Le cabinet d’avocats représentant l’ancien ingénieur de Google, James Damore, met à jour sa plainte contre le géant technologique pour inclure plus de plaignants et d’éventuels éléments de preuve.
L’avocat Harmeet Dhillon et son équipe ont retiré la plainte déposée par Damore auprès du National Labor Relations Board (NLRB, Conseil national des relations du travail), mais ils poursuivent avec leur recours collectif accusant Google de discrimination fondée sur le genre, la race et l’idéologie. Avec l’ajout de trois autres plaignants – des demandeurs d’emploi alléguant que leurs candidatures ont été indûment rejetées en raison de quotas d’embauche fondés sur la diversité – la poursuite semble prendre de l’ampleur.
“Google a adopté un modèle et une pratique de traiter les demandeurs d’emploi ayant des profils professionnels similaires de manière inégale et défavorable en fonction de la race, du genre ainsi que de leurs affiliations et activités politiques”, lit-on dans le texte amendé de l’affaire. “Google et sa direction vénèrent seulement la “diversité” aux caractéristiques protégées, et imposent que le pourcentage de personnes non-caucasiennes / non-asiatiques, non-masculines et non-conservatrices employées par Google augmente rapidement au fil du temps.”
Se fondant sur ces dispositions et l’accusation selon laquelle “Google attribue une valeur négative aux candidatures” sur la base des traits susmentionnés, les demandeurs affirment que la société adopte un comportement illégalement discriminatoire.
Par exemple, les courriels internes obtenus dévoilent un « programme de recrutement supplémentaire » qui était « une stratégie de dernier recours pour attirer des talents “issus de la diversité” chez Google lorsque toutes les autres possibilités étaient épuisées ».
“Les candidats “issus de la diversité” sont : noirs, hispanique, vétérans, anciens combattants, handicapées [*], et les ‘L4+femmes’ [**]”, lit-on dans le document intégrant et citant les messages. “En particulier, les Caucasiens, les Asiatiques, et les personnes de genre masculin sont exclus de la «définition du candidat» de Google, et ne peuvent donc pas être envisagés comme candidats pour certaines catégories d’offres d’emploi au sein de la compagnie.”
[NDLR : * dans le texte en anglais, PWD [presumably persons with a disability], terme imprégné de politiquement correct et à la définition si large qu’il est intraduisible. ** L4+women : personne chez Dreuz n’a la moindre certitude de ce que ce terme pseudo-progressiste signifie. LGBT+femmes ?]
Le dossier du procès comprend également des captures d’écran des documents diffusés au sein de la compagnie Google dont certains illustreraient que “Google n’assume pas sa propre hypocrisie”.
La section de “diversité des partenaires commerciaux” au sein du service des ressources humaines de Google a élaboré, selon certaines sources, une politique officielle prescrivant la formation et la diffusion d’un document sur “les méthodes selon lesquelles les biais de race et de genre peuvent s’infiltrer dans la performance de l’entreprise et les méthodes pour éviter que cela ne se produise”.
Ceci est “similaire aux objectifs du mémo de James Damore”, communique le dossier du procès, en référence au message contentieux que l’ingénieur licencié a partagé avec ses collègues via un forum interne conçu pour exprimer ses opinions. Damore a exposé ce qu’il considérait comme des mesures contre-productives faisant l’accent sur la diversité au sein de l’entreprise, et a fourni ses propres suggestions non sollicitées pour que Google puisse s’y adapter et les mettre en pratique.
Damore, par exemple, a écrit que plutôt que de se baser du genre pendant l’embauche, ce qui, selon lui, est intrinsèquement sexiste, Google devrait, entre autres idées: “arrêter d’aliéner les conservateurs”, “de démoraliser la diversité”, “cesser de mettre l’accent sur l’empathie”, “lutter contre les biais au sein de Google” et “arrêter de restreindre aux représentants de certains genres ou races l’accès aux programmes”. Une fois que le mémo s’est répandu dans la société, et ensuite en dehors de la compagnie, il s’en est suivi une réaction brutale. Cela a abouti à son licenciement pendant que PDG de Google, Sundar Pichai, prétendait que « les gens devaient être libres d’exprimer leurs désaccords ».
Damore a eu du mal à retrouver du travail en raison de l’influence de Google dans le secteur, a-t-il déclaré à la Daily Caller News Fondation lors d’une interview en février. Damore a également déclaré avoir vu des employés admettre l’utilisation de leurs pouvoirs et des services de Google pour écraser les partisans et les publications soutenant le président Donald Trump.
L’affaire de Damore, qui comprend quatre autres plaignants ainsi que toute autre personne qui pourrait avoir été concernée de la même manière, n’est que l’une des nombreuses poursuites contre Google.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : traduction © Oksana Zvirynska pour Dreuz.info.
Lawsuit Against Google For Discrimination Adds More Clients, Alleged Evidence
“…L4+women : LGBT+femmes ?…”
Compte tenu de ce qui précède et de ce qui suit, c’est très probablement ça, à la condition que le groupe LGBT en français commence aussi par la lettre “L” en anglais.
Quel inconmensurable pouvoir ont des entreprises comme Google, Farcebook… sur nos sociétés branchées!!! Il serait temps de les nationaliser. Ce serait plus contrôlable ainsi… je crois 🙄
J’espère que toute cette “bien-pensance” sera condamnée pour discriminations et “racisme anti blancs” …. et que le montant des indemnités/amendes se chiffreront en dizaines et dizaines de milliards de dollars !!!!
Et, ensuite ….. en route pour les chiottes ….. la “”bien-pensance” !!!!
Google, Facebook et cie ont des comptes à rendre à tous ceux auxquels ils ont porté atteinte à leur liberté d’expression.
En plus on peut y ajouter les dérives du transhumansime.
https://iatranshumanisme.com/2015/02/08/google-la-strategie-secrete-pour-transformer-lhumanite/
MORTS AUX CONS DE GAUCHE
Les géants comme Google,Facebook,Twitter, et autres
iphone truc, sont devenus des géants grace aux
moucherons qui les utilisent de facons intensif.
A présent les géants écrasent les génants moucherons.
Si Google se retrouve devant une justice qui roule a
gauche , ce sera que néant.
A vous de voir utilisateur si vous fermez vos Google
ou pas ?
Facile de prouver leur favoritisme et pire une manière d’inciter à la haine…
Parce que vous pouvez taper n’importe quoi, soit sur la droite, soit sur Israël, ne sort dans les premières proposions, voire mêmes les premières pages, que les articles disant le pire mal de ces deux entités.
Il aurait fallu faire des captures à chaque fois, et il serait difficile de se défendre après cela..
Maintenant ils se méfieraient, voir seraient capable d’agir le bon fonctionnement de nos machines.
Incroyable nous pensons que le Net sert le citoyen, mais en fait, nous devenons “la chose” d’une machine qui fait ce qu’elle veut de nous.
Pour l’instant cela va encore, mais si les citoyens consommateurs ne réagissent pas, nous n’aurons bientôt plus aucune liberté avec notre matériel. Et comme cela arrange tous les pouvoirs…