angle de prise de vue ? Quelle témérité aurait alors habité une Ahed Tamimi contemporaine d’Anne Frank, tandis que celle d’aujourd’hui a bâti sa carrière d’égérie pourfendeuse de la soldatesque sioniste sur la fonction vidéo des Smart Phones…
Cette répétition infligée tout autant qu’acceptée d’un terme erroné à pour but d’occulter un fait essentiel, gravé dans l’Histoire : selon la loi internationale, ces territoires dits « occupés » ne sont que « disputés ». Car, afin d’occuper une terre, encore eut-il fallu qu’elle appartînt à un pays reconnu au moment de sa conquête. La « Palestine », renommée ainsi par l’Empereur Hadrien en 127 pour humilier les Juifs après leur seconde révolte contre l’Empire romain, n’était qu’une région de l’Empire Ottoman jusqu’à la défaite des Turcs en 1917. Ce sont les pays arabes dans leur globalité qui, en rejetant le plan de partition de l’ONU en 1947, ont empêché la naissance d’une « Nation palestinienne » dont on ne retrouve aucune trace dans l’histoire jusqu’à sa mise au goût du jour, en 1964, par Nasser et le KGB.
Lorsqu’à l’issue d’une guerre défensive, Israël a « pris » la Cisjordanie et Gaza en 1967, ces deux territoires avaient déjà été conquis par la Jordanie et l’Egypte. Ce qui nous conduit à remettre en question une autre révision sémantique. Pourquoi des terres qui, pendant des siècles, se sont appelées Judée-Samarie deviendraient-elles, tout à coup, Cisjordanie ou Rive Occidentale, de par la seule volonté du pays qui les a envahies en 1948 avant d’en expulser tous les Juifs dans l’indifférence générale ? Serait-ce pour effacer le simple fait que la Judée… est le berceau du judaïsme ?
Mais revenons à Gaza
Depuis deux semaines le Hamas et autres organisations terroristes ont repris à leur compte ce qu’ils veulent faire passer pour un soulèvement populaire « pacifiste ». Une fois de plus, le détournement du vocabulaire est habile car ces manifestations à plusieurs couches – l’une pacifique et bon enfant, servant de couverture aux multiples tentatives de destruction de la barrière de séparation entre Gaza et Israël, d’enlèvement de soldats, et d’attentats terroristes heureusement avortés – voudraient promouvoir un « droit au retour » à l’intérieur d’Israël des descendants de descendants de « réfugiés ».
J’ai déjà abondamment écrit, y compris dans ces pages, sur cette aberration tragique perpétuée au profit de l’UNWRA, une agence onusienne empêchant, dans sa forme actuelle, l’établissement et le développement des Arabes de Palestine sur leurs terres d’accueil. Je n’y reviendrai que par une phrase. Pourquoi un enfant, né à côté de Ramallah ou à Gaza, de parents nés au même endroit, ou pire encore, né à Brooklyn ou à Stockholm de parents immigrés, serait-il considéré comme « réfugié » – comme c’est le cas dans les statistiques de l’UNRWA – si un enfant juif né à Tel-Aviv, de parents nés à Bagdad, Damas ou Tripoli, et chassés entre 1948 et 1974 n’a jamais bénéficié du même statut ?
Mais voici que des bus affrétés par le Hamas et la Jihad Islamique, et décorés de clés géantes et de noms enluminés de villages disparus censés symboliser ce « droit au retour » au sein d’un pays honni, viennent cueillir chaque vendredi devant les mosquées et les écoles de Gaza une population manipulée, prête aux derniers sacrifices afin de répondre à des mots d’ordre cyniques ou désuets.
Voici que des milliers de civils, hommes, femmes, enfants, se massent à proximité des zones tampons établies en bordure de la barrière de sécurité israélienne, dans une ambiance de kermesse destinée à nous faire croire qu’il s’agit là de manifestations au sens démocratique du terme.
Voici, également, que des milliers de pneus sont enflammés, dégageant une fumée noirâtre visible depuis les satellites, véritable catastrophe écologique dont on attend encore la condamnation par les verts, dans le but d’aveugler les forces de sécurité israéliennes qui ont pourtant prévenu : aucun franchissement sauvage de la barrière-frontière ne sera toléré. Toute tentative sera stoppée par des tirs à balle réelle – ce qui, n’en déplaise à beaucoup, est absolument légal dans toute buffer zone entre entités ennemies.
A cette annonce, les dirigeants du Hamas ont dû jubiler ! Eux qui jouent gagnant-gagnant dans une stratégie impliquant l’utilisation de leurs civils comme boucliers humains, puisqu’il s’agit surtout d’une guerre d’influence, n’en espéraient pas autant. Dès lors ils allaient enfin pouvoir de nouveau compter leurs morts comme autant de victoires médiatiques. Et cela – au grand damne des Israéliens – s’est déroulé exactement comme prévu. Au moment où paraissent ces lignes, Gaza pleure plus de trente morts et les hôpitaux sont débordés par le nombre de blessés – même si les chiffres sont sujets à caution puisque seulement fournis par le Hamas.
Pour une fois, cependant, le Hamas s’est piégé lui-même, en publiant avec fierté l’identité de la majorité des victimes qui, de toute évidence appartiennent à ses troupes. C’est le cas du journaliste Yasser Mourtaja dont le double rôle de correspondant de presse et d’officier salarié du Hamas a également été dévoilé – sauf dans les médias français !
Mais aurait-il été possible pour Israël d’avoir recours à d’autres moyens ? L’alignement de snipers parallèlement à l’utilisation de procédés anti-émeutes, était-il vraiment indispensable ?
Imaginons, un instant, que, dans les semaines à venir, comme annoncé par le dirigeant de l’organisation terroriste, Yahya Sinwar, la « marche du retour » permette à ses militants de détruire les barrières, tandis que des milliers de manifestants, femmes et enfants poussés en première ligne, se ruent à l’intérieur d’Israël, bravant non plus les tirs ciblés des soldats entraînés mais la riposte massive d’un peuple paniqué ? Imaginons cette marche sanglante, telle que promise par Sinwar, atteignant Jérusalem sous les applaudissements à distance des militants du BDS ?
En menaçant d’avoir recours à des mesures extrêmes, et en tenant cet engagement, Israël ne fait que dissuader et empêcher le développement d’un cauchemar humanitaire dont les dirigeants du Hamas, acculés économiquement et politiquement, pourraient se régaler.
Contrairement aux images promues par d’autres abus du vocabulaire, Gaza n’est pas une « prison à ciel ouvert » mais une bande de 360 km2 relativement surpeuplée, où vivent également nombre de millionnaires dans des villas fastueuses côtoyant des quartiers miséreux.
Chaque jour, environ 1500 à 2500 tonnes d’aide humanitaire et de biens de consommation sont autorisés à passer la frontière par le gouvernement israélien. Plusieurs programmes permettent aux habitants de Gaza de se faire soigner dans les hôpitaux de Tel-Aviv et de Haïfa.
Un projet d’île portuaire sécurisée est à l’étude à Jérusalem, et des tonnes de fruits et légumes sont régulièrement achetés aux paysans gazaouites par les réseaux de distribution alimentaires israéliens.
L’Egypte contrôle toute la partie sud et fait souvent montre de beaucoup plus de rigueur qu’Israël pour protéger sa frontière, sachant que le Hamas est issu des Frères Musulmans, organisation interdite par le gouvernement de Abdel Fatah Al Sisi.
Mais Gaza souffre, en effet, et même terriblement !
Gaza souffre du fait que le Hamas détourne la majorité des fonds destinés à sa population pour creuser des tunnels et se construire une armée dont le seul but, ouvertement déclaré dans sa charte, est d’oblitérer Israël et d’exterminer ses habitants.
Gaza souffre des promesses d’aide financière non tenues par les pays arabes et qui se chiffrent en milliards de dollars.
Gaza souffre de n’avoir que trois heures d’électricité par jour, car les terroristes du Hamas ont bêtement envoyé une roquette sur la principale centrale pendant le dernier conflit et l’Autorité palestinienne, de son côté, refuse de payer les factures correspondant à son alimentation, espérant de la sorte provoquer une crise qui conduira à la perte de pouvoir de son concurrent.
Gaza souffre d’un taux de chômage de plus de 50%, après que ses habitants, dans l’euphorie du départ des Juifs, aient saccagé et détruit les serres à légumes et les manufactures construites par Israël et donc jugées « impures » selon les théories islamistes qui les ont conduits, ne l’oublions pas non plus, à voter massivement pour le Hamas.
Gaza souffre enfin de ces détournements du vocabulaire, de ces concepts esthétiques manichéens conçus au détriment des êtres, qui empêchent les hommes de conscience de comprendre le cœur du problème et sont forcés de penser qu’Israël est l’unique cause du malheur de ses habitants.
C’est pour cela qu’il faut, une fois de plus, clamer quelques faits incontournables.
- Israël ne peut faire la paix avec une organisation terroriste vouée à sa disparition.
- Les habitants de Gaza seraient libres de circuler et de se construire un avenir à l’instant même où ils renonceraient à la disparition de leur voisin.
- Le Hamas et autres organisations terroristes savent qu’ils peuvent compter sur la sympathie des Nations Unies et de nombre d’ONG à prétention humanitaire et ne se privent donc pas d’exploiter la population qu’ils détiennent en otage puisqu’ils savent qu’Israël sera systématiquement condamné à leur place.
J’en veux, pour exemple, une anecdote affligeante.
En septembre 2017, une organisation regroupant des femmes arabes et israéliennes a organisé une marche en Cisjordanie (Judée-Samarie). Aucun parent n’aurait pu être indifférent aux images émergeant de ces mères juives et arabes qui avouent leur quête d’un avenir meilleur pour leurs enfants. Durant la marche, aucun pneu brûlé au risque de provoquer une épidémie de cancers, pas de lancement de pierres ou de cocktails Molotov, aucune tentative d’envahir Israël, aucun propos haineux. Tout le contraire. C’était une authentique manifestation pacifique.
Seulement, le Hamas a fait appel aux complicités internationales qu’il cumule au sein du BDS et ces derniers ont immédiatement condamné la marche en déclarant que « la normalisation est une arme israélienne ».
L’ONU, de son côté, n’a pas cru bon promouvoir l’initiative. Pourquoi l’aurait-elle fait ?
Il est davantage dans sa tradition, et certainement plus politiquement correct de condamner Israël pour ses « excès » en matière défensive tandis que le Moyen-Orient, faute d’une vision honnête, bascule progressivement dans un conflit généralisé dont les fumées noirâtres de Gaza ne sont que les prémisses.
Face à tant d’hypocrisie, et faute d’un Zola pour exprimer ouvertement sa révolte contre le mensonge et l’injustice, un seul mot me vient en conclusion.
Assez !
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pierre Rehov. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.
Allez dire cela à mademoiselle Nathalie Portman qui a annulé son voyage en Israël où elle devait recevoir un prix .Nathalie estime que le comportement d Israël envers les pauvres Palos ne correspondent pas à ses valeurs juives.
Pauvre connasse va ta faire foutre par bds et le hamas au lieu de défendre ton pays
Elle est mariée à un Français : ceci explique peut-être cela.
Et pourtant, c’est bien elle qui expliquait il y a un an ou deux qu’elle ne voulait plus vivre à Paris à cause de l’antisémitisme ambiant… on appelle ça de la schizophrénie.
Schizophrénie… ou bien opportunisme girouettique asservi à la racaille hollywoodesque en fonction du box-office et des avancements de carrière.
Cher Pierre Rehov, vous écrivez: “Mais aurait-il été possible pour Israël d’avoir recours à d’autres moyens?”
La réponse est :OUI! Par exemple destruction répétée du village de toiles, semer des clous tripodes sur la zone òu ils se baladent et surtout, surtout asperger avec du purin, à partir d’hélicoptères ou de canadairs, les manifestants.
Mais pour cela il faudrait un changement de mentalité en Israel, loin de la “pureté des armes” et de ” l’armée la plus morale du monde”. Il faudrait enfin accepter que nous sommes en guerre avec le Hamas et agir en conséquence. à ma proposition d’asperger de purin les manifestants, ce qui aurait l’avantage de mettre les rieurs de notre coté, proposition envoyée aus membres de la Knesset j’ai eu la réponse suivante:
“We are very happy you have chosen to address MK Haskel. However, if you would like us to open your emails in the future and convey a message that we can use and learn from, we hope you don’t send CALLOUS messages in the future.”
Ronen Slonim
Intern for MK Sharren Haskel
Ma proposition était trop dure….Tsahal me fait penser à un boxeur aux mains liées dans le dos tandis que son opposant cache un der à cheval dans son gant de boxe.
Encore une qui s’est laissée avoir par la propagande mensongère des médias.
Je ne crois pas les français dans leur ensemble assez idiots pour croire les divagations du Hamas. Les arabes font la preuve, chaque jour, dans tous les coins du monde de leur agressivité, de leur goût pour la torture et la mort, pour toutes les guerres qu’ils suscitent et entretiennent. Mais l’antisémitisme d’une certaine France catholique fille aînée de l’église, ajouté à l’indifférence, sans oublier l’incapacité à intervenir, font que les juifs, le peuple d’Israël, resteront à jamais le bouc émissaire de la pauvreté morale du monde
@ Pin
C’est justement leur agressivité, leur barbarie qui fait peur aux occidentaux.
Ceux-ci, pour être tranquilles préfèrent leur donner raison, les chouchouter en espérant qu’ils ne s’en prendront pas à eux.
C’est la servilité des malfrats face au chef maffieux
Autre preuve de la sottise et l’incompétence du monde arabe: La France a laissé à huit millions d’arabes un pays cinq fois plus grand que la France regorgeant de richesses pétrolières et gazières, avec des infrastructures dignes des pays les plus développés de l’Europe. Il ne fallait que se baisser pour ramasser de l’or. Qu’en ont-ils fait de ce merveilleux pays ? Une terre ruinée et à l’agonie qui a sombré dans le bakchich et la guerre civile (200 000 morts). La seule chose qu’ils ont particulièrement réussie est de pondre des gosses comme des lapins, car ils sont maintenant quarante millions d’algériens, qu’il faut nourrir, loger éduquer. Leur président éructe à longueur de discours les “méfaits” de la France et de sa colonisation. Pour faire bonne mesure, il y ajoute les juifs, Israël et l’Amérique.De cela aussi les français sont témoins, même si cela dérange leur morale larmoyante.
Le BDS commence sérieusement à m’énerver.
Est-ce que OUI ou NON Israël a été attaqué par 4 nations arabes lors de sa création, et est-ce que OUI ou NON ces même nations ont-elles perdu la guerre? Bon alors… « Vae Victis » !!!
Perdu la Jordanie et la Bande de Gaza. Point !!!
Sauf que le vainqueur leur a rendu ces territoires, contre un accord de paix que les arabes n’ont jamais respecté.
Alors, pour comparer: Est-ce que OUI ou NON, le Kaiser Wilhelm en 1914 puis les nazis en 1939 qui ont attaqués la France et qui ont perdu les territoires de l’Alsace et de la Lorraine, peuvent-ils avoir des revendications sur ce que le droit international a attribué à la France? Est-ce qu’on peut considérer que depuis, la France colonise l’Alsace selon le raisonnement du BDS?
Le BDS commence sérieusement à m’énerver.
Va-t-il également réclamer la restitution de l’Alsace et de la Lorraine aux nazis, tout comme la bande de Gaza aux arabes?
Moi qui réside à Strasbourg, siège du Parlement Européen, dois-je craindre qu’un jour cette Europe qui soutient plus ou moins visiblement le BDS, décide de rendre mon territoire colonisé par la France aux nazis? Le BDS va-t-il organiser un débarquement à « Strasbg-Beach » pour soutenir la libération de l’Alsace et de la Lorraine? Les mensonges du Hamas sont du niveau de la propaganda de Goebels.
Alors je suis content qu’Israël renvoie enfin tous ces terroristes du Hamas, du BDS etc, dans leurs cordes et ne leur cède pas un pouce dans ces revendications stupides et perverses. Vive ISRAEL.
“Pourquoi un enfant, né à côté de Ramallah ou à Gaza, de parents nés au même endroit, ou pire encore, né à Brooklyn ou à Stockholm de parents immigrés, serait-il considéré comme RÉFUGIÉ ?”
La réponse est tristement comptable : Chaque naissance est comptabilisée pour grossir la liste de ces faux “réfugiés”. Et des rumeurs circulent attestant qu’ils ne déclarent pas toujours les décès des personnes âgées, pour que tourne le compteur.
Alors, en partant de quelques dizaines de familles bédouines placées là à partir de 1948 pour faire ch…r le monde entier, ils se sont démultipliés et sont maintenant 1,5 millions d’assistés qui servent de chair à canon au Hamas et à l’Autorité fantoche et corrompue de Mahmoud Abbas, qui eux-mêmes encaissent les centaines de millions de dollars d’aide “humanitaire” eurabienne et onusienne.
Les “palestiniens” ont perçu $871 millions en 2016.
il me semble que les philistins (ceux décrit dans la bible) habitaient la palestine? non?
quant au hamas, ses mensonges ne trompent que ceux qui le veulent!
@ patphil
Oui, les philistins habitaient la région qui ne s’appelait pas Palestine.
Selon la morale de l’époque, les hébreux ont conquis la région et y ont vécu 3 millénaires sans interruption.
De plus, les “palestiniens” sont les descendants des arabes qui ont conquis toute la région et non des philistins malgré la ressemblance des noms.
On ne peut pas rejeter la conquête par les hébreux et accepter la conquête par les arabes.
De plus, en 1948, la Jordanie (pays nouveau né par décision des anglais) a conquis la Judée-Samarie et l’égypte la bande de Gaza.
Entre 1948 et 1967 les “palestiniens” n’ont revendiqué ni la Cisjordanie ni Gaza, et encore moins Jérusalem qui n’est un lieu saint de l’Islam que dans les rêves, le Coran ne la cite absolument pas tandis que la Bible la cite plus de 500 fois.
Peut-on accepter la conquête de ces territoires par la Jordanie et la refuser à Israël ?
@ Patphil
Il n’y a aucun lien historique ou géographique entre les Philistins et ceux qui s’auto-décrivent aujourd’hui comme des [réfugiés] “palestiniens”.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Philistins
Le dernier Philistin a disparu 5 siècles avant que ne débute cette immonde farce terroriste corrompue “palestinienne” qui sévit en ce moment à Gaza et en Judée-Samarie.
Nous aussi nous voudrions pratiquer le boycott du monde islamique. Malheureusement, ils ne produisent R I E N.
Je ne crois pas que ceux que l’on appelle “palestiniens” veuillent vraiment la paix. La paix signifierait la fin de leurs privilèges d’apparatchiks dorés, de leurs millions planqués ici ou là, de leur avion à 50MM $, dont ils ont privé leur population.
C’est plus facile d’être chefaillon de guerre qu’artisan de la paix qui demande plus d’intelligence et de sens de responsabilité, ce dont ils sont démunis.
Tout ça n’est que du bluff pour gogos occidentaux, mais hélas ils ne manquent pas à l’appel.